Les réfugiés
Sur une planète
Daniel : Whao. C'est comme l'apocalypse. Regardez, on dirait qu'il neige.
Teal'c : Ce sont des cendres.
Jack : Bon, Daniel refaite les coordonnées et sortez nous de là. On a rien à faire ici.
Daniel : Attendez une minute. Il y a quelqu'un là-bas. C'est une femme, elle est vivante. Il y a peut être d'autre survivant.
Teal'c : Celui-ci est mort.
Sam : Celui-ci à survécu.
Daniel : C'est comme à Pompéi. Ils ont été asphyxié par la nué ardente avant que la lave les atteignent. Qu'est ce que c'est que ca ?
Teal'c : O'Neill, j'ai deux survivants ici.
Jack : Carter, combien de temps ils nous restent avant d'être grillé.
Sam : Je n'en sais rien, je ne suis pas vulcanologue. Ca peut prendre des jours ou quelques minutes.
Homme : Allez vous en. Laissez nous.
Générique
Sur Terre
Homme : Libérez la passerelle.
Jack : Bon très bien allez-y.
Daniel : Ca va aller.
Jack : Oui ca va.
Hammond : Colonel, que s'est il passé ?
Jack : Nous sommes tombé sur un volcan en pleine éruption mon général.
Hammond : Qui sont ces gens exactement ,
Sam : Nous ne savons rien sur eux. Ils agonisaient autour de la porte. L'aire était hautement toxique.
Daniel : Et brulant.
Hammond : Je voudrais que le docteur Fraiser vous examine tout de suite. Vous me ferez votre rapport de mission plus tard.
Jack : D'accord
Hammond : Vous avez sauvez dix personnes d'une planète inconnue colonel. D'après le docteur Fraiser, ce sont des humains et que leurs jours ne sont plus en dangers. Vous avez réussi là une sacrée opération de sauvetage.
Jack : Merci mon général.
Hammond : Y avait il des bâtiments sur les lieux de la catastrophe ?
Sam : Non, aucun. Nous ignorons la distance qu'ils ont parcouru. Mais apparemment ils essayaient de regagner la porte des étoiles.
Hammond : Qu'avez vous appris sur cet appareillage qu'ils portent au bras.
Sam : Ce sont des modules qui émettent de faible radiation et qui capte les sources d'énergie potentiel, mais leurs circuits sont dépourvue de tout système de mécanique, de microprocesseur. Je n'ai jamais rien vu de tel.
Daniel : J'ai d'abord pensé qu'ils appartenaient à une civilisation parallèle, mais apparemment ils sont en avance sur nous.
Hammond : Nous avons localisé des populations originaire de la Terre sur d'autre planète. N'est ce pas ?
Daniel : C'est exact.
Hammond : Se pourrait il que leurs avancés technologique soit supérieur à la notre.
Daniel : C'est même probable. Oui. Sans les siècles d'obscurantisme nous aurions déjà colonisé tout l'espace. La Terre à vécu une longue période de 800 ans pendant laquelle la science était considéré comme une hérésie. Peut être que eux n'ont pas connu cette éclipse.
Femme : Mon général, le porte parole des rescapés est sortie du coma. Il souhaite vous parler. Ainsi qu'à vous tous.
Haut parleur : Le personnel médical post restructuration est prié de se rendre d'urgence à l'infirmerie au niveau moins 20.
Homme : Qui êtes vous ?
Hammond : Je suis le général Hammond, et voici le colonel O'Neill.
Jack : Jack.
Sam : Samantha Carter.
Daniel : Daniel Jackson.
Homme : Où sommes nous ?
Hammond : Sur une planète appelé Terre. Ces personnes vous ont sauvés la vie.
Homme : Vous êtes bien loin de la vérité.
Daniel : A moins que je n'ai raté quelque chose, vous êtes mieux ici que sous les cendres.
Homme : Nous attendions une équipe de secours.
Jack : La moitié de vos compagnons avaient déjà succombé. Vos secours ne seraient jamais arrivé à temps.
Homme : Ca représente plus un problème pour vous, que pour nous.
Jack : Je vous demande pardon ?
Homme : Je trouve invraisemblable qu'un peuple aussi primitifs ait réussi à décoder le système de la porte des étoiles.
Jack : Vous avez dit « primitif » ?
Teal'c : Moi aussi je viens d'un monde très diffèrent de celui-ci. Ici, la vie n'a pas de prix.
Homme : Je reconnais bien là un Jaffa.
Hammond : Écoutez, je voudrais savoir d'où vous venez et ce que vous savez des Goa'ulds.
Omoc : Je m'appelle Omoc et je viens de Tollan.
Hammond : Que savez vous des Goa'ulds et des Jaffas ?
Omoc : Nous les connaissons, mais nous nous méfions d'eux.
Hammond : Aurions nous un ennemi commun.
Omoc : Ais je parlé d'ennemi ?
Hammond : Si tel était le cas nous pourrions éventuellement unir nos forces et en faire profiter tout le monde.
Omoc : J'exige que vous nous rendiez immédiatement ce qui nous appartient et que vous nous autorisiez à partir.
Daniel : Et bien, tout porte à croire que le volcan ne s'éteindra pas de si tôt. Je suis un amateur d'ethnologie, alors en attendant vous pourriez m'en dire plus sur votre histoires et vos coutumes.
Omoc : Ca suffit, je n'en dirai pas d'avantage.
Hammond : Capitaine Carter, je veux que vous supervisiez le séjour des Tollan parmi nous et que vous les fassiez quitter la Terre dès qu'ils seront rétabli.
Sam : A vos ordres.
Daniel : Un nouveau hobby ?
Sam : Ca en jette hein. Une sonde autonome avec les radars et tout le bazar. Je leur rajoute juste les senseurs de chaleur pour quelle nous renvoie toutes les données sur Tollan.
Daniel : Je sors de l'infirmerie, j'ai essayé de discuter avec les Tollan. Ils posent des questions mais ne répondent jamais aux nôtres. D'ailleurs l'un d'entre eux semblait avoir beaucoup d'intérêt pour vous.
Sam : Je croyais qu'on ne les intéressaient pas.
Daniel : Mais j'ai pas dis nous. J'ai dis vous. Le général pense que vous auriez plus de chance d'obtenir des réponses. Il demande à vous voir.
Sam : D'accord.
Hammond : Je suis persuadé qu'il se confira plus facilement à vous qu'au Docteur Jackson ou à moi même. Vous vous souvenez de Narim.
Sam : Oui, de la planète Tollan. Vous étiez dans un piteuse état.
Narim : Capitaine Carter. Ou dois je dire Docteur ?
Sam : Appelez moi Samantha.
Narim : Si vous m'appelez Narim.
Sam : Très bien.
Hammond : Capitaine Carter, monsieur Narim semble très intéressé par notre planète. J'ai pensé que vous pourriez l'accompagner à la surface pour qu'il voit à quoi ca ressemble.
Sam : C'est vrai ?
Narim : C'est un honneur et une opportunité que je ne voudrais pas rater.
Hammond : Donnez moi votre parole de ne pas chercher à faire faut bon au capitaine Carter.
Narim : Vous avez ma parole.
Sam : Entendu, alors allons -y. Mon général.
Narim : Je tenais à vous dire que je suis heureux d'être vivant et de même que mes amis.
Sam : Bien.
Narim : Merci, et remerciez vos amis pour moi.
Sam : Oh, vous pouvez le faire vous même.
Narim : Non, non, je ne peux pas. Je ne devrais même pas vous parler.
Sam : Pourquoi donc ?
Narim : Lorsque vous m'avez trouvé, j'étais sur le point de mourir et quand j'ai entendu votre voix, j'ai réussi à ouvrir les yeux. Et lorsque je vous ai vue …
Sam : Oui.
Narim : C'est une vielle superstition antérieur à l'age de la raison et de la science du temps où mes ancêtres s'adonnaient à toutes sortes de croyance. Comme le sher-mal. La légende veut que le sher-mal apparaisse au moment de la mort. Il vous emmène vivre parmi les étoiles.
Sam : Ah, nous les appelons les anges.
Narim : Vous y croyez toujours ?
Sam : Certains d'entre nous.
Narim : Les nôtres étaient réputé pour leurs splendeurs. Et quand je vous ai vue, vous correspondiez à leur description. J'ai appris du docteur Jackson que vous étiez une brillante scientifique. Je crains de vous importuner avec toutes mes questions. Simple curiosité.
Sam : C'est une qualité que vous ne semblez pas partager avec Omoc.
Narim : Si je vous demandais de me parler de votre monde, vous accepteriez ?
Sam : Oui, bien sur.
Narim : Un animal volant.
Sam : Oui. Nous les appelons des oiseaux.
Narim : Existe il d'autres animaux ?
Sam : Oh oui. Il en existe des millions.
Narim : Ils ont disparu de Tollan depuis des générations.
Sam : Bon et bien, je vous montrerez des photos.
Narim : Ca me plairait beaucoup. Merci.
Sam : D'accord.
Narim : Mais je préfèrerai que Omoc n'en sache rien.
Sam : Pourquoi ca ?
Narim : Omoc n'est pas aussi dure qu'il en a l'air. Il cherche seulement à nous protéger. Et vous aussi.
Sam : Nous, mais de quoi ?
Narim : Peut être bien … Peut être devrions nous rentrer.
Sam : Si vous voulez.
Sergent : Chevron six enclenché chevron sept enclenché.
Sam : Lancement de la sonde dans dix secondes. Neuf, huit, sept, six, cinq, quatre, trois deux, un.
Jack : Oui.
Sam : Lancement réussi. La sonde suit la trajectoire prévu et atteindra la porte de Tollan dans trois, deux, un. Température au sol 1700 degrés Fahrenheit. La température de l'air oscille entre 200 et 1500 degrés Fahrenheit .
Jack : Comme à Los Angeles.
Sam : La couche inférieur de l'atmosphère est saturé de particule pyroclastiques, de basalte et de cendres. Tout être humain y mourrai vite asphyxié.
Jack : Il y a des chances que ca se calme ?
Sam : En tout cas pas dans l'immédiat. Mais ce n'est plus d'actualité, la lave se dirige droit sur la porte. D'après mes données, si la progression de la lave reste constante, la porte de Tollan sera submergé dans deux jours.
Jack : Je crois que nos hôtes sont là pour un bon bout de temps.
Omoc : En êtes vous absolument certaine ?
Sam : Oui. Vous m'en voyez navrée.
Omoc : Alors la nature à réussi là où nous avions échoué.
Daniel : Pardon, vous comptiez sceller la porte ?
Omoc : Tollan est une terre de cataclysme. Nous avons évacué tout le monde. Mon équipe et moi devions rester pour … condamner la porte et la sceller définitivement. Éviter ainsi tout retour qui serait suicidaire.
Sam : Quelque soit votre destination, nous pouvons ré-étalonner les coordonnées en partant de la Terre.
Omoc : Notre nouveau monde ne relève pas du système des portes. Ils nous faudrait un vaisseau spatial.
Daniel : Oui mais nous n'avons pas de vaisseau. Pas de ce genre là en tout cas.
Sam : Notre programme spatial est relativement récent.
Hammond : Dans l'état actuel des choses les survivants deviennent des réfugiés. S'ils ne veulent pas rester avec nous, nous devons leurs trouver une terre d'accueil.
Jack : Non mon général, nous avons déjà fait beaucoup pour nos rescapés là haut. Nous devrions passer le relais à des extraterrestre amis.
Hammond : Bonne idée. Colonel, vous et Teal'c ferez le nécessaire pour contacter quelque uns de nos amis extraterrestre. Capitaine Carter avec l'aide du Docteur Jackson vous allez aménager la salle multifonction 5C en centre d'accueil.
Jack : A vos ordre.
Hammond : Pour vous prouver notre confiance, nous vous rendons les appareils que vous portier au bras.
Omoc : Ce ne sont pas des armes.
Hammond : C'est ce que disent nos techniciens.
Omoc : Ainsi donc, vous les avez analysés ? Ce n'est pas vraiment une preuve de confiance.
Daniel : A vrai dire, nous n'avons pas réussi à découvrir quels étaient leurs réels utilités.
Hammond : Je voulais vous assurer que nous faisons tout ce que nous pouvons pour vous trouver une terre d'accueil.
Omoc : Est ce que nous avons notre mot à dire ?
Daniel : Bien sur, l'autodétermination est un concept très important pour nous.
Hammond : De notre coté, nous ferons de notre mieux pour vous installer le plus confortablement possible. Mais vous comprendrez que nous sommes contraint de vous retenir au sein de la base.
Omoc : Sommes nous prisonniers ?
Daniel : Non, absolument pas.
Hammond : Vous venez d'un environnement extraterrestre. C'est une question de sécurité aussi bien pour vous que pour nous.
Sam : Bonsoir, ca va ?
Narim : Oh, ca peu paraître ridicule, mais je ne sais pas comment me servir de ces objets. Chez nous, les plateformes de repos s'ajustent à la température du corps, nous n'avons pas ce genre d'équipement.
Sam : Je vais vous aider. Tenez, j'ai quelque chose à vous montrer.
Narim : Merci beaucoup.
Sam : De rien. Euh, j'ai j'ai une surprise pour vous.
Narim : Je n'aurais jamais cru voir un animal vivant.
Sam : Il s'appelle Schrödinger. Je plaisantais, en faite, on l'appelle le chat de Schrödinger.
Narim : Pourquoi ?
Sam : Et bien, ce chat porte ce nom à cause d'un physicien terrien du nom de Erwin Schrödinger. Il avait mis en place un dispositif expérimental. Enfermer un chat dans une boite, ensuite rajouter un flacon de gaz nocifs activé par un atome radioactif désintégré et sceller la boite.
Narim : Quel homme cruel.
Sam : Ah non, ce n'était qu'une théorie, il ne l'a pas appliqué. Il a dit que s'il avait mis en pratique sa théorie le chat serait tombé instantanément dans le coma.
Narim : C'est de la physique équilibrium. La quantité d'énergie d'un atome ne peu être mesuré que par un observateur extérieur.
Sam : Nous appelons ca la physique quantique. Vous en connaissez les théories ?
Narim : Oui, j'ai étudié ca. Tout comme les autres concepts erronées des sciences élémentaire.
Sam : Mais comment ca, des concepts erroné ? Vous prétendez que la physique quantique est une erreur scientifique ?
Narim : Omoc.
Sam : Je repasserai pour vous donner un coup de mains.
Narim : Je ne lui ai absolument rien dit.
Jack : Nous avons fixé un rendez vous avec Tuplo demain à 8h précise.
Teal'c : Le colonel O'Neill avait raison, la plupart des mondes que nous connaissons ne demande qu'à rendre service.
Hammond : Votre attention s'il vous plait. Nous avons un problème. Les réfugiés ont réussi à s'échapper.
Sam : A s'échapper ?
Jack : Comment ont ils pu déjouer la surveillance?
Hammond : Vous leur demanderez quand vous les aurez retrouvés.
Soldat : Ils sont ici.
Jack : Ne tirez pas.
Omoc : Nous sommes sortis observer les étoiles.
Jack : Je vous pris de revenir à la base, et tout de suite.
Omoc : Donc nous sommes bien prisonniers.
Jack : Vous savez comment ils ont pu échapper à la surveillance ?
Hammond : Le cameras vidéos de la salle multifonction ont été exposés à une étrange interférence au moment où ils s'échappaient.
Jack : Comme par hasard.
Sam : Peu être que l'ordinateur pourra récupérer les images.
Hammond : C'est ce qu'on essaie de faire. En attendant, nous devrions rejoindre nos hôtes.
Jack : Tuplo.
Tuplo : Heureux de vous revoir. Général Hammond, avant de commencer, je tenais à vous remercier de me donner la chance d'être le premier ambassadeur sur Terre de la planète des lumières. C'est un grand honneur pour moi. Seigneur Omoc, la planète des lumières est un monde de splendeur éternelle à la fertilité foisonnante. Nos champs produisent des récoltes abondante, nos rivières regorgent de poissons et nos forets sont giboyeuses. Nous serions honorés de partager nos terres avec votre peuple.
Omoc : Vous ne savez pas qui nous sommes et de quoi nous sommes capable.
Tuplo : Je sais que vous êtes en difficulté et que vous avez été accueilli par des hommes qui ont mainte fois prouvé être nos amis. Et cela nous suffit.
Omoc : La question n'est pas là. Sa planète serait invivable pour les Tollan. Ces gens sont encore plus primitifs que vous.
Sam : Narim, savez vous pourquoi Omoc est si … enfin vous voyez ce que je veux dire.
Narim : Drastique ?
Sam : Oui.
Narim : La planète la plus proche dans notre système solaire s'appelait Sarita. Lorsque nous avons commencé à explorer l'espace, nous avons découvert qu'elle était habitée.
Sam : Êtes vous entrés en contact ?
Narim : Oui, quand nous avons estimé que leur technologie était suffisante. Ils avaient un acquis semblable au votre.
Sam : Et que s'est il passé ?
Narim : Nous leurs avons offert les moyens de produire une énergie illimitée. Et ils s'en sont servi pour faire la guerre.
Sam : Et ca s'est terminé comment ?
Narim : En moins d'une rotation de votre planète, ils ont détruit la leur.
Sam : En une journée ?
Narim : L'explosion de leur planète à déplacé l'axe orbital de Tollan de trois degrés. Ce qui a engendré une série d'évènement qui a rendu notre monde instable.
Sam : C'est ce qui explique pourquoi Omoc refuse de nous divulguer votre technologie à une société telle que la notre.
Narim : Oui.
Sam : Que faisiez vous exactement en surface hier soir ?
Narim : Omoc a dit la vérité. Nous étudions la position de vos étoiles afin de pouvoir mesurer la distance entre la Terre et notre nouveau monde. Et elle est considérable Samantha. Nous n'aurons jamais le temps de notre vivant.
Sam : Avez vous envisagé de rester ici, sur Terre ?
Narim : Pour ma part, j'en serai ravi. Si j'avais le privilège de passer du temps avec un de ses autochtones. Je parlais de Schrödinger bien sur.
Omoc : Notre fuite était un test, vous avez fait exactement ce que nous avions prévu. Vous avez eu recourt à la menace et à la force pour résoudre vos problème.s
Sam : Vous nous avez pas laissé le choix.
Omoc : Vous auriez pu venir sans vos armes.
Jack : Et vous ne vous êtes pas comporté comme des gens en qui on peut avoir confiance. Je n'allais pas mettre mon équipe en danger.
Omoc : Et moi je refuse de prendre le risque de mettre mon équipe sous votre protection.
Jack : Voyons Omoc, si vous êtes si avancé que ca, pourquoi ne pas laisser vos compagnons décider par eux même ?
Sam : Narim, nous sommes une planète d'accueil, chaque annés nous recevons des milliers de réfugiés qui fuit la répression. Si vous sollicitez l'asile, nous accepterons votre demande malgré ce qu'en pense Omoc.
Omoc : Vous vous fichez éperdument des droits de Narim. Ce qui vous intéresse, c'est notre technologie rien de plus.
Jack : D'ailleurs si vous n'y voyez pas d'inconvénient, j'aimerais bien savoir comment vous avez pu vous échapper. Technologiquement parlant bien sur.
Omoc : Vous n'avez rien à savoir, nous l'avons fait, c'est tout. Et nous pourrions le refaire si nécessaire.
Femme : Colonel, le général Hammond souhaiterait vous voir immédiatement.
Jack : J'arrive.
Sergent : Nous avons réussi à récupérer les images vidéos de la salle multifonction et de plusieurs couloirs de la base, dans la mémoire central de l'ordinateur. Vous ne croirez jamais ce que vous allez voir.
Jack : Whao, c'est fou.
Daniel : Mais, c'est impossible.
Sam : Visiblement nous avons là un aperçue des limites de nos technologies.
Sergent : Nous avons des images encore plus étonnante où on les voient passer une porte d'ascenseur. Et foncer dans le béton.
Teal'c : Leur technologie est bien plus avancé que celle des Goa'ulds.
Maybourne : C'est exactement ce que le président et son aréopage aimeraient entendre. Colonel Maybourne de l'intelligence service.
Jack : L'intelligence service ? Qu'est ce qui est arrivé à Kennedy ?
Maybourne : Il a été promu. J'ai pris sa place.
Jack : Promu ? Oui, ca veut dire mis au placard.
Maybourne : Colonel O'Neill. J'ai lu son rapport faisant état de votre antagonisme. Je vous promet que sa lecture n'aura aucune influence sur ma ligne de conduite à votre égard.
Jack : C'est ainsi que je l'entend.
Maybourne : Bien.
Hammond : Puis je connaître la raison de votre visite colonel ?
Maybourne : Vous n'avez pas reçu mon message ?
Maybourne : Voici l'ordre de transfert des Tollans dans ma section. Je vous félicite mon général, enfin le programme porte des étoiles se révèle être rentable. C'est un très joli coup.
Daniel : Je vous pris de m'excusez. Nous parlons ici de l'avenir d'êtres humains.
Jack : Et comme tout êtres humains, ces personnes ont des droits.
Maybourne : Croyez vous ? Et selon quelle juridiction.
Daniel : Le colonel vous parle des droits de l'homme tout simplement.
Hammond : Je refuse de vous les confier.
Maybourne : Je vous demande pardon ?
Hammond : Je ne crois pas que le président ai l'intention de transférer ces personnes avant qu'ils n'aient terminé leurs quarantaines. Nous n'avons aucune idée du type de maladie qu'ils pourraient porter avec eux.
Maybourne : Ce n'est plus de votre ressort mon général. Vous jouez sur mon terrain. Le président m'a conféré les pleins pouvoirs.
Hammond : A moi aussi colonel. Allez donc voir notre garde de service et faites vous raccompagner dans le quartier des officiers.
Maybourne : Ca ira, j'attendrais.
Hammond : Ce n'était pas une invitation. C'était un ordre colonel.
Jack : Mon général, je croyais pourtant que le docteur Fraiser avait fait passer aux Tollans un bilan de santé complet.
Hammond : Oui, mais surtout n'en dite rien à Maybourne. Je voulais gagner une petite journée en attendant vos propositions.
Jack : Vous êtes un type bien mon général.
Narim : Donc si je le désir, je peux demander l'asile ?
Sam : Oh, Maybourne en serait ravi. Mais vous devriez travailler pour lui selon ses propres règles.
Narim : Alors Omoc a raison. Vous voulez notre technologie pour faire la guerre.
Sam : Pas nous, non. Mais vous avez à faire à un membre de notre gouvernement qui a pour spécialité la paranoïa chronique.
Narim : Comme le peuple de Sarita. Ca risque de recommencer.
Sam : On peut empêcher cela. C'est pour ca que je suis là. Narim, j'espère que vous arriverez à convaincre Omoc d'accepter de vivre sur une des planètes que nous vous proposons.
Narim : Je n'en ferrai rien, il a raison. Ces gens sont aussi primitifs sinon plus que vous ne l'êtes. C'est typique du syndrome de …
Sam : J'aimerais que vous cessiez de nous traiter de primitifs.
Narim : Je suis désolé. J'entends par la technologiquement. Vous êtes tout sauf quelqu'un de primitif Samantha. Ce que votre esprit ignore votre cœur le devine.
Sam : J'ignore le sens exact de votre phrase, mais c'est très beau Narim.
Narim : C'est exactement ce que voulais dire.
Daniel : Qu'attendez vous de ces gens au juste ?
Maybourne : Ils ont un arsenal militaire supérieur aux nôtres.
Jack : Ils ne voudront jamais coopérer.
Maybourne : Je peux vous assurer que si colonel.
Hammond : J'étais en communication téléphonique avec le Pentagone. Je crains fort que monsieur Maybourne soit mandaté par le président.
Maybourne : Je vous avais bien dit que j'avais son avale.
Hammond : Le colonel Maybourne a les pleins pouvoirs pour disposer des Tollans dès à présent.
Jack : Ah ba voyons.
Teal'c : Où comptez vous les emmener ?
Maybourne : Dans une communauté scientifique dans les rocheuses.
Jack : Oui, je vois le tableau d'ici. Des hauts murs, un garde pour chacun d'eux, des barbelés tout autour.
Maybourne : Ils représentent un bien inestimable. Il faut bien les protéger.
Daniel : Je vois oui. Les travaux forcés intellectuel.
Sam : Et une peine à perpétuité.
Maybourne : Ces extraterrestres vivront mieux que la plupart des américains. Ils bénéficieront du paysage, d'une excellente nourriture et de tout le confort nécessaire.
Jack : Mais il y a toujours une chose qui leurs manquera. La vie.
Daniel : Bon, le Pentagone, l'intelligence service je peux comprendre. Mais le président ? Quand je pense que j'ai voté pour lui.
Maybourne : Colonel, préparez le départ des Tollans pour demain à, 6h.
Hammond : Très bien colonel. Puis je savoir pourquoi je suis là ?
Jack : Parce que Maybourne n'y est pas monsieur.
Sam : Nous avons trouvé un moyen d'empêcher Maybourne d'emmener les Tollans avec lui.
Teal'c : Mon général, nous devons aider les Tollans à s'échapper.
Hammond : Je ne peux pas vous laisser faire ca. Nous serions passible de la cours martiale.
Jack : Mon général, je suis à deux doigts d'en prendre le risque. En plus, Daniel …
Daniel : Je ne suis pas un militaire mon général.
Omoc : Le dénommé Maybourne est passé nous voir avec toute une batterie de test et nous a posé de nombreuse questions. Et après ca vous voudriez qu'on vous fasse confiance.
Daniel : Écoutez, Maybourne travaille pour une autre division du gouvernement et mon groupe essaie de vous protéger.
Omoc : Alors c'est que vous n'êtes pas très compétent.
Daniel : Dans ce cas précis non.
Omoc : Connaissez vous une planète où nous installer ?
Daniel : A vrai dire non.
Omoc : Alors nous n'avons plus rien à nous dire.
Daniel : Attendez, en faite, je connais la planète idéale pour vous accueillir, mais j'ignore comment vous y faire parvenir.
Narim : Alors pourquoi en parlez vous ?
Daniel : J'espérais que votre technologie vous offrirai un moyen d'aller jusque là-bas.
Omoc : C'est encore une ruse pour avoir accès à notre technologie .
Daniel : Non pas du tout, écoutez. Nous avons visité une planète où la technologie était aussi avancé que la votre, peut être même d'avantage. La planète Nox.
Omoc : Si vous avez pu y aller pourquoi pas nous ?
Daniel : Oh, parce qu'ils avaient les mêmes aprioris que vous en ce qui nous concerne. Ils nous ont trouvé trop jeunes. C'est une manière plus poli de nous traiter de primitifs, mais ca revient pratiquement au même, n'est ce pas. Enfin, les Nox ont scellé leur porte et nous ne savons pas comment entrer en contact avec eux.
Omoc : Savez vous où se trouve cette planète.
Daniel : Oui, j'ai les coordonnées sur moi.
Omoc : Nous devons nous rendre au sommet de la montagne.
Daniel : Ah oui. Je n'ai pas l'autorisation de vous laisser sortir d'ici.
Omoc : Ce n'est pas un problème.
Daniel : Vraiment ? Mais je tiens à vous accompagner.
Omoc : Donnez moi votre main.
Daniel : Pardon ?
Omoc : Voulez vous venir avec moi ou pas ?
Omoc : Les coordonnées.
Daniel : Je ne suis pas un spécialiste en astronomie, mais ca va lui prendre des milliers d'années avant d'atteindre Nox.
Omoc : Pourquoi donc ?
Daniel : C'est un simple laser n'est ce pas ? Enfin, la lumière va mettre un temps fou pour aller aussi loin.
Omoc : La distance entre ces deux points semble infini, jusqu'à ce qu'ils se rejoignent.
Daniel : Ah oui je vois, j'ai appris ca en cours de physique. Un de nos savant Einstein expliquait ses théories de la même façon, c'est ce qu'on appel la théorie de la relativité.
Omoc : Non. Vous ne pouvez pas comprendre.
Daniel : Non, je crois que non. Mais j'espère que les Nox le pourront.
Narim : Samantha ?
Sam : Narim ?
Narim : Bonsoir.
Sam : Oh mon dieu, mais comment faites vous ca ?
Narim : Avec beaucoup de prudence. Je suis venu vous dire au revoir. Je vais bientôt partir.
Sam : Vous pensez que le plan de Daniel marchera ?
Narim : Je partirai de toute façon. Mais pas de guetté de cœur.
Sam : Pour quelle raison ?
Narim : Parce qu'après ce soir nous nous verrons plus jamais.
Sam : Ah voyons, vous m'oublierez très vite.
Narim : Je savais que vous diriez ca. Je voudrai vous offrir ceci.
Sam : Qu'est ce que c'est ?
Narim : Vous avez des appareils qui enregistrent le son et l'image ?
Sam : Oui.
Narim : Ceci enregistre les émotions, mes sentiments pour vous. Je l'ai porté chaque fois que nous étions réuni.
Sam : Comment on s'en sert ?
Narim : Appuyez sur le triangle rouge. Et fermez les yeux.
Sam : Je ne sais pas quoi dire.
Narim : Nous avons une coutume qui exprime les sentiments mieux que les mots.
Sam : Nous pratiquons cette coutume aussi.
Daniel : Oh pardon. Désolé, j'ai quelque chose d'urgent à faire ici. D'ailleurs, j'aurais besoin de toi.
Sam : Vous devriez peut être y aller. N'oubliez pas Schrödinger.
Narim : Merci.
Maybourne : Il faut me fournir une unité d'escorte pour assurer mes arrières général.
Hammond : Entrez.
Femme : Mon général, les les réfugiés, ils ont disparu.
Maybourne : Comment ca disparu ?
Femme : Oui monsieur, comme par enchantement. Ils ont traversé les murs.
Maybourne : J'avais donné des ordres pour assurer la présence armée à l'intérieur de nos murs.
Femme : J'étais moi même à l'intérieur de la salle et j'ai tenté de leur barrer le chemin.
Maybourne : Et alors ?
Femme : Ils me sont passé à travers le corps.
Hammond : Mais qu'est ce que …
Haut parleur : Alerte à tous le personnel, activation de la porte extérieur d'origine inconnu.
Hammond : Mais qu'est ce que vous faites ?
Sergent : Le système de contrôle s'affole monsieur. Oh non, l'iris va s'ouvrir.
Hammond : Pourquoi le rideau anti-explosion est baissé. Ouvrez le.
Maybourne : Qu'est ce qu'ils fabriquent ? Comment sont ils arrivés là ?
Sergent : Ouverture de la porte. Chevron six enclenché.
Maybourne : Docteur Jackson, ici le colonel Maybourne. Ce que vous faites est passible de la cour martiale.
Jack : Ce n'est pas un militaire colonel. Il vous sera difficile de trouver dans le code civil une loi qui le punisse pour ca.
Maybourne : Je vous ferrez chasser de ce programme à tout jamais docteur Jackson.
Sergent : Chevron sept enclenché.
Maybourne : Nous les pourchasserons partout où vous les enverrez.
Sam : Nous ne les envoyons nulle part mon colonel. La porte à été activé de l'extérieur. Quelqu'un vient les chercher.
Maybourne : Qui ca ?
Lya : Bonjour.
Daniel : Bonjour Lya.
Maybourne : Au soldat en faction près la porte. Ici le colonel Maybourne. Par ordre du président, je dois emmener ces aliens avec moi. Ne les laissez pas passer. Utilisez la force si nécessaire.
Lya : Ta race n'a toujours rien appris. Mais toi si. Les Tollans sont les bienvenus sur la planète Nox. Je vous en prit venez.
Omoc : Narim avait raison à votre sujet. Peut être nous reverrons nous un jour.
Maybourne : Stop. Un pas de plus et je donne l'ordre d'ouvrir le feu.
Lya : Venez.
Maybourne : Ouvrez le feu. Ouvrez le feu.
Jack : J'aime beaucoup ce peuple.
Jack : C'est bien Daniel.
Teal'c : Et Maybourne ?
Sam : Oh, ce n'est pas un messager heureux
Hammond : Il va avoir du mal à expliquer tout ca à son retour à Washington.
Jack : Qu'est ce qu'il y a ?
Daniel : Oh, je pensais à ce que nous a dit un jour ce petit garçon avec ses drôles de cheveux.
Jack : Les jeunes n'acceptent pas toujours l'autorité des anciens.
Daniel : C'est ça.
FIN