Décision politique
Sur Terre
Daniel : Prenez garde aux destructeurs. C'est ce que le message disait. En faite, c'est un avertissement, ça ce sont les coordonnées qui précise où les Goa'ulds vont attaquer.
Teal'c : Votre vision était une prédiction.
Daniel : Non, c'était ni une vision, ni un rêve, ni une hallucination. C'était vrai, réel. Je sais que vous allez avoir du mal à le croire mais je vous jure que pendant tout le temps où vous pensiez que j'avais disparu sur P3R-233, je découvrais qu'il existe une réalité alternative.
Jack : Et vous aussi vous y étiez. Enfin, c'est ce que Daniel à cru. Vous aviez l'impression d'être chez vous.
Daniel : Il n'y avait pas qu'eux, vous aussi vous étiez là aussi.
Sam : On ne met absolument pas en doute ce que vous nous dites.
Daniel : Alors vous me croyez ?
Jack : Oui enfin disons que … on a quand même quelque doute.
Daniel : Il faut me croire, c'est très important.
Sam : Attendez Daniel, quand vous étiez dans cette réalité alternative, est ce que tout était diffèrent ?
Daniel : Oui, Teal'c se préparait à attaquer la Terre, je ne faisais pas partie de ce programme. Vous étiez fiancé, et alliez vous marier avec Jack.
Jack : Excusez moi.
Sam : Quoi ? Non, écoutez, en admettant que vous ayez effectivement vécu cette réalité alternative, le fait qu'il y ait eu des différences signifie que nous n'aurons pas forcement le même destin ?
Daniel : Oui, seulement la mort de Ra, l'évènement qui a tous déterminé à bien eu lieu dans les deux univers.
Teal'c : Une attaque en représailles.
Daniel : Oui. Et le même phénomène risque d'arriver ici si nous ne l'arrêtons pas.
Jack : Attendez je ne suis pas très sur de tout saisir. On était fiancés ?
Sam : Oui, en théorie, c'est tout à fait possible.
Jack : Ce serait contraire au règlement.
Sam : C'est au domaine de la physique que je fais allusion. Tout le concept d'une ou plusieurs réalité, d'univers alternatif. C'est Einstein qui l'avais prédit il y a bien longtemps.
Hammond : C'est bien que vous soyez tous là. Comment va t-il ?
Sam : Je crois qu'il va s'en remettre mon général. Major Samuels.
Samuels : Non, je suis le lieutenant colonel Samuels maintenant capitaine.
Sam : Oh, je vous pris de m'excuser. Félicitation.
Samuels : Merci.
Jack : Vous serez toujours Sparky pour moi.
Sam : Je croyais que vous aviez été muté au Pentagone.
Samuels : Oui, au service d'analyse de la porte des étoiles. Je suis ici aujourd'hui pour l'audience.
Jack : Avec qui ?
Samuels : Le sénateur Kinsey. Vous devrez apporter vos témoignages concernant les objectifs de la porte des étoiles.
Hammond : Ils le feront. Ils viennent justement de rentrer de mission d'hier soir. Je n'ai pas encore eu le temps de les prévenir.
Samuels : Peut être vaudrait il mieux que je n'en dise pas plus.
Jack : Allez, cessez cette comédie, dites nous ce qui se passe ?
Samuels : Le sénateur Kinsey était très intéressé par le programme. Mais il y a certaine chose qu'il n'a pas trop apprécié.
Jack : Je suis navré de l'apprendre.
Samuels : Vous avez toute les raisons de l'être. Ca pourrait être la fin de l'aventure. L'audience aura lieu à 14h00. Et je compte sur votre présence à tous.
Générique
Hammond : Oui bien sur je comprends. Nous ferons de notre mieux.
Jack : Mon général, la politique n'est pas mon fort mais il me semble que le président est bien au dessus d'un sénateur.
Hammond : Le sénateur Kinsey est le président de la commission des finances et il y demande d'être informé sur ce que le Pentagone a baptisé la zone 52.
Jack : C'est à dire la porte des étoiles.
Hammond : C'est un projet non officiel. Qui coute la modique somme de 7,4 milliards de dollars par an à l'État.
Jack : C'est tout.
Hammond : Le président et les chefs d'État major ont pensé qu'en apportant au sénateur les éclaircissements adéquat, en le mettant au courant de l'existence du SG, il reconnaitrait son importance pour la sécurité national et approuverait le budget.
Jack : Et il a refusé ?
Hammond : Oui, il faut le convaincre. Après avoir lu les rapports de votre mission et écouté les explications du colonel Samuels, le sénateur a décidé que dorénavant notre opération ne serait plus subventionné par le trésor.
Jack : Ce qui nous forcerait à abandonné nos recherches.
Hammond : Nous ne pourrions pas faire autrement. On en a pour 1 milliard de dollars rien que pour allumer les lumières ici.
Jack : On a cas faire une vente de charité. Bon alors une vente aux enchères.
Hammond : La situation est critique. Je ne plaisante pas colonel.
Jack : Lavez des voitures ? Non, c'est pas drôle. Bon, c'est insensé, j'arrive pas à comprendre qu'un seul homme peut avoir autant de pouvoir.
Hammond : Relisez la constitution des États Unis. La question de notre valeur pourrait être débattu devant le Sénat, mais pas sans avoir parlé de l'existence de la porte des étoiles au grand public. Et le président pense que c'est encore trop tôt pour en parler. Je suis d'accord avec eux.
Jack : Il est en retard.
Teal'c : Vous avez l'air d'appréhender cette audience plus que le combat.
Jack : Ba je préfère le combat sans aucun doute.
Daniel : Je suis sur qu'une fois qu'on lui dira que l'avenir de la Terre est en danger …
Jack : Daniel. Je crois qu'il vaudrait mieux garder cette histoire de réalité alternative comme une sorte d'atout en réserve.
Daniel : Pourquoi ?
Jack : Euh faites moi confiance.
Kinsey : Mesdames et messieurs je vous pris de m'excuser. Un certain député du congrès que je ne nommerai pas refuse sans arrêt d'obtempérer lorsque quelqu'un lui dit non. Ah, alors voilà donc le mystérieux SG-1.
Jack : Oh, pas si mystérieux que ça. Euh, colonel Jack O'Neill.
Kinsey : Ah colonel, j'ai beaucoup entendu parlé de vous.
Jack : Ne croyez pas un mot de ce qu'on vous a raconté. Je suis quelqu'un de très gentil.
Kinsey : Ah voilà le fameux équipement qui coute tant d'argent à l'État.
Hammond : Je sais que vous avez un emploi du temps assez chargé monsieur le sénateur.
Kinsey : Oui en effet général Hammond. Je vous en pris asseyez vous. Voyons, colonel O'Neill, capitaine Carter, docteur Jackson, Teal'c avec une apostrophe je suppose. Je tiens à vous dire que bien que la maladie m'est privé de la chance de servir mon pays en tant que militaire, j'ai le plus grand respect pour ceux qui ont choisi cette voix, tout particulièrement ceux qui ont choisi de servir leur pays et dans faire une vocation. Comme je le fais aussi à ma manière. Il n'y a pas de vocation plus honorable.
Hammond : Merci sénateur je suis entièrement d'accord avec vous.
Kinsey : Ceci dit je vais être direct et extrêmement clair. Je suis par nature assez méfiant vis à vis de tout ce qui est gardé secret, que ce soit au sein du gouvernement ou de la défense national. Je pense que tout ce qui se commande dans l'ombre pour s'étioler dans la lumière du jour n'a pas de place dans notre société. J'ai feuilleté plusieurs rapport à propos de vos expéditions. Le colonel Samuels a eu l'amabilité de me résumer en quoi consistait la porte des étoiles, et je l'ai écouté sans aucun préjugé. Je dois tout de même admettre que l'idée même qu'une institution de ce genre puisse exister me parait nettement dérangeante, garder de tel secret peu devenir très dangereux. J'ai relevé plusieurs exemples où vous avez évité la tragédie à l'échelle mondiale de justesse. Mais pratiquement aucun cas où vous avez découvert quelque chose qui en valait la peine. Il m'est arrivé à l'occasion d'avoir tort, de me tromper dans mes jugements. Donc le président des États Unis m'a demandé de venir vous entendre. C'est pour ça que je suis là.
Jack : Bien donc vous n'avez aucun préjugé n'est ce pas ?
Hammond : Colonel.
Jack : Pour l'amour du ciel Samuels de quoi lui avez vous parlé ?
Samuels : J'ai dit la vérité.
Kinsey : Le colonel Samuels a été honnête et impartiale.
Jack : Oh je suis désolé mais ça, c'est impossible. Il a pas cessé de nous contrer depuis le premier jour.
Samuels : Je vous ai défendu. Je lui ai fait par de mon admiration pour la porte des étoiles. C'est une merveille de technologie.
Sam : C'est bien plus que ça monsieur le sénateur. La porte des étoiles a véritablement été une révélation pour notre compréhension de l'univers. Nous en avons appris plus sur l'astrophysique durant ces derniers mois que durant les 50 dernières années.
Daniel : Cela nous permet de comprendre des cultures vieille de millier d'années. Des cultures humanoïde.
Kinsey : Docteur Jackson, je suis sur qu'un érudit de mythologie tel que vous doit être familiarisé avec l'histoire de Pandore.
Daniel : De la mythologie grec, oui bien sur. La première femme façonné par Zeus à qui d'après la légende, lui a fait cadeau d'une boite en lui recommandant de ne jamais l'ouvrir.
Kinsey : Mais elle l'a ouverte. Par simple curiosité, en dépit de l'avertissement de son Dieu qui se trouvait être son père, elle l'a fait. En l'ouvrant elle a rependu tous les fléaux, tous les maux sur la Terre qui font toujours partie du monde.
Daniel : Tout en gardant en mémoire qu'il s'agit avant tout d'un mythe. Et elle a refermé la boite attend pour gardé l'espérance à l'intérieur.
Kinsey : Peut être faudrait il fermer votre porte pour la même raison. Pour garder l'espérance à l'intérieur.
Jack : Monsieur le sénateur, si vous le permettez j'aimerais intervenir. A vrai dire je ne suis pas aussi brillant que vous pour m'exprimer par métaphore. Je suis un militaire et je suis pragmatique. Le fait est que la boite ou je dirais plutôt la porte est effectivement ouverte. Ce qui est fait est fait. Nous sommes passé dans le camps des ennemis en tuant Ra. Mais la menace des Goa'ulds représentent …
Kinsey : La menace ?
Jack : Oui monsieur. C'est certain nous sommes menacé.
Kinsey : Le mot menace colonel O'Neill a trop souvent à mon goût été galvaudé par les militaires de ce pays. Et a servi de justification pour des dépenses que nous ne pouvons plus assuré. Est ce que vous savez exactement combien ce programme nous coutes ?
Jack : A peut prêt dans les sept milliards et …
Kinsey : Il nous coute sept milliards quatre cent sept millions de dollars en tout.
Jack : Oh, j'étais pas loin.
Kinsey : Par an bien sur.
Jack : Sauf votre respect monsieur le sénateur, rien que le fonctionnement du service comptable représente trois fois ce chiffre. Mais si vous voulez parler de soutenir la première ligne de défense national contre ce que je pense être le plus grand ennemi auquel l'humanité n'ai jamais eu a faire face.
Kinsey : C'est une hyperbole.
Jack : Allez voir vous même. Mon général, je vous suggère de composer les coordonnées de P4A-771 si ma mémoire est bonne. Pour voir combien de temps le sénateur restera au gouvernement.
Kinsey : J'ai passé presque toute ma carrière à écouter des pessimistes en uniforme. Construisons une machine d'un milliard de dollars, avec ça nous pourrons sauver l'Amérique de tous ces barbares qui se trouvent à la porte. Laissez moi vous rappeler que la guerre froide est terminé depuis longtemps.
Jack : Laissez moi vous rappeler une chose importante, cette fois il y a vraiment des barbares, ils ont même un nom les Goa'ulds. Et ils sont réellement à la porte, à celle là.
Kinsey : Alors je propose de la condamner.
Daniel : Mais nous avons toutes les raisons de croire que les Goa'ulds sont sur le point d'attaquer en force avec leurs vaisseaux.
Kinsey : Et bien je crois qu'ils regretteront de s'attaquer à la défense des États Unis.
Jack : Oh mais c'est pas vrai.
Daniel : Bien sur il suffira simplement d'infiltrer un virus dans leurs vaisseaux spéciale.
Sam : S'ils viennent avec leurs vaisseaux, nous ne seront pas à la hauteur. Ils nous détruiront. Ils ont un tel niveau de technologie qu'ils peuvent nous anéantir en un rien de temps.
Kinsey : Vous ne réussirez pas a me convaincre.
Teal'c : Ils disent pourtant la vérité.
Kinsey : Je ne suis pas convaincu non plus que ce soit la vérité.
Jack : Mon général, à quoi bon perdre notre temps puisqu'il a déjà pris sa décision.
Kinsey : Asseyez vous colonel. Quand j'aurais pris ma décision je vous le ferez savoir. Je vous le répète une dernière fois. Asseyez vous s'il vous plait.
Hammond : Colonel.
Kinsey : J'ai donné au président ma parole que j'écouterais vos arguments avec attention, c'est ce que j'ai l'intention de faire. Il vous estime vous et votre équipe. Il va jusqu'à dire que vous êtes un exemple. Il apprécie énormément tous ce que vous faites. Bien, soutenez vous les états de service de SG-1 ?
Jack : Oui, sans hésitation.
Kinsey : Dans ce cas examinons les ensemble.
Kinsey : Merci. Pour commencer, le 10 février de cette année accompagné d'une équipe avec à sa tête le major Charles Kawalsky, vous avez traversé la porte des étoiles pour une mission de reconnaissance.
Jack : Pardonnez moi de vous interrompre. Samuels, puis je en avoir une copie.
Kinsey : C'est vous qui avez rédigé ce rapport colonel.
Jack : J'aimerais quand même en avoir une copie.
Kinsey : Samuels. Je reprends. Le 10 février de cette année accompagné d'une équipe avec à sa tête le major Charles Kawalsky, vous avez traversé la porte des étoiles pour une mission de reconnaissance afin de sauver la femme du docteur Jackson et son frère, puis d'évaluer la menace des goulds, c'est bien ça ?
Jack : Pardonnez moi, mais je dois vous reprendre, il y a une apostrophe après le A, juste avant le U. Et ça se prononce …
Sam : Goa'uld.
Kinsey : Étant donné que peut de temps après votre arrivée vous aviez été capturé et emprisonné, je supposais que vous auriez qualifié ce monde de forteresse ennemi.
Jack : Ba j'aurais du.
Samuels : J'ai relevé ceci dans le rapport personnel du colonel Jack O'Neill datait du 23 février. « Skaara a été choisi, j'ai essayé de les empêcher de l'emmener mais j'ai été blessé par un extraterrestre et immobilisé. C'est à ce moment que là qu'Apophis à donner l'ordre … »
Flashback
Apophis : Tuez tous les autres.
Jack : Je pourrai sauver tous ces gens. Aidez moi. Aidez moi.
Teal'c : Bien d'autres ont dit ça. Mais vous êtes le premier que je crois.
Jack : Écartez vous du mur. Venez par ici.
Sam : Venez.
Jack : Dépêchez vous. Dépêchez vous plus vite, plus vite.
Sam : Allez, allez dépêchez vous. Ne restez pas là, courez Allez allez. Vite.
Fin du Flashback
Kinsey : Autrement dit, même avec une équipe désarmées, à la merci de l'ennemi, alors que vous étiez piégé semble t-il, un des leurs à réussi avec succès à vous libérer.
Sam : Ca n'a pas été aussi simple monsieur le sénateur.
Kinsey : Poursuivez Samuels.
Samuels : « Nous nous sommes opposé à une vive résistance à notre retour vers la porte des étoiles, et nous avons été coincé par une attaque aérienne »
Flashback
Jack : Abritez vous. Allez.
Sam : Mon colonel, nous sommes des cibles facile.
Fin du Flashback
Kinsey : Il me semble tout de même que le major Kawalsky a traité à la légère ce que vous avez surnommé dans votre rapport les planeurs de la mort.
Jack : Ils ont été pris par surprise. La prochaine fois, ça ne sera pas aussi facile.
Kinsey : Pour quelles raisons ?
Daniel : Tout d'abord ils n'étaient pas habitués à se battre avec des humains de notre niveau technologique. Maintenant ils savent ce que nous avons.
Sam : Vous n'avez pas l'air de comprendre. Leurs armes sont bien plus puissante que celle dont nous nous servons.
Kinsey : Vous avez tout de même réussi à vous en sortir sans trop de perte. Et selon vous, c'est la menace la plus grande à laquelle l'humanité ai fait face. Qu'est ce qui se passe ?
Hammond : C'est la mission SG-2 qui revient comme prévu monsieur le sénateur. Vous n'avez pas à vous inquiéter.
Kinsey : Je ne suis pas du tout d'accord. Je crois bien qu'il y a de quoi s'inquiéter.
Jack : Monsieur Kinsey, il me semble que vous ne considérez pas les Goa'ulds comme une menace.
Kinsey : Vous les avez toujours vaincu facilement jusqu'à maintenant.
Jack : Vous avez lu tout les rapports ? Une fois ils nous on tués.
Flashback
Apophis Shakel!
Carter : Mon colonel.
Fin du flashback
Sam : Monsieur le sénateur si la technologie des Goa'ulds peu produire des boucliers d'énergie autour des individus, ils peuvent faire la même chose pour des armées entière.
Daniel : Et pour leurs vaisseaux également.
Kinsey : Et avez vous déjà vu un de ces vaisseaux spatiaux ?
Jack : Bien sur.
Flashback
Teal'c : C'est le vaisseau spatiale du Goa'uld Nirrti un ennemi d'Apophis.
Jack : Et ça, qu'est ce que c'est ?
Teal'c : Vite allons nous en.
Teal'c : Il faut atteindre la porte des étoiles.
Jack : Mais moi je ne demande pas mieux.
Teal'c : Le Goa'uld Nirrti a envoyé un jour un émissaire pour la paix pour négocier un traité à propos d'une porte dont Apophis avait pris le contrôle. Les négociations étaient un véritable leur. Et la porte des étoiles a été détruite.
Jack : Prenez votre temps, ça va aller.
Fin du flashback
Kinsey : Vous leur avez échappé colonel. Alors que vous étiez à pied.
Daniel : Un seul des vaisseaux Goa'ulds est responsable de la mort de l'équipe d'exploration SG-7 ainsi que de toute la population locale qui comptait plus d'un millier de personne.
Sam : Nous savons de quoi nous parlons. Nous avons vu comment les Goa'ulds ont réussi à détruire une civilisation entière.
Flashback
Sam : Bonjour.
Cristal : Bonjour.
Sam : Dites moi qui êtes vous ?
Cristal : L'énergie, l'unité. C'est comme ça qu'on me décrit.
Sam : Vous nous avez appelez au secours.
Cristal : Si je reste ici, mon énergie va se désintégrer. Il faut que je reparte.
Daniel : Mais pourquoi vous ne nous l'avez pas dit avant ?
Cristal : Par peur.
Jack : Par peur de quoi ?
Cristal : Les Goa'ulds ont envahi notre planète il y a longtemps. Nous n'avions pas peur d'eux et nous les avions accueilli. L'un d'entre eux nous a touché comme vous l'avez fait, il fut détruit par notre énergie.
Daniel : Les Goa'ulds ont du traverser la porte pour explorer.
Sam : C'est pour ça qu'elle a eu peur. Parce qu'on leur ressemble.
Daniel : Un des Goa'ulds a été tué ?
Cristal : Ils ont rassemblé toutes l'unité dans un endroit et l'on détruite.
Sam : Nous pouvons confirmé que les Goa'ulds ont tout détruit.
Daniel : Alors ce cratère n'était pas un lieu sacré pour les cérémonies mais une tombe collective.
Fin du Flashback
Jack : J'appelle ça une menace.
Kinsey : Il faut reconnaître que ces Goa'ulds sont une race dangereuse.
Teal'c : Plus dangereuse que vous ne pouvez le croire.
Kinsey : Et bien, s'ils sont si fort que vous le prétendez, pourquoi avez vous changé de camps soudainement ?
Teal'c : Parce que ce qui est juste ne peut pas se mesurer par la force. C'est la liberté qui gouverne votre monde. Je souhaite la même liberté pour mon peuple.
Kinsey : Au risque de paraître insensible, je tiens à vous dire que c'est votre problème pas le notre.
Teal'c : Ce sera bientôt le votre aussi sénateur Kinsey car les Goa'ulds sont aussi puissant que malveillant. Les Goa'ulds ont asservi une galaxie de monde.
Kinsey : Écoutez, je me moque éperdument des autres mondes. C'est avant tout aux citoyens de notre pays que je dois penser.
Teal'c : Alors il serait sage de tenir compte de ce qu'on vous dit. Car le jour où les Goa'ulds arriveront en force, ce qu'ils feront, vos citoyens tout comme votre pays le plus puissant de votre monde sera le premier à être effacé de la carte.
Samuels : A votre retour de votre dernière mission sur Chulak, le major Kawalsky a bien été contaminé par un virus, un parasite Goa'uld.
Jack : C'est exact.
Kinsey : Il a presque failli détruire entièrement cette base.
Flashback
Kawalsky : Jaffa Kal sha.
Teal'c : Vous ne passerez pas.
Jack : Qu'est ce qu'y a ?
Sergent : Il a entré les coordonnées de Chulak.
Hammond : Il a mis en marche la séquence d'autodestruction ainsi que la sécurité intégré.
Jack : Comment il a pu avoir le code.
Hammond : Je n'en sais rien, mais il faut deux officiers pour l'annuler, allons-y.
Jack : C'est annulé, ouvrez le volet de protection. Teal'c. Retenez le. Coupez tout. Allez.
Fin du flashback
Jack : On a pu le neutraliser.
Kinsey : En effet. A cette occasion, en sacrifiant en autre un bon officier. Mais imaginez la pariade de fléau que vous pourriez ramener par la porte des étoiles. Raison de plus pour la condamner définitivement. Colonel Samuels.
Samuels : Je vais maintenant cité le rapport officiel du général Hammond daté du mois de mars de cette année concernant un virus dangereux rapporté par SG-1 d'un autre monde.
Flashback
Hammond : Je crains le pire monsieur, la situation est très critique. Apparemment nous avons ramené un virus très contagieux par la porte des étoiles. Oui, c'est ça, c'est exact. Pour l'instant j'ai fait interdire l'accès de la base, mais vous devriez envoyer une division armée pour organiser une seconde ligne de défense. Voici mes recommandations. Toute personne qui tentera de quitter la base doit être tué sur le champs. Et son corps doit être brulé.
Janet : Désolé colonel O'Neill, mais vous allez devoir partager cette pièce à deux. Nous n'avons plus assez de place pour les victimes. Toutes les cellules sont prises ainsi que les entrepôt. Nous ne savons plus où les mettre.
Jack : Un instant docteur.
Janet : Vous avez parlé ?
Jack : Donnez moi.
Janet : Vous donner quoi ?
Jack : Encore.
Janet : Une injection ? Vous voulez encore un autre sédatif ? Je vous en ai déjà injecté plus du maximum prévu, deux fois plus que les autre parce que vous étiez plus violent.
Jack : Faites le moi.
Janet : Non, c'est dangereux.
Jack : Faites l'injection. Faites le.
Janet : Pourquoi vous insistez.
Jack : Encore
Janet : Vous devez beaucoup souffrir.
Jack : Docteur.
Janet : Colonel O'Neill ?
Jack : Oui, c'est moi.
Janet : Alors vous êtes encore là quelque part ?
Jack : C'est un cauchemar. Je vie un cauchemar. C'est un cauchemar.
Janet : Ce n'est pas un cauchemar. C'est la réalité. C'est intéressant, une overdose de sédatif peut faire disparaître l'esprit primitif. Mon colonel, écoutez moi, je ne vais pas pouvoir poursuivre ce traitement très longtemps, ce serait trop dangereux. Ca pourrait causer des lésions cérébrale sérieuse.
Jack : Quoi ? Dites moi ce que c'est ?
Janet : C'est un virus parasitaire, ce que nous pouvons dire, c'est qu'il désorganise les constituants chimique de votre corps. Le niveau de testostérone augmente d'où le comportement agressif. C'est un histaminolytique, ce qui signifie qu'il détruit l'histamine.
Jack : Faites une expérience oui, faites une expérience comme cobaye. Je vous en prie.
Janet : Vous prendre comme cobaye, oh non. Ca je ne peux pas faire ça.
Jack : Je vous en supplie.
Fin du flashback
Jack : Nous avons pu sauver une race entière. Moi j'appelle ça une réussite sénateur.
Kinsey : Mais si vous n'aviez pas trouvé un remède aussi facilement, si le virus avait atteint toute la population, si ces effets avait été irréversible. Colonel O'Neill, vous avez vraiment failli mourir à un autre moment lorsque vous avez été contaminé par …
Samuels : Par des nanocytes.
Flashback
Daniel : Jack, Carter revient. Jack.
Jack : Bienvenue capitaine. Qu'est ce que vous avez découvert ? Je vous en prie, c'est pas bien de faire attendre les gens âgés. C'est pas bien.
Sam : Ce n'est pas un virus
Jack : Alors qu'est ce que c'est ?
Sam : Le docteur Fraiser et moi n'avons pas encore trouvé, elle y travaille, mais ça prendra du temps j'en ai peur.
Daniel : Le temps, c'est quelque chose que les gens d'Argos n'ont plus capitaine.
Jack : Oui, surtout moi.
Sam : Mon colonel, il y a autre chose. Votre analyse de sang a révélé plus d'organisme comparé à celle des habitants d'Argos.
Jack : Dans quelle proportion ?
Sam : Peut être 100 fois plus. Et ils se multiplient.
Jack : Continuez, allez jusqu'au bout.
Sam : A la vitesse à laquelle vous changez, à peu prés d'ici deux semaines, vous aurez surement atteint l'age de 100 ans.
Sam : Nous avons injecté au nanocyte un tissus vivant, mais il ne semble pas y toucher. La seul chose qu'ils font apparemment, c'est se multiplier. Comment font ils pour vieillir la population d'Argos ?
Janet : Je me demande s'il n'y a pas quelque chose à Argos dont ils ont besoin pour accomplir leur tache, quelque chose dans l'air ou la nourriture.
Teal'c : Il y a un problème capitaine Carter.
Sam : Je n'en sais rien.
Janet : Ils sont entrain de dévorer le caoutchouc.
Sam : A quelle horreur.
Janet : Quoi, qu'est ce que c'est ?
Sam : Ils essayent de se propager.
Sam : Nous travaillons avec des simulations sur ordinateur et des simulations pratiques. Cette recherche sera longue et j'ai bien peur que ça dure des années.
Daniel : Le général dit que cette porte qui mène sur Argos sera infranchissable au cour des prochains millénaires. Mais nous pouvons envoyer des objets alors si vous avez besoin de quoique ce soit, vous n'avez cas appeler. Dites quelque chose.
Teal'c : Colonel, j'ai beaucoup appris avec vous. Merci.
Sam : C'est affreux, j'ai toujours eu les adieux en horreur.
Fin du flashback
Kinsey : Si j'ai bien compris, vous avez failli libérer ces virus capitaine Carter.
Sam : Oui, ils ont essayé de se transformer dans le labo. Mais après l'incident, le général a ordonné que tous les échantillons de nanocytes soient détruit.
Kinsey : Que se passera t-il la prochaine fois ?
Sam : Il n'y aura pas de prochaine fois. Les nanocytes, le transmetteur, tous ce qui a touché de prêt la population de ce monde à été détruit, anéanti.
Daniel : En faite, SG-2 a établi le contact avec la planète de Kynthia il y a quelques semaines. Ils vivent des vies longues et productives, et tout ça grâce à nous. Je suis vraiment très fière de ce que nous avons fait là-bas.
Jack : J'y prendrais peut être ma retraite un jour.
Kinsey : Vous n'avez jamais peur de rien colonel ? Tout ceci est un jeu pour vous.
Jack : Non monsieur. Tout ce qui est aussi puissant que la porte des étoiles mérite le respect. Nous connaissons les danger que nous en courrons en faisons ce que nous faisons. Nous savons aussi l'importance que ça a.
Kinsey : Colonel O'Neill, vous êtes obstiné, vous êtes encore des enfants et vous jouez avec le feu.
Jack : Vous n'allez quand même pas arrêter ce programme alors que c'est maintenant qu'on en a le plus besoin.
Kinsey : Et pourquoi faire ?
Sam : Pour trouver des technologies, des armes aussi.
Kinsey : Certainement pas à ce prix, ni a ce niveau de compétence.
Hammond : Les personnes qui m'entourent sont les plus qualifié du pays.
Kinsey : Je suis désolé général, mais ça m'est égal. Ca ne suffira pas à me convaincre. Je n'approuve pas, pas plus que je ne soutiens ce projet et j'ai rien entendu de concluant aujourd'hui qui me fasse changer d'opinion. J'ai l'intention de condamner la porte des étoiles.
Daniel : Je vous en prie, écoutez moi.
Samuels : Inutile, sa décision est prise docteur Jackson.
Daniel : Vous voulez une raison valable, je vais vous la donner. Si je vous disait qu'ils allaient bientôt arrivé dans leurs vaisseaux et si j'ajoutai qu'un vaisseau plus grand qu'une pyramide allait atterrir exactement sur cette montagne, ce n'est plus qu'une question de semaines.
Kinsey : Alors je serai curieux de savoir pourquoi vous avez attendu jusqu'à ce moment pour me mettre au courant.
Daniel : Parce que je savais que vous ne me croiriez pas. Et si je ne l'avais pas vécu, je ne le croirai pas moi non plus. Mais c'est un faite. Et si vous annulé ce programme nous n'aurons plus aucune chance de les arrêter avant qu'ils n'arrivent ici.
Kinsey : Mais où avez vous obtenu ce renseignement.
Daniel : Au cours de notre dernière mission nous avons découvert une civilisation avec un niveau de technologie semblable au notre mais cette civilisation est morte en laissant derrière elle une recommandations. Prenez garde aux destructeurs. Et avec cette recommandation il y avait une série de chiffre et de coordonnées qui indique où l'attaque final des Goa'ulds devraient avoir lieu.
Kinsey : Et est ce que vous avez tous été témoins de cet avertissement.
Daniel : Non il n'y a que moi qui l'ai vu.
Sam : Monsieur le sénateur, nous croyons que Daniel a vécu l'expérience unique d'un transfert interdimentionnelle. Il a été transféré dans une réalité alternative.
Kinsey : Je vous demande pardon.
Daniel : Au moment où j'ai touché un objet extraterrestre. Quand j'étais séparé du reste de l'équipe, j'ai été carrément transporté dans une autre réalité alternative, où la Terre était envahi par les Goa'ulds et j'ai découvert ceci quand j'étais là-bas.
Kinsey : J'ai l'impression de rêver. J'en ai assez entendu pour aujourd'hui.
Daniel : J'ai vu les Goa'ulds bombarder nos villes depuis l'espace, nous étions sans défense, leurs arme étaient trop puissante.
Kinsey : Docteur Jackson, je n'ai aucune patience pour les imbécilités.
Daniel : Une chose est sur en tout cas, c'est que lorsque nous avons tué Ra il y a deux ans, nous avons provoqué une série d'évènement qui auront pour conséquence une attaque de grande envergure de la Terre par les Goa'ulds.
Kinsey : S'il en est ainsi, pourquoi auront ils attendu tout ce temps ?
Teal'c : Apophis a besoin de beaucoup de temps pour rassemblé les forces nécessaire.
Daniel : C'est évident. Leur société étant féodale, ils leur faut du temps pour composer une armée. Ce que j'ai découvert, c'est le lieu qu'ils ont choisi pour lancer l'attaque finale. Si vous ne me croyez pas, entrons les données dans l'ordinateur. Et vous verrez si j'invente ou non.
Kinsey : Combien de vaisseaux spatiaux docteur Jackson ? Quelqu'un a détecté leur approche ?
Daniel : Je ne connais pas tout en détail, il y a un grand nombre différence entre cette réalité et l'autre.
Kinsey : Oui, oui, bien entendu.
Daniel : Je n'ai pas perdu la tête.
Kinsey : Moi non plus, je n'ai pas perdu la tête. J'ai aussi l'habitude des allégations de dernière minute, bien que jamais j'en ai entendu une aussi aberrante que celle ci.
Daniel : Ils vont venir croyez moi.
Kinsey : Qu'ils viennent, nous les attendons de pied ferme.
Jack : Qu'est ce que c'est que cette mentalité de bureaucrate borné, nous allons droit au suicide.
Kinsey : Colonel O'Neill, je crois que vous sous estimez notre grande nation.
Teal'c : C'est vous qui sous estimez l'ennemi. Nous avons défié Apophis. Il n'aura de repos que lorsque le peuple de cette planète le vénèrera comme un Dieu.
Kinsey : Dans notre monde, il n'y aura toujours qu'un seul Dieu. Et je ne crois pas un seul instant qu'il laisserait faire ce que vous essayez de me dire. Je n'y crois pas du tout. Dieu nous protège tous. Nous sommes un nation unis sous le regard de Dieu.
Jack : Ah oui, et vous croyez que Dieu va nous sauver ?
Teal'c : Les Goa'ulds se prennent pour des Dieux et ce ne sont pas vos croyances qui vont les dissuader.
Kinsey : Si les Goa'ulds décident de venir, nous pourrons très bien leur dire que nous avons détruit notre porte des étoiles pour toujours et que plus jamais nous ne la franchirons. Et s'ils nous lancent un défi, nous aurons l'avantage.
Daniel : Vous êtes fou.
Kinsey : Et s'ils décident de ne pas venir ce qui à mon avis est infiniment plus logique alors la boite de Pandore pour une fois sera belle est bien fermé et bien sure, elle restera fermé pour toujours. Maintenant, si vous voulez bien m'excuser, j'ai une affaire urgente à régler.
Samuels : Je ne sais pas quoi dire. Je suis navré que ça se termine comme ça.
Hammond : Sortez, allez vous en
Teal'c : Général Hammond, j'aimerais avoir votre permission pour retourner à la porte des étoiles avant quelle soit définitivement scellé. Si ce monde n'a pas l'intention de poursuivre son combat contre les Goa'ulds, je n'ai plus rien à y faire.
Jack : Je crois que je vais partir avec lui.
Hammond : Je ne peux pas vous donner l'autorisation, je suis désolé, mais vous le savez. Le président s'est montré parfaitement clair. Il m'a dit que si nous étions incapable de convaincre le sénateur toutes les opérations devaient être immédiatement suspendu.
Sam : Il y a encore deux équipes SG derrière cette porte.
Hammond : Nous laisserons la lumière jusqu'à leur retour, mais je ne peux rien faire de plus. Ce sont les ordres.
Jack : Alors ça veut dire que c'est fini ?
Hammond : On abandonne.
Sam : Je n'y crois pas.
Jack : Avec le respect que je vous dois, …
Daniel : Avec le respect qu'on vous dois, le sénateur est une ordure.
Hammond : Il a été élu officiellement par le gouvernement que nous avons juré de servir. Et que l'on soit d'accord ou pas, il a prit sa décision. Notre commandant en chef nous a donné des ordres en conséquence. Et j'espère que vous en tiendrez compte. Rompez.
FIN