Sur Terre
Hammond : Voilà messieurs ces planètes appelés P3-575 et P3A-577 sont proposé par l'équipe du capitaine Carter comme des destinations possible pour votre prochaine mission. Les unités SG-1 et 2 vont opérer simultanément.
Jack : J'avoue que j'ai un tout petit faible pour P3-575, ça ne vous ennui pas de prendre P3A-577 ?
Kawalsky : Non, je prendrais 577.
Jack : Je ne suis pas marié avec, je ne veux pas vous désavantager. Si on tirait ça à pile ou face.
Kawalsky : Non non non. Ca m'est égal.
Hammond : Et si vous alliez là ou je vous dit d'aller. Dites moi si je me trompe mais, …
Sergent : Alerte, voyageur entrant je répète, voyageur entrant.
Kawalsky : Ces satanés Goa'ulds sont vraiment têtus.
Jack : Je crois qu'ils ont compris la leçon.
Sergent : Fermez l'iris.
Hammond : Alerte à toute les équipes de défense, tenez vous prêt. Régler le compte à rebours d'autodestruction à trois minutes.
Kawalsky : On ne pourra aller nulle part tant que les Goa'ulds continueront à nous attaquer.
Daniel : Ils finiront bien par baisser les bras. Vous ne croyez pas ?
Jack : Oh whao.
Sam : Une fois qu'ils auront compris que notre porte est impénétrable, ils laisseront tombé.
Kawalsky: En même temps j'ai envie de les laisser passer pour le flanquer une bonne correction.
Sergent : Équipe anti radiation allez-y.
Jack : Ils ont peut être un moyen plus efficace de passer la porte.
Daniel : Vous pensez que les Goa'ulds vont faire une tentative ?
Jack : Ils s'écraseront comme des moustiques sur un pare brise.
Sergent : Radiation insignifiante mon général.
Hammond : Très bien état d'alerte terminé messieurs. Annulez le compte à rebours.
Jack : Kawalsky, ça ne va pas ?
Kawalsky : J'ai mal au crane. J'ai déjà avalé tout un tube d'aspirine, mais j'ai toujours mal.
Jack : Descendez à l'infirmerie et faites vous soigner, allez-y.
Kawalsky : Oui, vous avez raison merci, mon général, vous permettez ?
Hammond : Je vous en pris major. J'ai besoin de vous pour diriger votre mission sur P3-575.
Sergent : Alerte voyageur entrant. Je répète, voyageur entrant.
Hammond : Relancez le compte à rebours. Alerte général, toutes les équipes de défense, restez en position.
Daniel : Vous pensez que l'iris va résister à toutes ces attaque ?
Sam : Une parois constitué de titane pure moins de 3 micromètre c'est plus que suffisant, ça ne permettrait même pas à la matière de se réintégrer.
Jack : Donc l'iris va résister à l'heure attaque ?
Sam : S'il ne résiste pas le dispositif à sureté intégré se déclenchera. La montagne explosera. On aura plus de souci à se faire.
Jack : Ah, géniale. Je suis tout à fait rassuré.
Générique
Hammond : Entrez. Je comprends que Kawalsky soit dans un tel état. Ce travail me donne la migraine à moi aussi.
Jack : Euh, il y a une mauvaise nouvelle mon général ?
Hammond : Et bien vous m'aimez pas les préambules colonel.
Jack : Le week-end s'est mal passé ? La pèche a été mauvaise ?
Hammond : Je dois rejeter votre demande d'emmener Teal'c dans votre mission avec SG-1. Ce n'est pas moi qui l'ai décidé. Le colonel Kennedy doit arriver du Pentagone et il veut poser à votre ami quelques questions.
Jack : Quelles genres de question ?
Hammond : Contre qui nous battons nous, force en présence, technologie, armements.
Jack : J'aimerais aussi connaître les réponses à ses questions mon général, mais une fois quelles seront posées.
Hammond : Il y aura d'autre question. Peut être même des tests. Il faut que vous gardiez à l'esprit qu'il porte en lui sous forme larvaire un ennemi formidablement belliqueux et puissant.
Jack : Ces tests éventuels, en quoi consiste il mon général ?
Hammond : Peut être n'avez vous pas remarqué colonel, mais c'est le premier individus d'une espèce d'alien que nous rencontrons. Reconnaissez que cela fait de notre amis un sujet d'expérience scientifique intéressant.
Jack : Un sujet d'expérience ?
Hammond : Il est ce qui est colonel.
Jack : Avec tous le respect que je vous dois mon général, je ne crois pas qu'il ait sauvé la vie des hommes de mon équipe ou qu'il soit venu dans notre camps pour qu'on l'oblige à servir de cobaye pour les services secret militaire.
Hammond : N'insistez pas colonel. Il a changé de camps une première fois. Êtes vous certain qu'il ne va pas retourner dans le camps adverse ?
Jack : Oui certain.
Hammond : Et bien vous êtes le seul à le penser colonel. Le colonel Kennedy sera là dans moins d'une heure. Je vous promet que Teal'c sera traité avec dignité et avec respect tant qu'il sera l'invité dans notre base. Au delà, je ne peux absolument rien vous promettre. Rompez colonel.
Jack : Ca va ? Je dérange pas j'espère ?
Teal'c : Si.
Jack : Bon ba je repasserais.
Teal'c : Parlez moi des gens de Chulak.
Jack : On les a tous expédiés chez eux avant que les Goa'ulds frappent à la porte des étoiles.
Teal'c : Très bien.
Jack : Oh, c'est grâce à vous. A combien d'autre attaque ont doit s'attendre d'après vous ?
Teal'c' : Une, peut être deux autres tentatives. Ils s'imagineront que leur armes vous ont détruit. Ils n'enverront pas de guerriers pendant un moment pour s'assurer de votre destruction.
Jack : Ba ils vont avoir une sacré surprise.
Teal'c : Ils trouveront votre iris fermé, et vous pourrez les écraser.
Jack : Ca leur fera les pieds.
Teal'c : Est ce que je suis prisonnier ?
Jack : Euh oui.
Teal'c : Ca ne fait rien, je comprends.
Jack : Vous avez le droit de dire que vous êtes plutôt déçu par le sort qu'on vous a réservé. Il faut que vous compreniez que nous les habitants de ce monde nous vivons seul dans notre petit coin de galaxie depuis un certain temps. Et je pense que …. Les gens pour qui je travaille on besoin de vous connaître d'avantage. Rien que vos connaissances sur les Goa'ulds excitent leur curiosité.
Teal'c : Je les partagerais avec eux de plein gré.
Jack : Je sais, il ferait un très bon usage de ces connaissances.
Teal'c : Je ferais serment de ma loyauté envers ce monde.
Jack : Je regrette, je ne crois pas que ce genre d'attitude soit suffisant pour qu'ils vous fassent vraiment confiance. Et pour être franc, je crois en faite qu'ils ont peur de vous.
Teal'c : Ca aussi je le comprend.
Jack : Vous devait avoir l'habitude maintenant, non ?
Teal'c : Je suis un Jaffa. J'ai combattu comme guerrier au service de votre ennemi. Je porte même votre ennemi à l'intérieur de mon corps.
Jack : Oui. Enfin c'est un des traits propre à l'être humain. Nous avons tendance à avoir peur des choses qui nous sont inconnu.
Teal'c : Pourquoi O'Neill n'a t-il pas peur ?
Jack : Sans doute parce que je vous ai vu tenir tête à ce qui pour vous est un Dieu. Vous avez refusé de donner la mort, je vous ai vu prendre cette décision.
Teal'c : C'est vrai.
Jack : Depuis ce jour là, j'en sais suffisamment sur vous pour vous accorder ma confiance.
Teal'c : Si je vous avais tué à cet instant, je ne vous parlerais pas en ce moment.
Jack : Moi non plus je crois.
Teal'c : Je vous prouverais ma loyauté O'Neill.
Jack : J'aimerais sincèrement que vous n'ayez pas à le faire.
Teal'c : Mais ensuite, vous me montrerez votre monde ?
Jack : Je vous le promet. Enfin pas en une seul fois quand même. C'est grand.
Médecin : Ces maux de tête major, ils ont commencé juste après votre retour de votre dernière mission ?
Kawalsky : Oui, et ça ne fait qu'empirer.
Médecin : Et personne d'autre dans cette équipe ne présente ce genre de symptôme ?
Kawalsky : Non. Pourquoi ?
Médecin : C'est peut être une réaction au passage à travers la porte.
Kawalsky : Écoutez docteur, donnez moi un bon remède de cheval contre la douleur, j'ai vraiment très mal.
Médecin : C'est quoi ça ? Est ce que vous l'aviez remarqué ?
Kawalsky : Quoi, remarqué quoi ?
Médecin : Major.
Daniel : Le même dispositif devrait exister sur chaque planète que nous explorerons. J'ai etudié celui qui se trouve sur Abydos pendant des mois et c'est une sorte de comment dire …
Sam : De téléphone.
Daniel : De téléphone. J'aime cette image. Dans ce cas, pour revenir, tout ce que vous avez à faire c'est composer le numéro de la Terre. Et c'est de cette procédure que nous allons parler justement …. Qu'est ce que le major Kawalsky fait dans la salle d'embarquement.
Sam : Faites venir le colonel O'Neill et le général Hammond en salle d'embarquement.
Soldat : Oui mon capitaine.
Jack : Charlie ?
Daniel : Major Kawalsky ?
Kawalsky : Jack ? Qu'est ce que je fabrique ici.
Jack : Hé, il y a un malade ici.
Kawalsky : Où est ce qu'il est passé ?
Jack : Euh, il y avait un médecin ici ?
Kawalsky : Je ne me souviens pas.
Warner : C'est le docteur Nimziki qui devait assurer la garde. Docteur Warner, chirurgien en chef. Quel est votre problème ?
Kawalsky : Maux de tête.
Jack : C'est plus que des maux de tête. Il a eu une perte de mémoire.
Warner : Euh, on va lui faire un IRM tout de suite pour savoir ce qu'il lui arrive.
Jack : Soigner le bien docteur. On a besoin de lui.
Kennedy : Merci mon général.
Hammond : Soyez le bienvenu Teal'c. Je vous présente le colonel Kennedy.
Kennedy : Je suis extrêmement heureux de faire votre connaissance.
Hammond : Le colonel Kennedy a pour mission de réunir des informations, des connaissances sur nos ennemis potentiels.
Teal'c : Je vous offre mes connaissances sur les Goa'ulds. Je vous offre mes compétences de guerrier pour les mener à la défaite. J'engage mon honneur et ma vie au service de ce monde.
Kennedy : Merci
Hammond : Il s'agit d'une réunion tout à fait informel Teal'c. Prenez un siège.
Kennedy : J'ai beaucoup de question à poser si vous n'y voyez pas d'objection. Que pouvez vous nous dire au sujet des sources d'énergie que les Goa'ulds utilisent pour faire marcher leur armes ? Leurs vaisseaux ?
Teal'c : Rien du tout.
Kennedy : Je vois. Avez vous vous même une connaissance de la technologie concernant le fonctionnement de la porte des étoiles ?
Teal'c : Non.
Kennedy : Je vois.
Teal'c : Les connaissances de la magie Goa'uld est interdite.
Jack : Ce n'est pas de la magie, Teal'c. C'est ce qu'ils vous font croire. Je peux me joindre à vous mon général ?
Kennedy : Colonel O'Neill, j'avais hâte de vous rencontrer. Votre rapport de mission de Chulak a donné lieu à l'analyse la plus captivante de ma carrière.
Jack : Merci beaucoup. Quel chapitre vous préférez.
Hammond : Vous pourrez sans doute parler de ça une autre fois colonel.
Jack : Mon général savez vous ce que j'ai fais ? J'ai dit à Teal'c que nous étions tous très respectueux des droits de l'individu dans notre pays.
Kennedy : Je vous assure qu'il ne se passera absolument rien de malencontreux. Venez. Asseyez vous.
Jack : Merci. Teal'c.
Teal'c : O'Neill.
Jack : C'est Teal'c avec une apostrophe T E A L apostrophe C.
Hammond : Colonel.
Jack : Oui je m'asseye.
Kennedy : Merci colonel. Teal'c qu'est ce que vous pouvez nous dire des Goa'ulds ?
Teal'c : Ils règnent par la force. Ils sont très peu nombreux mais ils se multiplient.
Kennedy : Combien de monde contrôlent ils ?
Teal'c : Plusieurs centaines. Peut être même plus.
Kennedy : Et sommes nous susceptible de rencontrer ces Goa'ulds partout où nous irons ?
Teal'c : C'est possible.
Jack : C'est la meilleur.
Teal'c : Mais il y a un grand nombre de monde qui ne représente aucun intérêt pour eux. Dans ces mondes, les gens sont abandonnés, les habitants livrés à eux même.
Kennedy : Y a t-il un commandement ou un gouvernement avec lequel on peut négocier une paix.
Teal'c : Certain comme Apophis sont de grand roi et règne en Dieu sur plusieurs monde. Mais ils n'ont pas besoin de la paix. S'ils pouvaient vous tuer tous, il le ferait.
Kennedy : Le peuvent ils ? Ils ont des vaisseaux spéciaux ?
Teal'c : Oui. Mais sans la porte des étoiles un tel voyage prendrait plusieurs mois, peut être même des années. Il impliquerait de nombreux vaisseau et de nombreuse armées esclaves.
Jack : On ne doit pas suffisamment les déranger pour le moment, sans doute.
Kennedy : Ces esclaves, d'où est ce qu'ils proviennent ?
Teal'c : Une légende parle d'un monde primitif que les Goa'ulds ont découvert il y a des milliers d'années. La Tau'ri. Le premier monde où des individus de ce type ce sont développé. On raconte que les Goa'ulds prenaient leurs esclaves parmi les primitifs. Certain devenait porteur de Goa'uld. Certain devenait Jaffa. Tous les autres étaient emmené comme esclaves sur les autres étoiles afin de les servir. Mais ce monde à disparu il y a des siècles.
Kennedy : Teal'c, des êtres de cette forme se sont développé ici sur Terre.
Teal'c : Votre monde ?
Jack : Est celui dont vous parlez. Ra est venu ici. Si nos ancêtres ne s'étaient pas rebellé et avaient enfoui la porte des étoiles …
Teal'c : Vous ne seriez pas devenu assez puissant pour les défier.
Kennedy : La galaxie serait donc peuplé par les anciens habitants de la Terre.
Hammond : Ils doivent être des millions à présent.
Teal'c : Alors vous êtes leur plus grand espoir. Et le mien.
Sam : Je vais passer par la salle de contrôle. Vu le calme qui y règne, on dirait que les Goa'ulds ont renoncé à leur attaque. Vous n'avez pas dormi depuis quand ?
Daniel : Je sais pas.
Sam : C'est difficile quand la base est en état d'alerte toute les deux heures.
Daniel : Non, c'est pas ça je crois. Mon cerveau s'emballe et puis je n'arrête pas de penser à Sha're et à l'endroit où elle se trouve et ce qui a pu lui arriver.
Sam : Je comprends. Mais vous ne devez pas lutter contre le sommeil.
Daniel : Je peux essayer. D'accord, je vous retrouve au prochain briefing.
Sam : Entendu.
Warner : Très bien. Major Kawalsky l'examen est terminé mais je dois vous suspendre du service actif à partir de maintenant. Major.
Haut parleur : La sécurité est demandé à l'infirmerie. La sécurité est demandé à l'infirmerie. Alerte rouge. Alerte rouge.
Sam : Kawalsky, qu'est ce que vous faites ? Fermez les portes anti souffle. Alerte en salle de contrôle, fermez immédiatement les portes anti souffle.
Kawalsky : Aidez moi.
Jack : Kawalsky. Ne tirez pas. Non ne tirez pas, ne tirez pas.
Sam : On ne vous laissera jamais sortir de cette base vivant. Lorsque ces portes s'ouvriront ils tireront à vu, vous le savez très bien.
Hammond : Que se passe t-il ?
Daniel : L'arrêt d'urgence de l'ascenseur à été déclenché de l'intérieur.
Hammond : Ouvrez moi ces portes.
Jack : Ouvrez ces portes.
Kawalsky : Vite, venez m'aider.
Jack : Bon sang Charlie, qu'est ce qui s'est passé ?
Kawalsky : J'en ai aucune idée mon colonel. Mais elle va mal. Il faut l'emmener à l'infirmerie.
Warner : Le parasite est enroulé autour de la colonne vertébrale.
Jack : C'est un … un Goa'uld. Sans doute un enfant.
Daniel : On pense que la raison pour laquelle il n'a pas encore pris totalement possession de ton corps c'est qu'il n'est pas encore arrivé à maturité.
Jack : Ce qui explique vos pertes de mémoire.
Kawalsky : Vous voulez dire que j'ai un de ces maudits parasite en moi. Comment est ce que ça a pu arriver ?
Jack : On pensait que vous pourriez nous le dire. Vous savez pas quand ça s'est produit ?
Kawalsky : Non.
Daniel : A quand remonte ta première perte de mémoire ?
Kawalsky : Je me trouvais dans la base. On venait juste de revenir de mission de Chulak. Je pense que c'est juste après avoir franchi la porte des étoiles. On venait de porter secours à ce petit Casey. Casey ou c'est ça Casey. Et puis j'ai senti une violente brulure. A cet douleur Jack. J'ai cru que je m'étais brisé la nuque. Enfin Casey était sauvé et les hommes l'on emmené. Je vous en pris Jack, il faut que vous m'aidiez, il faut que vous enleviez cette chose de mon corps.
Jack : C'est ce qu'on va faire.
Warner : Je n'ai pas placé le major Kawalsky sous traitement antidouleur pour lui conserver toute sa vigilance. Ceci devrait augmenter ses capacité de résistance.
Hammond : Quand allez vous lui enlever ce parasite ?
Warner : C'est une opération extrêmement complexe vous comprenez, le parasite s'est littéralement accroché a son système nerveux.
Hammond : Est ce qu'on peut le faire oui ou non ?
Warner : Sans le tuer peut être oui. Sans faire de lui un tétraplégique alors ça, ça sera une autre histoire.
Hammond : Dites moi seulement par qui vous voulez être assisté. Et qui que ce soit dans le monde, je le ferez venir en moins de 24 heures.
Warner : Parfait.
Kawalsky : Pendant mes perte de conscience, j'ai fait de mal à personne ?
Jack : Un homme est mort et il y a eu quelques blessés.
Daniel : Le capitaine Carter va bien. Je m'apprêtais justement à aller la voir.
Kawalsky : Oh, je ne voulais pas lui du mal.
Daniel : Je sais, on ne te le reproche pas.
Jack : Vous n'êtes pas responsable Charlie. Ca n'est pas votre faute. C'est cette saleté qui est en vous. Écoutez, des qu'ils auront trouvé le moyen, ils vous l'enlèveront. En attendant, il vous faut lutter.
Kawalsky : Je n'ai pas honte de vous le dire, je crois que j'ai la plus grande frousse de ma vie.
Kennedy : Teal'c, levez vous face à nous s'il vous plait.
Teal'c : Que s'est il passé ? On a pas voulu me le dire.
Kennedy : Cela ne doit pas vous inquiéter.
Jack : En faite Kawalsky a été infecté par un Goa'uld.
Teal'c : Et vous voulez voir si celui que je portais était toujours dans mon corps ?
Kennedy : Oui, aussi veuillez nous le montrer.
Jack : Ah seigneur, je m'y ferais jamais. Ca y est, vous l'avez assez vu ?
Kennedy : Vous comprenez pourquoi nous devions vérifier ?
Teal'c : Que veut il exactement ?
Jack : Jusqu'à présent il n'est parvenu à pointer le bout de son vilain nez que quand Kawalsky perdait conscience. Il a déjà tué un homme.
Teal'c : Alors il se battra pour garder son porteur. Il a du chercher ce corps désespérément avant de devenir mature.
Hammond : Nous voulons le retirer avant qu'il ne le soit justement.
Teal'c : Si vous faites ça, il tuera son hôte. Des qu'il ne fait plus qu'un avec lui, il est capable de le supprimer.
Jack : Alors ? Qu'est qu'on fait ?
Jack : Charlie, voici le général Hammond.
Kawalsky : S'il vous plait, mon général, dites leur de faire quelque chose et vite, la douleur est insupportable.
Hammond : On s'y emploi, il faut que vous teniez le coup.
Kawalsky : Non mon général, je n'ai pas besoin de vos encouragement à la noix, je veux que vous donniez l'ordre d'enlever cette cochonnerie.
Jack : Teal'c dit que si on tente de le faire vous pouvez mourir.
Kawalsky : Ca m'est égal.
Jack : Charlie, ils veulent entrer en contact avec lui.
Kawalsky : Quoi, entrer en contact, qu'est ce que vous voulez lui dire bon sang.
Teal'c : On veux lui offrir la vie pour sauver la votre.
Kawalsky ; Non, non je veux que vous le tuiez.
Teal'c : Nous devons parler au Goa'uld qui est en vous.
Kawalsky : Jack je vous en prie, aidez moi Jack.
Jack : Charlie, laissez leur faire leur boulot voulez vous.
Kawalsky : Ne les laissez pas faire ça Jack, je veux que vous le tuiez.
Warner : Le rythme cardiaque est critique.
Kawalsky : Tuez le, tuez le, tuez le, tuez le.
Goa'uld : Je m'appelle Kree. Je refuse de parler avec le traitre. C'est vous qui êtes leur chef ?
Hammond : En effet.
Goa'uld : Alors parlez.
Hammond : Je suis le général Georges Hammond, armée de l'air des États-Unis d'Amérique. Commandant en chef du SGC, et vous, vous êtes ?
Goa'uld : Uniquement désireux de repartir par la porte des étoiles. Et sur le champs.
Hammond : Vous n'êtes pas en position d'avoir la moindre exigence. Je vais vous faire une proposition.
Goa'uld : Relâchez moi tout de suite ou je vous détruit tous.
Hammond : Si vous quittez le corps de cet personne nous vous laisserons la vie sauve et nous vous renverrons parla porte des étoiles sous votre apparence naturel.
Goa'uld : Cette apparence est la mienne.
Hammond : Si vous refusez de partir, nous vous enlèverons malgré vous chirurgicalement.
Jack : Teal'c, retenez le.
Goa'uld : Vous allez me relâcher immédiatement ou je vous détruirais tous.
Hammond : N'essayez pas de vous échapper vous avez compris.
Goa'uld : Relâchez moi c'est un ordre.
Hammond : Nous ferons feu. Colonel écartez vous.
Goa'uld : Relâchez moi tout de suite.
Hammond : En joue.
Kawalsky : Ne tirez pas.
Jack : Ne tirez pas.
Hammond : Ne tirez pas.
Kawalsky : Oh mon Dieu.
Hammond : C'est terminé, je ne vous imposerai plus ce genre d'épreuve.
Kawalsky : Jack, qu'est ce que j'ai fais encore ?
Jack : Rien du tout, vous vous êtes un peu énervé. Rien de grave sinon.
Hammond : Docteur Warner, prévenez moi à la minute où cette chose horrible pourra être enlevé du corps de mon officier. C'est bien clair ?
Warner : Oui mon général.
Hammond : Cette conversation est terminée.
Hammond : Repos repos. Au vu des évènements d'aujourd'hui, le colonel Kennedy a décidé de transmettre certaine recommandation à ma hiérarchie et je veux que vous soyez au courant. Colonel Kennedy.
Kennedy : Je sais que beaucoup d'entre vous ont servi au coté du major Kawalsky. Aussi pardonnez moi si ce que je m'apprête à vous dire peut paraître odieux. Mais je pense que se serait une grave erreur que de procéder à l'ablation du parasite.
Jack : Mon général, c'est une perte de temps dont Kawalsky peut se passer il me semble.
Kennedy : Docteur Warner quelles sont les chances que Kawalsky a de survivre à l'opération.
Warner : 10 12 % au mieux.
Kennedy : Et le parasite ? C'est un être doué d'intelligence après tout n'est ce pas colonel ? Je crois l'avoir déjà lu dans votre rapport.
Warner : Le parasite lui même ne survivrait pas à l'opération.
Kennedy : Donc nous voilà amené à mettre fin à une vie dans l'espoir quasi impossible dans sauver une autre, vous voyez le dilemme.
Jack : Non pas du tout.
Warner : Avec mon équipe, nous sommes parfaitement disposé à pratiquer l'opération. Nous ferrons de notre mieux.
Kennedy : Bien entendu docteur. Mais ne vous méprenez surtout pas. Nous sommes désireux de voir le parasite que le major Kawalsky porte en lui enlevé sans aucun dommage, mais les faits son là.
Sam : Dites clairement votre pensées ?
Kennedy : Je pense que si nous pratiquons l'opération, le major Kawalsky risque fort de mourir pour rien.
Sam : Et si on ne la pratique pas ?
Kennedy : Penchons nous sur la question s'il vous plait ? Les enfants Goa'ulds s'ils sont si jeunes et si fragiles dans leur état larvaire au point d'avoir besoin de … comment appelez vous les individus comme vous ?
Teal'c : Jaffa.
Kennedy : Disons pour une bonne compréhension une espèce d'incubateur, comment se fait il qu'il soit si intelligent ?
Teal'c : Un Goa'uld vient au monde avec le savoir de tous les Goa'ulds nés avant lui.
Daniel : Une mémoire génétique. C'est fantastique.
Kennedy : Effectivement. Toute les connaissances des Goa'ulds. Je veux que vous y réfléchissiez avant sa destruction.
Jack : C'est tout réfléchi. Pour vous aussi ? Nous y avons tous bien réfléchi. Quelqu'un a besoin de plus de réflexion ?
Hammond : Colonel.
Kennedy : Imaginez que nous puissions convaincre ce Goa'uld de partager ses connaissances avec nous.
Teal'c : Un Goa'uld ne vous les livrera pas de son plein gré.
Daniel : Teal'c a raison. Nous ne sommes rien à l'heure yeux. Nous sommes moins que rien en faite. Rendez vous compte qu'ils ont tenu le rôle de nos ancien Dieux. Vous savez ce que ca veut dire ?
Kennedy : Bon est si nous nous contentions de l'étudier, que pourrions nous en apprendre. Vous devez quand même tenir compte du faite que le major Kawalsky a de très faible chance de survivre à l'opération et vous devez comprendre que le pire ennemi que l'humanité aura sans doute jamais à affronter est en ce moment à notre merci, nous le tenons entre nos mains. Même si nous le laissons repartir à travers la porte des étoiles comme geste de bonne volonté …
Hammond : Mais enfin, quel espèce d'officier êtes vous colonel ?
Kennedy : Mon général ?
Hammond : Écoutez, tant qu'il y aura une raison même insignifiante d'espérer que le major Kawalsky sortira de cette opération vivant et bien croyez moi, nous opérons.
Kennedy : Pardon mon générale mais je pense devoir en référer à mes supérieurs.
Hammond : Et bien, moi, je vais probablement en référer au président et obtenir l'autorisation de sa bouche même. Mais vous avez raison, faites donc colonel, referez sans à vos supérieur. Pendant ce temps nous ferrons ce que nous avons à faire.
Warner : Avez vous l'impression que le nouvel anesthésiant est plus efficace que le dernier que nous avons essayé.
Teal'c : Oui.
Warner : Mais vous n'en êtes pas sur ? Il n'y a aucune sorte de communication entre vous et le symbiote ?
Teal'c : Un Jaffa ne communique pas avec le Goa'uld qu'il porte en lui.
Warner : Et bien continuez de croiser les doigts. Infirmière, arrêtez l'intraveineuse et libérez le patient. Nous opèrerons celui ci.
Jack : Ils se préparent.
Kawalsky : Oui, c'est pas trop tôt.
Jack : Comment est la douleur ?
Kawalsky : Peut être que je commence à m'y habituer. Écoutez Jack, s'il m'arrivait quelque chose.
Jack : Allez ne dites pas ça. Vous verrez, c'est une simple formalité.
Kawalsky : Ca fait mal quand je parle alors taisez vous une minute. D'accord ? Je veux qu'on me fasse incinéré. Je ne veux pas qu'il puisse rester quoique ce soit de cette chose qui est en moi. Je peux compter sur vous Jack?
Jack : Franchement je préfèrerais ne pas en parler.
Kawalsky : Mais enfin quand je pourrais en parler Jack. C'est surement ma dernière conversation.
Jack : Oh pour l'amour du ciel, ce n'est pas votre dernière conversation.
Kawalsky : Écoutez, j'ai parlé avec le chirurgien, il m'a dit quelles étaient mes chances alors votre baratin vous pouvez vous le garder.
Jack : Très bien, c'est votre dernière conversation.
Kawalsky : On va vous expédiez sur une autre planète.
Jack : Oui, P3A-575.
Kawalsky : Peu importe, peu importe. C'est pas de chance, ce devait être mon premier commandement. Je me faisais vraiment une joie d'y aller.
Jack : Vous pourrez encore y aller Charlie.
Kawalsky : Ils m'ont bien ligoté, j'aurais du mal à y aller. Donnez moi votre main. Quoi qu'il arrive, je veux que vous sachiez une chose, ça a été un honneur de servir à vos cotés mon colonel.
Jack : Écoutez, j'ai quelque chose à vous demander, ça n'est pas facile pour moi.
Kawalsky : On est ami, vous le savez.
Jack : Si vous y passé, je peux avoir votre stéréo ? Quoi ?
Kawalsky : Même rire ça me fait mal.
Jack : Ca va aller ?
Kawalsky : On ne peux mieux.
Warner : J'ai retardé l'anesthésique jusqu'au moment ou nous seront en mesure de la pratiquer en même temps que sur le patient et que sur la créature. Major Kawalsky, nous pouvons commencer l'opération. Vous êtes prêt ?
Kawalsky : Je veux dire quelque chose. Vous m'entendez mon générale ?
Hammond : Je vous entend oui.
Kawalsky : Si ça ne marche pas, je compte sur vous mon général. Je veux me réveiller étant moi ou pas du tout.
Hammond : Je vous donne ma parole.
Warner : Scalpel. Je suis prêt. Nous injectons l'anesthésiant. Très bien, déclenchez le chronomètre. J'effectue la première incision. Je sépare le ganglion principale qui relie le parasite à la colonne vertébrale maintenant. Il se détache plus facilement que je ne le pensais. Ce doit être à cause de l'anesthésiant.
Sam : Pour l'instant tous ce passe bien.
Daniel : C'est fantastique. Si on peut débarrasser le major du parasite alors il y a une chance pour Sha're.
Sam : Espérons.
Warner : Les ganglions continue de se resserrer par intermittence. Visiblement il y a encore quelque signe de vie dans ce symbiote et j'avoue que que je ne comprends pas pourquoi. Ciseau.
Infirmière : Ciseau.
Warner : Il y a de mince filaments qui s'étendent et montent à l'intérieur du cerveau. Je vais les sectionner. Tenez le, tenez le.
Hammond : Que s'est il passé ?
Warner : Je ne sais pas mon général. Je doute que j'y soit pour quelque chose. Je continu.
Hammond : Combien de temps encore ?
Warner : J'ai presque fini. J'y suis. Clamp large.
Infirmière : Clamp large.
Warner : Voilà, je retire le parasite. Attention, je pense qu'on a réussi. Fermez s'il vous plait.
Hammond : Mais compliment à tous.
Kawalsky : Et oui mon vieux ce n'était qu'un rêve.
Warner : Vous pouvez bouger vos doigts ? Vos orteils ?
Jack : Hé.
Warner : Mes félicitations major, vous allez au delà de mes espérances les plus optimistes.
Kawalsky : Ah, j'ai soif.
Jack : Tenez. Doucement major. Maintenant vous ne buvez plus pour deux.
Kawalsky : Je m'en suis tiré.
Jack : Vous voyez, je vous l'avais dit. Une formalité.
Kennedy : Il parait que l'opération a été un franc succès. Toute mes félicitations. J'ai reçu mes ordres je dois rentrer à Langley.
Hammond : Ne laissez pas la porte se refermer trop brutalement sur vous.
Kennedy : Et avec Teal'c mon général. J'ai reçu également son ordre de voyage. Je l'emmène.
Hammond : Est ce que vous savez que s'il ne nous avait pas aidé à trouver un anesthésiant, cette opération aurait surement raté. Je crois que nous lui devons une fière chandelle.
Kennedy : Oui, malheureusement Teal'c porte le seul spécimen de Goa'uld vivant disponible pour l'étude et nous devons l'étudier. Ne vous méprenez pas sur cette réalité. Ces aliens sont probablement la plus grande menace que ce pays ai connu.
Hammond : Je suis parfaitement conscient de la menace colonel. Cette base se trouve en première ligne, c'est pour ça que ce commandement existe. Simplement nous voyons les choses différemment par rapport à vous.
Kennedy : Je comprends. Bien. Je ferai préparer notre départ pour demain.
Hammond : Faites donc colonel.
Daniel : Enfin voilà, le colonel Kennedy voudra surement le prendre avec lui alors si vous voulez le voir une fois avant qu'il ne s'en aille.
Kawalsky : Vous parlez de cette saleté de parasite.
Jack : Daniel trouve ce truc fascinent.
Daniel : Non, je pensais que vous voudriez le voir.
Kawalsky : Non sans façon.
Sam : Dites, je viens d'apprendre qu'ils vont expédier Teal'c à Langley. Kennedy l'emmène avec lui.
Jack : Quoi ?
Daniel : Pourquoi faire ?
Sam : L'étudier. C'est ce que Kennedy prétend.
Jack : Oui, comme un malheureux cobaye. Apparemment Kennedy à un sens moral très sélectif.
Kawalsky : Carter, au cas ou le colonel ne pourrait pas le convaincre, j'aimerais parler un instant avec Teal'c avant qu'on ne l'emmène. C'est un peu mon sauveur. J'aimerais lui dire merci.
Sam : D'accord. Je crois que ça peut s'arranger.
Kawalsky : Entrez, approchez mon vieux. Je veux serez la main de celui grâce auquel j'ai la vie sauve. Laissez moi seul avec lui une minute. Ca vous rassure si je vous en donne l'ordre messieurs.
Goa'uld : Jaffa, ce qu'ils ont enlevé n'était qu'une enveloppe morte. Je ne faisait déjà plus qu'un avec mon hôte. Je te donne maintenant encore une chance. Obéi moi et tu auras peut être la vie sauve.
Teal'c : Non plus jamais.
Goa'uld : Alors meurs.
Hammond : Colonel, j'ai fais tout ce que j'ai pu.
Jack : Alors sous prétexte qu'il n'a pas eu la chance de naitre sur notre planète, il n'a pas le moindre droit. C'est bien ça ?
Kawalsky : Dehors.
Sergent : Major.
Warner : Qu'est ce qui se passe ?
Teal'c : Le Goa'uld a été le plus fort, il a pris le contrôle de son corps.
Warner : Mais de quelle façon.
Teal'c : Il nous a abusé.
Goa'uld : Jaffa,! Kal Shak!
Teal'c : Vous ne pouvez pas passer.
Jack : Qu'est ce qu'il y a ?
Sergent : Il a réglé le départ pour Chulak.
Hammond : Il a couplé la séquence d'autodestruction avec le dispositif de sécurité.
Jack : Comment a t-il eu les codes ?
Hammond : Je l'ignore, mais il me faut un officier pour annuler la procédure et vous êtes officier.
Jack : Procédure annulé, ouvrez les portes anti souffle. Teal'c. Retenez le. Tenez vous prêt à fermer. Fermez.
Teal'c : C'était votre ami.
Jack : Mon ami est mort sur la table d'opération.
Sam : Il me semble que le fait qu'il ai su enclencher la procédure d'autodestruction prouve qu'il y a de l'espoir pour Sha're et Skaara.
Daniel : Pourquoi ?
Sam : Parce que seul Kawalsky aurait pu connaître le code.
Daniel : Donc une part de l'individu porteur doit survivre.
Hammond : Entièrement d'accord et heureux de le savoir. Quand vous voudrez monsieur venez nous voir, nous serons ravi de vous recevoir. Figurez vous qu'il est justement à coté de moi, vous devriez le lui dire vous même. Il préfèrera l'entendre de votre bouche.
Kennedy : Oui monsieur le président. Oui monsieur.
Hammond : Colonel O'Neill, le SG-1 est il prêt à embarquer ?
Jack : Oui mon général.
Hammond : Alors vous pouvez partir en mission de reconnaissance sur P3-575.
Jack : Bien mon général.
Teal'c : Au rapport selon vos ordres.
Jack : Mon général. Il faut dire mon général.
Teal'c : Mon générale.
Hammond : Bienvenu parmi nous.
Sam : Les conditions d'exploration de la planète sont favorable.
Jack : Bien
FIN