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#618 : Les Rescapés

 

Les membres du SG-1 arrivent sur une nouvelle planète où ils rencontrent des humains issus d'une colonie de Celtes. Ces derniers sont apparemment attaqués sans raison par une race d'extra-terrestres inconnue. Carter tente de réparer leur vaisseau, le Ceberus, qui s'est crashé. Jack et Teal'C découvrent que leur bâtiment est une prison. Ils entrent également en contact avec l'un des extra-terrestres qui prétend être...le capitaine du Ceberus...

Popularité


3.5 - 4 votes

Titre VO
Forsaken

Titre VF
Les Rescapés

Première diffusion
21.02.2003

Première diffusion en France
23.05.2003

Vidéos

extrait VO: Sam et Aden corso

extrait VO: Sam et Aden corso

  

Plus de détails

Ecrit par : Damian Kindler.

Réalisé par : Andy Mikita.

Apparitions :

Dion Johnstone (Capitaine Warrick Trevor)

Rob Lee (Pierce/chef De Sg-15)

Trevor Jones (Second Alien)

Martin Cummins (Aden Corso)

Bruce Dawson (Membre De L'équipage)

David Paetkau (Liam Pender)

Sarah Deakins (Tanis Reynard)

618 - Les rescapés

Sg-1 est en mission sur une planète pour observer un phénomène astronomique. En refaisant son lacet, Jack tombe sur la photo d'une femme. Jonas appelle le Colonel et le Major car il a fait une découverte : un vaisseau extraterrestre qui s'est écrasé. Sg-1 part à la recherche de rescapés. Trois personnes pointent alors leurs armes sur l'équipe. Jonas dit qu'ils sont justes des explorateurs pacifiques. Un des hommes se présente : Aden Corso, Capitaine du Sebrus, ainsi que ses acolytes : Tanis Reynards l'officier en second, et Lyle Pender, le navigateur. Jack présente à son tour son équipe. L'équipe du Sebrus explique sa mésaventure. Aden demande si Sg-1 n'a pas de carburant à leur donner. Jonas explique alors qu'ils sont venus ici par la Porte des Etoiles.

Pendant que Carter explique le fonctionnement de la Porte, deux créatures observent la scène, cachées dans les buissons. Jack appelle Sam et Teal'c à l'écart. Elle propose de réparer leur vaisseau pour jeter un œil sur la technologie du Sebrus, plus évolué que celle de la Terre. Jack informe Aden qu'ils sont prêts à les aider, et que si Samantha est incapable de réparer le vaisseau alors ils pourront venir sur Terre. Jack rejoint Teal'c à l'écart du groupe. Ce dernier pense qu'ils sont surveillés.

Dans le vaisseau, Corso montre le fonctionnement du vaisseau. A l'extérieur, Teal'c confirme au Colonel que quelqu'un les observe. Tanis ouvre alors le feu sur les créatures et le combat s'engage. Jack en touche une au niveau de la jambe, mais Lyle l'achève. Tanis est elle aussi touché dans la bataille. A l'intérieur du vaisseau, Corso touche un bouton servant d'alarme. Un son strident se fait entendre et la créature fuit. Jack et Teal'c se dirigent alors vers la créatures mortes. Jack demande des explications à Pender. Il dit que ces créatures tournent autour du vaisseau depuis son crash, et qu'ils ont volé leurs armes. Corso pense qu'ils ont du venir eux aussi par la Porte.

Au SCG, Carter et Jonas ont ramené Reynards pour la soigner. En salle de débriefing, Jonas fait un exposé sur cette civilisation, originaire de l'Ecosse. Carter informe le Général que leur planète en dispose pas de Porte, et qu'ils sont très avancés technologiquement. Hammond autorise Samantha à retourner sur la planete pour réparer le Sebrus.

Sur la planète, Jack questionne Corso sur les créatures sur leurs nombres, leurs tactiques et le nombre d'armes qu'ils ont volé. Carter les rejoint, accompagnée de Sg-15.

Au SGC, Tanis se remet de ses blessures. Jonas lui rend visite à l'infirmerie. Elle le remercie pour ce geste. Puis il la questionne sur sa vie à Hebridan. Elle lui révèle qu'elle est orpheline et que personne ne l'attend sur sa planète. Puis elle le questionne sur la Porte. Mais Jonas reste assez évasif sur le sujet.

Dans le vaisseau, le Major aide Corso à réparer les commandes. Dans la salle des machines, Corso interroge Carter sur ses compétences. Il ne tarit pas d'éloges sur elle. Puis il lui demande pourquoi O'Neill se méfie d'eux. Elle dit que c'est une simple précaution.

Une créature se rapproche du vaisseau pour retirer une plaque que porte la créature morte. Jack la surprend, mais Lyle ouvre le feu et la créature fuit. Jack lui passe un savon. Il ordonne à Sam de rester à l'intérieur du Sebrus.

Dans le Sebrus, Corso et Carter plaisante un peu. Il jette alors un œil sur le zat. Puis il la questionne sur sa vie privée sur Terre. Dans la forêt de la planète, Lyle suggère au Colonel de se séparer pour couvrir plus de terrain. Au SGC, dans son laboratoire, Jonas poursuit la traduction des symboles trouver sur le vaisseau. Il informe le Général que dans le passé, un bateau a déjà porté le même nom. Puis Hammond informe Jonas que le matin même, quelqu'un a forcé le système informatique depuis l'infirmerie. Il soupçonne Reynards et décide d' et décide d'aller l'interroger. Mais Jonas lui suggère autre chose.

Sur la planète, Teal'c et Jack trouvent le campement des créatures. Teal'c lui demande si il croit la version de Corso. Jack lui dit alors qu'il a quelques doutes, et que l'extraterrestre qu'il avait capturé était sur le point de lui parler. Soudain Lyle prévient le Colonel qu'il a retrouvé la créature. Ils se rendent sur place, mais la créature a fuit. Teal'c confirme qu'il est blessé.

Dans le Sebrus, Sam réussi à réparer les systèmes de bord. Puis il discute de la signification de leurs noms respectifs. Corso pense que Sg-1 l'a aidé par simple intérêt, mais Sam lui prouve le contraire. Aden tente alors de la séduire mais elle le repousse.

Au SGC, Jonas fait visiter la base à son invitée. Il lui montre des objets ramenés de missions. Soudain, Tanis le saisit et l'embrasse fougueusement. Jonas est stupéfait par cet acte, mais Tanis lui avoue qu'il lui plait depuis leur rencontre. Puis il la laisse seule dans la pièce car Hammond l'appelle.

Dans le Sebrus, Sam trouve un message de détresse de l'équipage. Elle découvre que ce vaisseau servait à transporter des prisonniers. Elle décide de prévenir Jack mais sa radio a disparu.

Dans les bois, Jack, Teal'c et Pender sont toujours à la recherche de la créature. Teal'c parvient à la retrouver. Jack le rejoint. La créature parle. Il dit s'appeler Warrick, le Capitaine du Sebrus, et que les personnes qu'ils ont rencontrées leur ont menti.

Corso rejoint Sam dans le vaisseau, mais cette dernière le menace avec son zat. Elle lui demande alors la véritable histoire de ce vaisseau. Elle le ligote, puis Aden lui raconte que les créatures qui les pourchassent sont les prisonniers du Sebrus.

De son coté, Warrick leur dit que les humains qu'ils ont rencontrés sont des prisonniers en fuite. Il explique qu'un jour, Corso et sa troupe ont réussi à tromper la vigilance des gardiens et les ont massacré. Depuis, Corso les traque sans répit. Jack lui tend alors la photo qu'il a trouvée. Warrick dit que c'est sa femme : Athea. Il explique que son peuple, les Serrakins, a libéré Hebridan des Goa'ulds. Ils vivent en harmonie. Carter appelle alors Jack par la radio.

De son coté, Carter attend Jack près du Sebrus, mais Lyle l'assomme et lui retire son arme.

Jonas et Tanis reviennent par la Porte sur la planète, et se dirigent vers le vaisseau.

Dans le vaisseau, Lyle libère Corso. Jonas arrive au vaisseau, mais Aden le zat. Tanis l'informe alors de ses découvertes sur la Porte, et des nombreux trésors qu'ils peuvent voler.

Jack, Teal'c et Warrick arrivent près du vaisseau. Warrick explique que pour déconnecter les défenses du vaisseau, il faut y pénétrer. Jack décide d'y aller, mais Warrick insiste car il connaît bien le Sebrus. Mais des qu'il s'en approche, les défenses soniques sont enclenchées. Warrick se plie de douleur, mais parvient à pénétrer dans le vaisseau pour les stopper. Jack et Teal'c se précipitent pour libérer Sam. Elle leur dit que Jonas est leur otage et qu'ils vont fuir par la Porte.

A la Porte des Etoiles, Corso exige que Sg-15 dépose les armes. Jonas fait un petit signe discret au commandant, et ils obéissent. La femme compose les coordonnées. Ils s'approchent de la Porte, mais Jack arrive. Jonas insiste pour qu'il les laisse partir et lui fait un petit signe discret. Jack les laisse partir. Ils franchissent alors la Porte, et arrivent sur Terre. Jonas se doutait de quelques choses.

De retour sur la planète, Warrick dit que les prisonniers sont en hibernation, et remercie Jonas Quinn. Puis il lui demande comment il a su pour Reynard. Jonas explique alors que sur Terre, un bateau portant le même nom servait au transport de prisonniers. Warrick remercie ensuite toute l'équipe et s'envole à bord du Sebrus.

 

Les Rescapés 6.18

 

Sur la planète

Jack en chantonnant arrive vers Sam qui travaille sur son télescope.

Jack : Vous voyez quelque chose dans votre lorgnette ?

Sam : Oui, mon colonel.

Jack en se penchant pour regarder dans le télescope.

Jack : Bah moi je ne vois rien du tout !

Sam : C’est normal. C’est parce qu’il fait encore jour.

Jack : Ahhh !

Sam : Mais dès que le soleil sera couché vous verrez les iridescentes de la haute atmosphère dû aux rencontres des diverses couches de gaz ionisés en expansion.

Jack : Ah, c’est fascinant !

Sam : Vous vous en fichez, hein ?

Jack : Non, non, j’ai hâte de voir votre machin du haut truc.

Sam en riant.

Sam : Pour votre information, il fera nuit dans 5 heures environ.

Jack : Mmmhh mmmhh.

Jack s’assoit pour remettre son pantalon et examine la photo d’une femme qu’il a trouvé par terre.

Jack : Carter !

Sam : Oui mon colonel.

Jack : C’est bien la toute première fois qu’on vient sur cette planète ? Non, je veux dire nous les humains.

Sam : Bah oui, pourquoi ?

Jack : Non, parce que …

Jack est interrompu par un appel de Jonas à la radio.

Jonas : Colonel, Major, venez vite voir ça.

Jack : Jonas, il faudrait d’abord savoir où êtes.

Jonas : Euh oui, pardon. On est à l’est de votre position.

Sam et Jack rejoignirent Jonas devant un vaisseau inconnu.

Jonas : C’est un vaisseau qui s’est écrasé.

Jack : Ca a dû être un sacré choc.

Les 3 militaires se rapprochèrent du vaisseau à l’endroit où Teal’c examinait le vaisseau.

Jack : Teal’c, vous reconnaissez cette engin ?

Teal’c : C’est la première fois que je vois un vaisseau de ce genre. Il n’est pas d’origine Goa’uld.

Sam : Il n’est pas non plus Asgard, ni Tollan.

Jonas : Les symboles sur la coque ressemblent à du celte ancien.

Sam en s’approchant d’une ouverture.

Sam : Il y a quelqu’un ? Apparemment  il n’y a pas de survivant.

Corso : Si ! Il en a trois !

SG-1 se retournèrent en brandissant leur armes sur trois inconnus eux aussi armés.

Générique

Jack : Qui êtes-vous ?

Corso : J’allais vous le demander.

Jonas : Nous explorons cette planète, c’est tout. Nous n’avons pas l’intention de nous battre.

Jack : On est tout de même prêt à se battre.

Tous baissèrent leurs armes et se rapprochèrent.

Corso : Je m’appelle Aiden Corso, je suis le capitaine du Sebrus. Voici mon officier en second Tanis Reynard et notre navigateur Lyall Pender.

Jack : Colonel Jack O’Neill de l’armée de l’air des Etats-Unis, Teal’c, le major Carter et Jonas Quinn.

Sam : Nous venons d’une planète qui s’appelle la Terre.

Pender : C’est où ça ?

Sam : C’est …

Jack : Dans un coin charmant, on est très content.

Corso : Je n’en doute pas. Désoles de cet accueil un peu rude, mais vous nous avez surpris.

Reynard : On ne vous a pas entendu vous poser.

Jack : Non, c’est normal.

Sam : Vous êtes là depuis longtemps ?

Corso : Trop longtemps !

Jonas se retournant pour voir le vaisseau.

Jonas : Alors vous vous êtes écrasés ?

Pender : Disons qu’on s’est posé en catastrophe.

Reynard : On est sorti de l’hyper-espace au beau milieu d’une nuée de météores. On a été forcé de se poser ici le temps de réparer.

Pender : Mais l’atterrissage a provoqué une fuite des réacteurs et nous avons perdu presque toute notre réserve de carburant.

Corso : Vous n’auriez pas de l’énergie en trop dans votre vaisseau, par hasard ?

Jack : De l’énergie ?

Pender : Oui, nous avons besoins d’une certaine puissance pour redémarrer la centrale de propulsion. Là il nous reste juste de quoi alimenter les fonctions de base.

Sam : Et les communications ?

Reynard : Notre antenne a été détruite.

Corso : Nous n’avons pas eu le temps d’envoyer un signal de détresse et le pire c’est que nous sommes proche de Hebridan, notre planète d’origine. Mais peut-être que votre vaisseau pourrait nous y emmener.

Jack : C’est bien ça le problème.

Teal’c : Nous ne sommes pas venus jusqu’ici à bord d’un vaisseau.

Jonas : Oui nous sommes venus à pieds, par la porte des étoiles.

Corso : De quoi vous parlez ?

Jack : L’espèce de gros cerceau, vous savez là au milieu de la forêt.

Corso : Justement on se demandait ce que c’était.

Sam : C’est une sorte de portail de transfert.

Corso : Ca explique beaucoup de choses.

Jonas : J’en déduis qu’il n’y en n’a pas sur votre monde.

Corso : En tout cas pas que je sache. Donc pas de vaisseau spatial ?

Jack : Désolés.

Pendant que SG-1 et les trois étrangers discutaient, deux personnes les observaient.

Corso : Et comment fonctionne votre porte des étoiles ?

Sam : C’est simple, chaque porte est représentée par une série de coordonnées qui permettent de la localiser dans l’espace.

Jonas : Il suffit de rentrer les symboles associés à ces coordonnées pour relier deux portes entre elles.

Jack : Carter, Teal’c. Veuillez nous excuser, on revient tout de suite.

Jack leur fit signe de le rejoindre et s’éloignèrent un peu.

Jack : Alors qu’est-ce que vous en pensez ?

Teal’c : Nous devrions les ramener avec nous sur Terre.

Sam : Ou les aider à réparer leur vaisseau. A priori, ce n’est pas compliqué. Je ne sais ce qu’ils utilisent comme carburant mais on trouvera un équivalent sur Terre. On pourra peut-être recharger leur batterie avec un chargeur à naquadah. Il suffirait que je jette un œil sur leur technologie.

Jack : Mais, mmhh, pourquoi on se donnerait tout ce mal ?

Sam : Justement pour jeter un œil sur leur technologie ! On voit bien qu’ils maitrisent le vol spatial beaucoup mieux que nous. Peut-être qu’ils accepteront de partager leur savoir si on leur rend service.

Jack : D’accord. Allez réparer leur engin en leur montrant bien quel grand service on leur rend.

Ils rejoignirent alors  le reste du groupe.

Teal’c : Les celtes étaient un peuple de guerriers farouches. Leurs descendants seraient de très précieux alliés.

Jack : Je vous ai déjà dit que Braveheart était un film Teal’c. Mais guerriers ou pas on va vous donner un coup de main. Carter va tacher de réparer votre vaisseau, mais si on ne peut rien faire de ce côté-là, vous serez les biens venus sur Terre.

Corso : Merci beaucoup colonel, nous aimerions en apprendre plus sur votre civilisation et sur la porte des étoiles, mais s’y nous avons le choix, rentrer sur notre planéte est notre priorité numéro un.

Carter : Je vais faire le maximum.

Corso : Allons s’y.

Tout le monde s’en va sauf Teal’c. Jack le rejoint.

Jack : Qu’est-ce qu’il y a ?

Teal’c : J’ai l’impression qu’on nous surveille.

Jack : Alors montez la garde.

Teal’c : Avec joie.

Dans le vaisseau

Sam et Corso entre dans le vaisseau.

Carter : Ça fonctionne comment ?

Corso : C’est à mon ingénieur en chef qu’il faudrait demander ça. Mais il est mort. Il faudra qu’on se débrouille.

Hors du vaisseau

Jack laissa Jonas avec Reynard et Pender, et rattrapa Teal’c.

Jack : Alors ? Quoi de neuf ?

Teal’c : Quelque chose bouge dans les fourets.

Reynard : Poussez-vous ! Vite !

Reynard ouvre le feu en direction de la forêt.

Reynard : Corso !!

Ils se mettent tous à terre. Un violent échange de coup a lieu entre les créatures et SG-1 aidé des trois étrangers. Sam sort du vaisseau et rejoint le groupe au sol. Jack tire dans la jambe de l’un des assaillants, mais Pender le tue. La deuxième créature, en colère, tire dans l’épaule de Reynard qui s’effondre et Sam riposte. A l’intérieur du vaisseau Corso rampe vers le panneau de contrôle et enclenche un bouton. Ceci a pour effet de créer un bruit aigu qui fait fuir la créature et gène les humains. Après l’avoir arrêté Corso sort du vaisseau, les autres se relèvent et se dirigent vers Reynard.

Corso : Il s’est enfuit?

Pender : Oui !

Teal’c, Pender et Jack vont voir la créature.

Teal’c : La créature est morte.

Jack : Vous pouvez me dire ce qui se passé ici ?

Pender : Ça fait un moment que ces espèces de monstres nous attaquent.

Jack : Avec vos propres armes ? Expliquez-moi.

Pendant que Sam tente de stabiliser Reynard, Corso rejoint Jack qui revient vers le groupe.

Corso : Je vous demande pardon, on aurait dû vous prévenir. Mais depuis quelque temps, ils n’attaquaient plus, alors on pensait qu’ils avaient renonécé.

Jack : Mais d’abord qui sont-ils ?

Corso : Malheureusement je n’en sais rien. Mais ils ont déjà massacré cinq membres de notre équipage. Ils ont accroché leur corps mutilés dans les arbres. Tous ce que nous savons, c’est que se sont des sauvages.

Jack : D’où est ce qu’ils viennent ?

Corso : Aucune idée. Nous n’avons vu aucune créature pensante sur cette planète.

Pender : On n’a pas vu de vaisseaux non plus.

Corso : Mais puisque vous dites qu’on peut voyager grâce à cette porte des étoiles, ils sont surement passés par là eux aussi.

Sam en aidant Reynard qui souffre.

Sam : Votre second a besoins de soins d’urgence.

Jack : Dans ce cas, on va l’emmener avec nous.

Jonas et Sam soutiennent Reynard pour l’aider à se lever.

Corso : Colonel je vous Reynard. Moi je dois rester ici pour protéger mon appareil. Non seulement ce vaisseau est notre seule chance de rentrer un jour chez nous, mais en plus je refuse de l’abandonner à ces monstres qui ont massacré mes hommes. Notre bouclier sonique les repoussera encore un moment.

Jack : C’est insupportable votre truc.

Corso : Je vais rester ici avec Pender le temps que vous apportiez de quoi nous aider à réparer.

Jack : D’accord. Carter, Jonas, aidez là. Teal’c et moi, on vous escorte. On n’en a pas pour longtemps.

Corso : A tout à l’heure.

Pendant que SG-1 s’en allèrent avec la blessée, la créature continuait de les observer.

A la base, dans la salle de briefing

Jonas : Leur planète s’appelle Hebridan, il y a de bonnes chances pour que les ancêtres de ce peuple aient été capturés dans les iles Hébrides au nord-ouest des côtes de l’Ecosse.

Sam : A priori, leur planète ne dispose pas d’une porte des étoiles active. Ils ne savaient même ce que c’était.

Hammond : Dans ce cas comment ont-ils pu se retrouver là-bas ?

Sam : Peut-être qu’il y avait une porte des étoiles que les Goa’uld ont emmené avec eux en abandonnant Hebridan.

Jonas : La plus grande question, c’est comment ont-ils pu atteindre un pareil niveau de technologie ?

Sam : Il est clair que leur vaisseau dépasse de long nos appareils les plus avancés. Ces réacteurs fonctionnent grâce à un flux d’ions propulsé à grande vitesse par une sorte de matrice électromagnétique quand on …

Hammond : Dite moi plutôt ce que vous pensez d’eux personnellement.

Sam : Je suis raisonnablement confiante.

Hammond : Vous pouvez réparer leur vaisseau ?

Sam : Il suffit de recharger leurs batteries et avec notre générateur à Naquadah, alors ça ne devrait pas poser de problèmes, mon général.

Hammond : Prenez tout ce qu’il vous faut.

Sam : Merci mon général.

Hammond : Et emmenez SG-15 avec vous.

Sam : A vos ordres.

Sur la planète

Teal’c, Jack, Corso et Pender sont autour du corps de la créature.

Jack : Vous leur avez donné un nom ?

Corso : Plusieurs même, mais ils sont tous assez grossiers.

Jack : Quels armes avaient-ils avant de voler les vôtres ?

Corso : Aucune idée. Les hommes qui sont tombés entre leurs griffes ne sont jamais revenus. Nos armes ont dû leur plaire.

Jack : Ils en ont volé combien ?

Corso : Huit tout neuf.

Jack : Et ils se déplacent toujours par deux ?

Corso : Eux n’étaient que des éclaireurs, ils voulaient surement tester vos armes.

Pender : Je ne les trouve pas très efficace.

Jack : J’avais visé sa jambe exprès.

Corso : Grâce à vous le deuxième est allé prévenir ses petits camarades.

Jack : Binh voyons, je serais curieux de voir ça.

Jack se leva et parti suivi des autres.

Je ne vous mens pas colonel, il va rassembler ses troupes et revenir en force.

Ils rencontrèrent Sam et SG-15 de retour de la Terre.

Sam : Mon colonel. Le général nous a envoyé SG-15 en renfort.

Pierce : Les deux autres gardent la porte des étoiles.

Jack : Bien. Nous affrontons un nombre inconnu d’ennemis qui, d’après ce qu’on nous a dit, seraient dangereux.

Pierce : Nous ouvrirons l’œil mon colonel.

Sam : J’ai tout le matériel pour réparer leur vaisseau, il n’y a plus qu’à le porter à l’intérieur.

Teal’c : J’y vais.

A la base, à l’infirmerie

Reynard, allongée dans un lit se réveille et Jonas s’approche d’elle.

Jonas : Ça va ?

Reynard : Oui beaucoup mieux. Je ne saigne plus et la douleur a presque disparue. Vos médecins sont très compétents. Je serais sur pieds dans très peu de temps.

Jonas : Tant mieux.

Reynard : Je vous dois une fière chandelle.

Jonas : C’est rien. Vous en auriez fait autant pour moi. Et sinon, il y a quelqu’un qui vous attend sur votre planète ?

Reynard : Vous allez croire que je veux vous apitoyez, mais mes parents sont morts quand j’étais enfant, et j’ai passé ma vie à faire la navette entre les ports spatiaux depuis que j’ai quitté l’école militaire. Alors non je n’ai ni amis, ni famille, à part Corso et Pender. Alors Jonas, dite moi, cette porte des étoiles d’où vient-elle ? Et es ce qu’elle fonctionne ?

On ne sait pas grand-chose, on a découvert que la porte créait une sorte de déchirure spatio-temporelle donnant accès à l’hyper-espace. On appelle ça un trou de verre ou encore un vortex, c’est comme un tunnel qui permet de traverser de grandes distances en un éclair.

Reynard : Est-ce qu’il y a des portes des étoiles dans toute la galaxie ?

Jonas : A priori oui.

Reynard : Et vous avez rencontré d’autres humains grâce à elle ?

Jonas : Souvent oui, très souvent, certains sont primitifs, d’autres plus avancés. Et il y a aussi des non humains, mais ça vous le savez déjà. Certains sont devenus des amis, d’autres des ennemis mortels. Mais ça a beau être très dangereux, ça reste une belle expérience.

Reynard : Oui, ça en a l’air.

Sur la planète

Dans le vaisseau

Sam et Corso tente de réparer le vaisseau

Corso : On ne sait même pas dans quel état sont nos réacteurs et nos équipements de survie. On a branché les systèmes de défense directement sur la matrice, mais sans ordinateur de bord on ne peut pas contrôler quoi que ce soit.

Carter : Alors il faut avant tout donner assez de puissance pour que l’ordinateur puisse rebouter et lancer les programmes de diagnostic système. Et pour ça on va utiliser comme matrice le générateur que j’ai ramené de notre planète.

Corso : Allons à la salle des machines.

Ils se levèrent et se dirigèrent vers la salle des machines.

Corso : J’essayerai de vous aider, mais d’habitude je me contente de donner des ordres : faites ci ! Réparez ça ! Posez-vous en douceur. Malheureusement on ne m’obéit pas toujours.

Corso déposa le matériel de Carter sur le sol et ouvrit une trappe donnant accès à la centrale énergétique.

Corso : Ca s’est notre centrale énergétique.

Carter : Oh ! C’est une conception standard. Je pense que je vais réussir à bricoler quelque chose.

Corso : Impressionnant ! Je croyais que votre technologie était moins avancée que la nôtre, mais ça n’a l’air de vous effrayer plus que ça.

Carter : Vous avez de la chance, vous êtes tombés sur les seuls habitants de la Terre à avoir déjà un vaisseau spatial. Et la procédure est assez simple, on va tout bêtement enfoncer votre câble dans ma matrice.

Corso : Avec grand plaisir …

Carter : Je devrais réfléchir avant de parler.

Corso : Votre curriculum est impressionnant vous savez. Vous êtes officier dans l’armée de votre planète, vous êtes une grande scientifique, une exploratrice et en plus vous êtes un mécano hors pair.

Carter : Et je fais un super soufflet.

Corso : Un quoi ?

Carter : Ah, c’est un plan raffiné que peu de gens savent préparer.

Corso : Hum, et vous êtes aussi drôle, charmante et incomparablement belle. Excusez-moi je ne voulais pas vous offenser. C’est une tradition chez nous, quand on est perdu sur une planète hostile et quelqu’un répare notre appareil, on lui fait des compliments pendant des heures.

Carter : Passez-moi le truc gris.

Corso : Tout de suite.

Carter : Merci, et continuez vos traditions me plaisent.

Corso : Pourquoi le colonel O’Neill ne nous fait-il pas confiance ?

Carter : Parce que nous nous méfions toujours des inconnus. C’est un principe qui nous a sauvés la vie à plusieurs reprises par le passé.

Corso : Alors pourquoi avoir accepté de nous aider ?

Carter : Parce que vous en aviez besoins, et qu’il faut bien faire le premier pas. Pour se faire des amis on est obligé de prendre le risque.

Hors du vaisseau

Une des créatures s’approche furtivement du corps de son ami mort et prend quelque chose sur sa poitrine. Quand Jack surgit derrière elle et la menace de son arme.

Jack : Coucou.

La créature s’appétait à dire quelque chose, mais Pender fait feu sur eux et fait fuir la créature. Pender et Teal’c arrive à la hauteur de Jack.

Jack : Hey ! Cessez le feu !

Pender : Pourquoi vous le laissez s’enfuir ?

Jack : Je ne l’ai pas laissé s’enfuir, je le voulais vivant !

Pender : Mais pourquoi faire ?

Jack : Parce que je tiens à savoir contre quel genre d’ennemis on est en train de se battre.

Pender : Je sais déjà tout ce qu’il y a à savoir ! Si vous aviez vu de quoi ils sont capables vous n’auriez pas envie d’en apprendre plus !

Pender partit à la pourchasse de la créature.

Jack : Ce n’est pas vrai. (En s’adressant à Teal’c) Suivez-le.

Teal’c partit à la suite de Pender et Jack appela Carter à la radio.

Jack : Carter.

Carter : Oui mon colonel.

Jack : On a repéré une des créatures, on part à sa poursuite.

Jack partit en courant.

Dans le vaisseau

Carter : Compris mon colonel.

Corso : vous ne risquez rien ici.

Carter toujours à la radio : Dans le vaisseau on est à l’abri.

Jack à travers la radio : Alors restez s’y.

Etant donné la chaleur, Carter commença à enlever son gilet et son manteau et continua les réparations.

Carter : désolés, ne vous attendez pas à ce que j’enlève le reste.

Corso : Il y a un moment que je suis coincé ici, avec un navigateur râleur et un officier en second qui n’aime pas trop les hommes. Mais je pense tout de même pouvoir me contrôler. Je peux voir votre arme ?

Corso et Sam se penchèrent pour examiner le Zat.

Corso : Ca ne ressemble pas du tout à vos fusils.

Carter : C’est un Zat’nik’tel, une arme extra-terrestre. La première charge étourdie, la seconde tue.

Corso : Est-ce que vous avez un petit ami sur Terre ?

Carter : Je ne vois pas en quoi ça vous regarde.

Corso : Sur Hebridan aussi, c’est le genre de réponse qui veut dire non.

Après s’être relevé, Sam regarda fixement Corso.

Corso : Désolés, à vous de choisir de quoi on va parler.

Dans la forêt

Teal’c, Jack et Pender recherchent la créature.

Pender : Colonel, on couvrira plus de terrain en se séparant. Grâce à ça on restera en contact permanent (en montrant la radio).

Jack : d’accord, mais ne vous éloignez pas trop.

Pender partit en courant de son côté.

A la base, dans le laboratoire de Jonas

Jonas travaillais à son bureau sur la signification du mot « Sebrus »  et l’histoire du peuple Hébridan, quand Hammond entra.

Jonas : Mon général.

Hammond : Je voulais vous voir. Vous avez du nouveau ?

Jonas : Il avait un navire qui avait le même nom que le vaisseau spatial Hébridan. L’orthographe a évoluée, mais la prononciation est identique.

Hammond : Est-ce une simple coïncidence ?

Jonas : Je ne sais pas trop. Pourquoi vouliez-vous me voir ?

Hammond : A 6h25 ce matin, quelqu’un a consulté des dossiers confidentiels sur notre réseau informatique à partir d’un ordinateur qui se trouve dans un bureau situé près de l’infirmerie.

Jonas : Vous soupçonnez donc notre invité.

Hammond : Est-ce que vous pensez qu’elle est capable ?

Jonas : J’en sais rien tout est possible.

Hammond : Je vais aller l’interroger personnellement.

Jonas : D’accord.

Le général s’apprêtant à sortir du laboratoire de Jonas.

Jonas : Mon général.

Hammond : Mmhh.

Jonas : Si vous permettez. Je crois que j’ai une idée.

Sur la planète

Dans la forêt

Jack et Teal’c, en cherchant la créature, découvrirent un campement.

Jack : Ça doit être le campement de ces créatures.

Teal’c : Si elle voyage par la porte, pourquoi établir un campement ici ?

Jack : Bah, ça pour une question, c’est une bonne question.

Teal’c : Vous non plus vous ne croyez pas ce que les Hébridans nous ont dit ?

Jack en fouillant dans les affaires du campement.

Jack : Si seulement j’avais capturé cet extra-terrestre. J’ai eu l’impression qu’il voulait me parler, mais notre nouvel ami lui a tiré dessus trop tôt.

Teal’c : Cet équipement semble venir du sebrus.

Jack secoua un petit sac et découvrit plusieurs insignes comme celui que la créature avait enlevé du corps de son ami.

Jack : Ouais.

Ils entendirent des coups de feu quand Pender appela Jack à la radio.

Pender (dans la radio) : Colonel, il est là. Je le tiens.

Teal’c et Jack rejoignirent alors Pender qui tirait toujours dans la direction de la créature.

Jack : Pender ! Pender ! J’ai dit que je le voulais vivant !

Teal’c le stoppa et alla voir un peu plus loin.

Jack : Ou est-il ?

Pender : Il était juste là.

Jack : Ça fait deux fois qu’il s’échappe.

Pender : Non, je l’ai touché, j’en suis sûr.

Jack (à Teal’c) : Vous voyez des traces ?

Teal’c '(en examinant des traces sur une souche) : Je pense qu’il est blessé, O’Neill.

Jack partit rejoindre Teal’c, tandis que Pender resta sur place.

Pender : Je vous l’avais dit.

Dans le vaisseau

Sam et Corso essayaient toujours de réparer le vaisseau.

Sam : Si je reconnecte ces deux fils, ça devrait marcher.

Corso : Allez si ! Je vous fais confiance.

Sam rebrancha des câbles et le système se remit en route.

Corso : Wouahou !

Sam : Il n’y a plus qu’a espéré que ça tienne.

Corso : On va voir ça.

Corso réussit à faire redémarrer le vaisseau.

Corso : C’est fantastique ! AAHH !

Sam : Allez capitaine ! Reboutez le système.

Corso : Appelez-moi Aiden.

Sam : Si vous voulez.

Corso : Il faut fêter ce jour comme il se doit. Il y a peu, je le gardais pour une grande occasion. Tenez.

Corso tendit une fiole à Sam

Sam : Non merci.

Corso : Allez un petit coup.

Sam : Désolés je ne bois pas pendant le service.

Corso : D’accord. Bon bah alors je boirais pour nous deux. Aux nouveaux amis ! Et surtout à vous, major Carter.

Sam : Vous savez mes amis m’appelle Sam.

Corso : Sam ! C’est joli.

Sam : En fait c’est le diminutif de Samantha.

Corso : C’est encore plus joli. Pourquoi vous a-t-on appelé Sam ? Ça veut dire quelque chose ?

Sam : Ca veut dire que mon père voulait un garçon. Et vous votre nom a-t-il un sens particulier ?

Corso : Mon père m’a donné le nom de mon oncle Aiden qui s’est noyé en plongeant dans une rivière classée. Et Corso, notre nom de famille, signifie en gros « ça sent comme un oiseau mort » en ancien Hébridan. On n’appartient pas à la haute société de notre planète.

Sam : Mais je suis sûr que tous les Corso seront ravi de vous revoir.

Corso : Ça m’étonnerait. J’ai passé je ne sais combien de temps à rêver que je quitterai enfin cette planète. Mais aujourd’hui, je regrette que vous ayez réparé si vite.

Sam : Ne vous inquiété pas Aiden, on se reverra.

Corso : Oui bien sûr. Vous viendrez bien jeter un œil à toutes nos merveilles technologiques.

Sam : Vous vous trompez complétement.

Corso : En quoi ?

Sam : Vous croyez qu’on vous a aidé par intérêt ?

Corso : Non, ça doit être que vous me trouviez sympathique.

Sam : Entre autres.

Corso : Vous savez Sam. C’est la première fois que je rencontre une femme comme vous.

Sam : Aiden !

Corso : Vous avez raison. Tout ça doit rester purement professionnel. Major !

Corso quitta Sam et sortit du vaisseau.

A la base, dans les couloirs

Jonas fait visiter la base à Reynard suivis de deux gardes.

Reynard : Votre base est impressionnante.

Jonas : C’est gentil, mais ça m’embête de vous faire marcher dans votre état.

Reynard : Non, ça va. On continue.

Jonas : D’accord.

Dans le bureau de Jonas

Jonas et Reynard entrent dans le bureau

Jonas : Euhh, alors bah là c’est mon bureau. En rangeant son bureau rempli des trésors des Goa’uld. C’est très mal rangé, désolès. Je travaillais sur des artéfacts que nous venons tout juste de ramener de P-4X131. Oh, c’est un code alpha numérique qui désigne les planètes que nos équipes d’exploration visitent.

Reynard: Ils sont magnifiques.

Jonas : Oui, les Goa’uld adorent tout ce qui brille. Ils ont disséminé de l’or et des joyaux partout dans toute la galaxie.

Reynard stoppa Jonas et l’embrassa. Jonas surpris en fit tomber ce qu’il avait dans les bras.

Reynard : Désolés !

Jonas gêné en ramassant ce qu’il avait fait tomber : Non, non, c’est rien. Vous savez c’est, c’est costaux ces machins-là. De toute façon, c’est ma faute, je n’aurais pas dû tout lâcher. J’ai été surpris !

Reynard : Pourtant ça devait arriver.

Jonas : Euh, qu’est ce qui devait arriver ? Je ne comprends pas, désolés.

Reynard : Depuis le début, il était évident que le courant était passé entre nous.

Jonas très embarrassé : Ah oui ! Ah c’est vrai ! Ha, ha. Je, je suis désolé, je n’avais rien vu.

Reynard : Excusez-moi ! Je croyais que je vous plaisais autant que vous me plaisez.

Jonas : Oh, ce n’est pas ça, vous me plaisez, je vous assure. Mais, euh, je ne m’y attendais vraiment pas. Je, enfin je veux dire, on se connait à peine et en plus vous êtes blessé. Alors tout ça me semble un peu précipiter.

Reynard : J’espère que vous ne dites pas que je m’intéresse à vous uniquement parce que vous m’avez sauvé la vie. Ça n’a rien à voir. Je vous trouvez séduisant longtemps avant de me faire tirer dessus.

La sonnerie du téléphone retentit et interrompit la discussion.

Reynard : Ce ne serait pas à vous que s’adresse ce signal sonore ?

Jonas : Oh si, c’est le téléphone. Jonas alla répondre. Oui ici Jonas. Euh oui mon général. J’arrive tout de suite. En s’adressant à Reynard. Il faut que j’aille voir le général Hammond. Je pense que je n’en ai pas pour longtemps. Ça ne vous ennuie pas de m’attendre ici quelques minutes.

Reynard : Du tout ! Et je ne suis pas toute seule de toute façon.

Jonas : Bien, on en reprendra là où on en était.

Reynard : D’accord.

Après le départ de Jonas, Reynard en profita pour observer ce qu’il y avait sur l’ordinateur et ce qu’il avait autour.

Sur la planète

Dans le vaisseau

Sam pianotait sur l’écran de l’ordinateur de bord.

Sam : C’est bon. Et maintenant si je relance le système.

Soudain l’écran se fit tout noir et des sigles clignotant apparièrent puis une vidéo d’un homme.

Officier du vaisseau : Sebrus demande assistance d’urgence. Nous avons été percutés par des météorites et nous devons nous poser en catastrophe. Je répète, ici le vaisseau de transport de prisonniers Sebrus, nous avons besoins d’aide. Sam fit marche arrière sur la vidéo. Je répète, ici le vaisseau de transport de prisonnier Sebrus.

Sam surprise attrapa en vitesse son gilet et découvrit que sa radio avait disparu.

Sam : Roh, ce n’est pas vrai !

Dans la forêt

Teal’c et Jack étaient toujours à la recherche de la créature.

Jack, dans la radio : Pender. Pender ici O’Neill. Je croyais vous avoir dit de rester à proximité. Pender répondez moi. A lui-même. A bravo !

Teal’c, scrutant les horizons, entendit un bruit et se retourna sur la créature en armant son arme. Jack arriva derrière la créature.

Jack : Doucement, personne ne s’énerve.

Je ne vous veux aucun mal.

Jack : Alors pourquoi gardez-vous mon ami en joue ?

Warrick en baissant son arme : Je vous en prie. Ne me tuez pas. Ils vous ont menti, je vous le jure.

Jack : Et bien voyons.

Warrick : Je m’appelle Warrick, je suis le capitaine du Sebrus.

Dans le vaisseau

Corso entra dans le vaisseau et fut surpris de ne pas voir Sam.  Cette dernière braqua son Zat sur Corso.

Sam : Les mains en l’air !

Corso : Sam.

Sam : Appelez-moi major.

Corso en se retournant : Sam.

Sam : Je vous ai dit de lever les mains.

Corso : c’est un malentendu.

Sam : Expliquez-moi.

Corso : C’est une longue histoire.

Sam : Cet appareil transportait des prisonniers.

Corso : C’est vrai.

Sam : Asseyez-vous.

Corso s’assit sur le sol du vaisseau et Sam lui tendit des liens

Sam : Attachez vos jambes avec ça.

Corso en s’exécutant : Je suis désolé, j’aurais dû tout vous dire. Mais j’ai honte de ce sui s’est passé.

Sam : Pourquoi ?

Parce que tout est de  ma faute.

Sam : Qu’est-ce que c’est cette histoire ? Donnez-moi vos mains.

Corso : C’est à cause de moi qu’ils se sont emparés du Sebrus. Un des météores a endommagé les systèmes de survis au niveau des cellules. Ils allaient mourir.

Après avoir attaché les mains de Corso, Sam s’éloigna toujours en le tenant en joue avec son zat.

Sam : Qui allait mourir ?

Corso : Les créatures que vous avez vues. Elles ne viennent pas d’ailleurs, elles étaient à bord avec nous. C’était nos prisonniers, des prisonniers de guerre.

Sam : Votre planète et la leur sont ennemie ?

Corso : Oui, mais on a voulu leur faire confiance et en retour ils ont massacrés les nôtres. J’aurais dû vous dire la vérité, mais seulement j’ai eu honte d’admettre que cinq officiers avaient été tués à cause de moi. Ils seraient encore en vie si j’avais laissé les prisonniers mourir. Qu’auriez-vous fait à ma place ?

Sam : Ou est mon talky walky ?

Corso : Sam ?

Sam fit un signe de désapprobation et partit.

 Dans la forêt

Teal’c et Jack tenaient toujours Warrick en joue.

Warrick : Pitié ! Ecoutez ma version des faits avant de me tuer.

Jack en s’approchant : Pourquoi on vous tuerait ?

Warrick : Vous avez bien tiré sur mon second.

Teal’c désarma et rangea son arme.

Jack : Tout ce que je voulais, moi, c’était de le blesser. Et c’est vous qui avez commencé, je vous le rappelle.

Warrick : Désolés, nous n’avions pas le choix. Nous ne savions pas quel mensonge ils avaient pu vous raconter.

Teal’c : D’après vous qui sont-ils ?

Warrick : Ce sont des prisonniers en fuite. Le Sebrus était un vaisseau de transport pénitencier. Tout a commencé il y a deux ans, j’avais pour mission d’escorter le prisonnier Aiden Corso et ses deux complices sur une planète prison de haute sécurité. Mais un astéroïde nous a percuté de plein fouet. Nous avons dû nous poser en catastrophe pour réparer les dégâts.

Jack : Et ensuite ?

Warrick : Le vaisseau était endommagé et nous n’avions presque plus d’énergie. Laisser les prisonniers en hibernation serait revenu à les tuer.

Jack : Combien étiez-vous en tout ?

Warrick : Nous étions sept gardiens et trois prisonniers. On se relayait pour les surveiller. Un jour, alors que mon second et moi étions partis chassé Corso et les autres ont trompé la vigilance de mes hommes et les ont massacré. Ensuite ils se sont emparés de l’appareil et ont retourné ses défenses contre nous. Nous n’avions jamais pu reprendre le vaisseau. Corso et ses complices ne nous ont laissé aucune chance, ils n’ont traqué sans répit. Ce sont des monstres assoiffés de sang. Je vous en prie vous devez me croire. Ce sont les criminels les plus cruels de notre planète. Il ne faut surtout pas les laisser s’enfuir.

Jack : Qui est ce ?

Jack tendit la photo qu’il avait trouvée au début à Warrick qui l’a pris et fut tout attendri.

Warrick : Ma chère femme.

Jack : Votre femme ?

Warrick : Althéa. Mon peuple s’appelle les Serrakin, il y a plusieurs milliers d’années nous avons libéré Hébridan du joug des Goa’uld.

Teal’c : Et vous leur avez fait profiter de votre avance technologique.

Warrick : Nous vivons en harmonie avec les humains. Mais il y a toujours des criminels.

Sam à la radio : Mon colonel, c’est Carter répondez.

Jack en s’adressant à Sam par la radio : Oui je vous écoute.

Sam : Il s’est passé quelque chose, je contrôle la situation mais il faut que je vous parle en personne.

Jack : Il faut que je vous parle moi aussi. Attendez-moi. On arrive tout de suite.

Au vaisseau

Sam toujours à la radio : Très bien, je ne bouge pas.

Pender arriva derrière Sam et l’assomma. 

Pender : Je préfère m’en assurer.

Pender prit le zat de Sam qui était à terre.

A la porte des étoiles

La porte des étoiles s’activa et SG-15 se posta devant prêt à agir.

Hammond à travers la radio : Major Pierce, ici le général Hammond.

Pierce en s’adressant au général par la radio : Je vous reçois cinq sur cinq mon général.

Hammond : Ne tirez pas. Nous vous envoyons Jonas Quinn et le second du vaisseau Hebridan.

Pierce : Bien reçu.

Jonas et Reynard arrivèrent sur la planète par la porte des étoiles. Puis la porte se referma sur eux.

Pierce à Jack : Colonel O’Neill, ici Pierce. Jonas et notre invité viennent d’arriver mon colonel. Aucune réponse. Ils sont hors de portée.

Jonas : On les retrouvera au vaisseau.

Jonas et Reynard partirent en direction du vaisseau.

Au vaisseau

Pender entra dans le vaisseau. Il trouva Corso ligoté et le détacha.

Corso : Ils savent tout.

Pender : Ouais, je m’en suis douté en te voyant attaché. Reynard et Jonas ne devraient pas tarder.

Corso : Tu t’es occupé de Carter ?

Pender : Oui. On dirait que tes yeux doux ne l’ont pas convaincu.

Corso : Nan, elle est trop maline.

Pender : Ton charme n’est plus ce qu’il était.

Corso : Logique ! Je manque de pratique. N’empêche le vaisseau est réparé.

Pender : On peut décoller ?

Corso : Fait chauffer les moteurs.

Pender s’exécuta et Corso se dirigea vers la sortie.

A côté du vaisseau.

Jonas et Reynard arrivèrent au vaisseau. Quand Jonas vit Sam ligotée et inconsciente au sol, il se précipita vers elle.

Jonas : Carter !

Mais Corso lui tira dessus avec un Zat.

Corso : On peut enfin rentrer chez nous.

Reynard : C’est vrai ?

Corso : Pender est en train de faire chauffer les réacteurs.

Reynard : On verrait mieux d’oublier Hébridan. Tant pis pour le butin qu’on y a planqué, ça ne vaut pas ce que nous offre leur porte des étoiles.

Corso : Je ne comprends pas.

Reynard : Pourquoi risquer de se faire prendre sur Hébridan ? Alors que cette porte nous donne accès à des merveilles qui dépassent notre imagination. On va devenir riche. J’ai lu leurs données, je sais ce que je dis.

Corso : Il y a des soldats autour de la porte.

Reynard : Ce n’est pas un problème. On a des otages.

Quelques temps plus tard, Jack, Teal’c et Warrick arrivèrent non loin du vaisseau. Jack regarda les environ avec des jumelles et vit Sam allongée sur le sol et ligotée à côté du vaisseau.

Warrick : C’est surement un piège, ils ont dû programmer les défenses du vaisseau.

Jack : En tout cas on ne part pas sans elle.

Teal’c : Comment déconnecte-t-on le système de défense ?

Warrick : Pour ça il faut d’abord rentrer dans l’appareil.

Jack : Couvrez-moi !

Teal’c : A vos ordre.

Warrick : Je sais où se trouve les commandes. C’est à moi d’y aller.

Jack : Alors c’est nous qui vous couvrons.

Après un hochement de tête, Warrick se dirigea vers le vaisseau. Pendant ce temps Teal’c et Jack se mirent en position. En arrivé au niveau de Sam, Warrick déclencha le système de défense et un bruit strident émana du vaisseau. Ce bruit était tellement insupportable que Warrick en tomba et parvint au vaisseau avec grande peine. Une fois à l’intérieur il éteignit  les défenses.

Warrick : Mmh ah ah (bruit de souffrance).

A l’extérieur du vaisseau, Teal’c et Jack coururent en direction de Sam. Teal’c l’aida à se redresser et lui enleva ses liens.

Sam : Ils ont capturé Jonas. Ils veulent s’enfuir par la porte des étoiles.

Jack : Comment ça va ?

Sam : Gro gui, mais ça va aller.

Teal’c : Je vais rester avec elle O’Neill.

Jack : D’accord.

A la porte des étoiles

Corso : Allez mes amis posaient gentiment vos armes.

Corso arriva avec Pender, Reynard et Jonas en otage. Jonas fit signe à SG-15 d’obéir.

Corso : Obéissez si vous voulez que Jonas reste en vie. Laissez-nous traverser la porte des étoiles sans jouer les héros.

SG-15 s’exécuta.

Pierce : Faites ce que vous voulez. On ne va pas intervenir.

Corso : Je fais toujours ce que je veux. Reynard.

Reynard s’approcha du DHD et composa une adresse.

Jonas : Les coordonnées viennent de mon bureau ?

Reynard : Ouuiii !

Jonas : Alors vous m’avez menti depuis le début.

Reynard : Il y a une chose qui était vrai : vous me plaisez.

La porte des étoiles s’activa.

Corso : Allez en route.

Les trois criminels et Jonas se dirigèrent vers la porte au moment où O’Neill arriva une arme braquée sur eux.

Jack : Ne bougez pas ou je tire !

SG-15 braquèrent leurs armes sur les trois hébridans et ces derniers se retournèrent sur Jack.

Corso : Restez où vous êtes !

Pender : Posez votre arme ou je le tue !

Jonas : Colonel, ça ira. Laissez les partir.

Jack : Il n’en est pas question Jonas.

Jonas (en faisant signe des yeux à Jack qu’il avait le dispositif pour entrer le code pour ouvrir l’iris) : Colonel, faites-moi confiance.  Ça va aller.

Jack : Laissez les partir.

Pierce : Quoi ?!

Jack : Obéissez major.

Corso : C’était la meilleure chose à faire.

Tous baissèrent leurs armes et le petit groupe passèrent la porte.

A la base, dans la salle de la porte

En arrivant dans la salle, Jonas partit en courant et lassa les soldats interpeler les trois criminels.

Hammond : Mesdames et messieurs, je vous souhaite la bienvenue sur Terre.

Reynard : Vous saviez que je volerais les coordonnées.

Jonas : Disons que je m’en doutais.

Les soldats emmenèrent hors de la salle les criminels.

Hammond : Bravo Jonas.

Jonas : Merci mon général.

Sur la planète, au vaisseau

SG-1 aidaient Warrick en embarquer du matériel à bord de son vaisseau.

Jack : Vous avez couché les petits ?

Warrick : Ils sont en hibernation. M. Quinn, je voulais vous demander : comment avez-vous su qui était vraiment Reynard ?

Jonas : C’était une sorte d’intuition. Mais je suis tombé sur un détail particulier en travaillant sur les origines du peuple d’hébridan. Les descendants des Celtes, restés sur Terre, ont eux aussi construit un navire appelé le Seberus. Il était affecté au transport des prisonniers hollandais vers les colonies pénitencières. Comme la ressemblance était énorme entre les deux noms, je me suis dit qu’il y avait surement un sens ou une racine commune en ces temps anciens.

Teal’c : L’étymologie est une précieuse alliée.

Jonas : Mmmhhh.

Jack : C’est stupéfiant.

Jonas : Et puis quand une femme m’embrasse spontanément, j’ai toujours tendance à me méfier. (Jack regarda bizarrement Jonas) Bah quoi ?

Warrick : Colonel, je vous dois une fière chandelle. Merci de m’avoir aidé à récupérer mon vaisseau, et de m’avoir fait confiance.

Jack : C’était un plaisir.

Warrick fit un signe de tête au reste de SG-1 pour les remercier et partit à bord de son vaisseau.

Les Rescapés

Forsaken



Scene: Planet

Jack walks up to Sam who is fiddling with a telescope.

O'NEILL: (Singing to himself) Tell me that you love me. (To Sam) Lots of interesting nebulous things going on?

CARTER: Yes Sir.

Jack looks into the telescope.

O'NEILL: I don't see squat.

CARTER: You wouldn't Sir, during the day.

Jack gets up.

CARTER: When the local suns sets and it gets dark, you can actually see a luminous layer of ionised gas around the dying core expanding.

O'NEILL: Fascinating.

CARTER: You don't care.

O'NEILL: Hey, I like gas as much as the next guy.

Sam laughs.

CARTER: Five hours to darkness, Sir.

O'NEILL: Okay.

Jack sits down to tie his boots and sees a photograph by his foot of a woman.

O'NEILL: Carter?

CARTER: Yes Sir.

O'NEILL: We've never been to this planet before have we? We meaning humans from Earth.

CARTER: No Sir, why?

Jack holds up the paper and is interrupted by Jonas over the radio.

JONAS: Colonel. Major. You have to see this.

O'NEILL: Okay. You'll have to let us know where you are.

JONAS: Right. Head east.

Scene: Clearing

Jack and Sam join Jonas on an incline. There's a ship crashed.

JONAS: Incredible, isn't it?

O'NEILL: That had to hurt.

Scene: Clearing

Jack, Sam and Jonas join Teal'c who is surveying the ship.

O'NEILL: Teal'c, what you got here?

TEAL'C: I am unfamiliar with this type of vessel, O'Neill. It is not Goa'uld.

CARTER: It's not Asgard or Tollan either.

JONAS: Some of these markings resemble ancient Celtic.

CARTER: Hello! Looks like there were no survivors.

CORSO: Actually there were three of us.

Three people come up behind SG1, two men and a woman.

TITLES

O'NEILL: Now what?

CORSO: You tell me.

JONAS: We're peaceful explorers, okay? We didn't come here to harm anybody.

O'NEILL: Unless otherwise provoked.

Corso looks at the others and they lower their weapons.

CORSO: I'm Aiden Corso. Captain of the Sebrus. This is my First Officer, Tanis Reynard and navigator Lyall Pender.

O'NEILL: Colonel Jack O'Neill, US Air Force. Teal'c, Major Carter, Jonas Quinn.

CARTER: We're from a planet called Earth.

PENDER: Never heard of it.

CARTER: It's..

O'NEILL: Nice. It's nice.

CORSO: I'm sure it is. Sorry for the less than warm welcome but you kinda snuck up on us.

REYNARD: We didn't hear your ship land.

O'NEILL: No, you wouldn't.

CARTER: How long have you been here?

CORSO: Too long.

JONAS: Rough landing.

CORSO: It's not as bad as it looks.

REYNARD: We were on our way to relieve an off world mineral extraction team when an asteroid storm blew us right off course.

PENDER: Fuel line got messed up in the crash and all the reserves leaked out before we knew what was happening.

CORSO: You wouldn't happen to have a whole load of extra fuel in your ship would you?

O'NEILL: Not exactly.

PENDER: I think the engines are okay we just don't have enough power in the batteries to fire them up. All we have access to is a few auxiliary systems.

CARTER: Communications?

REYNARD: First thing to get hit in the storm.

CORSO: Couldn't even get a distress signal off. What's frustrating is that our home planet Hebradon must be close. We could plot a course if you could take three passengers.

O'NEILL: That might be a problem.

TEAL'C: We did not travel to this world by vessel.

JONAS: We came through the Stargate.

CORSO: Excuse me?

O'NEILL: Big O? Decent walk that way.

CORSO: We didn't know what that was.

CARTER: A transportation device.

CORSO: That explains a few things.

JONAS: I take it you don't have one where you come from?

CORSO: Not that I know of. Really no ship?

O'NEILL: No ship.

CORSO: How does this Stargate work exactly? We pull back to see two aliens watching everything.

CARTER: Well basically each Gate has an address based on its home planet (fades out)

JONAS: That address... (fades out) One alien sends the other one away.

Scene: Clearing

O'NEILL: Carter, Teal'c. Excuse us a moment.

They walk away a little.

O'NEILL: Any suggestions?

TEAL'C: We could offer them sanctuary on Earth.

CARTER: Or we could fix their ship. I'm just saying it's possible. If all they need is fuel then maybe we can find an Earth equivalent. I may be able to recharge their batteries using a Naqahdah generator. I'd have to take a look at their technology.

O'NEILL: And why would we do this?

CARTER: So I can take a look at their technology. They seem to have space flight capabilities beyond our own and maybe they'd be grateful. Who knows what else they may have to offer.

O'NEILL: Okay. We charge by the hour, no flat rate for these kids.

TEAL'C: The Celts were formidable warriors in their time. Their descendants may make valuable allies.

O'NEILL: You've seen Braveheart too often. They walk back to Jonas and the aliens.

O'NEILL: But that doesn't mean we aren't going to help you folks out. Carter has to have a closer look at your ship. Worse case scenario, you end up on Earth.

CORSO: Thank you, we'd like to see your world and learn more about the Stargate. If you could get our ship going, our first priority would be to get home.

CARTER: Let's take a look.

Everyone walks off except for Teal'c. Jack comes up to him.

O'NEILL: T?

TEAL'C: I do not know O'Neill.

O'NEILL: Keep me posted.

Scene: Inside the ship

Corso and Sam go in.

CARTER: What can you tell me?

CORSO: Not as much as my chief engineer could. He's dead. But I'll do my best.

Scene: Outside the ship

Jack leaves Jonas with Reynard and Pender and walks to Teal'c.

O'NEILL: Still?

TEAL'C: There is something out there O'Neill.

REYNARD: Move! Move!

She fires at something.

REYNARD: Drop low.

They all drop.

There's a fire fight. Sam comes out of the ship and joins in. Jack sees a chance to wound the second alien in the leg and takes it. Pender kills the second alien as he moves out of his cover. The first alien shoots Reynard in the shoulder, Sam fires back. Inside the ship Corso ramps something up that creates a high pitched sound. Everyone covers their ears and the alien screams in pain and runs off. Corso turns the sound down.

CORSO: They're gone.

Jack and Teal'c head for the alien, Jonas follows Corso to Reynard.

Teal'c turns the alien over.

TEAL'C: He is dead O'Neill.

O'NEILL: What the hell was that all about?

Pender has followed them.

PENDER: These guys have been hunting us from the moment we crashed.

O'NEILL: With your own weapon?

Scene: Ship

O'NEILL: Captain?

CORSO: Colonel, I'm sorry I didn't warn you about that sooner. It's been so long since they attacked, we started to think we were free and clear.

O'NEILL: Who the heck are they?

CORSO: We don't know. They've killed five of my crew members since we crashed. Skinned `em alive and hung `em up in the trees. Whoever or whatever they are, they're savages.

O'NEILL: Where are they from?

CORSO: Don't know. There's no civilisation on this planet as far as we can tell.

PENDER: We haven't seen any ships either.

CORSO: Now that we know the Stargate is a transportation device, they must be coming through that.

CARTER: Sir, she's in need of medical attention.

O'NEILL: All right, let's all get back to Earth then.

CORSO: Colonel, if you can do something to help her, please do it. But I'm staying with my ship. From what you've said, it's still our best chance to get back to our home planet and I'm not giving it up to these things, not after that they did to my crew. Besides, defences should be able to keep them at bay.

O'NEILL: Yeah that was kind of annoying.

CORSO: We should be able to defend this position until your people have chance to fix the ship.

O'NEILL: All right, Carter, Jonas, get her back to the Gate, we'll watch your six. (To Corso) We'll be back.

CORSO: Thank you.

The alien moves away.

Scene: Briefing room

Jonas is at the screen.

JONAS: Their home planet is called Hebradan. By the sounds of it, their ancestors might have come from somewhere near the Outer Hebrides Islands off the coast of Scotland.

CARTER: Based on its position in space, I've determined that it doesn't have a Gate. At least one that we're aware of.

HAMMOND: Then how did a society of humans evolve there?

CARTER: It's possible the Goa'uld kept a Gate there as long as it suited them and then took it with them when they left.

JONAS: The real mystery is how their society managed to advance so far beyond Earth's level of technology.

CARTER: These engines are way ahead of anything we could build. They use liquid nitrogen to fuel an ion propulsion system. Personally I can't wait to see how they generate...

HAMMOND: Your evaluation of these people Major?

CARTER: Cautiously optimistic, Sir.

HAMMOND: Can you fix it?

CARTER: If I can recharge their batteries using the Naqahdah generator and there are no other system problems resulting from the crash then..

HAMMOND: Take whatever you need. And SG15.

CARTER: Yes Sir.

Scene: Planet

Jack, Teal'c, Corso and Pender are looking at the dead alien.

O'NEILL: Got a name for these guys?

CORSO: Nothing polite.

O'NEILL: What kind of weapons were they using before they got yours?

CORSO: Don't know. Nobody survived the first attack and ever since then they've been using ours. Must like `em better.

O'NEILL: How many could they have?

CORSO: Eight or nine.

O'NEILL: They travel in pairs?

CORSO: Scouting party. Probably trying to test your fire power.

PENDER: Which isn't very accurate.

O'NEILL: I was trying to wound him.

CORSO: Well the one who got away I'm sure is reporting to his friends right now.

O'NEILL: Yeah, so you say.

CORSO: Believe me Colonel, they come back, they'll come back in force.

They walk away and see Sam and SG15.

CARTER: Sir. Hammond sent SG15 as back up.

PIERCE: We have the Gate covered, Sir.

O'NEILL: Good. We have an unknown number of armed and apparently hostile aliens in the area.

PIERCE: We got your back Colonel.

CARTER: Sir, I brought some equipment back to fix the ship but I'll need help to get it there.

TEAL'C: Indeed.

Scene: Infirmary

Reynard is in a bed with her arm in a sling. Jonas is talking to the guard.

JONAS: How are you?

REYNARD: Hey. Fine. At least they stopped the bleeding. Painkillers aren't bad either. Should be up and around pretty quick.

JONAS: Good.

REYNARD: I guess I owe you.

JONAS: Not a bit. So, looking forward to seeing anybody when you get back?

REYNARD: I hate to sound like a hopeless case but my parents died when I was young and I've been serving with Captain Corso since I graduated flight school ten years ago. He and Pender, they're like my family. Especially all we've been through. So, tell me more about the Stargate. How does it work exactly?

JONAS: Basically it uses a dimension outside of our known time and space that we call subspace and creates a wormhole that is like a tunnel between two connecting Gates.

REYNARD: And how many Stargates are there?

JONAS: There's a lot of them.

REYNARD: And there are other humans out there like us?

JONAS: Oh yeah, yeah. Some primitive, some advanced, some non humans as you're already aware of, some are good, some are bad, some are very bad but all in all it is pretty amazing.

REYNARD: Yeah. Sounds like it.

Scene: Planet

Inside the ship.

CORSO: No engine diagnostics. No life support status. We've been running the auxiliary weapons systems directly off the battery but without a computer we don't know how much power we have left.

CARTER: So the first thing we need to do is give you a boost so we can get your computer back online. Then we can give you a full diagnostic. Any idea how we can interface our power source with your system?

CORSO: I'll show you the engine room.

They get up and go into the engine room.

CORSO: You know, my form is more telling people what to do, fly this way, fix that, don't crash. Sometimes it works, sometimes it doesn't.

They put the stuff down.

CORSO: This is the main power coupling.

CARTER: Well this will do the trick. We'll have to jerry rig something but it should work.

CORSO: Amazing. For a supposedly less advanced human you're pretty comfortable with our technology.

CARTER: Well you're in luck. I have a little more experience with this type of thing than most people on my planet. Besides all we're really doing is plugging your ship into my battery.

CORSO: Whatever you say.

CARTER: That didn't sound very good did it?

CORSO: So let me get this straight here, Major, you're an officer in your home worlds military, you're a scientist, an explorer and apparently you're a pretty fair mechanic.

CARTER: And I make a mean soufflé.

CORSO: Sorry.

CARTER: Oh, it's something you eat. It's very difficult to make.

CORSO: Ah, well add to that list, funny, charming and beautiful.

Sam looks at him.

CORSO: I'm sorry I didn't mean to offend you. See rule number one when you're stranded on an alien planet and someone offers to fix your ship, flatter them profusely.

CARTER: Pass me that.

CORSO: Yeah.

CARTER: Thank you. And continue at will.

CORSO: Colonel O'Neill doesn't trust us, does he?

CARTER: Well trust is something you have to earn with us. Colonel O'Neill is less concerned with showing distrust.

CORSO: So why are you helping us?

CARTER: Well it's the only way you make new friends. Take a chance on someone and hope they don't make you regret it.

Scene: Planet

The alien is sneaking around. He goes to his dead friend and takes something off his chest.

O'NEILL: Don't move.

He turns to see Jack standing over him.

Pender then fires at him and the alien runs.

O'NEILL: Hey! Take it easy.

PENDER: We can't let it get away.

O'NEILL: I was thinking of taking it alive.

PENDER: Why would you do that?

O'NEILL: Because that's how you gain Intel on an enemy you know little about!

PENDER: I know all I need to know, Colonel. Those things get a hold of you or one of your friends, you will too.

Pender chases the alien.

O'NEILL: Dammit. Teal'c.

Teal'c chases Pender.

O'NEILL: Carter (over radio)

CARTER: Yes sir.

O'NEILL: We spotted one of the aliens, we're going after it.

CARTER: Roger that, sir.

CORSO: You're safe here.

CARTER: We're secure inside the ship Sir.

O'NEILL: O'Neill out.

Sam takes her ALICE vest off and takes her jacket off.

CARTER: Don't get your hopes up; this is as far as I'm going.

CORSO: You know, I've been stuck on this rock with a novice navigator and a grumpy first officer who doesn't like men. But I will attempt to control myself.

He looks at Sam's zat.

CORSO: Mind if I have a look?

Sam bends down to pick it up.

CORSO: It's interesting; it's not like your other one.

CARTER: It's a little less lethal. It's not Earth made. One shot stuns, two shots kill.

CORSO: So do you have anyone special back home on Earth?

CARTER: Nothing I'd care to discuss.

CORSO: All right, that's a little too interesting for me to let go.

Sam just looks at him.

CORSO: How about you choose a topic?

Scene: Planet Forest

Teal'c, Jack and Pender are searching the forest.

PENDER: Colonel, we can cover more ground separately. Teal'c gave me one of these, we can stay in contact. (he holds a radio)

O'NEILL: All right. Not too far.

Pender goes off.

Scene: Jonas' Lab

He's looking at a photo and Hammond walks in.

JONAS: General.

HAMMOND: I was in the area. Is there anything more?

JONAS: I was just looking for some reference on the name of the ship. There's a slightly different spelling but basically the same.

HAMMOND: Is it significant?

JONAS: I'm not sure.

HAMMOND: At 0625 hours there was a security breach in the main computer system. Someone tried to gain access from a remote terminal in the infirmary.

JONAS: You think Reynard tried to hack into it?

HAMMOND: Do you believe she's capable?

JONAS: I don't know. It's possible.

HAMMOND: Well I'm on my way to question her about it.

JONAS: Yes sir. General? If you don't mind, I have another idea.

Scene: Planet forest

Jack and Teal'c come across a camp.

O'NEILL: A little home away from home here.

TEAL'C: If the hunters used the Stargate, why set up camp here?

O'NEILL: That's a pretty fair question.

TEAL'C: You also do not believe the Hebradans story?

O'NEILL: That alien I caught sneaking around was just about to tell me something when Pender shot him.

Jack is looking through all the stuff.

TEAL'C: These appear to have come from the Sebrus.

Jack empties what look like the alien version of dog tags out of a bag.

O'NEILL: Yeah.

They hear firing.

PENDER: (over radio) Colonel, I got him.

Jack and Teal'c move out.

Scene: Forest

Pender is firing.

Teal'c stops him firing.

O'NEILL: Pender! Pender, I said alive.

Teal'c moves to look for him.

O'NEILL: Where is he?

PENDER: HE was right there.

O'NEILL: You said you had him.

PENDER: I did. I had to have hit him.

O'NEILL: T, what have you got?

TEAL'C: I believe it is blood, O'Neill.

PENDER: Told you.

Scene: Ship

CARTER: There's a connection dislodged back here.

CORSO: You got it, really?

The power comes on.

CORSO: Hah.

CARTER: Only one way to find out.

CORSO: Yeah.

Sam switches the power on.

CORSO: Unbelievable.

CARTER: Okay, Captain, how do we boot up the system?

CORSO: Call me Aiden.

CARTER: Okay.

CORSO: You know, I've been saving this for a special occasion, we haven't had that many around here.

CARTER: No thanks.

CORSO: Come on.

CARTER: No, I can't really. I'm on duty.

CORSO: All right, then I'll have one for both if us. To friendship. And to you, Major.

CARTER: You can call me Sam, that's my first name.

CORSO: Sam. It's pretty.

CARTER: Not really. It's short for Samantha.

CORSO: Even prettier. What does it mean? Samantha?

CARTER: My father wanted a boy. What about you, does your name mean anything?

CORSO: I was named for my Uncle Aiden who died swimming drunk across a river on a dare. And Corso, my family name means `smells like a dead bird' in Ancient Hebridian. Yeah, we're a real high class family.

CARTER: Well I'm sure they'll be overjoyed to see you again.

CORSO: Probably not. I've been stuck on this planet for a long time now, dreaming about getting off of it, now suddenly I don't want to leave.

CARTER: Well we'll stay in touch.

CORSO: I'm sure. You'll want to know about all the things we have that you don't.

CARTER: You don't have to make it sound like that.

CORSO: Like what?

CARTER: I don't know, cheap.

CORSO: Like that's not the only reason you're helping us.

CARTER: It isn't.

CORSO: You know, Sam. I've never met anyone like you before.

CARTER: Aiden.

She shakes her head.

CORSO: Right. You should remain professional. Major.

He leaves.

Scene: Corridor at SGC

Jonas and Reynard are walking along.

REYNARD: This place is amazing.

JONAS: You holding up okay because we could go back to the infirmary...

REYNARD: I'm fine.

They walk into Jonas' office. There's gold on his desk.

JONAS: And this is where I do my work. Sorry about the clutter.

He picks up the gold goblets.

JONAS: Just cataloguing some artefacts we found on P4X 131. It's an alpha numeric designation we assign to the different planets we go to.

REYNARD: They're beautiful.

JONAS: Gold. Love this stuff. Tell you something, the galaxy is full of it.

Jonas walks past Reynard and she grabs him, kisses him and he drops the goblets.

REYNARD: Sorry.

JONAS: It's okay, I don't think that any of its broken. Just caught me off guard.

REYNARD: Thought it was obvious.

JONAS: No.What? Huh?

REYNARD: How much I wanted to kiss you since we first met.

JONAS: That. Oh right. That's kind of obvious.

REYNARD: Look I'm really sorry. If you don't find me attractive..

JONAS: No, look, hey you're attractive. I just, I don't know, we just met and you're injured and the thought never really crossed my mind.

REYNARD: I hope you don't think this is some kind of saviour complex. You know, I fall for the guy who saved my life because I thought you were very cute way before that shot.

The phone rings.

REYNARD: Are you supposed to do something about that?

JONAS: Oh yeah, right, right.

Jonas goes to answer the phone.

JONAS: Jonas. Yes sure, I'll be right there.

He puts the phone down.

JONAS: It was General Hammond. He wants to see me so if you're going to be okay alone here for a few minutes.

REYNARD: Sure, my two friends are just out in the hall there.

JONAS: So we'll talk more later.

REYNARD: Okay.

Jonas walks off and Reynard goes to the computer.

Scene: Ship

Sam is looking at the computer.

CARTER: Okay, let's try a full reboot.

A man appears on the screen.

MAN: Ship Sebrus requesting assistance. We have been hit by an asteroid... thrown off course. Repeat, prison transport Sebrus requesting assistance. Repeat prison transport Sebrus requesting assistance.

Sam switches off the display and looks for her radio.

CARTER: Crap.

Scene: Forest

Jack is looking for Pender.

O'NEILL: (over radio) Pender. Pender, this is O'Neill. I told you to stay in visual range. Pender, respond.

Teal'c stops and listens. He turns and holds his staff weapon on the alien. Jack comes up behind the alien.

O'NEILL: All right, let's not lose our heads here.

ALIEN: I mean you no harm.

O'NEILL: You're pointing that thing at my friends head.

The alien lowers his weapon.

ALIEN: Please don't shoot me. Whatever you've been told, it is a lie.

O'NEILL: Is that true?

ALIEN: I am Warwick. I am the Captain of the Sebrus.

Scene: Ship

Corso comes back into the ship. Sam holds a zat on him.

CARTER: Hands where I can see them.

CORSO: Sam.

CARTER: Call me Major.

CORSO: Sam.

CARTER: Hands where I can see them.

CORSO: It's not what you think.

CARTER: What do I think?

CORSO: Actually I don't know.

CARTER: This ship is a prison transport.

CORSO: Yeah, that's right.

CARTER: Sit down. Tie up your legs.

CORSO: I'm sorry that I lied to you but I just couldn't tell you the truth.

CARTER: Why not?

CORSO: Because I'm the reason we're here.

CARTER: I don't understand. Hands behind your back.

CORSO: I allowed the prisoners to gain control of the ship. When the storm hit us, the life support went out in the cells. They were gonna die.

CARTER: The prisoners?

CORSO: Those aliens, they didn't come through the Stargate, they came here with us. They were our prisoners. Prisoners of war.

CARTER: Your planet's at war with them?

CORSO: I let them go. We crashed before they could kill us all. It's the honest to goodness truth Sam. I was just too embarrassed to say I let that happen. We might have weathered that storm if I'd have let them die. You have to believe me.

CARTER: Where's my radio?

CORSO: Sam.

Sam leaves.

Scene: Forest

WARWICK: Please hear my side of the story before you kill me.

O'NEILL: We're not gonna kill you.

WARWICK: You shot my first officer.

O'NEILL: I was just trying to wound him. And as I recall, you started things.

WARWICK: We thought we had no choice. We had to stop them from enlisting your help.

TEAL'C: And who are they according to you?

WARWICK: Escaped prisoners. The Sebrus was a prison transport vessel. Three years ago my crew and I were transporting Aiden Corso and two of his accomplices to a prison colony. We hit an asteroid storm and began to lose power. Our only hope of survival was to set down on this planet.

O'NEILL: And then?

WARWICK: We had no choice but to take them out of transport stasis. The ship had insufficient power to sustain their lives.

O'NEILL: How many were there.. of you?

WARWICK: My crew was eight. Including myself. We watched them in shifts. My first officer and I were looking for food and water when they overpowered the men guarding them and killed them in cold blood. Corso then took over the ship and used its defences against us. We tried many times to retake the Sebrus but recently we were just lucky to stay alive. They hunted us like wild animals. You must believe me. They are the worst Hebradan has to offer. No matter what, they must not be allowed to go free.

Jack takes the photo he found out of his pocket.

O'NEILL: Who's that?

WARWICK: My wife.

O'NEILL: Your wife?

WARWICK: Athea. My kind, the Zeraken, helped liberate the Hebradans from the Goa'uld thousands of years ago.

TEAL'C: It was your people that brought them advanced technology.

WARWICK: Since then we have lived in harmony. With few exceptions.

CARTER: (over radio) Colonel, this is Carter. Come in.

O'NEILL: Yeah, go.

CARTER: Sir, I've got everything under control but we need to talk. In person.

O'NEILL: Tell me about it. Stay put. We're on our way.

CARTER: Carter out.

Pender comes up behind Sam and knocks her out.

PENDER: My thoughts exactly.

He takes her zat.

Scene: Gate

The gate activates.

HAMMOND: Major Pierce this is General Hammond.

PIERCE: Read you loud and clear, Sir.

HAMMOND: I want you to hold your fire. Jonas Quinn and a guest are en route.

PIERCE: Roger that.

Jonas and Reynard come through the Gate.

PIERCE: Colonel O'Neill, come in Sir. Jonas and Reynard have arrived back from Earth.

He gets no reply.

PIERCE: Must be out of range.

Jonas and Reynard walk past.

Scene: Ship

Pender goes in and finds Corso tied up.

CORSO: I think they're onto us.

PENDER: Yeah, starting to get that feeling. Reynard and Jonas are on their way back.

CORSO: Yeah, where's Carter?

PENDER: Outside unconscious. I take it she didn't buy your story?

CORSO: Yeah, she's too smart.

PENDER: Had to keep trying anyway huh?

CORSO: Yeah, I tell you it's in my blood. She fixed the ship though.

PENDER: It'll fly.

CORSO: Fire it up.

Scene: Outside

Sam is tied up and Jonas comes over the hill.

JONAS: Carter!

He's zatted by Corso.

CORSO: (To Reynard) We're going home.

REYNARD: Really?

CORSO: Pender's warming up the ship now.

REYNARD: You might want to reconsider that. Forget what we stashed on Hebradan, it's nothing compared to what's through that Stargate.

CORSO: What do you mean?

REYNARD: I mean, going back is not worth the risk of getting caught. Not when there are riches out there beyond our wildest dreams. Come on, I've learned enough to get us a good head start.

CORSO: They've got the Stargate covered.

REYNARD: And we have hostages.

Scene: Forest

Jack, Teal'c and Warwick come up to the ship.

Jack sees Sam tied up.

WARWICK: It's a trap. No doubt they have armed the ship.

O'NEILL: We can't leave her down there.

TEAL'C: How do we disengage the ships defences?

WARWICK: It can only be done from inside.

O'NEILL: Cover me Teal'c.

TEAL'C: Indeed.

WARWICK: I know how to disarm the defences. I will go.

O'NEILL: We'll watch your back.

Warwick goes and as he gets close the high pitched noise activates and he falls to the ground in pain. Jack and Teal'c also cover their ears. Warwick gets up and gets inside the ship and turns the noise off.

Jack and Teal'c go to Sam. Teal'c sits her up and pulls the tape off her mouth.

CARTER: They have Jonas Sir. They're gonna try and escape through the Stargate.

O'NEILL: You all right?

CARTER: A little groggy Sir.

TEAL'C: I will stay with her O'Neill.

O'NEILL: Yeah.

Jack gets up.

Scene: Stargate

CORSO: Hey there guys. Why don't you put those weapons down? You best do that now or he dies.

Jonas is waving at them to put their guns down.

CORSO: All we need to do is dial up the Gate and go through. No one needs to get hurt all right.

PIERCE: Yeah, sure. Whatever you say.

CORSO: That's right, whatever I say. Reynard?

She starts dialling.

JONAS: You get that address from my lab?

REYNARD: Yeah.

JONAS: And everything else you said is..

REYNARD: Not everything. You are cute.

The Gate engages.

CORSO: All right let's go.

They move towards the Gate. They get to the steps when Jack appears.

O'NEILL: All right that's far enough.

CORSO: Don't come any closer.

PENDER: Back off or I'll kill him.

JONAS: Colonel, just let them go.

O'NEILL: Nobody's going anywhere.

JONAS: Really? I'll be fine. It's not worth the risk.

Jonas twitches his hand to show Jack the GDO.

O'NEILL: Let 'em go.

PIERCE: Sir?

O'NEILL: Let `em go.

CORSO: Wise choice.

Jonas keys in the code and they take him through the wormhole.

Scene: SGC Gateroom

They come through the Gate and Jonas pulls away.

HAMMOND: Ladies and Gentlemen welcome to Earth.

REYNARD: You planted the address?

JONAS: Call it intuition.

SF's lead them away.

HAMMOND: Well done.

JONAS: Thank you Sir.

Scene: Planet

SG1 is helping Warwick get ready to take off.

O'NEILL: Everybody locked up okay?

WARWICK: They're all in transport stasis. Mr Quinn, I never did ask you how you figured out who Reynard really was.

JONAS: Just a feeling really. Although I did come across something interesting while I was researching the name of your ship. There was another ship built by the descendents of the Ancient Celts on Earth. It was called the Ceberus. Coincidentally it was designed specifically to transport convicts to a penal colony. The names were so similar I thought maybe there was some significance in Celtic history and uh...

TEAL'C: The meaning of the word never changed.

Jonas shrugs.

O'NEILL: Incredible.

JONAS: Well that and I've always been suspicious of a girl who kisses on the first date.

Jack just looks at him.

JONAS: What?

WARWICK: Colonel. I want to thank you for everything that you have done but mostly for trusting me.

O'NEILL: It's my pleasure.

The ship takes off.

THE END

Source : Stargate Fusion.

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