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La sonde de reconnaissance
Les goa’uld sont réputés pour leur étonnante capacité à adapter les technologies d’autres mondes. Après avoir découvert les sondes MALP du SGC, le grand maitre Anubis a décidé de créer ses propres sondes de reconnaissance. Elles lui permettent d’étudier le terrain en détail avant d’envoyer des troupes à la surface d’une planète.
1/ Dimensions
Hauteur : 1,7 m.
Longueur : 1,5 m.
Poids : 0,5 t.
Vitesse : 20 km/h
Ces machines servent à surveiller les planètes que les Goa’uld se préparent à visiter. Anubis s’est aperçu de l’utilité d’explorer le secteur avant d’y envoyer des troupes, pour éviter les embuscades. Des détecteurs sophistiqués permettent au dispositif d’analyser l’atmosphère de la planète pour s’assurer qu’elle est respirable par les Jaffa.
2/ Le transmetteur
La sonde est équipée d’un communicateur à longue portée capable de transmission subspatiale. Elle peut envoyer des messages au vaisseau-mère goa’uld en orbite autour de la planète où l’unité opère. Les signaux audio et visuels permettent d’évaluer le terrain. Le transmetteur peut aussi recevoir les signaux de commande à distance envoyés depuis la passerelle du navire.
3/ Le vol
La sonde est conçue de manière à pouvoir voler à 20 km/h, mais elle est généralement limitée à 5 ou 10 km/h afin d’envoyer des images claires au vaisseau-mère. Le véhicule peut aussi planer au-dessus d’une cible, pendant une durée illimitée. Lorsque la sonde effectue son atterrissage, quatre pieds rétractables se déploient pour qu’elle se pose en douceur sur le sol.
4/ L’énergie
Le véhicule est alimenté par une batterie au naquadah pour le vol, la transmission des signaux, les boucliers et l’armement. Cette batterie se trouve au centre de la sonde, protégée par un boitier en trinium qui résiste même si les boucliers sont défaillants ou en cas d’atterrissage forcé. Le naquadah produit suffisamment d’énergie pour alimenter la sonde sur une durée de plus de cent ans.
5/ L’armement
Comme la sonde n’est pas capable d’atteindre une vitesse élevée, elle peut constituer une cible facile pour l’ennemi. Ses boucliers la protègent jusqu’à un certain point, mais elle est également équipée d’armes efficaces destinées à décourager les attaquants. Deux petits canons sont situés à la proue du véhicule. Ils tirent des rayons de plasma ayant une portée de 10 km. Ces armes sont très précises et mortelles pour les humains jusqu’à 5 km de distance. Une décharge peut provoquer des blessures et des dommages structurels importants, même à portée maximale.
6/ La mémoire
Les informations qui ne sont pas directement envoyées à un vaisseau-mère sont stockées dans l’unité de mémoire de la sonde. Il s’agit d’un cristal goa’uld susceptible d’être interfacé avec un ordinateur. Le cristal enregistre les données sous forme de texte ou en vidéo, avec le son.
7/ Les boucliers
Lorsque le véhicule est en transit entre le vaisseau-mère et la surface d’une planète, il est protégé, grâce à ses boucliers, de la transition entre l’espace et l’atmosphère. Ce champ d’énergie peut aussi dévier des missiles et des décharges d’armes à feu ou de longs-bâtons.
8/ Les détecteurs
De minuscules détecteurs spectrométriques permettent de mesurer la température et la concentration en ozone, et de déterminer la nature des gaz de l’atmosphère d’une planète. Ces données sont stockées dans un cristal et transférées par le transmetteur aux ordinateurs du vaisseau goa’uld en orbite autour de la planète. Ces détecteurs réagissent même à de petites modifications de l’air. S’il n’y a pas assez d’oxygène ou si l’air est de mauvaise qualité, les troupes jaffa reçoivent des équipements respiratoires. Si les détecteurs de gaz localisent des substances toxiques, le débarquement est abandonné. En raison de leur construction délicate, les détecteurs restent en service un an puis sont remplacés.
9/ La caméra
Une caméra sophistiquée pivotante se trouve au centre de la sonde. Elle est capable de filmer sous n’importe quel angle. Des images hautes résolutions sont transmises au vaisseau-mère. Les Goa’uld peuvent ensuite préparer leur débarquement en évitant des dangers potentiels, par exemple une embuscade.