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La machine RVAS
Lors de M02.04, sur la planète P7J-989, SG-1 a découvert une interface humain/machine. L’analyse préliminaire a montré que le dispositif reflétait un niveau de technologie bien supérieur à celui des neurobiologistes et des ingénieurs de la Terre. Après la mission de SG-1, SG-7 a été envoyé étudier la RVAS, ou machine de réalité virtuelle et d’animation suspendue.
1/ Origine de la machines sur P7J-989.
-On sait peu de chose sur les créatures de la machine RVAS. Le gardien a informé SG-1 que sa planète (P7J-989) était inhabitable à cause d’une catastrophe chimique survenue 1022 ans auparavant. Les survivants se sont placés en animation suspendue pendant que la planète se régénérait.
-Quand SG-1 est allé sur P7J-989, les utilisateurs de la machine RVAS, appelés des « résidents » ignoraient que leur planète s’était régénérée. Le Gardien avait abusé de ses pouvoirs en leur dissimulant cette information.
-Les résidents doivent utiliser leurs propres souvenirs ou fantasmes pour créer des univers virtuels, sauf si on ajoute de nouveaux « logiciels » sous la forme d’utilisateurs supplémentaires. Voilà pourquoi les membres de SG-1 ont été capturés. Leurs expériences étaient nécessaires pour apporter de la diversité aux mondes virtuels.
2/ Capacités de la machine.
Grâce au dispositif RVAS, l’utilisateur revit ses souvenirs dans un univers virtuel très réaliste. Habituellement, les machines RVAS sont connectées en série pour permettre aux différents utilisateurs d’interagir dans le monde virtuel. Il n’y a pas de limites à ce qui peut-être créé, mais les souvenirs les plus intenses fournissent la meilleure base pour les réalités virtuelles. Les fantasmes des utilisateurs peuvent aussi être copiés. Dans le monde virtuel, l’utilisateur garde son libre arbitre et peut en sortit à tout moment. « Mourir » dans le monde virtuel peut-être une expérience très intense, donc pas vraiment conseillée. Mais l’utilisateur ne meurt pas dans le monde réel. Dans ce cas, la machine RVAS est réinitialisée, ou le programme redémarre à zéro.
3/ Fonctionnement.
Le fonctionnement de la RVAS est entre les mains du maître de domaine, ou Maître du jeu. Grâce à l’ordinateur central, le Maître du jeu conserve le contrôle total de l’environnement virtuel. Des années d’entraînement et de pratique sont nécessaires pour jouer ce rôle. Si le Maître du jeu est inexpérimenté, il peut endommager le cerveau des résidents. En monitorant les désirs des utilisateurs, le Maître du jeu crée le monde virtuel et édicte ses règles d’utilisation et d’accès. Il conserve le contrôle en s’interfaçant avec le système RVAS. Il est aussi libre de se déplacer dans le monde virtuel d’un utilisateur. Un bracelet spécial (dont le double existe dans le monde virtuel) lui permet de se connecter à l’ordinateur et d’apporter tous les changements nécessaires.
4/ Fonction mécanique.
A travers de petites incisions crâniennes, des implants minuscules sont placés dans le cortex cérébral de l’utilisateur. La configuration neurale du cerveau est alors analysée et stimulée. Les souvenirs sont téléchargés dans l’ordinateur via des fibres optiques à grande vitesse. L’ordinateur garde un canal ouvert en permanence avec l’utilisateur, afin de pouvoir effectuer rapidement les modifications de la réalité virtuelle. Des implants placés le long de la moelle épinière de l’utilisateur contrôlent les fonctions volontaires et involontaires de son corps. Ces implants, plus ceux installés au niveau de l’abdomen, pourvoient aux besoins du corps, le gardant ainsi en état d’animation suspendue.
5/ Caractéristiques techniques de la machine RVAS.
Matériau : Le matériau de la capsule de base est constitué de différents polymères. Le système des câbles d’interface est composé d’une série de tubes optico-électriques super-réfrigérés.
Hauteur : 2,3 m.
Poids : 135 kg.
Créateurs : Les habitants de P7J-989.
Utilisateurs : Toute forme de vie humanoïde.
Données supplémentaires : Le noyau de l’ordinateur central est à la base organique (électro-chimique). Sa vitesse de traitement des données est estimée à 10 000 teraflops.