STARGATE ATLANTIS
Saison 1 épisode 03
SCRIPT VF
Titre : « INVULNERABLE »
CITÉ D’ATLANTIS LABO DU DR BECKETT
Rodney est devant un aquarium dans lequel se trouvent des souris blanches.
RODNEY : Est-ce que vous fréquentez quelqu’un ?
DR BECKETT: Euh... Non, pas vraiment.
RODNEY: C’est aux souris que je parlais, docteur. Mais cela dit j’ai repéré quelques Athosiennes très sexy. Et vu qu’ont les a libérés des Wraiths on devrait marchander, avant qu’elles ne réalisent qu’on n’est pas si cool.
DR BECKETT : Venez-vous assoir, je suis prêt.
Rodney rejoint le Dr Beckett et monte sur la table médicale, puis remonte sa manche gauche. Mais le Dr Beckett prend le bras droit de Rodney et lui remonte sa manche, afin de lui placer un garrot pour lui injecter le gène des anciens dans la veine.
DR BECKETT : Je suis étonné que vous soyez porté volontaire avec autant d’enthousiasme.
RODNEY : Je suis toujours prêt à aider mon prochain.
DR BECKETT : Oui, je sais. Vous avez des questions sur l’expérience ? Je veux dire en tant que scientifique.
RODNEY : Euh... Ouais. Je suis désolé mais pour moi la médecine, est autant une science que le vaudou. Est-ce que je serais en mesure d’utiliser la technologie des anciens comme le major ou comme vous même ?
DR BECKETT : Oui, j’espère bien. Vous êtes le premier cobaye humain.
RODNEY : Pourquoi maintenant ? Je veux dire, si c’est possible, pourquoi ne pas l’avoir fait bien avant.
DR BECKETT : Sans l’approbation officiel des services sanitaires, c’est virtuellement impossible sur terre et... On n’a qu’à dire que sur la galaxie de pégase c’est légale.
RODNEY : Et sans le moindre risque ?
DR BECKETT : Autant que la thérapie génique puisse l’être. Là, je manipule votre ADN. On peut y aller !
RODNEY : Euhhh...Dites m’en plus.
DR BECKETT : Ohhhhh... Nous sommes convaincues que l’ATA, l’Activation de la Technologique des Anciens, se d’éclanche par un gène unique toujours en action, chargent différente cellules du corps produire une suite de protéines et d’enzymes qui ont une interaction sur la peau, le cerveau, et le système nerveux. Dans ce cas nous nous servons du rétrovirus d’une souris pour apporter le gène manquant à vos cellules.
RODNEY : Le rétrovirus d’une souris ?
DR BECKETT : Au préalable désactivé.
RODNEY : Y-a-t-il des effets secondaires ?
DR BECKETT : Bouche pâteuse, migraine, et une irrésistible envie de courir dans une petite roue.
RODNEY : C’est très amusant... Combien de temps avant un résultat ?
DR BECKETT : C’est plus au moins long... Qu’est ce que c’est ça ?
RODNEY : Oh, je l’ai trouvé dans un des labos de recherche. C’est un objet que les anciens expérimentaient.
DR BECKETT : Vous savez ce que c’est ?
RODNEY : Oui, je... j’en ai une petite idée.
COULOIR DE LA CITÉ
PETER : L’eau de mer dessalée est stockée dans des containers assez grands pour alimenter toute la cité.
DR WEIR : Excellent travail, nous avons enfin de l’eau potable.
PETER : Pour utiliser certaines technologies il nous faut être porteur du gène, d’autres nécessite qu’une initialisation, une fois activé, comme la salle des commandes, n’importe qui peut le faire fonctionner.
Trois enfants Athosiens croisent Peter et Elisabeth dans les escaliers.
JINTO: Bonjour Dr Weir.
DR WEIR: Bonjour, faites attention ! On devrait délimiter des aires de jeux pour les enfants.
PETER : Oui !
DR WEIR : Et impérativement dégager les couloirs et les lieux de passages, le plus vite possible. Est-ce qu’on pourrait aussi jeter toutes ces plantes mortes il y a 10 000 ans ?
PETER : Évidemment. Nous continuons à déterminés des quartiers d’habitations pour chaque individu, mais le major Sheppard semble prendre son temps pour choisir son espace.
DR WEIR : Bien sûr, mais la sécurité de cette expédition reste...
RODNEY : C’est bon je suis prêt.
Le Dr Weir et Peter arrête leur conversation en voyant Rodney assit sur la balustrade poussé par le major Sheppard.
DR WEIR : McKay.
SHEPPARD : Vous avez vu ça ?
DR WEIR : Qu’est ce que ça veut dire ?
RODNEY : Même pas mal.
Sheppard, Elisabeth et Peter descendent les escaliers pour rejoindre Mc Kay.
RODNEY : Hum, regardez ! La thérapie génie du Dr Beckett a marché, j’ai pu activer ce truc. C’est un bouclier individuel qui agit comme une deuxième peau. Il possède la faculté d’amortir les chocs, parce que j’ai rien senti du tout. Tenez regardez. Frappez-moi ! (En s’adressant à Peter.)
Peter frapper violemment McKay, mais le bouclier protégeant McKay, arrête la frappe de Peter, qui se fait très mal à la main.
PETER : Ahhhhhhhhh...
RODNEY : Fallait pas y allez franco. C’est génial, hein et en plus il y est allé de bon cœur.
DR WEIR : Je me demande bien, d’où vous êtes venu l’idée de tester ce gadget en demandant au major de vous poussez du premier étage.
RODNEY : Oh, vous pouvez me croire, ont n’a essayé beaucoup d’autre chose.
SHEPPARD : Je lui ai tiré dessus...Oh, dans la cuisse.
RODNEY : Hum, je suis invulnérable.
DR WEIR : N’est ce pas vous Rodney, qui mettez constamment l’accent sur la prudence et la sécurité lors d’une expérience scientifique.
RODNEY : Je suis invulnérable.
DR WEIR : Bon, allez retirer cet engin et allons à cette réunion.
SHEPPARD : Elle est jalouse.
DR WEIR : Oh, oui, d’ailleurs je l’envie.
McKay met sa main gauche pour retirer l’engin, mais il ne parvient pas à l’atteindre. Il fait un deuxième essai et le résultat est le même, impossible de le retirer.
RODNEY : J’ai un problème. Je ne peux pas l’atteindre.
Sheppard essai également de lui retirer l’engin, mais il n’y arrive pas.
SHEPPARD : Je voulais vérifier.
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CITÉ ATLANTIS A L’INFIRMERIE
Le docteur Beckett soigne la main de Peter.
PETER : Et pourquoi pas ! Monsieur invincible.
DR BECKETT : Ou capitaine intouchable.
PETER : Ouhh, c’est excellent.
RODNEY : Bon, ça y est, c’est fini ?
DR BECKETT : Je bosse sur cette génothérapie depuis plusieurs mois. J’ai bien le droit d’être satisfait que le premier essai sur un cobaye humain est réussi.
RODNEY : Oh, bien sûr oui, ça s’arrose.
PETER : Simple curiosité, mais depuis, vous avez essayé de boire ou de manger.
Rodney se précipite sur une tasse qu’il remplie de café et essaye d’ingurgiter le liquide, sauf que le bouclier qu’il porte l’empêche de boire.
RODNEY : C’est génial.
DR BECKETT : Le problème est plus grave que je ne le pensais.
RODNEY : A ben, merci ! J’ai faim moi. Qu’est ce que je vais devenir ? Si je ne peux pas enlever ce machin, je serais mort d’ici ce soir.
DR BECKETT : Relaxe. Vous pouvez vivre quatre jours sans boire.
RODNEY : Oui et la bouffe alors ?
DR BECKETT : Il y avait certainement une notice avec l’appareil ou les anciens expliquent comment l’enlever ?
RODNEY : Oui, il y avait un mode d’emploi et des instructions que j’ai carrément ignorées.
PETER : Certaines technologies des anciens ce servent du mental pour procéder à des opérations...
RODNEY : Taisez-vous ! Je pense.
PETER : Il y a-t-il une chance que cette génothérapie ne soit pas permanente ?
DR BECKETT : C’est possible.
RODNEY : Je suis un homme mort.
SALLE DES BRIEFING
SHEPPARD : On peut probablement sécurisé tous le secteur, malgré le nombre limité de nos effectifs.
TEYLA : Comptez sur moi et sur les miens.
DR WEIR : C’est gentil Teyla. Mais les Athosiens pourront contribuer à notre installation différemment.
TEYLA : Vous ne nous faites pas confiance ?
SHEPPARD : Là n’est pas la question. En fait, il faut que les vôtres se familiarise d’abord avec nos armes et avec nos tactiques.
TEYLA : C’est vous qui m’avez proposé d’être dans votre équipe.
SHEPPARD : Oui et nous apprécions vos connaissances et vos compétences aussi.
DR WEIR : Tout comme nous apprécions tous les Athosiens. Pour l’instant il devrait y avoir suffisamment de place pour tous le monde dans le secteur désigné.
TEYLA : Nous avons toujours vécu dans l’ombre des Wraiths, mais mon peuple, n’a jamais vu un endroit comme celui-ci. Ça les effraies. Certains pensent que les fantômes des ancêtres sont encore parmi nous.
DR WEIR : Je ne crois pas que ce soit le cas. Mais cela dit, pour l’instant, nous n’avons pas eu le temps d’explorer toute la cité.
SHEPPARD : Nous sommes des conquistadores intergalactiques très prudents.
DR WEIR : Et nous ne voulons pas que quelqu’un d’autre se blesse, comme Halling. Tout le monde doit comprendre qu’il est interdit de toucher quoi que ce soit de suspect, qui n’aurait pas été répertorié.
RODNEY : C’est vrai, on ne sait jamais... Même un petit truc ou gadget qui a l’air inoffensif... Peut vous tuer. Parole d’un homme trop curieux.
INFIRMERIE
DR WEIR: Carson?
DR BECKETT: Dr Weir.
DR WEIR: Grodin a demandé à une équipe d’étudier la notice explicative du bouclier individuel, mais McKay l’a potassé à fond, sans rien trouver de concluant. Et c’est le plus intelligent d’entre nous.
DR BECKETT: C’est ce qu’il aime à faire croire. Écoutez, cette histoire me met mal à l’aise. Il est possible que ce soit les conséquences de l’implantation du gène.
DR WEIR : Et bien moi, j’ai une autre théorie. Nous savons qu’il y a un facteur mental dans la métrise de la technologie des anciens.
DR BECKETT : Ce n’est pas à moi que vous l’apprendrez. Je me souviens encore très bien du drone, quand on n’était là bas sur terre.
DR WEIR : Oui, exact ! Justement, vous ne croyez pas que Mc Kay devrait pouvoir désactiver ce gadget par la pensé ?
DR BECKETT : Insinuez-vous qu’il ne veut pas le désactiver.
DR WEIR : On n’a beau s’installer ici, cet endroit est plutôt intimident. Une immense cité abandonnée avec des choses qui dépasse de très loin notre compréhension, ou plane les menaces de l’attaque des Wraiths.
DR BECKETT : Il n’y a pas de doute. On n’est tous mort de trouille, ici le soir.
DR WEIR : Je ne dis pas que c’est conscient, mais pourquoi pas subconscient, qui c’est ?
DR BECKETT : Je ne crois pas qu’il veuille mourir de déshydratation.
DR WEIR : Non, moi non plus, mais il n’en n’est pas encore là.
DR BECKETT : Alors quand le pire arrivera, le bouclier va se désactiver tout seul.
DR WEIR : Les anciens étaient suffisamment sages pour que leurs autres inventions soient sécurisées. Je veux dire, cette cité toute entière a surgit des profondeurs de l’océan, quand le danger a été imminent. Pourquoi aurait il créer un bouclier individuel qui les tuerait.
DR BECKETT : Et bien j’espère que vous dites vrais ? Pour Rodney.
SALLE DE CONTRÔLE
Sur un écran nous pouvons lire « Séquence d’activation d’autodestruction »
PETER : Le système d’autodestruction nécessite deux codes bien distincts. Chacun d’eux est unique. Il faudra que tout le monde ici mémorisent ces deux codes.
RODNEY : Moi, je n’en aurais pas besoins. Désolé.
DR WEIR : Nous savons pour l’instant, que c’est la seule porte de la galaxie de pégase qui soit capable d’une programmation terre. Ce serait notre dernière ligne de défense contre les Wraiths. S’ils devraient nous attaquer, j’entends par là, une véritable menace, nous ne pourrions pas laisser prendre le contrôle de cette infrastructure.
PETER : En entrant correctement les codes, le générateur à Naqahdah ce surchargera, il y en aura pour trente secondes.
LTD FORD : Vous êtes sûr que ça va détruire la base ?
RODNEY : Vous avez déjà vu une explosion nucléaire de 20 kilotonnes ?
SHEPPARD : Moi si. Pas de prêt. Ecoutez, je crois qu’on devrait dire à Teyla ce qui se passe sur Atlantis ?
DR WEIR : John pour le moment, nous ignorons encore, si ce n’est pas l’un des siens qui a prévenu sa planète de votre arrivé.
SHEPPARD : J’ai confiance en Teyla.
DR WEIR : Et moi aussi. Mais elle a confiance en son peuple. Elle voudra partager tout ce qu’on lui dira avec les siens. Et j’ai besoin de temps pour mieux les connaître.
QURATIER DES ATHOSIENS.
Sheppard raconte une histoire aux enfants.
SHEPPARD : Et en suite, croyant qu’il lui avait enfin réglé son compte. Ils lui tournèrent le dos pour partir, quand soudain... Ses yeux de glace s’ouvrirent sous son masque de hockey et il se leva d’un coup, brandissant son couteau...
JINTO : C’est quoi ce masque ? Et puis c’est quoi le Hockey ?
SHEPPARD : Le hockey, c’est...C’est un jeu qui se joue sur de la glace, et qui consiste à mettre un palais dans le but de l’équipe adverse. Les gardiens portent un masque pour le visage qui est...qui est... effrayant.
JINTO : Parle-nous encore du hockey.
UN AUTRE ENFANT : Est-ce qu’on peut y jouer ?
SHEPPARD : À dire vrai, ce n’est pas un jeu très divertissant. Le football en revanche, ah, ah, le football est un sport d’homme. Mais, vous devriez vous coucher, il est tard.
HALLING : Oui, c’est l’heure de dormir.
SHEPPARD : Et n’oublier pas demain soir les enfants, je vous raconterais « Cauchemar sur Elm street »
TEYLA : Bon allez les enfants, au dodo.
LES ENFANTS : Bonne nuit major et merci.
HALLING : Merci major.
SHEPPARD : J’espère que je ne les ais pas trop effrayés
HALLING : Je ne crois pas, non.
SHEPPARD : Bon.
Teyla ramène une jeune Athosienne à sa mère.
LA MAMAN : ça à été ?
LA JEUNE FILLE : Oui. Bonne nuit Teyla.
TEYLA : Bonne nuit.
SHEPPARD : Euh... Dites Teyla. Ne dites pas à Mc Kay, ce que j’ai dis a propos du hockey, par rapport au sport d’homme. Parce que, c’est un canadien et il ne serait pas content.
TEYLA : Et si vous m’en disiez un peu plus sur euh... le football ? Ce jeu que vous aimez tellement.
SHEPPARD : Attendez ! J’ai une meilleure idée. Venez avec moi.
QUARTIER D’HALLING.
Halling et Jinto sont couché.
JINTO: Père ? Tu crois que nous sommes à l’abri des Wraiths ?
HALLING: Rien n’est sûr et certain dans la vie... sauf mon amour pour toi.
JINTO : Est-ce que le vent de manque ?
HALLING : Ouais. Mais en gardant le silence, on peut entendre l’océan.
JINTO : Tu crois que les fantômes des ancêtres sont toujours ici ?
HALLING : Jinto, il faut que tu dormes.
DANS UNE AURE SALLE
Le lieutenant Ford, McKay, Sheppard, Teyla, regarde un match de football Américain. John Sheppard propose du pop corne à McKay.
RODNEY : Très drôle.
Le commentateur à la tv : On n’attend beaucoup du Quater back.
SHEPPARD : Ça y est, le voilà !
Le commentateur à la Tv : Flutie est bien. Quatre secondes, trois secondes, deux et un. Flutie lance. Le match est terminé. Je vous salue marie !
SHEPPARD : Oh, c’est une beauté ! Faut le voir pour le croire.
TEYLA : Qu’est ce qu’il faut croire ?
SHEPPARD : Et bien la défense n’a pas couvert le receveur, parce qu’elle ne pensait pas que le Quater back, lancerait aussi loin.
TEYLA : Les joueurs semble très heureux. C’est normal ?
SHEPPARD : Ben, oui, c’est normal, ils viennent de gagner le plus beau match de tout les temps.
LTD FORD : Flutie à remporté l’Heisman.
RODNEY : Et il est parti joué au canada.
TEYLA : Il jouait aussi au Hockey ?
Le Dr Weir arrive auprès de l’équipe.
DR WEIR : Je peux ne joindre à vous ?
SHEPPARD : Je montre à Teyla, que le football, est la base de la civilisation occidentale.
DR WEIR : Et vous ne m’avez pas invité
SHEPPARD : Vous aimez le football ?
DR WEIR : Non, pas vraiment.
SHEPPARD : Pourtant, c’est un jeu authentique, imprévisible et plein de passion, de bière, de hot dogs, de...
RODNEY : De pom-pom girls.
DR WEIR : Je ne comprends pas, on vous autorise à emporter un truc personnel et vous, vous choisissez un match de football.
SHEPPARD : C’est une métaphore. Je veux dire, toute cette expédition est le plus grand je vous salue Marie de l’histoire de l’humanité.
TEYLA : Euh...C’est quoi un je vous salue Marie ?
SHEPPARD : C’est justement ce qu’on vient de voir. Le nom vient d’une prière. C’est une femme, qui s’appelle Marie et qui euh... Je vous ai déjà parlé des fêtes foraines ?
QURATIER D’HALLING
Jinto s’apprête à quitter la chambre, pour aller jouer avec Wex son camarade.
WEX : C’est toi qui fais le Wraith.
JINTO : Non, toi tu fais le Wraith. Moi, je suis le major Sheppard.
Les deux enfants s’apprête à jouer à cache-cache, Jinto commence à compter.
JINTO : Un, deux, trois, quatre, cinq, six...
Wex part se cacher son masque de Wraith sur le visage et Jinto, le chercher un bâton à la main. L’enfant entend un bruit, il retourne mais ne voit rien.
JINTO : Wex ?
Jinto avance, puis ouvre une porte derrière laquelle se trouve du matériel. Son camarade de jeu s’est caché derrière des caisses.
WEX : Jinto ?
Wex, entend un bruit bizarre, il sort de sa cachette et enlève son masque.
QUARTIER DU MAJOR SHEPPARD
Le major Sheppard est sur son lit, un livre à la main, lorsque soudain quelqu’un frappe à sa porte.
HALLING : Major ! Major !
John Sheppard ouvre alors la porte.
HALLING : Jinto a disparu. Je ne le trouve nulle part. Je lui avais dit d’être prudent, que tout ce qu’il toucherait pouvait-être dangereux.
WEX : Et s’il y avait vraiment des monstres ici ?
SHEPPARD : On va le retrouver.
Sheppard court suivi de Halling et Wex. John se présente dans les quartiers du lieutenant Ford.
QUARTIER DU LIEUTENANT FORD
SHEPPARD : Jinto à disparu. Equipe de deux, on ratisse étage par étage. Commencer par les Jumper. Et en vitesse !
LTD FORD : Bien, monsieur.
Le lieutenant Ford prend sa veste et Sheppard repart.
TEYLA : Il n’est pas dans la zone d’habitation.
HALLING : Je tiens à vous aider.
SHEPPARD : Vous n’êtes pas en état de nous aider.
HALLING : C’est mon fils.
Sheppard acquiesce d’un signe positif de la tête.
SALLE DE CONTRÔLE
Le Dr Weir arrive en salle de contrôle.
DR WEIR : Peut-on se servir des détecteurs pour le localiser ?
RODNEY : On n’a pas assez de puissance pour activé toute la cité en même temps.
PETER : De toute façon, les détecteurs ne distingue pas...
Les lumières de la cité vacillent.
PETER : Les individus...
RODNEY : Il se peut qu’il y ait des zones protégées ou des détecteurs défectueux. Nous captons une étrange énergie, dans un des secteurs non exploré de la cité.
DR WEIR : Activez le système de communication.
RODENEY : Activez.
DR WEIR : Jinto ? Ici le docteur Weir. Si tu m’entends, réponds-moi, s’il te plait. Jinto ? Si tu t’es égaré et que tu veux nous...
Soudain les lumières et les écrans en salle de contrôle s’éteignent.
PETER : On n’a une baisse de puissance.
RODNEY : Mais, il y a encore de la lumière.
Quelques secondes plus tard les écrans se rallument.
PETER : J’ignore ce qu’il se passe.
Le bouclier s’est activé tout seul.
PETER : J’ai rien fait, ce n’est pas moi.
Le bouclier s’est désactivé. C’est ensuite autour de la console des adresses de la porte des étoiles qui s’active toute seule. Rodney et Peter se précipite vers cette dernière.
DR WEIR : Désactivez la porte.
Rodney appui sur la touche du milieu de la console et la porte cesse son activité.
DR WEIR : Rodney qu’est ce que cela veut dire ?
RODENY : Je n’en sais rien.
PETER : Ça ne c’était jamais produit avant.
RODNEY : Nous sommes là depuis quelques jours. Ce matériel est plutôt vétuste, c’est soit ça, ou alors, il y a vraiment des fantômes.
DANS LES COULOIRS DE LA CITÉ
Halling et John, parcourt le couloir, soudain la lumière s’éteint
SHEPPARD (A la radio) : Salle de contrôle, ici Sheppard, nous avons de saut de courent.
DR WEIR (A la radio) : Major, il y a des coupures et des défaillances inexpliquées de notre côté.
Nous voyons ce que voit l’entité
RODENEY : C’est peut-être une question de contact entre le Naqahdah et ceux de la cité, ou alors en isolent certains de nos systèmes on n’a perturbé les donnés que les anciens avaient programmés.
PETER : Je vais faire un scanne de notre débit d’énergie.
DR WEIR : Alors comme ça, vous croyez aux fantômes ?
RODNEY : Disons que je crois en certaines choses qu’on n’appel Wraith qui ôte votre force vital avec leurs mains. Comment vous appelez ça ?
Teyla rejoint Elisabeth et Rodney.
TEYLA : Dr Weir ?
DR WEIR : Teyla, une petite seconde... Bon courage.
RODNEY : Merci.
TEYLA : Dr Weir, je vous présente Marta.
DR WEIR : Bonjour, comment vas-tu ?
TEYLA : Tout va bien, raconte-lui ce que tu as vu.
MARTA : J’ai vu une ombre.
TEYLA : Les Wraiths, les projettent. Vous croyez voir des choses, mais ce ne sont que des illusions.
DR WEIR : En es-tu sûr ?
Marta fait un signe positif de la tête.
TEYLA : Cela dit, je ne sens pas leur présence.
DR WEIR : Et vous, vous n’êtes jamais trompé, c’est ça ? (A la radio) Major Sheppard, ici Weir. L’une des Athosiennes, affirme avoir vu ce qu’elle appelle une ombre.
MARTA : Tu vois elle ne me croit pas.
DR WEIR : Teyla, dit ne pas ressentir la présence des Wraiths, mais je commence à être inquiète.
SHEPPARD : Très bien que tout le monde se replis dans la salle d’embarquement, pour d’autre instruction.
HALLING : Vous n’allez pas cesser les recherches ?
SHEPPARD : S’il existe une menace faut bien que l’ont délimite un périmètre de sécurité.
Sheppard et Halling quitte le couloir pour rejoint la salle de contrôle.
TEYLA : Alors ?
HALLING : Nous ne l’avons pas vu, nous n’avons rien trouvé.
SHEPPARD : J’ai sécurisé l’accès à la tour de contrôle et aux quartiers.
DR WEIR : Deux autres Athosiens ont aperçu l’ombre en question.
SHEPPARD : Ça veut dire quoi, que les Wraiths ont infiltré la base.
DR WEIR : Vous croyez que non ?
SHEPPARD : Je ne pense qu’ils ne veulent pas nous effrayer. Le jour où ils décideront de débarquer ils détruiront carrément notre base sans ménagement.
DR WEIR : Vous croyez que les Athosiens ont des hallucinations ?
SHEPPARD : Si on n’en croit Teyla, cet endroit leur fait peur.
RODNEY : Moi aussi, il me fait peur.
TEYLA : Halling, souhaiterait parler à Jinto.
DR WEIR : Je vous en pris.
RODNEY : Allez-y.
HALLING : (A la radio) Jinto. Si tu m’entends, je ne suis pas en colère. Ce qui compte, c’est de savoir si tu es sain et sauf. Si tu es perdu ou blessé, reste où tu es. Fais-nous signe si tu peux. Nous te trouverons.
Halling pose ses béquilles, puis parle la langue des anciens.
SHEPPARD : C’est quoi, du latin ?
DR WEIR : C’est la langue des anciens. Père de la lumière du temple éternel.
TEYLA : C’est une prière adressé aux ancêtres.
HALLING : Si nous avons provoqués votre colère en prenant possession de votre magnifique cité, nous demandons votre miséricorde, nous n’avions pas de mauvaise intention. Nous quitterons ces lieux, si tel est votre souhait. Mais je ne partirais pas d’ici sans mon fils.
Aux derniers mots prononcé par d’Halling, la lumière de salle de contrôle baisse d’intensité. Rodney perd connaissance et tombe sur le sol.
INFIRMERIE
Rodney est à l’infirmerie avec le major Sheppard, le Dr Beckett l’examine.
DR BECKETT : Il a fait une syncope.
RODNEY : Il n’y a pas un mot plus sympathique.
DR BECKETT : C’est médicalement approprié comme terme.
RODNEY : Je préfère dire que la faim m’a fait perdre connaissance.
SHEPPARD : Bien, restez ici. (A la radio) Dr Weir, ici Sheppard. McKay va bien. Il a euh... il a fait une syncope.
RODNEY : C’est ça, allez y...C’est honteux de se moquer mourant. Merci docteur.
Le major Sheppard, sort de l’infirmerie, la lumière vacille de nouveau, puis s’éteint, il s’arrête. Un bruit attire son attention, il avance prudemment mitraillette à la main. L’entité s’approche, et passe devant lui. Lorsque celle-ci est passée, les lumières se rallument. Le major Sheppard la suit. Il arrive auprès de Peter, la créature quant à elle, s’est approchée du générateur pour en n’absorber l’énergie.
SALLE DE CONTRÔLE
SHEPPARD : Ça ne ressemblait pas aux fantômes que projettent les Wraiths, mais je comprends que les Athosiens étaient perturbés.
DR WEIR : A quoi, cela ressemblait-il ?
SHEPPARD : Ben, on aurait dit...
PETER : Un nuage, une ombre qui a recouvert le Naqahdah et qui grossissait, comme si elle se nourrissait de l’énergie.
SHEPPARD : Quand il l’a arrêté, ce truc bizarroïde, s’est envolé.
RODNEY : Si cette chose se gave d’énergie, alors c’est problématique pour nous, enfin non, je veux dire pour vous. Parce que moi, je vais tenir bien longtemps.
SHEPPARD : Nous devons définir, ce qu’est cette chose et comment la métriser.
PETER : Nous savons que cette chose est attirée par l’énergie.
DR WEIR : Coupons les générateurs alors.
RODNEY : Ben, euh... les humains aussi dégage de l’énergie. Bon, certes moindres que celle fournies par les générateurs à Naqahdah. Mais les éteindre, reviendrait à coupé les vivre à cette entité.
DR WEIR : Vous croyez qu’elle pourrait s’en prendre à nous ?
RODNEY : La seule chose dont je sois sûr, c’est que les ombres volantes qui se nourrisse d’énergie, ça m’a pas l’air sympa.
DR WEIR : Très bien, on ne coupe pas les générateurs. Euh...Grodin trouvez un moyen de détecter cette ombre. Quant à vous major, il faut maintenir une surveillance contente sur les générateurs. Si l’un d’eux est visé nous le couperons à distance. Nous avons heureusement de quoi faire patienter cette chose, le temps de s’en débarrasser. (A la radio) Votre attention tous le monde, ici Weir. Pour l’instant et jusqu'à nouvel ordre, il serait souhaitable que vous restiez dans vos quartiers. Si vous voyez quoi que ce soit qui...
JINTO : Allo ? Vous m’entendez ? Quelqu’un m’entend ?
SHEPPARD : Jinto ?
JINTO : Major Sheppard !
DR WEIR : Tu vas bien ?
JINTO : J’ai peur.
SHEPPARD : Ou es-tu ?
JINTO : Je ne sais pas.
DR WEIR : Reprend tout du début et dit-nous comment tu es allé là où tu es.
JINTO : J’étais dans le couloir, devant mes quartiers.
Tout le monde se met en route pour retrouver Jinto.
SHEPPARD : Et ensuite ou es-tu allé ?
JINTO : Je ne m’en rappel pas.
TEYLA : Il s’orientait toujours en forêt, il prenait ses repères en suivant les étoiles.
JINTO : J’ai ouvert une petite pièce ou il y a des caisses qui viennent de la terre.
Sheppard et Rodney avance vers une porte. Sheppard l’ouvre. Ils découvrent que la petite pièce est vide.
SHEPPARD : Il n’y a pas de caisses.
JINTO : Elles sont ici, avec moi.
RODNEY : Et dire qu’on voulait faire un placard de ce truc là.
John et Rodney entre dans la petite pièce ou un panneau vient de s’ouvrir dans le quel se trouve un écran ou apparait le plant de la cité.
SHEPPARD : Ce n’était certainement pas un placard. Est-ce qu’un panneau lumineux est apparue sur le mur d’en face ?
JINTO : Oui.
SHEPPARD : Est-ce que tu l’as touché ?
JINTO : Oui.
SHEPPARD : Ou exactement,
JINTO : Je ne m’en souviens pas.
RODNEY : Avant sa disparition, on n’a détecté une énergie inhabituelle dans cette zone. Oh, oh non attendez.
John à appuyer sur un point de l’écran, les portes se sont alors fermé. Lorsque les porte se re-ouvrent, ils arrivent dans une autre pièce.
DANS UNE NOUVELLE PIÉCE DE LA CITÉ
RODNEY : C’est peut-être un téléporteur.
SHEPPARD : On lui donnera un nom plus tard.
Le Dr Weir ouvre les portes et retrouve les caisses. Du côté de Sheppard et Rodney, Jinto réapparait.
JINTO : Major Sheppard !
SHEPPARD : Jinto ! Ça va mon grand ?
JINTO : Oui.
SHEPPARD : (A la radio) On n’a retrouvé Jinto, il va bien.
Elisabeth, Teyla et Halling sont soulagés. Sheppard, Rodney et Jinto sont toujours dans la nouvelle salle. Rodney touche la console qui se trouve devant lui.
SHEPPARD : Savez-vous à quoi servait cet endroit ?
RODNEY : C’est un labo de recherche. Enfin je pense, ça m’en a tout l’air en tout cas. Ces consoles ont accès au système informatique central et Jinto a pu provoquer d’ici les baisses de tension. Il faut qu’on sache exactement ce que tu as touché.
SALLE DE CONTRÔLE
Peter est sur l’ordinateur et surveille l’entité. Elisabeth le rejoint.
PETER : Pour autant que je sache. Il n’y a qu’une seule entité. Les trois points bleus lumineux sont les générateurs à Naqahdah actif. La trainé rouge, c’est notre entité. Tout dépendait du calibrage des détecteurs. Votre idée fonctionne à merveille. Jusqu'à présent j’ai pu anticiper l’approche de la chose vers les générateurs actif et les coupé un par un. Tenez regardez. Et voilà, je fais tourner la chose en rond.
DR WEIR : Excellent.
PETER : Merci.
DR WEIR : En espérant que ça ne l’a mette pas en colère.
PETER : (A la radio) Lieutenant, ici Grodin. D’après les capteurs, l’entité se dirige vers vous. Quittez le couloir dans lequel vous êtes.
COULOIR DE LA CITÉ
LTD FORD : Bien reçu.
Le lieutenant Ford et Stackhouse essaye de quitter le couloir dans le quel ils se trouvent. Mais une porte se ferme, ils sont coincés.
LTD FORD : (A la radio) Ici Ford, une porte vient de se refermée devant nous. Je ne vois pas de panneau de commande, ni un aucun autre moyen d’ouvrir.
PETER : (A la radio) Bien reçu.
DR WEIR : (A la radio) McKay ?
RODNEY : (A la radio) Nous n’avons touché à rien. C’est surement l’entité qui déclenche toutes ces défaillances. Les perturbations électroniques que cette chose provoque, pourrait carrément détraquer la technologie des anciens.
DR WEIR : (A la radio) Lieutenant revenez sur vos pas et essayez la porte à l’est du couloir.
Le lieutenant Ford et Stackhouse s’exécute, ils parcourent le couloir arme à la main.
LTD FORD : Elle ne s’ouvre pas non plus, docteur.
STACKHOUSE : La chose d’approche.
RODNEY : (A la radio) Ouvrez le boitier de commande.
STACKHOUSE : Vite lieutenant.
LTD FORD : (A la radio) Je fais quoi ensuite ?
LABO DES ANCIENS
RODNEY : (A la radio) Qu’est ce que vous voyez ?
LTD FORD : (A la radio) Trois cristaux.
RODNEY : (A la radio) Retirer celui du milieu, et mettez celui du haut à la place.
COULOIR DE LA CITÉ
LTD FORD : Dés que vous voyez la porte s’ouvrir, vous foncez ! Je vous suis. Il se passe rien.
LABO DES ANCIENS
RODNEY : (A la radio) Prenez celui du milieu et apposé le sur les deux autres.
COULOIR DE LA CITÉ
LTD FORD : (A la radio) Ça va marcher, c’est sûr ?
LABO DES ANCIENS
RODNEY : (A la radio) Je n’en sais rien.
COULOIR DE LA CITÉ
Le lieutenant Ford fait ce que lui a dit McKay. L’entité quant à elle arrive rapidement.
LTD FORD : Foncez !
Stackhouse exécute les ordres donnés par le lieutenant Ford. Mais l’entité attaque le lieutenant Ford.
LTD FORD : Aaahhhh.
Ses hurlements s’entendent à la radio au travers de toute la cité. Stackhouse, se précipite peu après vers le lieutenant Ford.
STACKHOUSE : Un homme à terre. Envoyez-moi une équipe médicale.
INFIRMERIE
DR BECKETT : Bien, restez tranquille.
Elisabeth et John arrive à l’infirmerie.
DR BECKETT : Sommes nous réellement en danger ?
DR WEIR : J’aimerais pouvoir vous répondre.
SHEPPARD : Comment va Ford ?
DR BECKETT : Comme quelqu’un frappé par la foudre.
DR WEIR : Est-ce qu’il va s’en sortir ?
DR BECKETT : C’est un dur à cuire.
Sheppard et Elisabeth vont voir le lieutenant Ford.
STACKHOUSE : Monsieur.
SHREPPARD : Repos. Lieutenant.
LTD FORD : Pouvez vous lui dire, qu’il n’avait aucune solution.
SHEPPARD : Vous n’aviez aucune solution Stackhouse.
STACKHOUSE : J’aurais au moins pu le protéger.
LTD FORD : Et on serait dans le même état tous les deux.
DR WEIR : Vous n’êtes pas si mal en point.
SHEPPARD : Le docteur Beckett a dit que vous serez remis sur pied. Rassurez-vous en très peu de temps.
LABO DES ANCIENS
SHEPPARD : De toute évidence, c’est aussi un ascenseur.
RODNEY : Ah oui ?
DR WEIR : Nous pouvoir évitez les escaliers
RODNEY : Oh, comme c’est chouette pour vous tous.
SHEPPARD : Qu’avez-vous trouvé ?
RODNEY : Et bien, croyez le ou non, Jinto n’a touché à rien qui porte à conséquence, à part ça... Ça possède sa propre ressource d’énergie, comme les Jumper.
DR WEIR : Qu’est ce que c’est ?
RODNEY : Et bien, ça ressemble fort, a ce que j’appellerais un module de contention.
SHEPPARD : Jinto aurait libéré la créature ?
RODNEY : Ça m’en a tout l’air. Comme je vous l’ai déjà dit, l’entité est probablement à l’origine de nos problèmes techniques. Elle a du être capturée pour observation. Les anciens voulaient atteindre l’ascension.
DR WEIR : Vous plaisantez ?
SHEPPARD : C’est quoi ça, l’ascension ?
RODNEY : En cours d’évolution, les anciens ont atteint un niveau d’existence, euh... très sophistiqué qui leur permettait de se débarrassé de leur corps physique, pour s’élevé à un niveau plus serein. Niveau dans le quel il n’était que pure énergie. Je sais, ça a l’air ridicule, mais cet objet indique qu’il y a quand même eu tentative d’intervention sur leur évolution dans ce sens.
SHEPPARD : Une sorte de génothérapie à la mode des anciens.
RODNEY : Je n’ai pas encore lu toutes leurs notes, mais pour l’instant, je sais que l’entité est énergie. Elle s’en nourrie. D’ailleurs Ford a de la chance, parce que plus cette entité se nourrit d’énergie, plus elle grossit, et plus elle grossit, plus elle est chargée et devient mortelle.
DR WEIR : Est-ce que ça a une intelligence ?
RODNEY : D’après ce que j’ai lu l’entité à des sensations, mais si le but est de tenter une discussion avec, alors autant parler avec un requin. Cette chose va pomper jusqu’à la dernière molécule d’énergie de nos générateurs et tous nous tuer.
DR WEIR : Et comment faire pour l’en n’empêché ?
RODNEY : L’entité est prisonnière ici, depuis que les anciens on quittés la cité.
SHEPPARD : Entre nous, je serais un peu à cran.
RODNEY : Et affamé. Alors voilà l’idée. Cet appareil à été conçu pour l’attirer, la capturer et la maintenir en observation. On n’a peut-être une chance de la remettre dedans. Il me faut seulement du temps pour trouvé comment.
INFIRMERIE
Teyla et Jinto arrive à l’infirmerie.
LTD FORD : Salut.
TEYLA : Jinto a quelque chose d’important à vous dire.
JINTO : Je suis vraiment désolé. Vous êtes blessé à cause de moi. C’est ma faute.
LTD FORD : On ne peut pas tout contrôler. Ce sont des choses qui arrivent. Dans ce cas précis, tu n’as pas voulu ce qu’il m’est arrivé. Non ? Tu es un bon gars. Tu ne faisais rien de mal, et donc pour moi, ce n’est pas de ta faute si je suis là. Tout comme, quand on n’est venu sur ta planète, on ne voulait pas que les Wraiths, s’en prenne au tient et c’est ce qu’ils ont fait. Ils ont détruit ta maison, tu as failli perdre ton père et je ne crois pas que tu m’en veuille pour autant.
JINTO : C’est des choses qui arrivent.
SALLE DE CONTRÔLE
Peter surveille la créature sur l’écran de son ordinateur.
LABO DES ANCIENS
DR WEIR : Elle n’a pas l’aire de tombé dans le même piège.
SHEPPARD : Quel est son degré s’intelligence ?
DR WEIR : Rodney !
RODNEY : Je n’en sais rien. Mais cet engin est plus simple que je le pensais. C’est une sorte de piège à souris. Ce bouton là fait en sorte que l’appareil émette une source énergétique qui attire la créature et celui là l’enferme dedans. Le seul hic dans tout ça, c’est que, il va falloir que quelqu’un soit là pour appuyer sur les boutons.
SHEPPARD : Je le ferais
RODNEY : Très bien.
DR WEIR : Une petite minute Rodney. Vous portez toujours le bouclier. Au cas où les choses tourneraient mal, il garantirait votre protection.
Soudainement le bouclier individuel cesse de fonctionner. Rodney étant débarrassé du bouclier, il en profite pour manger une barre de céréale.
DR WEIR : C’est bien ce que je pensais.
RODNEY : Comment ça ? Qu’est ce que vous insinuez ? Que je voulais que cet engin se détache tout à coup ! Vous croyez surement que j’ai peur ? Ok ! Ça va, je vais rester !
SHEPPARD : Non, je ne voudrais pas que vous refassiez une syncope.
RODNEY : Sans blague, l’appareil, ne veut plus ré fonctionné. Regardez, il ne marche pas non plus sur vous.
DR WEIR : Je voulais dire que ce bouclier n’allait pas vous laisser mourir.
RODNEY : Et c’est une coïncidence, s’il se coupe justement maintenant ! Oh, j’ai besoins d’un verre.
SHEPPARD : Allez-y.
Rodney quitte le labo des anciens.
QUATIER DES ANTOSIENS
Jinto est au lit son père le borde.
JINTO : Tu m’as toujours dit de ne pas avoir peur du noir.
HALLING : J’avais tord.
JINTO : J’ai peur de m’endormir. Et si jamais cette ombre revenait.
TEYLA : Elle ne viendra pas.
JINTO : Comment tu le sais ?
TEYLA : Je le sais.
Teyla allume une bougie
TEYLA : L’ombre redoute le feu.
JINTO : L’ombre a peur ?
TEYLA : Dans la vie chaque chose à son propre ennemi.
DANS LES COULOIRS
L’ombre continue sa route sur la cité. Certains Athosiens prient.
SALLE DE CONTRÔLE
PETER : Alors le bouclier, c’est désactivé, comme ça de lui même.
DR WEIR : Oui, le gadget a cessé de fonctionner. Il l’a même essayé sur Sheppard.
PETER : Ça, n’aurait pas marché sur lui.
DR WEIR : Pourquoi ?
PETER : McKay ne vous a rien dit ? Le texte des anciens dit que le bouclier s’imprègne de son porteur et par conséquent il ne peut marcher sur personne d’autre.
McKay arrive avec de la nourriture et un projecteur dans les mains.
RODNEY : On n‘est prêt ?
PETER : Vous n’êtes pas sans savoir que lorsque nous couperons tout, nous couperons aussi les détecteurs et ne me pourrons plus repérer l’entité.
DR WEIR : Nous avons des sentinelles postés au près de chaque secteur d’habitation, au moins elles nous préviendront. Teyla à dit aux petits Athosiens qu’allumé une bougie les protégerait.
RODNEY : Pourquoi, Vous en allumez une ?
DR WEIR : Parce que nous serons dans le noir.
RODNEY : Hum (En allumant son petit projecteur)
DR WEIR : Bon on n ‘y est major, vous pouvez y aller.
Le major Sheppard pousse le bouton module de contention afin d’attirer la créature.
DR WEIR : A vous.
PETER : Coupure de l’alimentation.
Toutes les lumières de la cité s’éteignent. La créature traverse les couloirs, pour se diriger vers le major Sheppard qui l’attend.
LABO DES ANCIENS
SHEPPARD : Ça approche. On va avoir besoins d’un plus gros module.
RODNEY : (A la radio) La taille importe peu.
SHEPPARD : C’est démesuré.
SALLE DE CONTRÔLE
RODNEY : (A la radio) Ça va aller, l’appareil enferme la créature dans l’hyper espace. Assurez-vous seulement qu’elle rentre intégralement dans le module.
LABO DES ANCIENS
SHEPPARD : C’est ça, vient par ici.
L’entité approche du module, puis repart.
SHEPPARD : (A la radio) C’est incroyable.
SALLE DE CONTRÔLE
DR WEIR : (A la radio) Qui y –t-il Sheppard ?
SHEPPARD : (A la radio) La chose à regardée et reparti aussitôt. C’est plus malin qu’ont le pensait.
DR WEIR : Il faut que l’on sache où elle se trouve.
PETER : Il faudrait rétablir le courent pour utiliser les capteurs.
RODNEY : Vous ne pouvez pas faire ça.
DR WEIR : Faites le seulement pour la salle de contrôle.
Sheppard a rejoint la salle de contrôle au moment ou la lumière à été remise.
SHEPPARD : Alors où est–elle ?
DR WEIR : Elle se dirige vers nous.
RODNEY : Ben oui, il ne fallait pas remettre le courent !
DR WEIR : On ne peut pas la laisser s’installer.
TEYLA : Croyez-vous qu’elle en ait vraiment envie ?
SHEPPARD : Que voulez vous dire ?
TEYLA : Depuis des milliers d’année cette chose vie ici ,recluse
DR WEIR : Sauf qu’elle n’est plus seule.
RODNEY : Ça ne pense pas à ce niveau. Ça ne pense qu’à une chose, se nourrir.
SHEPPARD : Et vous en savez quelque chose.
TEYLA : Si on reste ici, elle nous tuera.
SHEPPARD : A moins qu’on l’élimine avant.
RODNEY : Je ne vois pas du tout comment.
TEYLA : Quelqu’un doit partir, c’est nous ou bien c’est elle. Mais peut-être qu’elle a envie de s’en aller. Et qu’en ouvrant la porte des étoiles...
SALLE D’EMBARQUEMENT
Le DR Weir, le major Sheppard et Rodney sont en salle d’embarquement avec une valise dans laquelle se trouve un générateur à Naqahdah.
RODNEY : C’est une mauvaise idée.
DR WEIR : Vous l’avez déjà dit Rodney.
RODNEY : Mieux vaut deux fois qu’une.
Sheppard sort le générateur de la valise. En salle des commandes, Teyla et Peter surveille l’entité.
TEYLA : Elle se rapproche.
RODNEY : La porte des étoiles est une source d’énergie très puissante. Si la chose a pigée qu’ont voulait la remettre dans le module de contention des anciens. Pourquoi suivrait-elle un générateur à Naqahdah juste dans le vortex ?
SHEPPARD : Vous avez une meilleure idée ?
McKay met le générateur en fonction et le replace dans la valise, qu’il referme.
RODNEY : Bonne chance !
DR WEIR : Vous allez bien ?
SHEPPARD : Oui.
SALLE DE CONTRÔLE
PETER : Elle est presque là.
DR WEIR : Vous avez une adresse ?
PETER : M4X-337 une immense terre aride.
DR WEIR : Composez là. Teyla c’était une excellente idée.
Rodney encode l’adresse et le vortex s’ouvre. En salle d’embarquement l’entité arrive. Le major Sheppard met en route le MALP, puis monte à toute vitesse les escaliers conduisant à la salle de contrôle. La créature suite le MALP, mais elle toujours là. Elle semble consumer l’énergie de la porte des étoiles.
RIDNEY : L’entité ne va nulle part.
DR WEIR : Est-ce que le MALP a pu traverser la porte ?
PETER : Non elle lui a peut-être vidé sa batterie.
RODENY : Et si elle en faisait autant avec le générateur et la porte des étoiles ?
DR WEIR : Désactivez tout.
RODNEY : Aucun contact.
PETER : Les consoles sont HS.
DR WEIR : Il y a forcément une solution.
PETER : On ne sait même si le MALP est toujours de ce côté. Il se peut que l’entité traverse tout de même la porte une fois qu’elle aura absorbé son énergie et celle du générateur à Naqahdah sur le MALP.
DR WEIR : Elle peut aussi épuiser l’énergie de la porte.
Rodney prend dans sa poche intérieure de sa veste le petit bouclier, qui pose ensuite sur lui. Il descend les escaliers pour se rendre en salle d’embarquement.
SHEPPARD : McKay ?
DR WEIR : Rodney !
EN SALLE D'EMBARQUEMENT
Rodney pénètre dans l’entité. Il avance doucement tout en regardant autour de lui, puis empoigne la valise contenant le générateur et le lance dans le vortex. La créature traverse la porte des étoiles. Lorsque l’entité est totalement partie, la porte des étoiles cesse de fonctionnée. Rodney est inconscient sur le sol. Le major Sheppard se précipite vers lui, suivie d’Elisabeth, Teyla et Peter.
DR WEIR : McKay ?
PETER : L’entité a vidé l’énergie du bouclier.
SHEPPARD : Une équipe médicale en salle d’embarquement, vite.
DR WEIR : Il n’est pas brûlé. Il respire. McKay ? McKay. Ça va ?
RODNEY : Qu’est ce qui s’est passé ?
DR WEIR : Vous avez réussi.
RODNEY : Ah oui ?
DR WEIR : L’entité a traversée la porte.
SHEPPARD : Vous avez dû perdre connaissance.
RODNEY : Merci de ne pas dire l’autre mot, là.
SHEPPARD : Ça ! C’était un je vous salut Marie.
Rodney s’assoit en grimaçant, lorsque l’équipe médicale arrive.
RODENY : Et ben ce n’est pas trop tôt. Surtout prenez votre temps. Ça va, ça va...
FIN