Les Rescapés 6.18
Sur la planète
Jack en chantonnant arrive vers Sam qui travaille sur son télescope.
Jack : Vous voyez quelque chose dans votre lorgnette ?
Sam : Oui, mon colonel.
Jack en se penchant pour regarder dans le télescope.
Jack : Bah moi je ne vois rien du tout !
Sam : C’est normal. C’est parce qu’il fait encore jour.
Jack : Ahhh !
Sam : Mais dès que le soleil sera couché vous verrez les iridescentes de la haute atmosphère dû aux rencontres des diverses couches de gaz ionisés en expansion.
Jack : Ah, c’est fascinant !
Sam : Vous vous en fichez, hein ?
Jack : Non, non, j’ai hâte de voir votre machin du haut truc.
Sam en riant.
Sam : Pour votre information, il fera nuit dans 5 heures environ.
Jack : Mmmhh mmmhh.
Jack s’assoit pour remettre son pantalon et examine la photo d’une femme qu’il a trouvé par terre.
Jack : Carter !
Sam : Oui mon colonel.
Jack : C’est bien la toute première fois qu’on vient sur cette planète ? Non, je veux dire nous les humains.
Sam : Bah oui, pourquoi ?
Jack : Non, parce que …
Jack est interrompu par un appel de Jonas à la radio.
Jonas : Colonel, Major, venez vite voir ça.
Jack : Jonas, il faudrait d’abord savoir où êtes.
Jonas : Euh oui, pardon. On est à l’est de votre position.
Sam et Jack rejoignirent Jonas devant un vaisseau inconnu.
Jonas : C’est un vaisseau qui s’est écrasé.
Jack : Ca a dû être un sacré choc.
Les 3 militaires se rapprochèrent du vaisseau à l’endroit où Teal’c examinait le vaisseau.
Jack : Teal’c, vous reconnaissez cette engin ?
Teal’c : C’est la première fois que je vois un vaisseau de ce genre. Il n’est pas d’origine Goa’uld.
Sam : Il n’est pas non plus Asgard, ni Tollan.
Jonas : Les symboles sur la coque ressemblent à du celte ancien.
Sam en s’approchant d’une ouverture.
Sam : Il y a quelqu’un ? Apparemment il n’y a pas de survivant.
Corso : Si ! Il en a trois !
SG-1 se retournèrent en brandissant leur armes sur trois inconnus eux aussi armés.
Générique
Jack : Qui êtes-vous ?
Corso : J’allais vous le demander.
Jonas : Nous explorons cette planète, c’est tout. Nous n’avons pas l’intention de nous battre.
Jack : On est tout de même prêt à se battre.
Tous baissèrent leurs armes et se rapprochèrent.
Corso : Je m’appelle Aiden Corso, je suis le capitaine du Sebrus. Voici mon officier en second Tanis Reynard et notre navigateur Lyall Pender.
Jack : Colonel Jack O’Neill de l’armée de l’air des Etats-Unis, Teal’c, le major Carter et Jonas Quinn.
Sam : Nous venons d’une planète qui s’appelle la Terre.
Pender : C’est où ça ?
Sam : C’est …
Jack : Dans un coin charmant, on est très content.
Corso : Je n’en doute pas. Désoles de cet accueil un peu rude, mais vous nous avez surpris.
Reynard : On ne vous a pas entendu vous poser.
Jack : Non, c’est normal.
Sam : Vous êtes là depuis longtemps ?
Corso : Trop longtemps !
Jonas se retournant pour voir le vaisseau.
Jonas : Alors vous vous êtes écrasés ?
Pender : Disons qu’on s’est posé en catastrophe.
Reynard : On est sorti de l’hyper-espace au beau milieu d’une nuée de météores. On a été forcé de se poser ici le temps de réparer.
Pender : Mais l’atterrissage a provoqué une fuite des réacteurs et nous avons perdu presque toute notre réserve de carburant.
Corso : Vous n’auriez pas de l’énergie en trop dans votre vaisseau, par hasard ?
Jack : De l’énergie ?
Pender : Oui, nous avons besoins d’une certaine puissance pour redémarrer la centrale de propulsion. Là il nous reste juste de quoi alimenter les fonctions de base.
Sam : Et les communications ?
Reynard : Notre antenne a été détruite.
Corso : Nous n’avons pas eu le temps d’envoyer un signal de détresse et le pire c’est que nous sommes proche de Hebridan, notre planète d’origine. Mais peut-être que votre vaisseau pourrait nous y emmener.
Jack : C’est bien ça le problème.
Teal’c : Nous ne sommes pas venus jusqu’ici à bord d’un vaisseau.
Jonas : Oui nous sommes venus à pieds, par la porte des étoiles.
Corso : De quoi vous parlez ?
Jack : L’espèce de gros cerceau, vous savez là au milieu de la forêt.
Corso : Justement on se demandait ce que c’était.
Sam : C’est une sorte de portail de transfert.
Corso : Ca explique beaucoup de choses.
Jonas : J’en déduis qu’il n’y en n’a pas sur votre monde.
Corso : En tout cas pas que je sache. Donc pas de vaisseau spatial ?
Jack : Désolés.
Pendant que SG-1 et les trois étrangers discutaient, deux personnes les observaient.
Corso : Et comment fonctionne votre porte des étoiles ?
Sam : C’est simple, chaque porte est représentée par une série de coordonnées qui permettent de la localiser dans l’espace.
Jonas : Il suffit de rentrer les symboles associés à ces coordonnées pour relier deux portes entre elles.
Jack : Carter, Teal’c. Veuillez nous excuser, on revient tout de suite.
Jack leur fit signe de le rejoindre et s’éloignèrent un peu.
Jack : Alors qu’est-ce que vous en pensez ?
Teal’c : Nous devrions les ramener avec nous sur Terre.
Sam : Ou les aider à réparer leur vaisseau. A priori, ce n’est pas compliqué. Je ne sais ce qu’ils utilisent comme carburant mais on trouvera un équivalent sur Terre. On pourra peut-être recharger leur batterie avec un chargeur à naquadah. Il suffirait que je jette un œil sur leur technologie.
Jack : Mais, mmhh, pourquoi on se donnerait tout ce mal ?
Sam : Justement pour jeter un œil sur leur technologie ! On voit bien qu’ils maitrisent le vol spatial beaucoup mieux que nous. Peut-être qu’ils accepteront de partager leur savoir si on leur rend service.
Jack : D’accord. Allez réparer leur engin en leur montrant bien quel grand service on leur rend.
Ils rejoignirent alors le reste du groupe.
Teal’c : Les celtes étaient un peuple de guerriers farouches. Leurs descendants seraient de très précieux alliés.
Jack : Je vous ai déjà dit que Braveheart était un film Teal’c. Mais guerriers ou pas on va vous donner un coup de main. Carter va tacher de réparer votre vaisseau, mais si on ne peut rien faire de ce côté-là, vous serez les biens venus sur Terre.
Corso : Merci beaucoup colonel, nous aimerions en apprendre plus sur votre civilisation et sur la porte des étoiles, mais s’y nous avons le choix, rentrer sur notre planéte est notre priorité numéro un.
Carter : Je vais faire le maximum.
Corso : Allons s’y.
Tout le monde s’en va sauf Teal’c. Jack le rejoint.
Jack : Qu’est-ce qu’il y a ?
Teal’c : J’ai l’impression qu’on nous surveille.
Jack : Alors montez la garde.
Teal’c : Avec joie.
Dans le vaisseau
Sam et Corso entre dans le vaisseau.
Carter : Ça fonctionne comment ?
Corso : C’est à mon ingénieur en chef qu’il faudrait demander ça. Mais il est mort. Il faudra qu’on se débrouille.
Hors du vaisseau
Jack laissa Jonas avec Reynard et Pender, et rattrapa Teal’c.
Jack : Alors ? Quoi de neuf ?
Teal’c : Quelque chose bouge dans les fourets.
Reynard : Poussez-vous ! Vite !
Reynard ouvre le feu en direction de la forêt.
Reynard : Corso !!
Ils se mettent tous à terre. Un violent échange de coup a lieu entre les créatures et SG-1 aidé des trois étrangers. Sam sort du vaisseau et rejoint le groupe au sol. Jack tire dans la jambe de l’un des assaillants, mais Pender le tue. La deuxième créature, en colère, tire dans l’épaule de Reynard qui s’effondre et Sam riposte. A l’intérieur du vaisseau Corso rampe vers le panneau de contrôle et enclenche un bouton. Ceci a pour effet de créer un bruit aigu qui fait fuir la créature et gène les humains. Après l’avoir arrêté Corso sort du vaisseau, les autres se relèvent et se dirigent vers Reynard.
Corso : Il s’est enfuit?
Pender : Oui !
Teal’c, Pender et Jack vont voir la créature.
Teal’c : La créature est morte.
Jack : Vous pouvez me dire ce qui se passé ici ?
Pender : Ça fait un moment que ces espèces de monstres nous attaquent.
Jack : Avec vos propres armes ? Expliquez-moi.
Pendant que Sam tente de stabiliser Reynard, Corso rejoint Jack qui revient vers le groupe.
Corso : Je vous demande pardon, on aurait dû vous prévenir. Mais depuis quelque temps, ils n’attaquaient plus, alors on pensait qu’ils avaient renonécé.
Jack : Mais d’abord qui sont-ils ?
Corso : Malheureusement je n’en sais rien. Mais ils ont déjà massacré cinq membres de notre équipage. Ils ont accroché leur corps mutilés dans les arbres. Tous ce que nous savons, c’est que se sont des sauvages.
Jack : D’où est ce qu’ils viennent ?
Corso : Aucune idée. Nous n’avons vu aucune créature pensante sur cette planète.
Pender : On n’a pas vu de vaisseaux non plus.
Corso : Mais puisque vous dites qu’on peut voyager grâce à cette porte des étoiles, ils sont surement passés par là eux aussi.
Sam en aidant Reynard qui souffre.
Sam : Votre second a besoins de soins d’urgence.
Jack : Dans ce cas, on va l’emmener avec nous.
Jonas et Sam soutiennent Reynard pour l’aider à se lever.
Corso : Colonel je vous Reynard. Moi je dois rester ici pour protéger mon appareil. Non seulement ce vaisseau est notre seule chance de rentrer un jour chez nous, mais en plus je refuse de l’abandonner à ces monstres qui ont massacré mes hommes. Notre bouclier sonique les repoussera encore un moment.
Jack : C’est insupportable votre truc.
Corso : Je vais rester ici avec Pender le temps que vous apportiez de quoi nous aider à réparer.
Jack : D’accord. Carter, Jonas, aidez là. Teal’c et moi, on vous escorte. On n’en a pas pour longtemps.
Corso : A tout à l’heure.
Pendant que SG-1 s’en allèrent avec la blessée, la créature continuait de les observer.
A la base, dans la salle de briefing
Jonas : Leur planète s’appelle Hebridan, il y a de bonnes chances pour que les ancêtres de ce peuple aient été capturés dans les iles Hébrides au nord-ouest des côtes de l’Ecosse.
Sam : A priori, leur planète ne dispose pas d’une porte des étoiles active. Ils ne savaient même ce que c’était.
Hammond : Dans ce cas comment ont-ils pu se retrouver là-bas ?
Sam : Peut-être qu’il y avait une porte des étoiles que les Goa’uld ont emmené avec eux en abandonnant Hebridan.
Jonas : La plus grande question, c’est comment ont-ils pu atteindre un pareil niveau de technologie ?
Sam : Il est clair que leur vaisseau dépasse de long nos appareils les plus avancés. Ces réacteurs fonctionnent grâce à un flux d’ions propulsé à grande vitesse par une sorte de matrice électromagnétique quand on …
Hammond : Dite moi plutôt ce que vous pensez d’eux personnellement.
Sam : Je suis raisonnablement confiante.
Hammond : Vous pouvez réparer leur vaisseau ?
Sam : Il suffit de recharger leurs batteries et avec notre générateur à Naquadah, alors ça ne devrait pas poser de problèmes, mon général.
Hammond : Prenez tout ce qu’il vous faut.
Sam : Merci mon général.
Hammond : Et emmenez SG-15 avec vous.
Sam : A vos ordres.
Sur la planète
Teal’c, Jack, Corso et Pender sont autour du corps de la créature.
Jack : Vous leur avez donné un nom ?
Corso : Plusieurs même, mais ils sont tous assez grossiers.
Jack : Quels armes avaient-ils avant de voler les vôtres ?
Corso : Aucune idée. Les hommes qui sont tombés entre leurs griffes ne sont jamais revenus. Nos armes ont dû leur plaire.
Jack : Ils en ont volé combien ?
Corso : Huit tout neuf.
Jack : Et ils se déplacent toujours par deux ?
Corso : Eux n’étaient que des éclaireurs, ils voulaient surement tester vos armes.
Pender : Je ne les trouve pas très efficace.
Jack : J’avais visé sa jambe exprès.
Corso : Grâce à vous le deuxième est allé prévenir ses petits camarades.
Jack : Binh voyons, je serais curieux de voir ça.
Jack se leva et parti suivi des autres.
Je ne vous mens pas colonel, il va rassembler ses troupes et revenir en force.
Ils rencontrèrent Sam et SG-15 de retour de la Terre.
Sam : Mon colonel. Le général nous a envoyé SG-15 en renfort.
Pierce : Les deux autres gardent la porte des étoiles.
Jack : Bien. Nous affrontons un nombre inconnu d’ennemis qui, d’après ce qu’on nous a dit, seraient dangereux.
Pierce : Nous ouvrirons l’œil mon colonel.
Sam : J’ai tout le matériel pour réparer leur vaisseau, il n’y a plus qu’à le porter à l’intérieur.
Teal’c : J’y vais.
A la base, à l’infirmerie
Reynard, allongée dans un lit se réveille et Jonas s’approche d’elle.
Jonas : Ça va ?
Reynard : Oui beaucoup mieux. Je ne saigne plus et la douleur a presque disparue. Vos médecins sont très compétents. Je serais sur pieds dans très peu de temps.
Jonas : Tant mieux.
Reynard : Je vous dois une fière chandelle.
Jonas : C’est rien. Vous en auriez fait autant pour moi. Et sinon, il y a quelqu’un qui vous attend sur votre planète ?
Reynard : Vous allez croire que je veux vous apitoyez, mais mes parents sont morts quand j’étais enfant, et j’ai passé ma vie à faire la navette entre les ports spatiaux depuis que j’ai quitté l’école militaire. Alors non je n’ai ni amis, ni famille, à part Corso et Pender. Alors Jonas, dite moi, cette porte des étoiles d’où vient-elle ? Et es ce qu’elle fonctionne ?
On ne sait pas grand-chose, on a découvert que la porte créait une sorte de déchirure spatio-temporelle donnant accès à l’hyper-espace. On appelle ça un trou de verre ou encore un vortex, c’est comme un tunnel qui permet de traverser de grandes distances en un éclair.
Reynard : Est-ce qu’il y a des portes des étoiles dans toute la galaxie ?
Jonas : A priori oui.
Reynard : Et vous avez rencontré d’autres humains grâce à elle ?
Jonas : Souvent oui, très souvent, certains sont primitifs, d’autres plus avancés. Et il y a aussi des non humains, mais ça vous le savez déjà. Certains sont devenus des amis, d’autres des ennemis mortels. Mais ça a beau être très dangereux, ça reste une belle expérience.
Reynard : Oui, ça en a l’air.
Sur la planète
Dans le vaisseau
Sam et Corso tente de réparer le vaisseau
Corso : On ne sait même pas dans quel état sont nos réacteurs et nos équipements de survie. On a branché les systèmes de défense directement sur la matrice, mais sans ordinateur de bord on ne peut pas contrôler quoi que ce soit.
Carter : Alors il faut avant tout donner assez de puissance pour que l’ordinateur puisse rebouter et lancer les programmes de diagnostic système. Et pour ça on va utiliser comme matrice le générateur que j’ai ramené de notre planète.
Corso : Allons à la salle des machines.
Ils se levèrent et se dirigèrent vers la salle des machines.
Corso : J’essayerai de vous aider, mais d’habitude je me contente de donner des ordres : faites ci ! Réparez ça ! Posez-vous en douceur. Malheureusement on ne m’obéit pas toujours.
Corso déposa le matériel de Carter sur le sol et ouvrit une trappe donnant accès à la centrale énergétique.
Corso : Ca s’est notre centrale énergétique.
Carter : Oh ! C’est une conception standard. Je pense que je vais réussir à bricoler quelque chose.
Corso : Impressionnant ! Je croyais que votre technologie était moins avancée que la nôtre, mais ça n’a l’air de vous effrayer plus que ça.
Carter : Vous avez de la chance, vous êtes tombés sur les seuls habitants de la Terre à avoir déjà un vaisseau spatial. Et la procédure est assez simple, on va tout bêtement enfoncer votre câble dans ma matrice.
Corso : Avec grand plaisir …
Carter : Je devrais réfléchir avant de parler.
Corso : Votre curriculum est impressionnant vous savez. Vous êtes officier dans l’armée de votre planète, vous êtes une grande scientifique, une exploratrice et en plus vous êtes un mécano hors pair.
Carter : Et je fais un super soufflet.
Corso : Un quoi ?
Carter : Ah, c’est un plan raffiné que peu de gens savent préparer.
Corso : Hum, et vous êtes aussi drôle, charmante et incomparablement belle. Excusez-moi je ne voulais pas vous offenser. C’est une tradition chez nous, quand on est perdu sur une planète hostile et quelqu’un répare notre appareil, on lui fait des compliments pendant des heures.
Carter : Passez-moi le truc gris.
Corso : Tout de suite.
Carter : Merci, et continuez vos traditions me plaisent.
Corso : Pourquoi le colonel O’Neill ne nous fait-il pas confiance ?
Carter : Parce que nous nous méfions toujours des inconnus. C’est un principe qui nous a sauvés la vie à plusieurs reprises par le passé.
Corso : Alors pourquoi avoir accepté de nous aider ?
Carter : Parce que vous en aviez besoins, et qu’il faut bien faire le premier pas. Pour se faire des amis on est obligé de prendre le risque.
Hors du vaisseau
Une des créatures s’approche furtivement du corps de son ami mort et prend quelque chose sur sa poitrine. Quand Jack surgit derrière elle et la menace de son arme.
Jack : Coucou.
La créature s’appétait à dire quelque chose, mais Pender fait feu sur eux et fait fuir la créature. Pender et Teal’c arrive à la hauteur de Jack.
Jack : Hey ! Cessez le feu !
Pender : Pourquoi vous le laissez s’enfuir ?
Jack : Je ne l’ai pas laissé s’enfuir, je le voulais vivant !
Pender : Mais pourquoi faire ?
Jack : Parce que je tiens à savoir contre quel genre d’ennemis on est en train de se battre.
Pender : Je sais déjà tout ce qu’il y a à savoir ! Si vous aviez vu de quoi ils sont capables vous n’auriez pas envie d’en apprendre plus !
Pender partit à la pourchasse de la créature.
Jack : Ce n’est pas vrai. (En s’adressant à Teal’c) Suivez-le.
Teal’c partit à la suite de Pender et Jack appela Carter à la radio.
Jack : Carter.
Carter : Oui mon colonel.
Jack : On a repéré une des créatures, on part à sa poursuite.
Jack partit en courant.
Dans le vaisseau
Carter : Compris mon colonel.
Corso : vous ne risquez rien ici.
Carter toujours à la radio : Dans le vaisseau on est à l’abri.
Jack à travers la radio : Alors restez s’y.
Etant donné la chaleur, Carter commença à enlever son gilet et son manteau et continua les réparations.
Carter : désolés, ne vous attendez pas à ce que j’enlève le reste.
Corso : Il y a un moment que je suis coincé ici, avec un navigateur râleur et un officier en second qui n’aime pas trop les hommes. Mais je pense tout de même pouvoir me contrôler. Je peux voir votre arme ?
Corso et Sam se penchèrent pour examiner le Zat.
Corso : Ca ne ressemble pas du tout à vos fusils.
Carter : C’est un Zat’nik’tel, une arme extra-terrestre. La première charge étourdie, la seconde tue.
Corso : Est-ce que vous avez un petit ami sur Terre ?
Carter : Je ne vois pas en quoi ça vous regarde.
Corso : Sur Hebridan aussi, c’est le genre de réponse qui veut dire non.
Après s’être relevé, Sam regarda fixement Corso.
Corso : Désolés, à vous de choisir de quoi on va parler.
Dans la forêt
Teal’c, Jack et Pender recherchent la créature.
Pender : Colonel, on couvrira plus de terrain en se séparant. Grâce à ça on restera en contact permanent (en montrant la radio).
Jack : d’accord, mais ne vous éloignez pas trop.
Pender partit en courant de son côté.
A la base, dans le laboratoire de Jonas
Jonas travaillais à son bureau sur la signification du mot « Sebrus » et l’histoire du peuple Hébridan, quand Hammond entra.
Jonas : Mon général.
Hammond : Je voulais vous voir. Vous avez du nouveau ?
Jonas : Il avait un navire qui avait le même nom que le vaisseau spatial Hébridan. L’orthographe a évoluée, mais la prononciation est identique.
Hammond : Est-ce une simple coïncidence ?
Jonas : Je ne sais pas trop. Pourquoi vouliez-vous me voir ?
Hammond : A 6h25 ce matin, quelqu’un a consulté des dossiers confidentiels sur notre réseau informatique à partir d’un ordinateur qui se trouve dans un bureau situé près de l’infirmerie.
Jonas : Vous soupçonnez donc notre invité.
Hammond : Est-ce que vous pensez qu’elle est capable ?
Jonas : J’en sais rien tout est possible.
Hammond : Je vais aller l’interroger personnellement.
Jonas : D’accord.
Le général s’apprêtant à sortir du laboratoire de Jonas.
Jonas : Mon général.
Hammond : Mmhh.
Jonas : Si vous permettez. Je crois que j’ai une idée.
Sur la planète
Dans la forêt
Jack et Teal’c, en cherchant la créature, découvrirent un campement.
Jack : Ça doit être le campement de ces créatures.
Teal’c : Si elle voyage par la porte, pourquoi établir un campement ici ?
Jack : Bah, ça pour une question, c’est une bonne question.
Teal’c : Vous non plus vous ne croyez pas ce que les Hébridans nous ont dit ?
Jack en fouillant dans les affaires du campement.
Jack : Si seulement j’avais capturé cet extra-terrestre. J’ai eu l’impression qu’il voulait me parler, mais notre nouvel ami lui a tiré dessus trop tôt.
Teal’c : Cet équipement semble venir du sebrus.
Jack secoua un petit sac et découvrit plusieurs insignes comme celui que la créature avait enlevé du corps de son ami.
Jack : Ouais.
Ils entendirent des coups de feu quand Pender appela Jack à la radio.
Pender (dans la radio) : Colonel, il est là. Je le tiens.
Teal’c et Jack rejoignirent alors Pender qui tirait toujours dans la direction de la créature.
Jack : Pender ! Pender ! J’ai dit que je le voulais vivant !
Teal’c le stoppa et alla voir un peu plus loin.
Jack : Ou est-il ?
Pender : Il était juste là.
Jack : Ça fait deux fois qu’il s’échappe.
Pender : Non, je l’ai touché, j’en suis sûr.
Jack (à Teal’c) : Vous voyez des traces ?
Teal’c '(en examinant des traces sur une souche) : Je pense qu’il est blessé, O’Neill.
Jack partit rejoindre Teal’c, tandis que Pender resta sur place.
Pender : Je vous l’avais dit.
Dans le vaisseau
Sam et Corso essayaient toujours de réparer le vaisseau.
Sam : Si je reconnecte ces deux fils, ça devrait marcher.
Corso : Allez si ! Je vous fais confiance.
Sam rebrancha des câbles et le système se remit en route.
Corso : Wouahou !
Sam : Il n’y a plus qu’a espéré que ça tienne.
Corso : On va voir ça.
Corso réussit à faire redémarrer le vaisseau.
Corso : C’est fantastique ! AAHH !
Sam : Allez capitaine ! Reboutez le système.
Corso : Appelez-moi Aiden.
Sam : Si vous voulez.
Corso : Il faut fêter ce jour comme il se doit. Il y a peu, je le gardais pour une grande occasion. Tenez.
Corso tendit une fiole à Sam
Sam : Non merci.
Corso : Allez un petit coup.
Sam : Désolés je ne bois pas pendant le service.
Corso : D’accord. Bon bah alors je boirais pour nous deux. Aux nouveaux amis ! Et surtout à vous, major Carter.
Sam : Vous savez mes amis m’appelle Sam.
Corso : Sam ! C’est joli.
Sam : En fait c’est le diminutif de Samantha.
Corso : C’est encore plus joli. Pourquoi vous a-t-on appelé Sam ? Ça veut dire quelque chose ?
Sam : Ca veut dire que mon père voulait un garçon. Et vous votre nom a-t-il un sens particulier ?
Corso : Mon père m’a donné le nom de mon oncle Aiden qui s’est noyé en plongeant dans une rivière classée. Et Corso, notre nom de famille, signifie en gros « ça sent comme un oiseau mort » en ancien Hébridan. On n’appartient pas à la haute société de notre planète.
Sam : Mais je suis sûr que tous les Corso seront ravi de vous revoir.
Corso : Ça m’étonnerait. J’ai passé je ne sais combien de temps à rêver que je quitterai enfin cette planète. Mais aujourd’hui, je regrette que vous ayez réparé si vite.
Sam : Ne vous inquiété pas Aiden, on se reverra.
Corso : Oui bien sûr. Vous viendrez bien jeter un œil à toutes nos merveilles technologiques.
Sam : Vous vous trompez complétement.
Corso : En quoi ?
Sam : Vous croyez qu’on vous a aidé par intérêt ?
Corso : Non, ça doit être que vous me trouviez sympathique.
Sam : Entre autres.
Corso : Vous savez Sam. C’est la première fois que je rencontre une femme comme vous.
Sam : Aiden !
Corso : Vous avez raison. Tout ça doit rester purement professionnel. Major !
Corso quitta Sam et sortit du vaisseau.
A la base, dans les couloirs
Jonas fait visiter la base à Reynard suivis de deux gardes.
Reynard : Votre base est impressionnante.
Jonas : C’est gentil, mais ça m’embête de vous faire marcher dans votre état.
Reynard : Non, ça va. On continue.
Jonas : D’accord.
Dans le bureau de Jonas
Jonas et Reynard entrent dans le bureau
Jonas : Euhh, alors bah là c’est mon bureau. En rangeant son bureau rempli des trésors des Goa’uld. C’est très mal rangé, désolès. Je travaillais sur des artéfacts que nous venons tout juste de ramener de P-4X131. Oh, c’est un code alpha numérique qui désigne les planètes que nos équipes d’exploration visitent.
Reynard: Ils sont magnifiques.
Jonas : Oui, les Goa’uld adorent tout ce qui brille. Ils ont disséminé de l’or et des joyaux partout dans toute la galaxie.
Reynard stoppa Jonas et l’embrassa. Jonas surpris en fit tomber ce qu’il avait dans les bras.
Reynard : Désolés !
Jonas gêné en ramassant ce qu’il avait fait tomber : Non, non, c’est rien. Vous savez c’est, c’est costaux ces machins-là. De toute façon, c’est ma faute, je n’aurais pas dû tout lâcher. J’ai été surpris !
Reynard : Pourtant ça devait arriver.
Jonas : Euh, qu’est ce qui devait arriver ? Je ne comprends pas, désolés.
Reynard : Depuis le début, il était évident que le courant était passé entre nous.
Jonas très embarrassé : Ah oui ! Ah c’est vrai ! Ha, ha. Je, je suis désolé, je n’avais rien vu.
Reynard : Excusez-moi ! Je croyais que je vous plaisais autant que vous me plaisez.
Jonas : Oh, ce n’est pas ça, vous me plaisez, je vous assure. Mais, euh, je ne m’y attendais vraiment pas. Je, enfin je veux dire, on se connait à peine et en plus vous êtes blessé. Alors tout ça me semble un peu précipiter.
Reynard : J’espère que vous ne dites pas que je m’intéresse à vous uniquement parce que vous m’avez sauvé la vie. Ça n’a rien à voir. Je vous trouvez séduisant longtemps avant de me faire tirer dessus.
La sonnerie du téléphone retentit et interrompit la discussion.
Reynard : Ce ne serait pas à vous que s’adresse ce signal sonore ?
Jonas : Oh si, c’est le téléphone. Jonas alla répondre. Oui ici Jonas. Euh oui mon général. J’arrive tout de suite. En s’adressant à Reynard. Il faut que j’aille voir le général Hammond. Je pense que je n’en ai pas pour longtemps. Ça ne vous ennuie pas de m’attendre ici quelques minutes.
Reynard : Du tout ! Et je ne suis pas toute seule de toute façon.
Jonas : Bien, on en reprendra là où on en était.
Reynard : D’accord.
Après le départ de Jonas, Reynard en profita pour observer ce qu’il y avait sur l’ordinateur et ce qu’il avait autour.
Sur la planète
Dans le vaisseau
Sam pianotait sur l’écran de l’ordinateur de bord.
Sam : C’est bon. Et maintenant si je relance le système.
Soudain l’écran se fit tout noir et des sigles clignotant apparièrent puis une vidéo d’un homme.
Officier du vaisseau : Sebrus demande assistance d’urgence. Nous avons été percutés par des météorites et nous devons nous poser en catastrophe. Je répète, ici le vaisseau de transport de prisonniers Sebrus, nous avons besoins d’aide. Sam fit marche arrière sur la vidéo. Je répète, ici le vaisseau de transport de prisonnier Sebrus.
Sam surprise attrapa en vitesse son gilet et découvrit que sa radio avait disparu.
Sam : Roh, ce n’est pas vrai !
Dans la forêt
Teal’c et Jack étaient toujours à la recherche de la créature.
Jack, dans la radio : Pender. Pender ici O’Neill. Je croyais vous avoir dit de rester à proximité. Pender répondez moi. A lui-même. A bravo !
Teal’c, scrutant les horizons, entendit un bruit et se retourna sur la créature en armant son arme. Jack arriva derrière la créature.
Jack : Doucement, personne ne s’énerve.
Je ne vous veux aucun mal.
Jack : Alors pourquoi gardez-vous mon ami en joue ?
Warrick en baissant son arme : Je vous en prie. Ne me tuez pas. Ils vous ont menti, je vous le jure.
Jack : Et bien voyons.
Warrick : Je m’appelle Warrick, je suis le capitaine du Sebrus.
Dans le vaisseau
Corso entra dans le vaisseau et fut surpris de ne pas voir Sam. Cette dernière braqua son Zat sur Corso.
Sam : Les mains en l’air !
Corso : Sam.
Sam : Appelez-moi major.
Corso en se retournant : Sam.
Sam : Je vous ai dit de lever les mains.
Corso : c’est un malentendu.
Sam : Expliquez-moi.
Corso : C’est une longue histoire.
Sam : Cet appareil transportait des prisonniers.
Corso : C’est vrai.
Sam : Asseyez-vous.
Corso s’assit sur le sol du vaisseau et Sam lui tendit des liens
Sam : Attachez vos jambes avec ça.
Corso en s’exécutant : Je suis désolé, j’aurais dû tout vous dire. Mais j’ai honte de ce sui s’est passé.
Sam : Pourquoi ?
Parce que tout est de ma faute.
Sam : Qu’est-ce que c’est cette histoire ? Donnez-moi vos mains.
Corso : C’est à cause de moi qu’ils se sont emparés du Sebrus. Un des météores a endommagé les systèmes de survis au niveau des cellules. Ils allaient mourir.
Après avoir attaché les mains de Corso, Sam s’éloigna toujours en le tenant en joue avec son zat.
Sam : Qui allait mourir ?
Corso : Les créatures que vous avez vues. Elles ne viennent pas d’ailleurs, elles étaient à bord avec nous. C’était nos prisonniers, des prisonniers de guerre.
Sam : Votre planète et la leur sont ennemie ?
Corso : Oui, mais on a voulu leur faire confiance et en retour ils ont massacrés les nôtres. J’aurais dû vous dire la vérité, mais seulement j’ai eu honte d’admettre que cinq officiers avaient été tués à cause de moi. Ils seraient encore en vie si j’avais laissé les prisonniers mourir. Qu’auriez-vous fait à ma place ?
Sam : Ou est mon talky walky ?
Corso : Sam ?
Sam fit un signe de désapprobation et partit.
Dans la forêt
Teal’c et Jack tenaient toujours Warrick en joue.
Warrick : Pitié ! Ecoutez ma version des faits avant de me tuer.
Jack en s’approchant : Pourquoi on vous tuerait ?
Warrick : Vous avez bien tiré sur mon second.
Teal’c désarma et rangea son arme.
Jack : Tout ce que je voulais, moi, c’était de le blesser. Et c’est vous qui avez commencé, je vous le rappelle.
Warrick : Désolés, nous n’avions pas le choix. Nous ne savions pas quel mensonge ils avaient pu vous raconter.
Teal’c : D’après vous qui sont-ils ?
Warrick : Ce sont des prisonniers en fuite. Le Sebrus était un vaisseau de transport pénitencier. Tout a commencé il y a deux ans, j’avais pour mission d’escorter le prisonnier Aiden Corso et ses deux complices sur une planète prison de haute sécurité. Mais un astéroïde nous a percuté de plein fouet. Nous avons dû nous poser en catastrophe pour réparer les dégâts.
Jack : Et ensuite ?
Warrick : Le vaisseau était endommagé et nous n’avions presque plus d’énergie. Laisser les prisonniers en hibernation serait revenu à les tuer.
Jack : Combien étiez-vous en tout ?
Warrick : Nous étions sept gardiens et trois prisonniers. On se relayait pour les surveiller. Un jour, alors que mon second et moi étions partis chassé Corso et les autres ont trompé la vigilance de mes hommes et les ont massacré. Ensuite ils se sont emparés de l’appareil et ont retourné ses défenses contre nous. Nous n’avions jamais pu reprendre le vaisseau. Corso et ses complices ne nous ont laissé aucune chance, ils n’ont traqué sans répit. Ce sont des monstres assoiffés de sang. Je vous en prie vous devez me croire. Ce sont les criminels les plus cruels de notre planète. Il ne faut surtout pas les laisser s’enfuir.
Jack : Qui est ce ?
Jack tendit la photo qu’il avait trouvée au début à Warrick qui l’a pris et fut tout attendri.
Warrick : Ma chère femme.
Jack : Votre femme ?
Warrick : Althéa. Mon peuple s’appelle les Serrakin, il y a plusieurs milliers d’années nous avons libéré Hébridan du joug des Goa’uld.
Teal’c : Et vous leur avez fait profiter de votre avance technologique.
Warrick : Nous vivons en harmonie avec les humains. Mais il y a toujours des criminels.
Sam à la radio : Mon colonel, c’est Carter répondez.
Jack en s’adressant à Sam par la radio : Oui je vous écoute.
Sam : Il s’est passé quelque chose, je contrôle la situation mais il faut que je vous parle en personne.
Jack : Il faut que je vous parle moi aussi. Attendez-moi. On arrive tout de suite.
Au vaisseau
Sam toujours à la radio : Très bien, je ne bouge pas.
Pender arriva derrière Sam et l’assomma.
Pender : Je préfère m’en assurer.
Pender prit le zat de Sam qui était à terre.
A la porte des étoiles
La porte des étoiles s’activa et SG-15 se posta devant prêt à agir.
Hammond à travers la radio : Major Pierce, ici le général Hammond.
Pierce en s’adressant au général par la radio : Je vous reçois cinq sur cinq mon général.
Hammond : Ne tirez pas. Nous vous envoyons Jonas Quinn et le second du vaisseau Hebridan.
Pierce : Bien reçu.
Jonas et Reynard arrivèrent sur la planète par la porte des étoiles. Puis la porte se referma sur eux.
Pierce à Jack : Colonel O’Neill, ici Pierce. Jonas et notre invité viennent d’arriver mon colonel. Aucune réponse. Ils sont hors de portée.
Jonas : On les retrouvera au vaisseau.
Jonas et Reynard partirent en direction du vaisseau.
Au vaisseau
Pender entra dans le vaisseau. Il trouva Corso ligoté et le détacha.
Corso : Ils savent tout.
Pender : Ouais, je m’en suis douté en te voyant attaché. Reynard et Jonas ne devraient pas tarder.
Corso : Tu t’es occupé de Carter ?
Pender : Oui. On dirait que tes yeux doux ne l’ont pas convaincu.
Corso : Nan, elle est trop maline.
Pender : Ton charme n’est plus ce qu’il était.
Corso : Logique ! Je manque de pratique. N’empêche le vaisseau est réparé.
Pender : On peut décoller ?
Corso : Fait chauffer les moteurs.
Pender s’exécuta et Corso se dirigea vers la sortie.
A côté du vaisseau.
Jonas et Reynard arrivèrent au vaisseau. Quand Jonas vit Sam ligotée et inconsciente au sol, il se précipita vers elle.
Jonas : Carter !
Mais Corso lui tira dessus avec un Zat.
Corso : On peut enfin rentrer chez nous.
Reynard : C’est vrai ?
Corso : Pender est en train de faire chauffer les réacteurs.
Reynard : On verrait mieux d’oublier Hébridan. Tant pis pour le butin qu’on y a planqué, ça ne vaut pas ce que nous offre leur porte des étoiles.
Corso : Je ne comprends pas.
Reynard : Pourquoi risquer de se faire prendre sur Hébridan ? Alors que cette porte nous donne accès à des merveilles qui dépassent notre imagination. On va devenir riche. J’ai lu leurs données, je sais ce que je dis.
Corso : Il y a des soldats autour de la porte.
Reynard : Ce n’est pas un problème. On a des otages.
Quelques temps plus tard, Jack, Teal’c et Warrick arrivèrent non loin du vaisseau. Jack regarda les environ avec des jumelles et vit Sam allongée sur le sol et ligotée à côté du vaisseau.
Warrick : C’est surement un piège, ils ont dû programmer les défenses du vaisseau.
Jack : En tout cas on ne part pas sans elle.
Teal’c : Comment déconnecte-t-on le système de défense ?
Warrick : Pour ça il faut d’abord rentrer dans l’appareil.
Jack : Couvrez-moi !
Teal’c : A vos ordre.
Warrick : Je sais où se trouve les commandes. C’est à moi d’y aller.
Jack : Alors c’est nous qui vous couvrons.
Après un hochement de tête, Warrick se dirigea vers le vaisseau. Pendant ce temps Teal’c et Jack se mirent en position. En arrivé au niveau de Sam, Warrick déclencha le système de défense et un bruit strident émana du vaisseau. Ce bruit était tellement insupportable que Warrick en tomba et parvint au vaisseau avec grande peine. Une fois à l’intérieur il éteignit les défenses.
Warrick : Mmh ah ah (bruit de souffrance).
A l’extérieur du vaisseau, Teal’c et Jack coururent en direction de Sam. Teal’c l’aida à se redresser et lui enleva ses liens.
Sam : Ils ont capturé Jonas. Ils veulent s’enfuir par la porte des étoiles.
Jack : Comment ça va ?
Sam : Gro gui, mais ça va aller.
Teal’c : Je vais rester avec elle O’Neill.
Jack : D’accord.
A la porte des étoiles
Corso : Allez mes amis posaient gentiment vos armes.
Corso arriva avec Pender, Reynard et Jonas en otage. Jonas fit signe à SG-15 d’obéir.
Corso : Obéissez si vous voulez que Jonas reste en vie. Laissez-nous traverser la porte des étoiles sans jouer les héros.
SG-15 s’exécuta.
Pierce : Faites ce que vous voulez. On ne va pas intervenir.
Corso : Je fais toujours ce que je veux. Reynard.
Reynard s’approcha du DHD et composa une adresse.
Jonas : Les coordonnées viennent de mon bureau ?
Reynard : Ouuiii !
Jonas : Alors vous m’avez menti depuis le début.
Reynard : Il y a une chose qui était vrai : vous me plaisez.
La porte des étoiles s’activa.
Corso : Allez en route.
Les trois criminels et Jonas se dirigèrent vers la porte au moment où O’Neill arriva une arme braquée sur eux.
Jack : Ne bougez pas ou je tire !
SG-15 braquèrent leurs armes sur les trois hébridans et ces derniers se retournèrent sur Jack.
Corso : Restez où vous êtes !
Pender : Posez votre arme ou je le tue !
Jonas : Colonel, ça ira. Laissez les partir.
Jack : Il n’en est pas question Jonas.
Jonas (en faisant signe des yeux à Jack qu’il avait le dispositif pour entrer le code pour ouvrir l’iris) : Colonel, faites-moi confiance. Ça va aller.
Jack : Laissez les partir.
Pierce : Quoi ?!
Jack : Obéissez major.
Corso : C’était la meilleure chose à faire.
Tous baissèrent leurs armes et le petit groupe passèrent la porte.
A la base, dans la salle de la porte
En arrivant dans la salle, Jonas partit en courant et lassa les soldats interpeler les trois criminels.
Hammond : Mesdames et messieurs, je vous souhaite la bienvenue sur Terre.
Reynard : Vous saviez que je volerais les coordonnées.
Jonas : Disons que je m’en doutais.
Les soldats emmenèrent hors de la salle les criminels.
Hammond : Bravo Jonas.
Jonas : Merci mon général.
Sur la planète, au vaisseau
SG-1 aidaient Warrick en embarquer du matériel à bord de son vaisseau.
Jack : Vous avez couché les petits ?
Warrick : Ils sont en hibernation. M. Quinn, je voulais vous demander : comment avez-vous su qui était vraiment Reynard ?
Jonas : C’était une sorte d’intuition. Mais je suis tombé sur un détail particulier en travaillant sur les origines du peuple d’hébridan. Les descendants des Celtes, restés sur Terre, ont eux aussi construit un navire appelé le Seberus. Il était affecté au transport des prisonniers hollandais vers les colonies pénitencières. Comme la ressemblance était énorme entre les deux noms, je me suis dit qu’il y avait surement un sens ou une racine commune en ces temps anciens.
Teal’c : L’étymologie est une précieuse alliée.
Jonas : Mmmhhh.
Jack : C’est stupéfiant.
Jonas : Et puis quand une femme m’embrasse spontanément, j’ai toujours tendance à me méfier. (Jack regarda bizarrement Jonas) Bah quoi ?
Warrick : Colonel, je vous dois une fière chandelle. Merci de m’avoir aidé à récupérer mon vaisseau, et de m’avoir fait confiance.
Jack : C’était un plaisir.
Warrick fit un signe de tête au reste de SG-1 pour les remercier et partit à bord de son vaisseau.