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#107 : Sérum

L'équipe du Major Sheppard réalisent une nouvelle expédition vers la planète où vivent les Hoffans. Ce peuple est souvent attaqué par les Wraiths. Ces derniers cherchent alors un moyen de se renforcer et de se défendre. Pour cela, ils mettent au point un vaccin anti-Wraiths. Le Major demande à Carson de travailler avec eux afin d'aboutir à l'élaboration du vaccin.

Popularité


4.67 - 6 votes

Titre VO
Poisoning the Well

Titre VF
Sérum

Première diffusion
20.08.2004

Première diffusion en France
20.05.2005

Plus de détails

Scénariste(s) : Martin Gero

Réalisateur(s) : David Winning

Guests : Alan Scarfe (Chancelier Druhin), Allison Hossack (Perna), Paul McGillion (Dr. Carson Beckett), Dean Marshall (Sgt. Bates)

 

L’équipe de Sheppard est en visite diplomatique sur une autre planète. Durant la visite des installations, le Chancelier leur révèle que son peuple travaille d’arrache pied sur un moyen de défense contre les Wraiths. L’homme les amène alors dans un laboratoire et leur montre une fiole contenant un sérum qui les protégera un jour des Wraiths.

De retour à la cité des Anciens, Teyla explique au Dr Weir le projet de Druhin, le Chancelier. Mais pour McKay, leur avancée technologique est insuffisante pour que le projet arrive à terme rapidement. Il ajoute que Sheppard a proposé leur aide aux Hoffans, dans le but d’accélérer le processus.

De retour sur la planète des Hoffans, Beckett rappelle son mécontentement vis-à-vis de l’attitude du Major qui l’a porté volontaire sans l’avoir préalablement consulté. Dans le laboratoire, l’équipe rencontre Perna, responsable du projet. Carson tombe sous le charme. Elle leur explique que l’avancée du projet est en partie due à l’héritage laissé par ses prédécesseurs.

Dans un des souterrains, Druhin raconte le passé de sa civilisation à Sheppard, Rodney et Teyla. La ville fut reconstruite à de maintes reprises, après chaque récolte des Wraiths, mais lui redonner sa grandeur d’antan devient de plus en plus dur, d’où l’importance du sérum. Mais Teyla lui rappelle que les Wraiths empêcheront toute civilisation de progresser technologiquement. Il leur montre alors une des nombreuses archives dissimulées dans la cité. Selon le Chancelier, tout le savoir accumulé par son peuple leur permettra de défaire les Wraiths. Il y a cent cinquante ans, leurs scientifiques étaient sur le point de créer un prototype, mais ils sont morts avant d'avoir réussi.

 


Dans le laboratoire, Perna montre les recherches de ses ancêtres au Dr Beckett. Le Dr Farrol a mis en évidence la nécessité d’une protéine pour résister aux Wraiths. Puis elle lui montre des cellules Wraiths.

De retour sur Atlantis, Carson met aussitôt Weir au courant de ses découvertes. Il semble très enthousiasme par le projet. Ses essais sur les cellules du Wraith ramené d’Athos (cf. «Une Nouvelle Ere») présentent les mêmes résultats que ceux des Hoffans.

De son côté, Sheppard rend visite à leur prisonnier Wraith (cf. «Soupçons»). Le Major se moque de lui et décide de l’appeler Steve, puis lui propose un marché : de la nourriture en échange d’informations.

En salle de réunion, le Dr Beckett fait un point sur la situation. Pour connaître la viabilité du sérum, ce dernier a besoin de cellules Wraiths vivantes. Teyla pense que ce sérum serait profitable uniquement à une échelle galactique.

Une fois la réunion terminée, Sheppard et quelques militaires rendent visite à Steve. Ford le neutralise et Beckett en profite alors pour prélever des échantillons.

De retour sur Hoff, Beckett installe son matériel dans le laboratoire. Perna est très surprise par la pointe du matériel. Il lui explique que le dosage dans les cellules était trop faible. Puis ils se mettent au travail. Après des heures de travail, nos deux scientifiques parviennent à atteindre leur but. Quelques instants plus tard, les résultats sont présentés au Chancelier, qui en est très satisfait. Perna explique à Carson qu'ils veulent tester le sérum sur Steve.

 

Sur Atlantis, Sheppard est favorable au test mais Weir est assez réticente du point de vu éthique. Le Major lui explique que l’humain choisi est un malade en phase terminale. Weir cède et autorise le test. Sheppard se rend dans la salle où le Wraith est prisonnier et lui promet de la nourriture. Le Wraith est amené sur Hoff via un Jumper.

Sur Hoff, Beckett rencontre le volontaire pour ce test. Il le prévient des dangers, mais Merell est très déterminé. Une fois seuls, Beckett exprime son opposition à Perna.

Quelques temps plus tard, Merell arrive dans la cellule du Wraith. Après avoir obtenu quelques maigres informations, le test commence. Mais Steve est incapable de puiser la force vitale de l’homme. Le sérum fonctionne.

Perna, le Chancelier et Beckett fêtent ce succès comme il se doit. Le Chancelier veut produire le sérum en masse, mais Beckett est réticent et préfère réaliser de nouveaux tests sur Merell pour être certain de l’efficacité du sérum.

 

De son côté, Sheppard rend visite à Steve. Ce dernier est mal en point. Le Major demande alors l’assistance de Beckett. Mais le prisonnier meurt avant l’arrivée du docteur. Quelques heures après, Beckett va réaliser son autopsie. Il révèle que selon les tests préliminaires, le Wraith serait mort à cause du sérum. Le major en informe aussitôt le Chancelier, mais celui-ci n’y voit aucun problème, bien au contraire. Teyla et le militaire essaient de le mettre en garde sur les dangers d’une attaque des Wraiths, en vain. Druhin leur dit alors qu'il est impossible de faire marche arrière car le sérum va être produit en masse et injecté à la population.

De son côté, Carson fait ses valises. Perna vient le voir pour lui annoncer que Merell est mort, pour des raisons inconnues. Beckett préconise la précaution, mais Perna lui explique qu'il est déjà trop tard.

Plus tard, Sheppard, Perna et Beckett essaient de convaincre une fois de plus Druhin de stopper le processus d’injection du sérum. Teyla contacte le Major car ils ont besoin d’aide au centre médical.

Une fois sur place, ils constatent les dégâts. Plusieurs personnes à qui le sérum a été inoculé sont malades. Pendant que Beckett essaie de soigner ces gens, le Major rend une visite impromptue au Chancelier. Après une discussion houleuse, Druhin promet de se ranger du côté de la majorité, quelque soit l’issue du vote.

Au centre médical, Carson prend les choses en main. Mais Perna est elle aussi tombée malade. Il se rend alors à son chevet. Là cette dernière essaie de déculpabiliser Beckett.

Alors que l’équipe s’apprête à partir, le Chancelier les interpelle dans un couloir pour leur montrer les résultats du vote : quatre-vingt seize pour cent des votants sont favorables à la poursuite du projet.

STARGATE ATLANTIS

Saison 1 épisode 07

SCRIPT VF

« SERUM »

 

PLANETE DES HOFFANS

Dans un couloir en sous-sol, un soldat ouvre une grille, afin de laisser passer le chancelier, il est suivi par le Major Sheppard, McKay, Teyla et le lieutenant Ford, ainsi d’un autre soldat qui ferme la marche.

CHANCELIER : Le plus grand de nos soucis est de pouvoir produire une énergie fiable, avec se projet nous espérons, être bientôt en mesure de convertir et d’utiliser la chaleur thermique concentrée sous la surface de notre planète.

RODNEY : L’énergie géothermique ? En vous servant de ça ? Hein... Vous n’avez pas la moindre idée de la complexité de l’énergie géothermique...

SHEPPARD : McKay.

RODNEY : ça va marcher comme sur des roulettes.

SHEPPARD : Vous m’avez tout l’air d’accomplir des merveilles ici, chancelier.

CHANCELIER : Nous œuvrons avec diligence pour rebâtir notre société depuis la dernière attaque des Wraiths.

TEYLA : Vous ne craignez pas que vos travaux, puisse attirer leur attention.

CHANCELIER : Si, mais nous refusons de laisser la peur d’entraver nos efforts, afin d’atteindre notre objectif. Agir autrement reviendrait à leur laisser la victoire. Cependant nous travaillons actuellement sur un moyen de défense infaillible.

SHEPPARD : De défense ? Tient donc. Nous sommes là depuis deux jours et c’est seulement maintenant que vous nous le dites ?

CHANCELIER : Il fallait que je jauge votre fiabilité.

LTD FORD : Est-ce une arme de défense dont vous parlez ?

CHANCELIER : Nous pourrions dire cela... nous espérons que ce projet nous protégera de la prochaine épuration.

RODNEY : Donc, vous pensez que ça se reproduira ?

CHANCELIER : Cela va de soi, mais si les Wraiths reviennent, comme on l’a vu par le passé, ils ne le feront pas avant... disons une bonne cinquantaine d’année.

RODNEY : Pas avant 50 ans, vous dites ?

SHEPPARD : Parlez nous de votre arme.

CHANCELIER : Oui, oui, je vous en pris c’est par là.

RODNEY : Vous ne lui avez pas dit que nous avions sortis les Wraiths de leurs hibernation, major ?

SHEPPARD : Bien... Je n’ai pas vraiment eu l’occasion.

RODNEY : ça fait deux jours qu’on là.

SHEPPARD : Non, ça fait un jour et demi.

RODNEY : Major, ils ne s’attendent pas revoir les Wraiths avant 50 ans. Nous devons leurs dirent qu’ils peuvent débarquer n’importe quand.

SHEPPARD : Si ça vous tient tant à cœur, alors informez-les !

 

DANS UN COULOIR DU BATIMENT

RODNEY : ça rappel la zone 51.

SHEPPARD : C’est arrivé en 1918.

LTD FORD : Je ne crois pas que la zone 51 existait déjà en 1918.

SHEPPARD : Non, mais cette zone, oui.

RODNEY : Exact !

LTD FORD : Franchement je doute que ces gens puissent posséder une arme qui soit...

SHEPPARD : Les armes peuvent se présenter sous des forment et des tailles différente lieutenant.

 

LABORATOIRE MEDICAL

CHANCELIER : Major Sheppard, je crois que ceci vous intriguera.

Le chancelier met entre les mains de Sheppard une éprouvette remplie d'un liquide rouge.

SHEPPARD : Bon d’accord. Heu... Oui... ça m’intrigue. Qu’est ce que c’est ?

CHANCELIER : Quelque chose qui nous l’espérons, un jour nous immunisera complètement contre les Wraiths.

 

* * * * * * * * * * * * * * GÉNÉRIQUE STARGATE ATLANTIS * * * * * * * * * * * * *

 

CITE D’ATLANTIS

L’équipe du major Sheppard est en salle de réunion avec le Dr Weir.

TEYLA : D’après le chancelier Druhin, leur antidote ne sera efficace que dans quelques années.

RODNEY : Etant donné leur niveau actuel de technologie, ce que vous dites, pourrait-être en dessous de la vérité. Ce n’est pas ce qu’ils croient être proches du but, qu’ils le sont.

TEYLA : Vous avez pourtant vu de vos yeux, que toute leur civilisation, s’appuyait sur l’achèvement de se projet, docteur McKay. Je ne sous-estimerais pas ces gens.

DR WEIR : Sommes nous absolument certains, que les Wraiths sont une menace immédiate ?

SHEPPARD : Nous pouvons surement parier, qu’ils n’attendront pas 50ans.

RODNEY : D’ailleurs le major Sheppard a généreusement offert son aide au peuple Hoffan.

DR WEIR : Ah, ouais ?

SHEPPARD : Ecoutez. Le fait est... que s’ils ont trouvé quelque chose contre notre ennemi commun, nous pourrions accélérer le processus.

DR WEIR : Ok, major, vous avez carte blanche. Mais si ce sérum n’était qu’une pure chimère...

SHEPPARD : Le docteur Beckett c’est porté volontaire pour en avoir le cœur net.

DR WEIR : Oh ! Tient donc.

SHEPPARD : Il acceptera.

 

PLANETE DES HOFFANS

Dans un couloir en sous-sol.

DR BECKETT : Ce n’est pas que ça m’embête, de prêter main forte.

SHEPPARD : Non, bien sûr que non.

RODNEY : Vous êtes généreux Carson.

DR BECKETT : Mais c’est le principe. Vous voyez ? Vous ne pouvez pas vous offrir les services d’une personne, sans l’avoir consultée avant. Je n’offre pas mes services là. Je me sens obligé de les offrir. Et sans parler du fait que moi je ne suis pas...

SHEPPARD : Un militaire, je sais. Je ne peux pas vous donnez d’ordre.

RODNEY : Non, non en réalité, il déteste traverser la porte des étoiles.

SHEPPARD : Il est pire que McCoy dans Star trek.

TEYLA : Qui ?

SHEPPARD : Un personnage de télé que le Dr Beckett incarne dans la vraie vie.

DR BECKETT : Convertir le corps humain en pure énergie et l’envoyer à des millions d’années lumières à travers un vortex, n’est que pure extravagance !

RODNEY : Ce n’est pas souvent que vous visitez des planètes extraterrestres.

DR BECKETT : On n’est déjà sur une planète extraterrestre.

 

LABORATOIRE HOFFANS

SHEPPARD : Vous ne devriez pas toucher à ça.

DR BECKETT : Je sais ce que je fait major, merci beaucoup. D’après ce que je vois, ces gens métrisent, la Béaba de la biochimie, de la physiologie et peut-être même certaines formes de biologie moléculaire. C’est très impressionnant étant...

UNE SCIENTIFIQUE : C’est l’héritage de notre peuple, cette pièce représente des centaines d’années de connaissances médicales. Je suis Perna, la scientifique en chef de ce projet.

SHEPPARD : John Sheppard. Oh, et voici Teyla et le lieutenant Ford.

DR BECKETT : Carson Beckett. Docteur... je veux dire... appelez moi Carson.

RODNEY : Je suis le Docteur McKay, le docteur Rodney McKay.

PERNA : J’espère que notre infrastructure vous conviendra.

DR BECKETT : Oh, c’est charmant, c’est parfaitement charmant.

 

DANS UN COULOIR DU BATIMENT

CHANCELIER : Il y a longtemps cette cité témoignait du brio de notre imagination, notre esprit créatif, de possibilité illimitée.

RODNEY : Il y a longtemps, c'est-à-dire ?

CHANCELIER : Il est vrai que nous avons été forcés de la rebâtir plusieurs fois, mais jamais au sommet de notre potentiel, c’est pourquoi nous devons perfectionner ce sérum, il est plus qu’un moyen de défense contre le Wraiths, il est notre avenir.

TEYLA : Sauf votre respect chancelier, on ne peut éviter ses attaques, c’est une réalité de la vie.

CHANCELIER : Une réalité que nous défions. Nous chercherons toujours à mettre un terme au cycle de la destruction.

TEYLA : Les Wraiths empêcheront toujours n’importe quelle race de progresser et d’évoluer.

SHEPPARD : Vous croyez pouvoir les battre ?

CHANCELIER : Oui, grâce au savoir.

Un soldat ouvre une porte de fer, derrière celle-ci se trouve la salle des archives. Sheppard s’avance.

CHANCELIER : Un certain nombre d’archive comme celle-ci, est caché dans toute la cité, peu en connaisse l’existence.

SHEPPARD : C’est... c’est... très impressionnant.

CHANCELIER : Nous préservons méticuleusement les œuvres accomplies par chaque génération avant qu’elle ne soit anéantie par les Wraiths.

SHEPPARD : Donc, tout l’acquis et l’expérience des vôtres sont ici ?

CHANCELIER : Et dans d’autres archives identiques à celle-là.

RODNEY : Au cas où l’une serait détruite. Vous prenez la chose très au sérieux.

CHANCELIER : Nous marchons dans le sillon de nos aïeux.

TEYLA : Cela fait longtemps que vous travaillez à l’élaboration de l’antidote ?

CHANCELIER : Nos scientifiques, il y a 150 ans, étaient à deux doigts de créer un prototype viable, mais ils sont morts avant de le voir se réaliser.

SHEPPARD : Vous vous imaginez, que si votre monde leur est hostile, les Wraiths vont partir ailleurs.

CHANCELIER : Ils ne nous perçoivent absolument pas comme une menace.

SHEPPARD : Chancelier, en toute honnêteté, j’ignore quel serait leur réaction.

TEYLA : S’ils prennent la décision de vous anéantir chancelier, vous serez totalement impuissant.

CHANCELIER : Nous n’envisagerons pas de contrôler leur agissement. Nous essayons seulement d’enrayé le cycle qui s’est instauré depuis trop longtemps.

 

LABORATOIRE HOFFANS

PERNA : cet homme s’appelait Farrol Mylan, avant qu’il ne meure dans l’attaque des Wraiths, il était le chercheur en médecine le plus vénéré et le plus respecté d’entre nous. C’est lui qui l’a trouvée.

DR BECKETT : Trouvez quoi ?

PERNA : La clé. Dans son journal, il dit qu’un homme a survécu à une rencontre avec un Wraith. Farrol et son équipe, ont découvert que cette personne possédait une certaine protéine, qui l’a rendu capable de résister à substance chimique qu’un Wraith libère pour aspirer la force vitale de ses victimes. Après de nombreux essais minutieux et des erreurs.

DR BECKETT : Farrol a pu reproduire la protéine.

PERNA : De fils en aiguille il a été en mesure de créer, le prototype d’une drogue destiné à contrecarré le processus de l’alimentation des Wraiths.

DR BECKETT : Et ça a marché ?

PERNA : Farrol est mort avant que l’ont puisse utiliser ce médicament comme moyen de défense.

DR BECKETT : Et vous avez tous mis en œuvre, pour que tous ces travaux, ne soit pas vain. Sacrée responsabilité.

PERNA : C’est un très grand honneur.

DR BECKETT : Comment pouvez-vous être sûr que Farrol, n’enjolivait pas le contenu de ses résultats ? Peut-être même qu’il les inventait ? En réalité, vous ne pouvez que vous appuyez sur ces notes.

PERNA : Lui et son équipe ont travaillé dessus jusqu’au dernier moment. Ils savaient les vaisseaux des Wraiths au dessus de nous et cependant, ils sont restés toute la nuit, espérant pouvoir fournir un petit détail en plus, le moindre éclaircissement de connaissance, non pas pour eux, mais pour les futures générations qui survivrait. .. Dix milles soldats ont donnés pour que son équipe et ses hommes ait ces heures en plus. Les derniers mots de Farrol sont connus de tous les Hoffans.

DR BECKETT : Je n’avais pas l’intention de vous offenser.

PERNA : Ce n’est pas grave. Son journal, n’est pas la seule chose que nous ayons préservée de l’attaque. Nous avons sauvegardés également tout son matériel de recherche, y compris ces échantillons de cellules de Wraith, que nous avons conservés avec soins et que nous utilisons encore aujourd’hui, pour nos recherches. Je vous en pris... Voyez par vous-même.

Le docteur Beckett assoit devant le microscope et regarde dedans.

DR BECKETT : C’est incroyable.

 

CITE D’ATLANTIS

DR BECKETT : Je l’ai vu de mes propres yeux Dr Weir.

DR WEIR : Dans la boite à Petri, je sais. Nous parlons de cellules de Wraiths vieille de 150 ans, pour ce que nous savons, celle-ci pourrait être immunisés, contre se fameux sérum.

DR BECKETT : Je ne crois pas docteur. J’ai pris la liberté de procéder personnellement à des tests. En utilisant les cellules prélevées sur le bras du Wraith que le major Sheppard à ramener d’Athos. Les résultats sont les mêmes. Le sérum est quasi résistant. Ils ont vraiment trouvés quelque chose. Croyez-moi je suis le premier surpris.

DR WEIR : Qu’est vous recommandez ?

DR BECKETT : De faire passer leurs travaux au stade suivant. J’ai informé les Hoffans de la présence de notre invité sur la base.

DR WEIR : Vous avez conscience de ce que cela veut dire ?

DR BECKETT : Oui, docteur.

 

PRISON D’ATLANTIS

Le sergent Bates est devant la cage ou se trouve le Wraith capturé par Sheppard.

SHEPPARD : Rien de nouveau qui me serait utile, Sergent ?

SGT BATES : Non, major il n’a pas parlé.

SHEPPARD : Il vous fait voir toujours des choses ?

SGT BATES : Non, il a fini par y renoncer.

SHEPPARD : Je croyais qu’il aurait déjà craqué.

Le major Sheppard, s’approche des barreaux et fixe le Wraith.

WRAITH : Bonjour, major Sheppard.

SHEPPARD : Navré de vous avoir réveillé. Je suis seulement venu voir si vouliez quelque chose, un magazine, des serviettes propres.

WRAITH : Vous cachez misérablement votre peur, major.

SHEPPARD : A propos nous partageons des conversations depuis deux semaines maintenant et j’ignore toujours comment vous vous appelez ? Vous portez bien un nom je suppose ? Laissez-moi deviner. Steve ?

WRAITH : Votre mort certaine, est ce que je suis, c’est tout.

SHEPPARD : Je préfère Steve.

WRAITH : Qu’espérez vous en me retenant prisonnier ?

SHEPPARD : J’essaie uniquement de combler le vide entre nos deux cultures et disons de mieux vous connaitre, ça et aussi comment trouver le moyen d’empêcher votre espèce d’ôter la force vitale de millions de victimes innocentes.

WRAITH : Même si je vous disais ce que vous voulez savoir, cela ne changerait rien. Vous êtes maudit, tous comme le sont les humains qui se dressent sur notre passage.

SHEPPARD : Ce ne sera pas une mort très chouette... elle sera lente, vous serez affamé, surtout en sachant que votre source d’alimentation... hors de portée.

WRAITH : Pourquoi me maintenez vous prisonnier ?

SHEPPARD : Pour savoir contre quoi nous combattons. Par exemple : Combien de vaisseaux ruches vous procédez, et où ils sont cachés ?

WRAITH : Vous n’aviez rien à m’offrir en retour !

SHEPPARD : Nous pourrions envisager une manière de soulager votre faim... Steve.

WRAITH : Vous ne sacrifieriez jamais l’un des vôtre, je le sais. Cependant, c’est le seul et unique obstacle entre vous et le renseignement que vous cherchez.

 

SALLE DE REUNION

DR BECKETT : Utilisez les cellules d’un Wraith vivant est notre seul recours au stade ou nous en sommes. Sans ces cellules, nous n’avons aucun moyen de savoir si cet antidote est viable.

TEYLA : Vous dis que cela avait bien marché avec les cellules du bras du Wraith, que l’ont vous a rapporté.

DR BECKETT : En effet, mais elles étaient déjà en décompositions avancés. Il nous faut un échantillon vivant.

DR WEIR : Avec de nouveau échantillons, vous croyez qu’il est possible d’élaborer un prototype ?

DR BECKETT : Avec suffisamment de temps, oui, je crois.

RODNEY : Excellente remarque ! Les Hoffans sont obsédés par ça.

DR BECKETT : Merci, Rodney.

TEYLA : Je suis d’accord docteur. Mais leur obsession pourrait bien causer leur perte.

RODNEY : Même s’il échoue, ça vaut le coup d’essayer pour nous tous. Foutu pour foutu mieux vaut être immunisés.

TEYLA : Pas si cela met en péril des vies que les Wraiths pourrait peut-être épargner. Cet antidote, n’aurait de valeur que si on avait... Si tout le monde procédait partout la même immunité.

SHEPPARD : ça vaut le coup de cogiter, c’est pertinent.

DR WEIR : Je suis d’accord. Major, avez-vous fait des progrès avec votre prisonnier ?

SHEPPARD : Non, aucun, mais j’ai senti qu’il vacillait

RODNEY : Il vacillait ? Qu’est ce que ça veut dire ?

SHEPPARD : Et bien ça veut dire, qu’il s’accroche, mais ça indique à mes yeux qu’il va bientôt craquer.

RODNEY : Et il vous l’a indiquez par un vacillement, c’est bien ça ?

SHEPPARD : Oui.

DR BECKETT : Ne le prenez pas mal, mais jusqu'à présent, il ne vous à rien dit. Il pourrait bien nous faire tourner en bourrique pendant des mois et enfin de compte, nous ne serons rien de nouveau.

TEYLA : Les Wraiths font peut-être route vers la planète Hoff, à l’heure ou nous parlons. Si votre prisonnier, détient la clé de l’élaboration de cet antidote, ne devrions pas en tirer avantage ?

DR WEIR : Comment prélevé un échantillon de son bras sans danger ?

TEYLA : Avec les armes qu’on n’a utilisées lors de sa capture. Il s’agirait de l’immobilisé le temps de faire le prélèvement.

DR WEIR : Alors, c’est possible ?

SHEPPARD : C’est possible.

 

PRISON DE LA CITE

La porte de la prison du Wraith s’ouvre, le major Sheppard se poste devant l’entrée.

SHEPPARD : Bonjour Steve.

LTD FORD : Bonne nuit Steve.

Le lieutenant Ford tire à deux reprises sur le Wraith, qui s’écroule au sol, le major Sheppard, le lieutenant Ford et le Sergent Bates, braque leurs armes sur le Wraith, afin que le docteur Beckett puisse faire son prélèvement.

SHEPPARD : Docteur.

DR BECKETT : Est-ce qu’il est... Heu... Je veux dire... vous êtes certain...

LTD FORD : Il est K.O docteur. Vous pouvez y aller. Il a presque l’air en paix, je trouve.

DR BECKETT : En paix vous dites ? Vous êtes complètement malade.

 

PLANETE HOFFAN

Dans le laboratoire des Hoffans, le Dr Beckett, branche son ordinateur.

PERNA : Je n’avais jamais vu un matériel comme celui-ci.

DR BECKETT : Votre travail de peaufinement de l’antidote à été remarquable jusque là, avec tout ceci, nous allons pouvoir le perfectionner. En réalité votre plus gros problème est que les inoculations tests ont échoués parce qu’ils n’y avaient pas de suffisamment de cellules humaines pour être efficace.

PERNA : Oui, il nous faut un support de culture plus performent.

DR BECKETT : Exact ! Et le meilleur moyen de l’avoir et de recréer la protéine clé dans le sérum et d’évoluer à partir de là. Si nous pouvons éviter de tout reconcevoir à partir d’une source naturelle en fabriquant une version entièrement synthétique, cela devrait augmenter nos chances d’y arriver.

PERNA : Ce genre de chose est-il possible ?

DR BECKETT : Oui, tout est possible. Si ça vous dit de tenter le coup.

PERNA : Oui.

DR BECKETT : C’est parti, on ne peut prendre un chauve par les cheveux.

PERNA : Vous parlez différemment des autres.

DR BECKETT : Je vois que vous avez remarqué. Je suis navré si ça vous désoriente. Croyez-moi, dans mon pays ce proverbe à vraiment un sens.

PERNA : Comment c’est ?

DR BECKETT : L’Ecosse ? Aahhh... C’est un pays magnifique... Mais il parait qu’il faut du temps pour y prendre gout.

PERNA : Je parlais de votre monde. Il doit surement être paisible d’y vivre en sachant que les Wraiths ne viendront pas.

DR BECKETT : Vous seriez surpris de voir qu’il n’est pas si serein que ça. Nous sommes vraiment gâtés quand j’y pense, c’est vrai.

PERNA : Oh, votre monde vous maque, excusez moi pour toutes ses questions.

DR BECKETT : Non, non, je vous en pris. Ne vous excusez pas ma belle. Vos questions sont pertinentes.

Le Dr Beckett et Perna commence leur recherches sur pour l’élaboration d’un sérum contre Wraiths, Ils vont passés des jours entiers à travailler en commun, marqués par de l'espoir, mais aussi par la fatigue. Pendant ce temps Sheppard questionne le Wraith emprisonné. Beckett semble avoir trouvé la solution et attire l’attention de Perna.

DR BECKETT : Perna.

Perna est contente car il semble que le Dr Beckett a vraiment trouvé la solution. Les deux personnes s’enlacent de joie.

 

BUREAU DU CHANCELIER

CHANCELIER : La pénétration cellulaire à 100 % dans 5 inoculations test, c’est incroyable.

DR BECKETT : Il nous reste encore à analyser beaucoup de données, mais les premiers résultats sont très prometteurs, je vous l’accorde

PERNA : Les efforts du Dr Beckett on fait avancer le projet de plusieurs décennies.

DR BECKETT : Perna avait la formule, qui nous a mis sur les rails. Ils nous a seulement de changer de concept moléculaire pour obtenir une meilleure absorption de l’organisme.

CHANCELIER : C’est une énorme victoire pour notre peuple, dont je vous suis reconnaissant.

DR BECKETT : Je vous en pris. Bien sûr nous en sommes qu’au préliminaire.

CHANCELIER : Dans combien de temps passerez vous à l’étape suivante ?

PERNA : Vous aurez le programme dans la journée, chancelier.

DR BECKETT : Quelle étape suivante ?

CHANCELIER : Votre rapport fait clairement, état que le projet est au point pour procéder à la phase suivante.

PERNA : Nous voulons tester, l’efficacité du sérum sur votre prisonnier.

 

CITE D’ATLANTIS

Bureau du Dr Weir

DR WEIR : Et vous défendez cette idée ?

SHEPPARD : Nous sommes certains que ce Wraith va mourir, alors autant profité de sa présente pendant qu’il est encore en vie.

DR WEIR : Vous savez bien que la convention de Genève interdit l’utilisation de prisonnier à des fins purement expérimentales.

SHEPPARD : Excusez-moi docteur. Si les Wraiths avaient assistés à la convention de Genève, ils auraient plutôt fait un festin de tous ces participants.

DR WEIR : Le rapport de Beckett, dit que nous n’avons pas encore, la moindre idée des effets à long terme de se sérum sur le corps humains.

SHEPPARD : En revanche on n’est parfaitement conscient des effets à longs terme de la sélection des Wraiths.

DR WEIR: Major, nous parlons d’un être humain qui serait mit dans même pièce qu’un Wraith affamé. Et si on commence à prendre ce chemin là...

SHEPPARD : Quel chemin pensiez vous que nous prenions ?

DR WEIR : Tous, sauf celui-là. Pas si vite en tout cas.

SHEPPARD : Pour avoir passé du temps avec le prisonnier, je n’ai pas de pitié. De toute façon il va mourir. Un jour peut-être ce sérum nous sera utile.

DR WEIR : Un jour peut-être.

SHEPPARD : Le fait est que nous n’avons pas souvent ce genre d’occasion. Les Hoffans ne pensent qu’à ce projet, c’est une obsession. Si vous les aviez vus, quand on leur a parlé du Wraith vivant. Docteur, ce Wraith va mourir. Je l’ai vainement nourri avec des choses vivantes, apparemment il n’aime qu’un seul plat au menu.

DR WEIR : Et pour notre cobaye ? Si l’expérience venait à échouer ?

SHEPPARD : Nous n’avons pas choisi un simple quidam, il s’agit d’un malade en phase terminal, une personne qui s’est porté volontaire pour l’expérience.

DR WEIR : Ecoutez, John, entre nous ce n’est pas de type de décision que je m’attendais à prendre dans cette expédition... Faites-le !

 

PRISON DU WRAITH

SHEPPARD : Bonjour, Steve.

WRAITH : D’autres prélèvements ?

SHEPPARD : Je pensais plus à un voyage d’étude. Vous voulez de la nourriture, je veux des renseignements.

WRAITH : Vous êtes incapable de proposer un tel échange.

SHEPPARD : Vous m’apprenez quelque chose d’intéressant et je vous laisse manger. Voilà le marché. C’est à prendre ou à laisser.

WRAITH : Il me convient.

 

SALLE DE CONTÔLE

DR WEIR : Est-ce qu’ils sont prêts ?

LE TECHINICIEN : Le major Sheppard et le lieutenant Ford, sont entrain d’embarqué le prisonnier sur le Jumper 2. Le sergent Bates est déjà sur la planète Hoff et se tient prêt pour leur arriver au point de rendez vous.

 

HANGARD A JUMPER 

Le Wraith est installé sur une banquette à l'arrière du Jumper, il lourdement enchaîné aux poignets et aux chevilles et gardé de près par des soldats. Sheppard et Ford sont dans le cockpit.

 

SALLE DE CONTRÔLE

DR WEIR : (A la radio) Jumper 2 ici Weir, où en êtes vous ?

SHEPPARD : (A la radio) Nous sommes douillettement installés, prêt à décoller.

 

JUMPER 2

DR WEIR : (A la radio) Soyez prudent major.

SHEPPARD : (A la radio) On fait tout pour ça.

 

CITÉ D’ATLANTIS

LE TECHNICIEN : (A la radio) Jumper 2 prêt pour le lancement.

SHEPPARD : (A la radio) Bien reçu.

 

JUMPER 2

SHEPPARD : Activez la porte.

Le lieutenant Ford s’exécute, en composant l’adresse sur le DHD, il aperçoit un large sourire sur le visage du Wraith, ce qui ne plait pas à Ford.

LTD FORD : Hé, mec, il n’y a vraiment pas de quoi rire.

Le Jumper passe la Porte des étoiles.

 

DANS UNE SALLE DU COMPLEX HOFFANS

Perna et Beckett rendent visite au malade qui s'est porté volontaire pour l'expérience.

DR BECKETT : Perna m’a tout expliqué sur votre maladie et j’en suis sincèrement désolé. J’aurais souhaité pourvoir y remédier.

LE PATIENT : Mon heure est venue Dr Beckett. Je suis en paix, face à mon destin.

DR BECKETT : Il est important pour vous de savoir, que nous parlons peut-être d’une fin, moins paisible que vous envisagez.

PERNA : J’ai expliqué en détail à Merell ce qui risque de lui arriver.

DR BECKETT : Comprenez bien également, que cet antidote n’a jamais été testé, ni expérimenter qu’en laboratoire. Nous ne sommes pas sûrs de ce qu’il adviendra.

MERELL : Même si cela ne marche pas, le résultat sera d’une grande valeur et vous permettra d’amélioré le sérum.

DR BECKETT : C’est possible, mais ce n’est pas une raison pour faire face à cette créature.

MERELL : Je n’ai pas peur, Dr Beckett. Peut importe ce qu’il adviendra, ma mort aura un sens. N’est-ce pas ce que nous voulons tous, mourir en sachant que nous ferons la différence ? Je veux le faire, docteur. S’il vous plait ne me refuser pas la chance d’aider mon peuple.

 

DANS LE COULOIR

PERNA : Qu’est ce que vous en dites ?

DR BECKETT : Que cela va à l’encontre de tout ce en quoi je crois. Nous prêtons serment dans le milieu médical de mon monde. Il commence par : «  Je m’abstiendrais de tout mal »

PERNA : Des mots important pour vous.

DR BECKETT : Ce sont plus que des mots, Perna.

PERNA : La bataille fait rage aux portes même de notre laboratoire à l’heure qu’il est. Nous qui travaillons jusqu’au dernier instant, savons que ces dernières heures ont été chèrement payées. Mais nos efforts et notre concentration non point failli. Nous ne pouvons espérer sauvées nos vies, mais nous pouvons garder espoir que ce dernier éclaircissement, qu’une dernière révélation, avant notre dernier soupir, puisse au moins éviter que cette terrible journée, se reproduise à l’avenir.

DR BECKETT : Les derniers mots du journal de Farrol.

PERNA : Ce sont plus que des mots, Carson.

DR BECKETT : Je comprends fort bien, je comprends, mais nous avons des lacunes. Il nous faut du temps pour déterminer les effets secondaires éventuels.

PERNA : Docteur, du temps nous n’en avons pas ! Avez-vous peur de commettre une erreur, au point de ne plus pouvoir situer où est le véritable danger ?

DR BECKETT : Il ne s’agit pas de commettre une erreur, Perna. Il s’agit de la fin qui justifie les moyens. Et dans notre profession, c’est un terrain glissant à l’extrême. Nous ignorons totalement si ça va marcher. Nous allons peut-être sacrifier cet homme à un monstre.

PERNA : Il y en aura un autre pour prendre ça place.

DR BECKETT : C’est justement ça qui m’effraie.

PRISON

Dans les sous-sols, du complex Hoffan, le Wraith est enfermé dans une grand cage et attend, Teyla arrive dans la pièce pour prévenir Sheppard et Ford que le patient est prêt.

TEYLA : Ils sont prêts.

Juste derrière elle, le petit groupe avance, Merell, est entouré de Perna et de Beckett. Sheppard avance vers la cage.

LTD FORD : Attention major.

WRAITH : C’est ça la nourriture, que vous avez promise ?

SHEPPARD : Une petite close dans mon contrat. Je veux une information, maintenant ou votre diner spectacle est annulé.

WRAITH : Que voulez vous savoir ?

SHEPPARD : Combien de vaisseaux ruches sont opérationnels depuis que nous avons réveillé le premier ?

WRAITH : Ils le sont tous, major Sheppard... avant toutes choses, ils vont reprendre des forces en puisant dans leur propre réserve de nourriture. Nous sommes une race patiente, major. Lorsque nous seront rassasiés, que nous auront recouvrés toutes nos capacités, nous uniront nos forces et nous viendrons pour vous.

SHEPPARD : Et vous savez quand ils vont débarquer ? Le matin ? L’après-midi ? Ouvrez la porte.

La porte de la prison s’ouvre.

DR BECKETT : Vous n’êtes pas obligé de le faire.

MERELL : Je sais. Je suis prêt.

Merell entre dans la cage, faisant ainsi face au Wraith ; La porte de la prison se referme derrière lui.

WRAITH : Il est fébrile.

Le Wraith pose sa main sur le torse de Merell, mais quelques secondes après, il recule en grognant, puis regarde sa main. Merell regarde l’empreinte que le Wraith à laissé sur son torse.

 

DANS LE BUREAU DU CHANCELIER

Le chancelier remplie trois coupes d’une boisson pétillante.

CHANCELIER : Vous êtes tous deux les héros du peuple Hoffan.

DR BECKETT : Je reconnais que c’était impressionnant.

CHANCELIER : J’espère que vos amis se joindront au banquet organisé en votre honneur.

DR BECKETT : Ils seraient ravis d’y assister, mais ne croyez pas que la fête est un petit peu prématuré ?

CHANCELIER : Les résultats parlent d’eux-mêmes, cela va de soit. J’entends requérir sur conseil son approbation pour une production massive du sérum. Après ce qu’il s’est passé, je doute qu’il montre une quelconque résistance.

PERNA : C’est une merveilleuse nouvelle, chancelier.

DR BECKETT : Sauf votre respect, non je regrette, il ne s’agit que d’une expérience. Comme tout le monde ici, je suis comblé par les résultats, mais nous devons encore pousser nos recherches avant de songer à l’utiliser.

PERNA : Le docteur Beckett, souhaite procéder à une série d’examen sur Merell avant de pouvoir conclure et établir un rapport final.

DR BECKETT : Il y a peut-être eut des circonstances atténuante. Par exemple : « Le patient était mourant. »

CHANCELIER : Evidemment j’en ferais part aux membres du conseil. A notre succès.

PRISON DU WRAITH

Le lieutenant Ford est posté devant les barreaux de la cage du Wraith. Le major Sheppard arrive. " Steve " est mal en point depuis la fin du test. Le Wraith semble souffrir, il a du mal à se redresser.

SHEPPARD : Qu’est ce qu’il y a ?

LTD FORD : C’est Steve, il n’ pas l’air en forme.

TEYLA : ça fait longtemps qu’il est dans cet état ?

LTD FORD : Depuis l’expérience.

SHEPPARD : Vous croyez que c’est une ruse ?

TEYLA : Non, ce n’est pas leur genre.

SHEPPARD : Hé !

WRAITH : Qu’est ce que vous m’avez fait ?

L’équipe essaie de comprendre ce qui lui arrive. Malgré sa faiblesse, il se précipite soudain vers Sheppard, qui a juste le temps de reculer, quelques seconde plus tard avec un grognement douloureux, il lâche les barreaux de sa cage et s'écroule sur le sol.

SHEPPARD : Appelez Beckett, vite.

LTD FORD : Allez-y.

SHEPPARD : Nous allons vous aider.

WRAITH : N’ayez pas de pitié pour moi. Vous souffrirez bien plus lorsque les autres viendront vous chercher.

 

LABORATOIRE DES HOFFANS

Le corps du Wraith est allongé sur une table dans le laboratoire, craignant une ruse du Wraith, John Sheppard monte la garde.

DR BECKETT : Major ?

SHEPPARD : Um...

DR BECKETT : J’étais sur le point de l’autopsier.

SHEPPARD : Dans ce cas, j’étais sur le point de m’en aller.

DR BECKETT : J’ai déjà effectué une série d’examens, dont vous voulez peut-être connaitre les résultats ?

SHEPPARD : Vous savez ce qui l’a tué ?

DR BECKETT : Disons que je me risquerais à dire, que se sont tous ses organes vitaux qui se sont arrêté de manière simultané ou presque.

SHEPPARD : Est-ce qu’il est mort de faim ?

DR BECKETT : Non. D’après son état physique, le manque de nourriture n’est serte pas la cause de sa mort.

SHEPPARD : Bon, alors c’est quoi docteur ?

DR BECKETT : Les tous premiers tests ont révélé un taux significatif de sérum dans le sang. Je suppose que nous trouverons des traces similaires dans chacun de ses organes lorsque nous les analyseront.

SHEPPARD : Pourquoi l’antidote des Hoffans s’est-il infiltré dans son sang ?

DR BECKETT : D’après leur recherche, nous savons que quand un Wraith se nourrit, il libère une substance chimique dans le corps de sa victime. Nous ne comprenons toujours pas pourquoi ils font ça, mais nous pouvons supposer que cela prépare plus ou moins le corps humain à être vidé de sa force vital. Le sérum est conçu pour servir de rempart et bloqué la substance quand elle est libérée.

SHEPPARD : Ok.

DR BECKETT : Je pense que la protéine mère a mutée une fois en contacte avec la substance et que ça a provoqué une espèce de réaction toxique.

SHEPPARD : Donc, au lieu de se nourrir de sa victime...

DR BECKETT : Il a été empoisonné. Si le sérum réagit ainsi, c’est plus qu’un moyen de défense contre le Wraith.

SHEPPARD : Il les extermine.

 

BUREAU DU CHANCELIER

CHANCELIER : Je ne vois pas ou est le caractère alarmant major, sinon l’évolution augmente de façon considérable la valeur de ce sérum.

SHEPPARD : Non, cela efface tout les doutes sur ce que les Wraiths feront lorsqu’ils finiront par venir.

CHANCELIER : Je ne vois pas ou est la différence.

TEYLA : Lorsqu’ils seront que vous possédez une arme tel que cet antidote, ils anéantiront tous les habitants de votre planète pour se venger de la mort des leurs.

CHANCELIER : Ou tout simplement, nous laisseront-ils tranquilles quand ‘ils seront que nous avons très mauvais goût.

SHEPPARD : Ah parce que vous croyez que c’est une race tolérante et douée de complaisance... nous avions peut-être une petit chance de l’espérer quand nous parlions simplement de défense, mais là...

CHANCELIER : Vous ne voyez pas ce qui est important, major. Pour la première fois nous un moyen, non seulement de défense, mais d’avoir du répondant.

SHEPPARD : S’agit-il de vengeance ou de salut de votre peuple ?

CHANCELIER : Vous ne pouvez pas espérer comprendre les générations qui ont soufferts.

SHEPPARD : Je me suis introduis dans leurs ruches, je me suis battu contre leurs vaisseaux et croyez moi ! Quand le premier Wraith trouvera la mort à cause de ce sérum, ils n’iront pas tout simplement ailleurs, ils supprimeront le problème de façon radical.

TEYLA : Une fois votre monde totalement détruit, ils partiront en quête de tout individu vous ayant côtoyé, ils n’épargneront personnes.

SHEPPARD : Je sais que tout cela vous tient à cœur. Cet antidote est en quelque sorte votre Saint Graal. Mais...vous allez devoir le mettre de côté le temps...

CHANCHELIER : Non.

SHEPPARD : Je ne plaisante pas chancelier. Autrement nous ne collaborons plus.

CHANCELIER : Vous n’avez pas l’air de comprendre major. C’est trop tard. J’ai déjà fait mes recommandations au conseil et il les a approuvées. Nous avons déjà commencé à inoculer tout le monde.

 

LABORATOIRE

Le docteur Beckett range son matériel quand Perna arrive.

PERNA : Vous partez ?

DR BECKETT : Si vous ne revenez pas sur la formule du sérum, je ne vois pas pourquoi je resterais.

PERNA : Carson.

DR BECKETT : Vous devez reprendre le projet... avec plus de recherche, nous pourrions peut-être éviter la mutation et garder cet antidote comme moyen de défense.

PERNA : Merell est mort. On l’a trouvé ce matin. La cause de la mort reste encore indéterminée.

DR BECKETT : Nous avons encore le temps, il faut arrêter les inoculations.

PERNA : Ils n’arrêteront pas.

DR BECKETT : Un homme est mort, non d’un chien !

PERNA : Ça ne veut pas dire que d’autres personnes mourront pour autant. Même si je le voulais, je ne pourrais pas les en empêcher. Il nous faudrait plus de preuve.

DR BECKETT : Perna, vous êtes le peuple le plus brillant que j’ai connu, pour votre propre salut, je vous supplie d’arrêter et de ne plus prendre part à tous ça... au moins jusqu’à ce que nous en sachions plus.

PERNA : Je ne peux pas, je regrette.

DR BECKETT : Pourquoi, voyons ?

PERNA : Parce que j’ai été parmi les premières à être inoculées.

 

BUREAU DU CHANCELIER

CHANCELIER : J’apprécie le sens de l’urgence docteur, mais au point ou nous en sommes il ne serait pas raisonnable de tirer des conclusions trop hâtives.

SHEPPARD : Maintenant, vous nous mettez en garde ? Vous rigolez ou quoi ?

CHANCELIER : Major vous avez di vous-même que les Wraiths étaient peut-être déjà en route. Je pense que nous n’avons pas d’autre choix que d’aller de l’avant.

SHEPPARD : Je suppose que vous parlez de votre peuple, chancelier.

CHANCELIER ; Croyez vous que j’imposerais ce choix à mes compatriote, major ? Détrompez vous, tous le monde est en complète accord avec démarche.

SHEPPARD : Votre peuple sera peut être déjà mort avant que les Wraiths n’arrivent ici.

DR BECKETT : Chancelier, s’il vous plait. Il n’est pas trop tard, suspendez les inoculations jusqu’à ce que l’ont sache ce qui a tué Merell.

PERNA : Il était en phase terminal. Nous ignorons si c’est le sérum qui causé sa mort ou si c’est dû...

DR NECKETT : Il a souffert d’une soudaine insuffisance respiratoire.

PERNA : Qui aurait très bien pu être la conséquence de son état, son corps était totalement rongé par la maladie.

DR BECKETT : Si vous êtes prêt à risquer la vie de milliers de gens en vous appuyant sur cette supposition, moi non !

TEYLA : (A la radio) Major Sheppard

SHEPPARD : Je vous écoute, Teyla.

TEYLA : (A la radio) Nous sommes au centre médical, il nous faut un coup de main.

A leur arrivée ils découvrent une salle remplie de malades, tous les lits sont occupés, et des civières qui arrivent encore. Médecins et infirmières sont affairés autour des malades qui souffrent de troubles respiratoires graves.

DR BECKETT : Oh, ce n’est pas vrai.

CHANCELIER : Qu’est ce qu’il se passe ?

TEYLA : Major Sheppard. Ils sont tous commencés à arriver hier soir, et le nombre de malade augmente d’heure en heure.

DR BECKETT : Major ?

SHEPPARD : C’est bon, allez-y. Lieutenant, contacter Weir, dites lui d’envoyer une équipe médicale au complet, le plus vite possible.

LTD FORD : Tout de suite.

Beckett rejoint les soignants. Pendant ce temps le chancelier s’éclipse, mais il est repéré par le major Sheppard.

DR BECKETT : Perna... Perna vite ! J’ai besoins d’un coup de main. De l’oxygène. (En s’adressant au malade) Doucement... doucement

Perna n’a pas le temps de d'apporter le masque d’oxygène, que l'homme meurt et Beckett n'a pas de difficulté à trouver la trace de l'inoculation sur son bras. Le major Sheppard ouvre brutalement les portes du bureau du chancelier, qui retient l'intervention de son garde.

CHANCELIER : Laissez-nous !

SHEPPARD : Avez-vous la moindre idée de ce qui se passe, chancelier ?

CHANCELIER : Je sais, major.

SHEPPARD : La moitié des personnes qui ont reçue l’antidote est entrain de mourir.

CHANCELIER : La moitié, seulement, major. La moitié. Les statistiques sont claires et les chiffres se maintiennent à ce niveau, on vient de me le confirmer. Ce qui veut dire que les 50 autres pourcents que nous avons inoculés vont vivre et détruire tous les Wraiths, qui tenteront de les tuer.

SHEPPARD : Dites-moi que je rêve, chancelier.

CHANCELIER : Maintenant, ils verront la force de conviction du peuple Hoffan.

SHEPPARD : De conviction ?

CHANCELIER : Vous rendez vous compte que si nous apportons ce sérum à tous les êtres humains de la galaxie, les futures générations ne connaîtront jamais l’horreur de la sélection.

SHEPPARD : Vous osez, comme ça sacrifier sans scrupule des millions de vies ?

CHANCELIER : L’éradication des Wraiths. Vous ne saisissez pas la merveille de cet enjeu ?

SHEPPARD : Allez donc parler de la merveille de cet enjeu à tous ces gens là ! Allez-y dont !

CHANCELIER : Vous croyez que je suis le seul convaincu ?

SHEPPARD : Je crois que vous avez perdu la raison.

CHANCELIER : Vous verrez, nous soumettons la question à un vote à l’heure ou nous parlons et je me conformerais à la décision de la majorité. Êtes-vous satisfait ?

SHEPPARD : Ces gens savent-ils seulement pourquoi ils votent ?

CHANCELIER : Oh, ça oui. Je vous promets que oui.

SHEPPARD : Et vous abandonnerez si le vote n’est pas en votre faveur ?

CHANCELIER : Vous avez ma parole.

 

CENTRE DE SOINS

DR BECKETT : Mettez les nouveaux venus dans n’importe quelle autre pièce. Il faut qu’on garde celle-ci pour le triage... Ah Teyla, enfin vous voilà. Assurez-vous que notre oxygène soit équitablement réparti dans l’hôpital.

TEYLA : Docteur...

DR BECKETT : Que les patients non critique n’utilisent les masques que pour stabiliser leur respiration, c’est tout. Teyla, enfin qu’attendez vous ? Allez-y. Où est Perna ? J’ai besoins de son aide.

TEYLA : Carson.

D'un pas rapide il cherche Perna, il la rejoint dans un coin de la salle protégé par un paravent. Elle est allongée sur un lit, très faible, ses difficultés respiratoires semblent déjà assez importantes. Elle est sous oxygène. Il s'agenouille à coté d'elle, prend une de ses mains dans les siennes et avec l'autre il lui caresse le front.

PERNA : J’aurais... j’aurais aimé... voir Atlantis.

DR BECKETT : Perna, Perna, je suis tellement désolé.

PERNA : Ne me regarder pas comme ça. Je suis en paix avec ce que j’ai fait... vous devriez l’être comme moi.

DR BECKETT : Je souhaiterais ne pas vous avoir aidez.

PERNA : Vous nous avez donné de l’espoir. Pendant des années... notre peuple a œuvrés dans le but d’atteindre... ce moment bien précis. Nous n’avons pas trahi l’ambition de nos aïeux.

DR BECKETT : Non.

PERNA : Nous avons accomplie leur destinée, leur promesse. Restez... restez avec moi.

DR BECKETT : Je suis là. Tout va bien.

Beckett reste à ses côté jusqu’a son dernier souffle. Bouleversé par la mort de Perna et les yeux encore pleins de larmes, il rejoint l’équipe dans le couloir du sous-sol.

 

COULOIR

LTD FORD : ça va ?

DR BECKETT : Oui.

CHANCELIER : On m’a dit que vous partiez.

SHEPPARD : Oui, c’est exact.

RODNEY : Notre séjour n’en a pas moins été... charmant.

CHANCELIER : Je voulais que vous voyiez les résultats du vote avant votre départ.

Le chancelier donne à Sheppard, le papier sur le quel se trouve les résultats du vote. John le passe au docteur Beckett.

DR BECKETT : 96% pour.

TEYLA : Ce vote inclut-il tout vos compatriotes ?

CHANCELIER : Oui, tout le monde. Vous voyez major, nous sommes d’accord à l’unanimité et nous sommes résolu.

SHEPPARD : Oui, c’est ce que je vois.

CHANCELIER : Quand nous nous reverrons, j’aimerais discuter du meilleur moyen de dissémination dans le plus grand monde possible.

SHEPPARD : Pour être franc avec vous, ce n’est pas demain la veille.

CHANCELIER : Peut-être que notre victoire vous fera changer d’avis.

SHEPPARD : Si jamais nous devions revenir un jour, je ne crois pas que vous serez encore ici. De vous à moi, je crois même qu’il n’y aura plus personne. Bonne chance.

L'esprit rempli d'amertume, l'équipe de Sheppard quitte le couloir.

DR BECKETT : « La victoire à tout prix » ça vous rappel quelqu’un major ?

SHEPPARD : Churchill.

DR BECKETT : Ouais ! Je ne pensais pas un jour, le désapprouver.

 

FIN

 

 

 

 

 

Transcript by Callie Sullivan. Additions, amendments and improvements by Calico.

The Planet HOFF.
The scene opens to an exterior shot of a modern cityscape with a river running through it and distance mountains.
The scene changes to an interior. The planet’s leader, Chancellor Druhin, escorts Sheppard’s team along a corridor. A man ahead of Druhin opens bar doors and stands off to the side. Druhin is talking while the team follows.
DRUHIN: Reliable power generation is one of our greatest concerns. With this project, we hope, soon, to be able to convert and utilise the intense heat trap beneath the surface of our planet. (He opens a door and shows them into a laboratory.)
McKAY: Geo-thermo energy. What? Using this? Huh! Do you have any idea how complex geo-thermo energy is...
SHEPPARD (in a warning voice): McKay ...
McKAY: I mean ... (realising that he’s insulting the locals) It’s gonna work like a charm.
SHEPPARD: Looks like you’re accomplishing great things here, Chancellor.
DRUHIN: Since the last Wraith culling we have worked diligently to rebuild our society.
TEYLA: Are you not concerned that your efforts will attract the attention of the Wraith?
DRUHIN: Yes ... but we refuse to let that stop us from striving to reach our potential. To do otherwise would simply mean victory for them. However, we currently are working on a viable defence.
SHEPPARD: Defence? Really? (Rodney, who was looking around the lab, walks back looking interested.) We’ve been here for two days before you mention that?
DRUHIN: I had to learn that you could be trusted.
McKAY: Huh!
FORD: You’re talking about some sort of defensive weapon?
DRUHIN: You could call it that. Something that we hope will protect us from the next Wraith culling.
McKAY: So you are expecting it to happen again?
DRUHIN: Of course. But if the Wraith return as they have historically, they won’t be here for at least another fifty years.
McKAY (throwing a dark look at John): Fifty years, you say.
SHEPPARD (embarrassed): How ‘bout that weapon?
DRUHIN: Yes, yes – if you’ll just come this way.
(He leads the way and Aidan and Teyla follow him. Rodney turns to John.)
McKAY: You haven’t told them that we practically woke the Wraith from hibernation, have you?
SHEPPARD: Well ... I really haven’t had the chance(!)
McKAY: We’ve been here two days!
SHEPPARD: One and a half, really.
(They start to follow the others.)
McKAY: Major, they’re not expecting the Wraith for another fifty years. We have to let them know they could show up at any time now.
SHEPPARD: If you’re so eager, why don’t you tell them!


LATER. Chancellor Druhin has led the team to another part of the complex. This part has lots of white corridors. Armed guards stand outside a room which Druhin leads the team into.
McKAY: Reminds you of Area 51, doesn’t it?
SHEPPARD: Circa 1918.
FORD: I don’t think Area 51 was around in 1918, sir.
SHEPPARD: Well, the area was.
McKAY: True!
(Druhin leads them into a laboratory.)
FORD: I don’t think there’s a hope in hell these people could have a weapon that ...
SHEPPARD: Weapons come in all shapes and sizes, Lieutenant.
(A Hoffan scientist picks up a test tube full of liquid and hands it to Druhin. He holds it up to show John.)
DRUHIN: Major Sheppard, I think you’ll find this intriguing.
(John takes the test tube and looks at it.)
SHEPPARD: OK, I’m intrigued. What is it?
DRUHIN: Something that we hope will one day make us completely immune to the Wraith.


ATLANTIS. CONFERENCE ROOM. The team, sitting around the table, reports to Doctor Weir.
TEYLA: According to Chancellor Druhin the drug is still several years away from being finished.
McKAY: I’d say, given their current level of technology, that, er, could be an under-statement. Just because they believe they’re close to a breakthrough, it doesn’t mean that they are.
TEYLA: You saw for yourself – their entire civilisation is based upon the completion of that goal, Doctor McKay. I would not under-estimate them.
WEIR: Do we even know for certain that the Wraith are an immediate threat?
SHEPPARD: We can probably bet they don’t have fifty years.
McKAY: Hence Major Sheppard has generously offered our help to the Hoffans.
WEIR: Has he?
SHEPPARD: Look, the fact is, if they’re onto something, maybe we can speed up the process.
WEIR: OK, Major, you have a go. But if the drug really is just a pipe dream ...
SHEPPARD: Our Doctor Beckett’s already volunteered to help us find that out.
WEIR: Oh, he has, huh?
SHEPPARD (shrugging nonchalantly): He will.

GATE TRAVEL.

HOFF. The team, together with Doctor Beckett, is walking along the dark corridors in the complex.
BECKETT: It’s not that I mind lending people a hand ...
SHEPPARD: No, of course not.
McKAY: You’re a generous man, Carson.
BECKETT: ... but it’s the principle of the thing, isn’t it? You can’t go volunteering someone for something without consulting them first. That’s not even volunteering, is it? It’s being pressed into service. Not to mention the fact that I’m not ...
SHEPPARD: ... not military, I can’t give you orders. I know.
McKAY: Nonononono – he just doesn’t like going through the Stargate.
SHEPPARD: He’s worse than Doctor McCoy.
TEYLA: Who?
SHEPPARD: The TV character that Doctor Beckett plays in real life.
BECKETT: Converting a human body into energy and sending it millions of light years through a wormhole – bloody insanity.
McKAY: C’mon, how often do you get to travel to an alien planet?
BECKETT: I was already on an alien planet!


HOFFAN SCIENCE LAB. Carson is walking around the lab looking at things. He picks up a rack of test tubes.
SHEPPARD: Should you be messing with that stuff?
BECKETT: I know what I’m doing, Major, thank you. From the looks of things they’ve mastered a few basics – biochemistry, physiology, perhaps even some form of molecular biology. Fairly impressive considering ...
(A female Hoffan scientist interrupts him.)
PERNA: It is our people’s legacy. This room represents hundreds of years of medical knowledge. (Carson turns and stares at her, instantly besotted.) I am Perna, chief scientist for the project.
(John and Rodney also seem taken with her.)
SHEPPARD: John Sheppard. Uh, and this is Teyla, and Lieutenant Ford ...
BECKETT (smiling in a soppy way): Carson. Beckett. Doctor. I mean, call me Carson. (He grins at her.)
McKAY: I’m, uh, Doctor McKay, Doctor Rodney McKay. (He smiles and holds out his hand for her to shake. She looks at him, confused, ignoring his hand, then turns to Carson.)
PERNA: I hope you will find our facilities suitable.
BECKETT: Oh, they’re charming! Perfectly charming! (He grins at her again.)


DARK CORRIDORS. Druhin is escorting the team, minus Carson, through the corridors.
DRUHIN: Long ago, this city was once a testament to our imagination, our creative spirit, to endless possibility.
McKAY: How long ago was that?
DRUHIN: It is true that we have been forced to rebuild many times and never to our potential. That is why perfecting the drug is so important. It is more than just a defence against the Wraith – it is our future.
TEYLA: With respect, Chancellor, you cannot prevent the culling – it is a fact of existence.
DRUHIN: A fact we challenge. We will always search for a way to end the cycle of destruction.
TEYLA: The Wraith will always prevent any race from advancing too far.
SHEPPARD: You figure you can beat ‘em?
DRUHIN: Yes, through knowledge.
(They reach a guarded door. Druhin indicates to the guard, who unlocks the heavily barred door. Inside is a huge library.)
DRUHIN: A number of archives like this one are hidden throughout the city. Their existence is known only to a few.
SHEPPARD: This is very impressive.
DRUHIN: We meticulously preserve the accomplishments of each generation before they are wiped out by the Wraith.
SHEPPARD: So everything your people ever learned is in here?
DRUHIN: And in other archives identical to this one.
McKAY: In case they destroy one. You guys are serious about this.
DRUHIN: Standing on the shoulders of our forefathers.
TEYLA: How long have you been working on this Wraith drug?
DRUHIN: One hundred and fifty years ago, our scientists were close to creating a viable prototype, only to die before seeing its fruition.
SHEPPARD: So you’re hoping that, if this world’s no good to them, they’re just gonna move on?
DRUHIN: The Wraith cannot possibly perceive us as a threat.
SHEPPARD: Y’know, to tell you the truth, I don’t know how they would react.
TEYLA: If they choose to wipe you out of existence, you will be helpless.
DRUHIN: We cannot hope to control their actions. We can only do what we can to end the cycle that has gone on for far too long.


LAB. Perna takes down a book from the top of a cupboard and brings it over to show to Carson.
PERNA: His name was Ferrel Mylan. Before he died in the last culling, he was one of our most celebrated medical researchers. He was the one who found it.
BECKETT: Found what?
PERNA: The key. (She opens the book.) His journals tell of one man who survived an encounter with the Wraith. Ferrel and his team discovered that this man possessed a unique protein, one that enabled him to resist the chemical released by the Wraith to precipitate draining of life from their victims. After painstaking trial and error ...
BECKETT (looking at the book): Ferrel made a copy of the protein.
PERNA: He was eventually able to create a prototype of a drug designed to interfere with the Wraith feeding process.
BECKETT: And it worked?
PERNA: Ferrel was killed before the drug could be used to defend Hoff.
BECKETT: And it’s been your job to make certain his work wasn’t in vain. Quite the responsibility.
PERNA: It is a great honour.
BECKETT (looking through more pages): How do you know for certain that this Ferrel wasn’t just embellishing his results, or for that matter making them up? I mean, all you have to go on are his notes.
PERNA: He and his team worked until the last possible moment. They knew the Wraith ships were overhead and still they worked through the night, hoping to provide one more insight, one last thread of knowledge – not for themselves but for the generation that would survive. Ten thousand soldiers gave their lives to give them those last few hours. The last words of Ferrel’s journal are known to all Hoffans.
BECKETT: I meant no disrespect, Perna.
PERNA: It’s alright. More than just his journals survived the culling. (She goes over to another desk to collect a slide.) His research materials were safeguarded as well, including carefully-preserved Wraith cell samples which we still use in our work today. (She puts the slide down. Carson gets up and goes over to the microscope near the slide.) Please. (Carson sits down.) See for yourself.
(Carson puts the slide under the microscope and looks into the eyepiece.)
BECKETT: Oh! (He looks up at Perna.) That’s incredible!
(She smiles at him. He looks back into the microscope.)


ATLANTIS. Doctors Weir and Beckett are walking along together down the stairs and into corridors, discussing the Hoffans’ discovery.
BECKETT: I saw it with my own eyes, Doctor Weir.
WEIR: Yes, in a Petri dish, and we are talking about a hundred and fifty year old Wraith cells. I mean, for all we know, they could be immune to the drug by now, or come up with defences against it.
BECKETT: Well, I don’t think so, Doctor. I took the liberty of running a few tests of my own using cells taken from the Wraith arm Major Sheppard brought back from Athos. The results were the same: near complete resistance. They’ve definitely got something. Believe me, I’m more surprised than anyone.
WEIR: So what do you recommend?
BECKETT: That we take their work to the next level. I’ve informed the Hoffans of our guest in the brig.
WEIR: You realise what you’re asking for?
(Carson nods.)
BECKETT: I do.


BRIG. Sergeant Bates is standing outside the Wraith’s cell. He turns as John walks in.
SHEPPARD: Anything I should know about, Sergeant?
BATES: No, sir, he’s been quiet.
SHEPPARD: Still trying to make you see things?
BATES: He’s given up on that.
(John looks at the Wraith sitting quietly in his cell.)
SHEPPARD: I didn’t think he’d last this long. (He walks over to the bars. The Wraith looks up at him.)
WRAITH: Hello again, Major Sheppard.
(John nods to him. The Wraith stands up.)
SHEPPARD: Sorry if I woke you. Just came by to see if there’s anything you needed – magazine, fresh towels.
WRAITH: You hide your fear poorly, Major.
SHEPPARD: Y’know, we’ve been having these conversations for a couple of weeks now, and I don’t even know your name. You guys do have names, right? (The Wraith just looks at him.) Let me guess ... (he looks away for a moment as if thinking) ... Steve?
WRAITH: I am your death. That is all you need to know.
SHEPPARD: I prefer Steve.
(The Wraith walks closer so that he is standing just the other side of the bars to John.)
WRAITH: What do you hope to gain from this?
SHEPPARD: Just trying to bridge the gap between our two cultures; get to know you better. That and try to figure out how to keep your kind from sucking the life out of millions of innocent people.
WRAITH: Even if I told you what you want to know, it would change nothing. You are doomed – as are any humans that stand in our way.
SHEPPARD: Can’t be a nice way to die – hungry, slow, knowing your food source is just ... (he holds up a hand and grasps at the air) out of reach.
(The Wraith roars and tries to strike at John but only hits the forcefield. He roars in rage.)
WRAITH (furiously): Why do you keep me here? (He starts angrily pacing back and forth.)
SHEPPARD: I need to know what we’re up against. For example, how many of those big hive ships have you got and where are they?
WRAITH: You have nothing to offer me in return. (He finally stops pacing.)
SHEPPARD: We could talk about easing your hunger ... (the Wraith looks at him) ... Steve.
WRAITH: You would never sacrifice one of your own kind. And yet, it is all that stands between you and the information you seek.


ATLANTIS CONFERENCE ROOM. We follow a female member of Atlantis up the stairs and into the conference room, where she hands a report to Dr Beckett, who is walking around the table giving his report.
BECKETT: Using living Wraith cells is our only recourse at this juncture. Without them we have no way of knowing for certain if the drug is actually viable.
TEYLA: You said it worked effectively on the cells of the severed Wraith arm we brought back.
BECKETT: It did – but those were already in a partially decayed state. We need live samples.
WEIR: And with new samples you think it’s possible to create a prototype?
BECKETT: Given enough time, yes I do.
McKAY: He’s got a good point – the Hoffans are practically obsessed.
BECKETT: Thank you, Rodney.
TEYLA (to Rodney): I agree, Doctor. (To Elizabeth) But their obsession may become their undoing.
McKAY: Well, even if they do ... undo, it’d be good for us. I mean, given the choice, wouldn’t you want to be immune?
TEYLA: Not if it meant the lives the Wraith might otherwise spare. This drug would only be of value if everyone, everywhere, possessed the same immunity.
SHEPPARD (pointing at her in agreement): There’s a thought worth pursuing.
WEIR: I agree. Major, have you made any progress with your prisoner?
SHEPPARD: Well, not yet, but he just blinked.
McKAY: He blinked? What does that mean?
SHEPPARD: It means he’s still holding on but he’s indicated to me that he may break soon.
McKAY: And he indicated this to you by ... blinking?
SHEPPARD: Yes.
BECKETT: No offence, Major, but so far he hasn’t told you a thing. For all we know he could linger this way for months and ultimately we’ll learn nothing.
TEYLA: The Wraith could be on their way to Hoff as we speak. If your prisoner holds the key to the creation of this drug, should we not take advantage of this?
WEIR: How can we get the sample off him safely?
TEYLA: We still possess the weapons used in his capture. It would be a simple matter of incapacitating him again.
WEIR: So, then, it’s possible?
SHEPPARD: It’s possible.


BRIG. The Wraith is crouched on the floor with his back to the door of his cage as it slides open. John takes a couple of steps forward.
SHEPPARD: Hi, Steve.
(The Wraith growls, stands and turns around.)
FORD: Bye, Steve.
(The Wraith runs towards them but Aidan shoots him with the Wraith gun. The Wraith falls to his knees, grunting with pain, then stands up and hurls himself towards the men again. Aidan shoots him a second time and this time he collapses to the floor. John, Aidan and Sergeant Bates walk cautiously forward, all aiming weapons at him.)
SHEPPARD: Doctor.
(Carson walks nervously forward.)
BECKETT: Is he – I mean, you’re certain he’s ...
FORD: He’s down, Doc. Do your thing.
(Carson sighs, and nervously walks over to squat down by the Wraith.)
FORD: Almost looks peaceful, doesn’t he?
BECKETT: Peaceful?! You’re out of your bloody mind!


HOFF. LAB. Carson is plugging in a laptop while Perna works setting up other equipment. Perna walks over to him, looking excited.
PERNA: I have never seen devices such as these!
BECKETT: The work you’ve done refining the drug has been good up til now. With all this (he switches on the laptop which shows enlarged microscopic images from the microscope that’s in front of him) we can make it better. (He looks into the microscope.) From what I can tell, your biggest problem is that the test inoculations failed to show enough of a presence in human cells to be effective.
PERNA: What we need is a better delivery system.
BECKETT: Exactly. And the best place to start is to recreate the key protein in the serum and work our way up from there. If we can avoid having to re-engineer it from a natural source, and make an entirely synthetic version, it should ultimately increase the efficiency.
PERNA: Such a thing is possible?
BECKETT: Anything’s possible if you’re willing to give it a go. (He claps his hands together.) C’mon then, a bald head is soon shaved. (He looks into the microscope again.)
PERNA: You speak differently than the others.
BECKETT (looking up from the microscope and laughing sheepishly): Noticed that, did you?! Sorry if I confuse you. Trust me, where I come from, it all makes perfect sense.
PERNA: What is it like?
BECKETT: Scotland? Oh, I think it’s beautiful. But I’m told it’s something of an acquired taste.
PERNA: I meant your world. It must be so peaceful there, knowing that the Wraith will not come.
BECKETT: Oh, you’d be surprised how not peaceful it is. We’re spoiled rotten, now that I think of it.
PERNA: You miss it – I’m sorry for enquiring.
BECKETT: Oh, no, no. Don’t be, love.

(A montage of scenes follows as Carson and Perna continue working on developing the serum. Meanwhile, back at Atlantis, John continues to interrogate the Wraith to no avail. In Hoff, Carson and Perna are working long hours, often looking frustrated at the lack of results. In Atlantis, the Wraith is beginning to show signs of exhaustion. In one scene, Perna is reading aloud to Carson from Ferrel’s journals. In Atlantis, the stand-off between John and the Wraith continues. Finally, on Hoff, as Perna sits at a desk writing, behind her Carson looks into a microscope, scribbles something on a clipboard, then turns to her excitedly.)

BECKETT: Perna!
(Perna gets up and comes over to look at what he has written. She turns to him, her face a picture of delight, then throws herself into his arms, laughing in joy and relief. Carson hugs her back, also laughing. He holds her tight around the waist and lifts her off her feet. She shrieks with laughter, then they let each other go and turn to look at the results again.)


CHANCELLOR’S OFFICE. Chancellor Druhin is looking at the results as Carson and Perna stand nearby.
DRUHIN (reading the paper): “One hundred percent cellular penetration in all five test inoculations” – incredible!
BECKETT: There’s still a lot of data to be analysed but the initial results are very promising, I agree.
PERNA: Doctor Beckett’s efforts have advanced the project by decades.
BECKETT: Perna’s formula was right on track. It was just a matter of changing its molecular design so it could be better absorbed by the body.
DRUHIN: This is an enormous victory for our people, Doctor. I don’t know how to thank you.
BECKETT: No need. Of course, it’s only a preliminary.
DRUHIN: How soon until you can set up the next stage of testing?
PERNA: You’ll have a schedule later today, Chancellor.
(Carson blinks.)
BECKETT: I’m sorry – next stage?
DRUHIN: Your report makes it abundantly clear that the project is ready to proceed to its next phase.
PERNA: We want to test the serum’s effectiveness against your prisoner.


ATLANTIS. Elizabeth and John are walking along the upper walkway that encircles the Gateroom toward and into Elizabeth’s office, discussing the situation.
WEIR: And you support this?
SHEPPARD: Well, I know for certain he’s gonna die so we might as well make good use of him while he’s still alive.
WEIR: You do understand the Geneva Convention prohibits using prisoners for scientific experiments?
SHEPPARD: No offence, Doc, but had the Wraith attended the Geneva Convention, they would have tried to feed on everyone there.
WEIR: Beckett’s report indicates that we have no idea what the long-term effect of this drug on humans might be.
SHEPPARD: Well, we know damn well what the long-term effects of Wraith culling are, don’t we?
WEIR: We’re talking about putting a human being in the same room as a starving Wraith. Now once we start down that road ...
SHEPPARD: Which road did you think we were headed down?
WEIR: Not this one. At least not this fast.
SHEPPARD: Having spent time with the prisoner, I don’t pity him. He’s gonna die anyway. This drug could be useful some day.
WEIR: Some day.
SHEPPARD: The point is, we don’t get a lot of opportunities like this. Do you know how obsessed with this the Hoffans are when they found out we had a live Wraith prisoner? He’s going to die. I tried to feed him all sorts of live stuff but apparently there’s only one item on his menu.
WEIR: What of the test subject? If the drug fails ...
SHEPPARD: We’re not just grabbing anybody off the street. The test subject is a terminally ill patient who has volunteered himself.
(Elizabeth sighs.)
WEIR: These are not exactly the type of decisions I was expecting to make on this expedition. (John shakes his head and stands back, crossing his arms. Elizabeth gets up and goes to the window, looking out for a moment, before turning back to face John.) Do it.


BRIG. Sheppard comes into the brig and walks over to the cage.
SHEPPARD: Hi, Steve.
WRAITH (not looking at him): More samples?
SHEPPARD: I was thinking more along the lines of a field trip. You want sustenance? I want information.
WRAITH (turning his head to look at John): You are incapable of offering such a trade.
SHEPPARD: You tell me something of value – I let you eat. That’s the deal. Take it or leave it.
(The Wraith turns to face John.)
WRAITH: Very well.


CONTROL ROOM. Elizabeth comes out of her office and walks over to a technician.
WEIR: Are they ready?
TECHNICIAN: Major Sheppard and Lieutenant Ford are loading the prisoner into Jumper Two. (He watches a screen as three white dots move into the rear of a graphic of a Puddlejumper.) Sergeant Bates is already on the ground and standing by for their arrival at the rendezvous site.
(In the Jumper Bay, we see an exterior shot of the Puddlejumper with two soldiers guarding the rear door. Then the camera pan to the interior of the Jumper and we see the Wraith, heavily chained, sitting with guards on either side of him pointing rifles at him. The rear door closes.)
WEIR: Jumper Two, this is Weir. What’s your status?
SHEPPARD (over radio): Nice and cosy in here. We’re ready to depart.
WEIR: Be safe, Major.
SHEPPARD: That’s the plan.
TECHNICIAN: Jumper Two, you are go for launch.
SHEPPARD: Roger that. (In the Jumper, John turns to Aidan who is sitting alongside him.) Dial it up.
(Aidan taps in the symbols, then turns and looks at the Wraith, who appears to have a grin on his face.)
FORD: Hey, man, this isn’t supposed to be fun.
(The Wraith turns and looks at him, still grinning, before turning away again. Aidan turns back to the front. Outside the window, the Stargate whooshes as the Jumper lowers into position, and goes through the Gate. In the Control Room, Elizabeth stands on the balcony of the Control Room watching as the Gate closes down.)


HOFF. MEDICAL CENTRE CANTEEN. Carson and Perna are sitting at a table with the volunteer.
BECKETT: Perna explained to me about your illness. I want you to know how sorry I am. I wish there was something I could do for you.
(We see Merell for the first time – he’s only in his twenties.)
MERELL: It’s my time, Doctor Beckett. I’m at peace with my fate.
BECKETT: I think it’s important you know that we may be talking about a less than peaceful ending here.
PERNA: I have explained to Merell in great detail what may befall him.
BECKETT: You should also understand that this drug has never worked in anything other than a laboratory simulation. We don’t know for certain what will happen.
MERELL: Even if it doesn’t work, you’ll learn something of value – how to perfect it in the future?
BECKETT: Possibly, but that’s no reason for you to face that creature.
MERELL: Doctor Beckett, I’m not afraid. No matter what happens, my death will have meaning. Is that not something we all strive for, to die knowing we made a difference? I want to do this. Please don’t deny me the chance to help my people.
(Perna looks at Carson. Carson bows his head, knowing that he cannot change Merell’s mind.)


LATER. Carson and Perna leave the canteen and walk down a corridor.
PERNA: What do you think?
BECKETT: That it goes against everything I believe in. There’s an oath among medical people where I come from. It begins, “First, do no harm.”
PERNA: Important words to you.
BECKETT: More than words, Perna.
PERNA: “The battle rages at the very threshold of our laboratory now. Those of us working to the last know that these few final hours have been dearly purchased, yet our concentration has not waned. We cannot hope to save ourselves but we can hope that one last insight, one last revelation before we take our dying breaths, may prevent this terrible day from happening again.”
BECKETT: Ferrel’s last journal entry.
PERNA: More than words, Carson.
BECKETT: I understand that. I do. But there are too many unknowns. We need time to determine the possible side-effects ...
PERNA: There is no time! Are you so afraid of making a mistake that you can no longer see what we’re up against?
BECKETT: This isn’t about making mistakes, Perna – it’s about the end justifying the means, and in our profession that’s a very slippery slope. We have no idea if this’ll work. We could be sacrificing that man to a monster.
PERNA: There will be another to take his place.
BECKETT: That’s just what I’m afraid of.


HOFFAN CELL BLOCK. The Wraith is sitting inside a similar-looking cage to the one he inhabited on Atlantis, except this one doesn’t have a forcefield. Teyla comes into the room and goes over to John.
TEYLA: They are ready.
(John walks closer to the cell.)
FORD: Careful, sir.
(Perna, Carson and Merell come into the room. The Wraith looks up, and realises that Merell is his ‘meal’. He also realises that Merell is unwell.)
WRAITH (dismissively): This is the sustenance you promised?
SHEPPARD: Little change in plans. You tell me something right now, or the dinner party’s cancelled.
WRAITH: What do you want to know?
SHEPPARD: How many hive ships have become operational since we awakened the first one?
WRAITH: All of them, Major Sheppard. First, they will travel to their own feeding grounds and gather strength. We are a patient race, Major. When we have taken our fill and gathered our strength, we will join force and come for you.
SHEPPARD: D’you have any idea when that’ll be? Morning? Afternoon?
(The Wraith makes an exasperated sound. John turns to the marines.)
SHEPPARD: Open it up.
(One of the marines steps forward, unlocks the door and opens it. Merell, wearing what looks like a nightgown, with a blanket over his shoulders, steps forward. Carson takes hold of his wrist and stops him.)
BECKETT: You don’t have to do this.
MERELL: I know. (He looks at Perna.) I’m ready. (He takes the blanket off his shoulders. Carson takes it from him.)
(In the cage, the Wraith takes in a deep expectant breath. Merell walks inside the cage. As the marine closes the door behind him, Merell starts to unbutton his nightgown. As the door slams shut, the Wraith stands and faces Merell. He walks closer and inspects him for a few moments.)
WRAITH: He is weak.
(Outside the cage, Perna looks terrified, afraid that the Wraith will reject the ‘offering’. However, after a few seconds the Wraith slams his open hand onto Merell’s bare chest and snarls. Perna looks horrified, finally realising what she has brought about. The Wraith stands with his nails piercing Merell’s chest, but after a few moments he snarls again and pulls away, clutching his hand as if it hurts him. Merell looks down at the wounds on his chest, then looks up at the Wraith again. The Wraith turns away in disgust. Perna gasps, overcome by what she has just witnessed.)


CHANCELLOR’S OFFICE. Chancellor Druhin is filling three glasses with what looks like champagne. He puts the bottle back into an ice bucket and picks up two of the glasses to give to Carson and Perna.
DRUHIN: You are both heroes of the Hoffan people.
BECKETT: I’ll admit, it was amazing.
(Druhin picks up his own glass.)
DRUHIN: I hope your friends will join us for a celebratory banquet to honour your work.
BECKETT: We’ll be glad to attend, but don’t you think celebrations are a bit premature?
DRUHIN: The results speak for themselves. (To Perna) I intend to ask the Council to approve mass production of the serum, effective immediately. After what happened today, I doubt they will offer any resistance.
PERNA: That is wonderful news, Chancellor.
BECKETT: With all due respect, no it isn’t. We’re talking about one test here. Now I’m as pleased as anyone with the results but we still have a lot of work to do before we can start using it.
PERNA: Doctor Beckett wishes to run a full series of tests on Merell prior to issuing his final report. (She frowns at Druhin, clearly not understanding Carson’s caution.)
BECKETT: There may have been mitigating circumstances – the man was dying, for one.
DRUHIN (a little condescendingly): Of course. I’ll bring it up with Council. (He raises his glass.) To success. (The three of them clink glasses.)


CELL BLOCK. John and Teyla come in, clearly having been summoned.
SHEPPARD: What is it?
FORD: It’s Steve – he doesn’t look so good.
(In the cage, the Wraith is crouched in the corner, gasping in apparent pain.)
TEYLA: How long has he been like this?
FORD: Since the test.
SHEPPARD: Think it’s a ruse?
TEYLA: It is not their way.
(The Wraith painfully hauls himself to his feet.)
SHEPPARD: Hey.
WRAITH: What have you done to me? (He convulses with pain. As the others watch, part-sympathetically, he roars and races across the cage to where they’re standing. He’s so fast that John only just has time to dodge backwards as the Wraith slams his arm through the bars, grabbing for John’s throat and missing by mere inches. This last moment of effort is too much for the Wraith, and he collapses to the floor where he lies half propped up on one elbow, clearly in genuine pain.)
SHEPPARD: We need Beckett in here.
FORD (to one of the marines): Go.
(The marine hurries out. John crouches down to look closer at the Wraith, who is gasping in pain.)
SHEPPARD: We’re gonna help you.
(The Wraith looks up at him, a snarl on his face.)
WRAITH: Don’t feel pity for me. You will suffer far worse when the others come for you. (Gasping in agony, he collapses backwards onto the floor, dead.)


LATER. The Wraith’s body has been brought to a morgue. John walks around the table that the body is laying on, staring down at it. Carson, dressed in a white hospital gown, comes up behind him, making him jump.
BECKETT: Major. I was just about to cut him open.
SHEPPARD: Then, I was just leaving.
BECKETT: I’ve already done a series of tests you might like to know the results of.
SHEPPARD: You know what killed him?
BECKETT: I’m gonna go out on a limb here and say that it was all of his vital organs shutting down almost simultaneously.
SHEPPARD: Did he starve to death?
BECKETT: No. Based on the condition his body’s in, I don’t think he died from a lack of nourishment.
SHEPPARD: Well, then, what was it?
BECKETT: Initial tests revealed a significant amount of Hoffan serum in his bloodstream. I’m guessing we’ll find similar trace amounts in each of his organs once we analyse those as well.
SHEPPARD: Why did the Hoffan drug end up in his blood?
BECKETT: From the Hoffans’ research, we know that when the Wraith feed, they release a chemical into their victims’ bodies. What it actually does, we don’t yet understand, but I can only assume that it prepares the human body in some way to be drained of life. The serum is designed to shield the victim from that initial chemical release, blocking it.
SHEPPARD: OK.
BECKETT: I think the serum protein may have mutated when it was exposed to the Wraith chemical, triggering some sort of toxic reaction.
SHEPPARD: So instead of feeding off of him ...
BECKETT: ... he was poisoned. So if the serum did this, then it’s more than just a defence against the Wraith.
SHEPPARD: It kills ‘em.


CHANCELLOR’S OFFICE. Druhin is talking with John and Teyla.
DRUHIN: I fail to see cause for alarm, Major. If anything, this development dramatically increases the value of the serum.
SHEPPARD: No – it just takes away any doubt about what the Wraith’ll do when they eventually come here.
DRUHIN: I fail to see the difference.
TEYLA: Once they learn you possess a weapon such as this, the Wraith will wipe your people from existence in retaliation for the Wraith deaths.
DRUHIN: Or they may simply leave us alone once they learn we are ... unpalatable.
SHEPPARD (sarcastically): Cos they’re such an easy-going live-and-let-live kind of race. (Seriously) Y’know, maybe there was half a chance of that when you were talking about this being defensive, but now ...
DRUHIN: You fail to see the larger picture, Major. For the first time we have a way to not just defend ourselves but to strike back.
SHEPPARD: Is this about revenge, or saving your people?
DRUHIN: You can’t hope to understand the generations of suffering ...
SHEPPARD (interrupting): I’ve been in one of their hives and I’ve fought against their ships and, trust me, when the first Wraith dies because of this drug, they’re not gonna simply move on. They’re gonna make their problem go away.
TEYLA: Once your world has been destroyed, they will seek out any who have had contact with you. They will spare no-one.
SHEPPARD: Listen, I know how passionate you are about this – this drug is sort of your Holy Grail, but you’re gonna have to shelve it til we get a better idea ...
DRUHIN (interrupting): No, no.
SHEPPARD: I’m serious – otherwise we can’t help you any more.
DRUHIN: You don’t understand, Major, it’s too late. I have made my recommendation to the Council and they’ve agreed. We have already begun inoculating our people.


PERNA’S LAB. Carson is packing away his equipment. Perna hurries in and stands watching him for a moment.
PERNA: You are leaving?
BECKETT: Unless you’re willing to go back to formula on the serum there’s no point my staying, is there?
PERNA: Carson ...
BECKETT: Perna, you need to re-open the project. With more work, maybe you could prevent the mutation – maintain it as a defensive drug only.
PERNA: Merell is dead. They found him this morning – the cause of death is still to be determined.
BECKETT: There’s still time – they need to stop the inoculations.
PERNA: They won’t.
BECKETT: A man is dead.
PERNA: Which doesn’t necessarily mean more will follow. (Carson turns away, exasperated.) Even if I wanted to, I couldn’t make them stop, not without more proof.
(Carson turns to her and takes her hands.)
BECKETT: Perna – you’re one of the brightest people I’ve ever met. For your own sake, I beg you, have no more part in this, at least until we know more.
PERNA: I can’t do that.
BECKETT: Why not?
PERNA: Because I was among the first to be inoculated.


CHANCELLOR’S OFFICE. Carson and Perna are sitting at the table with Chancellor Druhin. John is standing nearby.
DRUHIN: I appreciate your sense of urgency, Doctor, but at this point it would be unwise to rush to any conclusions.
SHEPPARD: Now you wanna exercise caution? Are you serious?!
DRUHIN: Major, you yourself have told us the Wraith could be on their way here right now. We have no choice but to move forward.
SHEPPARD: You’re speaking on behalf of a lot of people, Chancellor.
DRUHIN: You think I would force this choice upon my own people? No, sir, our people are in complete agreement.
SHEPPARD: Your people may be dead before the Wraith even get here for all you know.
BECKETT: Chancellor, please, it’s not too late. Suspend the inoculations at least until we know what killed Merell.
PERNA: He was terminal. We don’t know for certain the serum played any part in his death.
BECKETT: He suffered a sudden and complete respiratory breakdown.
PERNA: Which could well have been due to his condition. His sickness had spread through most of his body.
BECKETT: Are you willing to risk thousands of people’s lives based on that assumption, because I’m not!
(Teyla’s voice comes over John’s radio.)
TEYLA (over radio): Major Sheppard?
SHEPPARD (into radio): Go ahead, Teyla.
(We see Teyla – she’s in a ward at the centre. There is frantic activity going on around her.)
TEYLA (into radio): We’re in the medical centre. We need help.
(In the Chancellor’s office, everyone gets up and heads out.)


MEDICAL CENTRE. Druhin, John, Carson and Perna walk in behind a patient being wheeled in on a gurney.
BECKETT: My God!
(As they walk into the ward, we see that there are many patients, together with nurses and doctors rushing around.)
TEYLA: Major Sheppard. The doctors say they began arriving last night, and their numbers have been increasing by the hour.
BECKETT: Major.
SHEPPARD: I’m on it – go. (Carson takes off his jacket and gets to work. John goes to Aidan.) Lieutenant, radio Weir, tell ‘em we need a full medical support team on a Jumper and inbound ASAP.
FORD: Roger that. (He leaves to carry out John’s orders.)
(John looks around the ward. Everywhere patients are sitting on beds or lying down, coughing painfully. Chancellor Druhin looks around, then walks away. Perna is examining one patient. Carson, working with another patient, calls to her.)
BECKETT: Perna. Perna – I need help here! (She rushes over to him.) Oxygen! (Perna grabs a mask as the man on the gurney gasps for breath. Carson speaks to the patient.) Take it easy. (However, before Perna can put the mask to his face, he dies. Carson pulls the man’s sleeve back from his arm and sees an inoculation mark on his arm. He and Perna look at each other.)


CHANCELLOR’S OFFICE. John barges through the office doors to confront Druhin. A security guard rushes forward but Druhin holds his arm out to stop him.
DRUHIN (to the guard): Leave us. (The guard bows and leaves.)
SHEPPARD: D’you have any idea what’s going on out there?
DRUHIN: I do, Major.
SHEPPARD: Half the people you gave that drug to are dying.
DRUHIN: Half of them, Major, half. The statistics are clear and the numbers are holding at that level, it’s just been confirmed, which means the other fifty percent of those we inoculated will live, and destroy any Wraith who try to feed on them.
SHEPPARD: I don’t believe this!
DRUHIN: Now the Wraith will know the full conviction of the Hoffan people.
SHEPPARD: Conviction?!
DRUHIN: Do you realise that if we could spread this drug to every human in the galaxy, future generations would never know the horror of a culling.
SHEPPARD: You’re deliberately sacrificing millions of lives.
DRUHIN: An end to the Wraith! You can’t comprehend the bargain in that?
SHEPPARD: You can’t make a bargain like that for your entire people!
DRUHIN: Do you think I’m alone in this conviction?
SHEPPARD: I think you’re delusional!
DRUHIN: You shall see. We are putting it to a vote as we speak. I will stand by the decision of the majority. Does that satisfy you?
SHEPPARD: Do they have any idea what they’re voting on?
DRUHIN: Yes. I promise you.
SHEPPARD: And you’ll back off if it doesn’t go your way?
DRUHIN: You have my word.


MEDICAL CENTRE. Carson is giving instructions to a marine.
BECKETT: Use whatever rooms you need for overflow. We need to keep this area clear for triage. (The marine leaves. Carson pinches his nose, clearly exhausted. Teyla hurries over.) Teyla, there you are. Make sure that our oxygen is properly deployed throughout the hospital.
TEYLA: Doctor.
BECKETT (walking towards a patient but still talking to Teyla): Have non-critical patients use it in turns – just long enough to stabilise their breathing. (Teyla follows him. He turns back to her when he realises that she isn’t following his instructions.) Teyla, what are you doing here? You’re not listening to me. Now where’s Perna? I need her here.
TEYLA (putting her hand on his arm and looking at him meaningfully): Carson.
(Finally noticing her expression, Carson stares at her in horror.)

(Carson rushes through another ward looking at each bed. Finally he finds Perna lying in one of the beds. She looks up at him. He squats down at her bedside, takes her hand and strokes her head with his other hand.)
PERNA (weakly): I would ... like to have seen Atlantis.
BECKETT: Perna. I’m so sorry.
PERNA: Don’t be. I am at peace with what I have done, as you should be. (She struggles to breathe.)
BECKETT: I wish I’d had no part in this.
PERNA: You gave us hope. For ... years, our people have been working ... towards this ... very moment. (She gasps for breath.) We didn’t betray the forefathers. We have fulfilled their destiny, their promise.
(Carson nods, his eyes full of tears.)
BECKETT: Aye. (He kisses her head.)
PERNA (struggling for breath): Stay. Stay. I want you to stay with me.
BECKETT (whispering tearfully): I’m here. It’s OK.
(She looks into his eyes for a moment, then closes her eyes and dies. Weeping, Carson puts his head down on hers.)


CORRIDOR OUTSIDE THE MEDICAL CENTRE. A body, covered with a blanket, is carried out on a stretcher as Rodney and Aidan stand aside. Carson walks up, with John and Teyla following behind.
FORD: You OK?
BECKETT: Aye.
(Druhin approaches.)
DRUHIN: I am told you are leaving.
SHEPPARD: Yes, we are.
McKAY (sarcastically): Not that it hasn’t been ... lovely.
DRUHIN: I wanted you to see the results of the vote before you left. (He hands a piece of paper to John. John looks at it, then hands it to Carson. Carson reads it.)
BECKETT: Ninety-six percent in favour.
TEYLA: Does the vote include all your people?
DRUHIN: Every one. So you see, Major, we speak with one voice, and we are resolute.
SHEPPARD: Yeah. I can see that.
(Carson shakes his head in despair.)
DRUHIN: When next we meet, I would like to discuss the best way to disseminate the drug on as many worlds as possible.
(Carson looks away in disgust.)
SHEPPARD: We won’t be doing that any time soon.
DRUHIN: Perhaps our victory will change your mind.
SHEPPARD: If and when we ever return, I don’t imagine you’ll be here. I don’t imagine anybody else will be, either. (Carson hands the vote result back to Druhin.) Good luck.
(The Atlantis team turn and walk away.)
BECKETT (to John): “Victory at all costs.” That sound familiar, Major?
SHEPPARD: Churchill.
BECKETT: Aye. Never thought I’d disagree.

End




Transcript by Callie Sullivan. Additions, amendments and improvements by Calico.
Source : www.twiztv.com/scripts/atlantis

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schumi  (02.06.2018 à 22:58)
Intéressant ce dilemme entre la médecine ke science et les militaires.

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Merci aux 3 rédacteurs qui ont contribué à la rédaction de cette fiche épisode

albi2302 
poupette67 
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