STARGATE ATLANTIS
Saison 1 épisode 08
SCRIPT VF
« APPARENCES »
SALLE DE REUNION D’ATLANTIS
TEYLA : Ils sont connus sous le nom de Genii. Ce sont des gens simples, de gentils fermiers et d’honnêtes commerçants.
DR WEIR : Il va nous falloir encore des mois avant de produire une récolte valable sur le continent. Nous allons au devant d’une pénurie de vivre.
RODNEY : Oui, ça devient désespérant, on n’a presque plus de café.
SHEPPARD : Vous devriez peut-être arrêter d’en boire onze tasses par jour, McKay.
RODNEY : Je m’assure seulement d’avoir ma part avant qu’il n’y en ait plus.
LTD FORD : C’est tout à fait honnête.
RODNEY : Hum, hum...
SHEPPARD : Je suis partant pour faire affaire, mais vous ne croyez pas qu’ont devraient aussi trouver des moyens de nous défendre.
LTD FORD : Ce ne sont pas des fermiers qui auront ça.
DR WEIR : Ils peuvent nous présenter à des gens en mesure de pouvoir en proposer. Occupons d’abord de l’essentiel, après on verra.
SHEPPARD : Faire connaissance avec ses voisins, c’est toujours bon.
TEYLA : La porte des étoiles des Geniis n’est pas loin de leur village, de là nous marcherons, le Jumper risquerait de leur faire peur. Comme je le disais, ils sont très simples.
DR WEIR : En route pour l’aventure.
PLANETE DES GENIIS
SHEPPARD : Bon, dans quelle direction Teyla ?
TEYLA : Nous devrions les laisser venir nous.
RODNEY : Si vous savez où se trouve leur village...
TEYLA : C’est un peuple simple, ces gens me font confiance. Mais ça a prit tu temps.
SHEPPARD : Très bien.
RODNEY : Ils cultivent quoi ici ?
TEYLA : Pleins de choses variés, mais ils sont réputés pour leur culture de haricots, le tava.
RODNEY : Quoi, java ?
SHEPPARD : Le tava.
LTD FORD : Comment sauront-ils que nous sommes arrivés ?
Deux personnes arrivent, habillés de façon très simple : il s'agit d'un homme et d’une jeune femme.
TEYLA : Ils le savent déjà.
SHEPPARD : Ils ont l’air inoffensif.
TEYLA : Le plus âgé s’appel Tyrus, j’ai souvent fait du commerce avec lui.
TYRUS : Teyla Emmagan.
TEYLA : Tyrus. Cela fait bien longtemps.
TYRUS : Trop longtemps.
LA JEUNE FEMME : Teyla.
TEYLA : Voici le major Sheppard, le docteur Mc Kay et le lieutenant Ford.
TYRUS : Ma fille Sora.
SHEPPARD : Vous êtes un père comblé.
TYRUS : Elle vient de se fiancé.
SHEPPARD : Mais je n’étais pas entrain de lui faire la cours... je...je...
TEYLA : Ils veulent négocier une partie de votre récolte, ils sont là pour ça.
SORA : Avec des armes à la main ?
LTD FORD : C’est au cas où on aurait à se défendre.
TURYS : Vous habillez comme eux par choix ?
TEYLA : Oui, bien sûr. Pourquoi ?
SHEPPARD : Il veut savoir si vous travaillez, avec nous ou pour nous.
TEYLA : Ah ! Ces gens sont mes amis, Tyrus. Je ne les aurais pas amenés si je ne les avais pas crus capable d’être aussi les vôtres.
TYRUS : On va vous conduire à Cowen.
SORA : Suivez-moi.
RODNEY : On peut, peut-être leur offrir un peu d’humour en échange.
SHEPPARD : Bien sûr. Proposez leur le vôtre.
RODNEY : Ah, ah,ah, je vous en pris major, vous me faites mourir de rire.
Tyrus active discrètement un communicateur qui porte à sa manche.
TYRUS : (A la radio) On les amène, maintenez les opérations en mode silencieux.
* * * * * * * * * * * * * * GÉNÉRIQUE STARGATE ATLANTIS * * * * * * * * * * * * *
DANS L’AUBERGE DES GENIIS
COWEN : Et ces médicaments sont puissants ?
RODNEY : Ils sont capables d’enrayer toutes infections bactériennes.
SORA : Ça nous aiderait pour les hivers rigoureux.
COWEN : Il nous faudra plus, que ce que vous proposez.
SHEPPARD : Plus ?
LTD FORD : Le médicament qu’on propose est vraiment génial.
COWEN : Et bien allez vous en, si vous voulez.
SHEPPARD : Nous en aller ? Et vous disiez que les Geniis étaient des commerçants honnête
TEYLA : Nous sommes toujours parvenus à conclure des accords raisonnables. Pas vrai Cowen ?
COWEN : Sauf que là vous demandez une grosse part de nos moissons. Cela nous obligera à semer à nouveau en quantité suffisante pour nos réserves personnelles, ou c’est nous qui mourront de faim. Pour ces nouvelles cultures nous devrons défricher de nouvel terre, c’est un travail lent et un dur labeur, pendant le quel nous ne pouvons rien planter et nous serons obliger d’attendre la prochaine saison.
SHEPPARD : Ok. Et si le défrichage était rapide et facile ?
COWEN : Vous connaissez une méthode facile et rapide pour déraciner une souche vieille de 300 ans ?
SHEPPARD : Eh, bien à vrai dire, j’en connais une.
Ford installe une charge de C4 sur une souche d'arbre. Plusieurs Geniis sont là pour assister au spectacle.
SHEPPARD : Bouchez-vous les oreilles !
COWEN : Je ne comprends pas.
RODNEY : Ça fait un sacré boucan.
SHEPPARD : Vous risquez de le regretter. Lieutenant.
LTD FORD : ça va sauter !
La souche explose, sous les yeux des Geniis ébahis. Cowen est prêt alors à négocier.
LTD FORD : Ça s’appel du C4.
COWEN : Si vous pouvez nous fournir une quantité suffisante de C4, nous partagerons avec vous nos denrées alimentaires.
SHEPPARD : Le C4 au lieu des médicaments ?
COWEN : Non, en plus des médicaments.
SHEPPARD : Sans rire ? Alors cela ne vous a pas assez convaincu ?
COWEN : C’est vous qui êtes demandeurs.
SHEPPARD : Ben, il va falloir que j’en discute avec mes supérieurs.
COWEN : Je suis sûr que nous trouverons un arrangement. Teyla, merci de nous avoir amenés ces nouveaux partenaires commerciaux. Je vous en pris restez, soyez nos invités, la fête de la moisson, a justement lieu aujourd’hui.
TEYLA : Magnifique !
SHEPPARD: Ford?
LTD FORD: Major?
SHEPPARD : Ça va être la fête au village, mon vieux.
LTD FORD : Oui, on va rigoler.
SHEPPARD : Je n’en ai pas pour longtemps.
RODNEY : Euh, je crois que je vais accompagner le major.
TYRUS : Je vous en pris.
CITÉ D’ATLANTIS BUREAU D’ELISABETH
DR WEIR: Des explosifs ? Il s’agit d’une expédition scientifique, major.
SHEPPARD : Mais oui, je le sais.
DR WEIR : Mais nous devenons des marchants d’armes.
SHEPPARD : Avez-vous déjà essayé de déterrer une souche à la main ?
DR WEIR : Oui, c’est un de mes hobbies.
SHEPPARD : Ils prennent un risque en nous approvisionnant d’une bonne partie de leur récolte.
DR WEIR : Mais ils ont les médicaments que je leur offre en échange. Je crois qu’à l’avenir, major je devrais gérer les négociations.
SHEPPARD : Mais je leur ai dit que je devais avoir votre accord.
DR WEIR : Pour un marché que vous avez déjà conclu.
SHEPPARD : Oui.
DR WEIR : Alors vous voyez ou est mon problème ?
SHEPPARD : On n’a besoins de denrées ou pas ? On n’est sur le point de rationner. Même en n’y mettant toute ma bonne volonté, chaque mission interplanétaire en quête du haricot tava sera...
DR WEIR : Oui, ça va j’ai compris. Dites leur que je suis d’accord.
SHEPPARD : Bon...
VILLAGE DES GENIIS
Dans l'auberge, Cowen et les Geniis portent un toast en l'honneur de leurs nouveaux amis.
LTD FORD : Oui, j’ai déjà vu ces arbres là.
COWEN : Nous remercions la terre, pour cette abondante moisson. Puisse la prochaine saison être aussi fructueuse. Et... à nos nouveaux amis.
TYRUS : A nos nouveaux amis.
Ford est assez surpris de la boisson qui ingurdite !
LTD FORD : C’est du tord boyaux ?
TEYLA : C’est une boisson d’homme lieutenant.
Pendant ce temps, Sheppard et McKay tentent de trouver leur chemin pour retourner au village.
RODNEY : Vous ne savez pas dans quelle direction aller ?
SHEPPARD ; J’essaye de me repérer.
RODNEY : Oui, traduction : Je suis perdu. Ils étaient pourtant précis dans leur itinéraire.
SHEPPARD : Je préfère tracer tout droit.
RODNEY : Bien sûr dans le monde de Sheppard, il n’y a que des raccourcies. Et voilà, ça recommence.
SHEPPARD : Quoi ?
RODNEY : Je capte des données un peu étrange, de par là.
SHEPPARD : ça veut dire quoi, étrange ?
RODNEY : Vous ne savez pas ce que ça eut dire ?
SHEPPARD : Je sais ce que veut dire ce mot, Rodney.
RODNEY : Bizarre, effrayant, étonnant...
SHEPPARD : Dites-moi si c’est risqué, s’il vaut mieux retourner sur la route qui nous mène au village.
RODNEY : De la radioactivité chez les Amichs ! Cherchez l’erreur. De toute façon on n’est perdu.
SHEPPARD : Je ne suis pas perdu. Bon allez, allons jeter un œil.
Rodney et Sheppard entre dans une grange, ou ils découvrent caché sous de la paille, une énorme trappe métallique.
RODNEY : Alors ça c’est effectivement...
SHEPPARD : Etrange...
RODNEY : Et pas si Amish que ça.
SHEPPARD : Non, pas vraiment, non.
RODNEY : Peut-être qu’ils ne savent pas que c’est là ?
SHEPPARD : C’est trappe a été graissée il n’y a pas longtemps. Nous devons aller jeter un œil.
RODNEY : Vraiment ? Ah, quelle question, bien sûr.
Sheppard et Rodney ouvrent la trappe et descendent par l’échelle.
SHEPPARD : Bon aller.
RODNEY : Chouette. L’architecture est élaborée, je ne crois pas que ce soit l’œuvre des Geniis.
SHEPPARD : Nous devons dire à Ford où nous sommes. Lieutenant répondez. Ford ?
RODNEY : Cet endroit est comme un bunker. Les transmissions radios ne passent pas. Mes données sont plus forte de ce côté.
SHEPPARD : Vous lisez quoi là-dessus ?
RODNEY : Les lignes de la main.
SHEPPARD : McKay.
RODNEY : C’est une radiation à neutron, ce qui implique, qu’il y a belle et bien puissante source d’énergie.
SHEPPARD : Bon, ben très bien, alors, allons voir ça.
RODNEY : Je crois que l’on devrait sortir de là.
John arrive devant une porte métallique qu’il décide d’ouvrir, Sheppard et McKay découvrent alors une gigantesque cité souterraine.
SHEPPARD : Alors ça, c’est étrange.
Ils sont surpris par trois gardes, qui pointent leurs armes sur eux.
VILLAGE DES GENIIS
Dans l’auberge, quelqu’un vient prévenir Cowen.
COWEN : Je vous pris de m’excusez, je dois résoudre un petit problème.
TEYLA : Tout va comme vous voulez Cowen ?
COWEN : Je serais bientôt de retour.
Sora et Tyrus quitte la table ou ils étaient assit avec Teyla et Ford.
DANS UNE PIECE SOUTERRAINE
McKay er Sheppard son assit devant une table.
RODNEY : Peut-être qu’il y a deux cultures bien distinctes ?
SHEPPARD : Possible, oui. Peu importe. Vous comptez nous retenir prisonnier pendant combien de temps ?
RODNEY : Si certaines personnes n’oubliaient pas de verrouiller les portes de leur souterrain secret, on ne serait pas là.
Les portes derrières Rodney et Sheppard s’ouvre, lorsqu’ils se retournent, ils retrouvent Cowen dans un uniforme.
SHEPPRARD : Deux cultures bien distinctes, mon œil, oui.
COWEN : Que vais-je bien pouvoir faire de vous ?
DANS LE VILLAGE GENIIS
Dans l’auberge les habitants observent fixement le lieutenant Ford et Teyla.
LTD FORD : Je sens comme une espèce de malaise, tout à coup.
TEYLA : Ouais, moi aussi, je n’ai jamais vu les Geniis se comporter comme ça.
LTD FORD : Ecoutez, nous allons faire un petit tour dehors, voir si le major Sheppard et McKay sont revenu.
TYRUS : Non, personne ne sort, c’est dangereux dehors.
SORA : Un vaisseau Wraith est dans le coin.
LTD FORD : Les Wraiths ? Vous êtes sérieux ?
TEYLA : Nous devons prévenir nos amis.
SORA : Vous allez nous faire repérer. Non ! Il vaut mieux que tout le monde reste ici.
DANS UNE PIECE SOUTERRAINE
Cowen fouille dans l'équipement de McKay et Sheppard.
RODNEY : Non, faites bien attention avec ça... c’est très fragile et...
COWEN : Nous avons un problème.
SHEPPARD : Alors ça nous fait au moins une chose en commun.
COWEN : En temps normal, nous aurions, déjà dû vous tuer pour avoir découvert notre secret.
SHEPPARD : Et d’autre membre de mon équipe serait là pour enquêter sur notre disparition.
COWEN : Et nous leur dirions que les Wraith vous ont eut. Sans aucune preuve du contraire major, ils finiraient par nous croire.
SHEPPARD : Donc, vous disiez ?
COWEN : Vous détenez des technologies et des connaissances nouvelles pour nous. Votre explosif, le C4...
SHEPPARD : Ce n’est pas pour faire péter vos vieilles souches pourri.
COWEN : Nous avons le projet de l’utiliser à des fins plus sophistiquées.
SHEPPARD : Bon, ce que vous projeter de faire avec le C4, on s’en fiche éperdument. Nous ce qu’on veut, c’est de la nourriture. Que voulez vous qu’on dise sur votre petit secret... moi, je ne sais pas...
RODNEY : On dira quel bunker souterrain immense ?
COWEN : Il me faut plus que ça,
SHEPPARD : Nous pouvons peut-être vous donner, plus.
COWEN : Vous avez des armes plus puissantes que votre C4 ?
RODNEY : Vous rigolez ? Les armes c’est nous, oui ont n’a...
SHEPPARD : ça se pourrait.
COWEN : Et si, je souhaitais d’avantage, que des armes major ?
RODNEY : Vous ai-je dis que je savais quasiment tout sur, disons quasiment tout.
COWEN : Pour que Teyla Emmagan, vous ai rejoint, vous devez surement posséder bien plus...
SHEPPARD : Ecoutez, je m’aventure peut-être, mais nous sommes en quête d’aillés contre le Wraiths. C’est bien aussi votre cas ?
VILLAGE DES GENIIS
Dans l’auberge, Ford et Teyla essaye de négocier leur sortie.
LTD FORD : On veut seulement jeter un œil à l’extérieur.
SORA : Il n’en est pas question. C’est dangereux, c’est de la folie.
TEYLA : Nous ferons attention, ne vous en faites pas.
Tyrus reçoit un message de Cowen sur son communicateur.
COWEN : (A la radio) Tyrus, répond s’il te plait.
TYRUS : (A la radio) Je vous reçois.
COWEN : (A la radio) Amène-les.
TYRUS : (A la radio) Entendu. Donnez nous vos armes.
SORA : Nous ne vous ferons aucun mal.
LTD FORD : Vous êtes pleins de surprise.
Ils sont amenés dans la même pièce que Sheppard et McKay.
DANS LA PIECE SOUTERRAINE
LTD FORD : Vous avez loupé une cérémonie des moissons du tonner, major.
SHEPPARD : Ah oui, j’imagine. Oh, Teyla.
TEYLA : Je suis aussi surprise que vous, par tout ça major.
SHEPPARD : Je suis plus que surpris, je suis esbroufé.
COWEN : Teyla et les siens, ne nous connaissent qu’en tant que simple fermier, comme tous ceux de l’extérieur. Le secret de ce que nous sommes et faisons est la seule défense que nous ayons contre les Wraiths. Un jour viendra ou tout ceci changera.
RODNEY : Et vous croyez le faire avec une bombe atomique ?
COWEN : Alors là, c’est vous qui me surprenez.
RODNEY : La radioactivité, votre fascination pour le C4.
SHEPPARD : Et vous n’en parlez que maintenant ?
RODNEY : Je l’ai compris, quand il a dit qu’un jour tout ça changerait. Et je pari que vous pensez qu’avec notre C4, vous pourrez résoudre votre problème.
COWEN : Est-ce le cas ?
RODNEY : ça se pourrait. Ça dépend de sa fabrication et de pleins d’autre considération.
SHEPPARD : Vous savez comment fabriquer une bombe Atomique ?
RODNEY : Major, mon équipe de joueur d’échec à la Fac, pouvait vous en fabriqué une. Le problème aujourd’hui est d’avoir les matériaux fissiles suffisant au calibre approprié.
COWEN : Et nous les avons.
SHEPPARD : Vous les avez ?
COWEN : Il fut un temps ou les Geniis étaient une grande confédération des planètes. Les Wraiths nous ont conduits, il y a de cela des millénaires, au bord de la destruction total. Nos aïeux ont trouvés refuge dans des bunkers tels que celui-ci, créé à l’origine pour des guerres d’un autre temps. Et c’est dans ces lieux qu’un tout petit nombre de nos compatriotes est parvenu à survivre sans se faire repérer. Pendant de très nombreuses années, génération après génération, nous avons développé nos technologies et progressé ici en secret.
SHEPPARD : C’est histoire de faire fermier, n’est donc qu’une couverture.
TEYLA : Pour que les Wraiths ne soupçonne rien.
COWEN : C’est plus que ça. Nous avons de nombreuses bouches à nourrir ici bas. Je veux vous monter quelque chose, venez avec moi.
RODENY : Oh, hé, cet objet que vous avez jeté négligemment tout à l’heure, je peux le reprendre ?
Cowen lance le détecteur de vie à McKay.
COWEN : Venez. Vous, vous restez ici.( En s’adressant aux gardes)
L’équipe suit Cowen.
DANS UN COULOIR
COWEN : A ce niveau, nos militaires s’entrainent, tendis que nos scientifiques créent des armes de défense. Avec notre arme atomique, nous sommes convaincus de posséder enfin ce qu’il nous faut pour battre les Wraiths une fois pour toute.
RODNEY : Vous savez qu’une exposition à long terme à ses radiations, est très dangereuse.
COWEN : Et nos scientifiques m’ont certifié le contraire.
RODNEY : Oui, et bien, ils ont tords.
SHEPPARD : Sommes nous actuellement en danger ?
RODNEY : Ils fraudaient des jours et des semaines à ce niveau de radiation, mais je suppose que les Geniis pas du temps dans ce souterrain.
COWEN : Beaucoup de nos compatriotes y ont passé leur vie entière.
RODNEY : Leur courte vie, vous voulez dire. Pour nous ça ira, tant que nous n’envisageons pas de faire des enfants.
DANS UN LABORATOIRE
RODNEY : Ma fois, vous êtes sur la bonne pise. Mais nous avons 60 années d’avance sur vous. Si vous survivez, cet écran de protection est terriblement inadéquat. Quand à l’uranium. Combien en avez-vous ?
COWEN : Beaucoup plus.
RODNEY : Pas pour la fabrication d’arme.
COWEN : Nous avons eu des problèmes lors de nos essais de purification. La structure moléculaire du matériau indésirable est très similaire à celle du matériau désirable.
RODNEY : C’est la diffusion, il faut séparer l’uranium 235 du 238, en supprimant la barrière entre deux substances, la légère différence dans leur masse les fait se séparer à des degrés différents.
COWEN : Vous pourriez faire ça ?
RODNEY : Bien sûr que oui.
SHEPPARD : La vrai question pour l’instant, est de savoir si nous sommes alliés, ou toujours des prisonniers ?
DANS UNE GRANDE SALLE DU COMPLEX GENIIS
Les geniis fête leur nouvelle alliance avec l’équipe de Sheppard ;
COWEN : Rendons grâce à nos nouveaux amis.
TOUS ENSEMBLE : A nos nouveaux amis.
COWEN : Maintenant mangeons.
RODNEY : Vous croyez qu’il y du citron, là dedans ?
LTD FORD : Je suis sûr que c’est délicieux.
RODNEY : Vous savez ce qu’est une crise anaphylactique ?
LTD FORD : Mangez.
COWEN : J’espère qu’en partageant notre repas, nous pourrons nous faire pardonner notre comportement agressif.
SHEPPARD : Je pense que nous, nous entendrons bien.
COWEN : Quelle est la méthode que vos savants utilisent pour engendrer une réaction de fission dans vos prototypes ?
RODNEY : Ben en fait, il y a deux approches différentes, l’implosion et l’obus. Les deux conçus pour une masse super critique, ça va de soit.
SHEPPARD : ça va de soit.
RODNEY : Quelque se soit votre choix, il vous faut un taux d’uranium 235 enrichie, à peu prêt l’équivalent de la taille de mon poing, ou plutôt le siens, en fait.
COWEN : Nos rêves vont peut-être bientôt devenir réalité. Avec votre appui, avant la prochaine sélection, nous prévoyons de pulvériser les Wraiths pendant leur sommeil.
SHEPPARD : Quel est votre plan exactement ?
COWEN : Nous envisageons de profiter de leur excessive suffisance. C’est là qu’est leur faiblesse.
SHEPPARD : Leur excessive suffisance.
SORA : Entre chaque sélection, ils hibernent dans leur vaisseau mère, parfois pendant une période qui dure des siècles.
TYRUS : Ils y a toujours des Wraiths pour surveiller ceux qui hiberne, mais ils sont peu nombreux.
COWEN : Suffisamment peu pour être métrisé.
TYRUS : Nous, nous introduisons à bord de leur vaisseau avec nos armes.
TEYLA : C’est malheureusement impossible.
SHEPPARD : Teyla...
TEYLA : Major.
SHEPPARD : Nous devrions écoutez jusqu’au bout, avant de commencer à démoraliser ces gens.
TEYLA : Si nous devons nous unir, nous devons leur faire confiance, et ils doivent nous faire confiance également.
COWEN : Parlez, je vous pris.
TEYLA : Moi, et certains de mes compagnons, avons été capturés par les Wraiths. Il a fallut une véritable mission de sauvetage pour nous libérer. C’est grâce à eux que je suis encore de ce monde. Mais les conséquences de ce sauvetage...
TYRUS : Vous avez réveillés les autres.
SHEPPARD : Ils ont découverts qu’ils y avaient d’autre être humains dans la galaxie d’où nous venons.
SORA : Père, ils vont tous se réveiller.
SHEPPARD : Ecoutez, nous avons fait prisonnier l’un d’eux.
TYRUS : La prochaine sélection est prévue dans plusieurs décennies.
SHEPPARD : Il a dit qu’il n’était pas pressé, qu’il prendrait leur temps pour débarquer chez nous.
COWEN : Nous avions l’espoir de tester notre première arme atomique d’ici cinq ans, major. Avons-nous cinq ans d’après vous ? Est-ce qu’on les a ?
SHEPPARD : Non.
Cowen quitte la table mécontente et Sheppard se lance sur ses talons.
DANS LE COULOIR
SHEPPARD : Cowen !
COWEN : Ils risquent de détecter les radiations, nous devons fermer les réacteurs survivre à cette attaque et nous préparer à la prochaine.
SHEPPARD : Il y a un détail que vous oubliez.
COWEN : Nous pouvons nous cacher en bas.
SHEPPARD : Nous sommes du même coté.
COWEN : Hein, lorsque nous vous aurons extirpés tous les renseignements dont nous avons besoins, vous serez abandonnés à la surface. Vous serez les premiers dont les Wraiths s’abreuveront, vous pouvez me croire.
SHEPPARD : Je me suis battu contre un de leur vaisseau et j’ai gagné.
COWEN : J’ai vu vos armes major...
SHEPPARD : Je vous parle d’un vaisseau, qui vole à travers l’espace, équipés d’armes qui dépasse tout ce que vous avez pu voir. Tenez-vous vraiment à rejeter ce genre d’appui ?
COWEN : Je crois que vous essayez de sauver votre peau.
SHEPPARD : Oui, vous n’avez pas tord sur ce point. Et si nous travaillons ensemble, nous pourrons peut-être nous entraider. Vous et moi, nous voulons la même chose.
DANS LA GRANDE SALLE DU COMPLEX GENIIS
TYRUS : Nous avons commencé nos expériences, persuadé que les Wraiths n’apparaîtraient pas pendant des années, mais ils nous repérerons comme vous l’avez fait.
TEYLA : Si nous travaillons côte à côte...
SORA : N’en avez-vous pas déjà assez fait ?
RODNEY : On n’a pas encore commencé. Je peux tout programmer comme vous l’avez prévu.
TYRUS : De quelle façon ?
RODNEY : J’ai fabriqué une bombe atomique pour la kermesse des scientifiques des classes de CM2.
LTD FORD : On vous a laissé faire ça au Canada ?
RODNEY : Ce n’était pas un vrai modèle. Mais j’ai été questionné, six heures durant par la CIA qui me croyait membre d’une organisation préados, ce qui m’amené à mon premier job, je...
COWEN : Le major Sheppard, a réussi à me convaincre que nous pourrons cependant réussir.
TYRUS : Vous convaincre ?
COWEN : Si nous travaillons ensemble.
DANS UN LABORATOIRE
COWEN : Au court d’une sélection, il y a de cela de nombreuses générations, les Geniis furent en mesure d’abattre un Dart. Il y eut beaucoup de pertes humaines ce jour là. Malgré tout cette capacité de résistance aussi infime fut-elle, donna aux Geniis un semblant d’espoir.
TYRUS : Cette unité de stockage de données a été récupérée dans ce fameux Dart.
RODNEY : C’est comme la mémoire flash du Jumper.
TYRUS : Elle contient des renseignements sur le vaisseau ruche du quel nous l’avons prise.
COWEN : Tyrus et sa fille sont parvenu avec sucés à accéder à ces informations.
RODNEY : Comment ?
TYRUS : A travers cette interface.
RODNEY : Whaou... sans rire.
TYRUS : Nous croyons qu’ici, un vaisseau Wraith est toujours en hibernation.
RODNEY : Les Wraiths sont enclin à s’autodétruire, posséder un objet pareil est d’une extrême rareté. Avez-vous accédez à d’autres données ?
TYRUS : Oui, grâce à ce connecteur, nous pensons pouvoir pénétrer la mémoire central de leur vaisseau.
SHEPPARD : C’est donc là-dessus que vous basez votre objectif ?
RODNEY : En quoi, l’accès de leur système informatique pour vous aider ?
TYRUS : Avec ce dispositif de connexion, nous pouvons localiser tous les vaisseaux de l’ennemi.
SHEPPARD : Ainsi vous savez ou il faut lâcher vos bombes.
LTD FORD : ça a du sens.
SHEPPARD : En supposant, que le vaisseau que nous voyons soit toujours là.
TYRUS : Si les Wraiths prennent leur temps pour unir leur force, comme vous l’avez expliqué, il y est surement.
SHEPPARD : Ce vaisseau est plutôt éloigné de la porte des étoiles. L’approcher à pied sans se faire repéré, est impossible.
COWEN : Et c’est là que votre Jumper entre jeu, major Sheppard.
SHEPPARD : Je me suis toujours demandé quand j’interviendrais ?
D’ATLANTIS SALLE DE REUNION
DR WEIR : C’est non ! Qu’est ce que vous dites de ça ?
SHEPPARD : Que c’est piquant. Je vous l’accorde mais...
DR WEIR : Mais je suis sûr que vous avez déjà dis oui.
SHEPPARD : Parce qu’on aura autre chose en échange.
LTD FORD : Nous avons besoins d’alliés, madame.
DR WEIR : D’alliés ? Vous disiez qu’ils étaient prêts à vous pendre. Comment pouvez-vous leur faire confiance ?
SHEPPARD : Hé, je suis obligé de leur faire confiance, puisque nous sommes à leur merci. Pourquoi, croyez vous qu’ils aient insisté pour que McKay et Teyla reste, pas seulement pour les aider avec leur bombe. On a quelque chose qu’ils veulent et ils on quelque chose qu’on veut. Je croyais que la négociation, c’était ça justement.
DR WEIR : Oui, c’est de ça qu’il s’agit. Personnellement, j’aurais coupé court sur les armes nucléaires.
LTD FORD : Ils les fabriquaient de toute manière.
DR WEIR : Oh, s’ils les fabriquaient de toute manière. Pourquoi n’avez-vous pas réagit lieutenant ? Vous vous rendez compte qu’à l’origine vous y êtes allez pour de la nourriture !
SHEPPARD : On peut toujours en avoir je crois ?
LTD FORD : Aucune raison pour qu’ils refusent.
SHEPPARD : On n’a un peu oublié les vivres avec leur histoire de bombe atomique.
DR WEIR : J’aimerais au moins savoir si vous pourrez vous tirer d’affaire ?
SHEPPARD : Nous devrons être vigilent, bien sûr, mais je ne mettrais pas mon équipe en danger, si je n’en étais pas sûr.
DR WEIR : Bon, allez-y. Et ensuite, nous pourrons peut-être parler de la fabrication de bombe atomique.
DANS UN LABORATOIRE
RODNEY : L’empiècement sphérique dirige les forces explosives vers l’intérieur et l’implosion qui en résulte crée une extrême compression, c’est comme ça que la masse critique devient super critique.
COWEN : C’est ingénieux.
RODNEY : Je sais. Quand on pense que j’ai perdu le concours. Hum, enfin. L’adaptation de l’équipement et des ressources sera notre plus gros défit.
COWEN : Vous êtes destiné à devenir un héros parmi notre peuple, McKay.
RODNEY : J’en suis ravie.
COWEN : Si tentez que le major Sheppard, revienne avec le C4.
RODNEY : Je suis un homme mort.
SORA : Nous, nous sommes surpris les uns les autres.
TEYLA : Les Geniis ne sont absolument pas ce que je croyais.
SORA : Et vous, alors ? Je n’aurais jamais pensé que vous délaisseriez votre peuple.
TEYLA : Non, détrompez vous, je fais ça pour les miens. John Sheppard et ses amis, ont importé un nouvel espoir à nos étoiles. Ils ont des esprits d’explorateurs et des cœurs de guerriers et ils m’ont accepté. Mais quand je vois ce que vous êtes.
TYRUS : Combien de fête de la moisson vous ai-je fait endurées ?
TEYLA ; Vous ne m’y reprendrait plus, je peux vous le dire.
TYRUS : Vous nous avez respecté pour ce que nous étions, alors nous vous avons fait confiance.
TEYLA : Je suis triste que vous n’ayez pas eu suffisamment confiance pour partager votre secret.
TYRUS : Nous sommes comme ça.
SORA : Notre secret a été et demeure une question de survie. Nous sommes nés avec se secret et nous l’emporterons dans notre tombe.
TEYLA : Mais tout de même.
SORA : N’avons pas toujours été honnête avec vous ? Sachez que nous n’avons pas négocié avec autant d’indulgence avec d’autre.
TEYLA : Peut être que cette nouvelle alliance vous ouvrira enfin les yeux. Nous ne pouvons défier les Wraiths que si nous, nous unissons.
SORA : Et bien nous verrons si vos amis sont fidèles à leurs promesses.
Sora, Teyla et Tyrus, remonte à la surface, au même moment où le Jumper se désocculte juste avant l’atterrissage.
TEYLA : Et bien voilà. Vous voyez ?
Dans le complexe, tous se préparent à partir en mission.
SHEPPARD : Il faudra entrer et sortir le plus vite possible.
COWEN : Je n’ai pas cessé d’étudiez ces plans pendant toute ma vie.
SHEPPARD : Bon, nous suivrons vos directives, nous vous couvrirons pour entrer et pour télécharger.
LTD FORD : Et pour le plan de sorti ?
SHEPPARD : Le même que pour entrer, vous resterez prêt du Jumper.
LTD FORD : Bien, major.
SORA : Je devrais venir avec vous.
LTD FORD : Il y a des chances pour que ça se termine en fusillade.
COWEN : Sora est un tireur d’élite avisé, une combattante expérimentée, lieutenant Ford. Cependant, elle doit rester ici, pour continuer si nous ne revenons pas.
COWEN : Nous avons besoins du C4, que vous nous avez promis avant de poursuivre, major.
SHEPPARD : Et nous, nous avons besoins des infos appropriées d’abord, inutile de fabriquer un arsenal nucléaire, si nous ne pouvons pas l’utiliser.
COWEN : Ce sont vos conditions ?
SHEPPARD : Je suppose que vous comprenez.
COWEN : Oui, je comprends. Il semble que nous n’ayons pas d’autre choix que de nous faire confiance.
Sur la planète Wraiths, où l'orage fait rage, le Jumper franchit la Porte des étoiles et s’occulte.
DANS LE JUMPER
COWEN : Combien de vaisseau comme celui-là avez-vous ?
SHEPPARD : Que celui-là.
TEYLA : Regardez.
COWEN : Sont-ils réveillés ?
SHEPPARD : Je ne vois aucune activité. La dernière fois c’était pareil. Voilà on n’y est... attention, on prend la porte principale.
Le Jumper toujours occulté, se stationne dans le hangar aux Darts. L’équipe sort du Jumper armes à la main et se met en route pour l’exploration du vaisseau ruche.
SHEPPARD : Gardez le fort.
LTD FORD : A vos ordres. Bonne chance.
L'équipe progresse dans les couloirs toujours armes à la main. Ils arrivent dans une salle ou sont stocker des êtres humains.
RODNEY : Oh, quel horreur.
TEYLA : Ces gens ont été chrysalidés pour être manger plus tard. Certains sont peut-être encore en vie.
COWEN : Nous n’avons pas vraiment le temps pour ça.
SHEPPARD : Ces gens sont peut-être vos compatriotes, voyons. Teyla occupez vous d’eux, s’il vous plait, on se retrouve au vaisseau. McKay, vous venez avec moi.
TYRUS : Je vais rester avec elle. Tenez. (En donnant à Cowen l’unité de stockage Wraith) Rendez vous au vaisseau.
Le reste de l’équipe continu sa progressions au sain du vaisseau Wraith. Teyla et Tyrus, vérifient qu’il n’y pas de survivant. Cowen et Sheppard et McKay, explore l’autre partie.
COWEN : C’est ici. Et dans les plans que j’ai mémorisés il n’y avait aucun détail sur la façon d’ouvrir cette porte.
SHEPPARD : Si on l’explose ça risque de faire beaucoup trop de bruit.
RODNEY : Ok, il faut trouver un autre moyen. Voyons, cela.
Rodney sort de sa poche le détecteur des anciens et cherche les circuits.
RODNEY : Vous pouvez m’éclairer ?
Lorsqu’il les a trouvés, il découpe la paroi organique et trouve les connexions.
RODNEY : Magnifique.
GARDE MANGER DES WRAITHS
Teyla examine les victimes des Wraiths, lorsque soudain un survivant surgit devant elle et lui demande de l’aide.
LA VICTIME : S’il vous plait. Aidez-moi !
TEYLA : On va vous sortir de là. Mais qu’est ce que vous faites ?
TYRUS : On ne peut pas le libérer, on ne peut sauver personne.
TEYLA : Quoi ?
LA VICTIME : Aidez-moi, je vous en pris.
TEYLA : Vous le laisseriez mourir, ici ?
TYRUS : Les Wraiths, ne doivent jamais savoir que nous sommes venus dans leur vaisseau. Je vous ai dis non !
LA VICTIME : Je vous en supplie.
McKay travaille toujours à l'ouverture de la porte.
SHEPPARD : McKay, on n’a pas le temps...
RODNEY : Ecoutez, je ne sais même pas si ça va... fonctionner. Bingo.
La porte c’est enfin ouverte.
SHEPPARD : Très bien. Je vais couvrir vos arrières. Allez-y.
Cowen entre dans la pièce, suivi de McKay.
GARDE MANGER DES WRAITHS
TYRUS : Si vous libérez cet homme, les Wraiths le sauront !
TEYLA : Vous n’êtes vraiment pas celui que je croyais.
TYRUS : Ce vaisseau est le plus proche de notre monde, les Geniis seront les premiers à mourir s’il se réveille.
LA VICTIME : Aidez-moi !
TYRUS : Non ! Laissez le là où il est !
LA VICTIME : Nonnnn...
TYRUS : Silence !
Tyrus tire sur le survivant. Ce qui a alarmez le garde Wraith, qui tire deux coups de blaster sur Tyrus, entre temps Teyla s’est mit à l’abri et abat le Wraith.
TEYLA : (A la radio) Major, nous sommes repérés.
SHEPPARD : Il faut qu’on ce tire de là.
L’alarme a été déclenchée, les gardes Wraiths afflux de partout. Teyla rejoint le lieutenant Ford.
RODNEY : On n’a les données.
TEYLA : Des gardiens Wraiths. Vite ! Dépêchez vous, il y en a d’autre !
L’équipe remonte à bord du Jumper.
COWEN : Où est Tyrus ?
TEYLA : Il a été tué par un tire de blaster.
COWEN : Il est peut-être seulement paralysé.
TEYLA : Mais ils l’auront déjà vidé de sa force depuis.
Le Jumper essuie des tirs.
COWEN : Décollez ! Décollez !
SHEPPARD : Oui, ok, une seconde.
Cowen lance à Teyla un regard lourd de sens.
PLANETE DES GENIIS
Sora et deux gardes viennent à la rencontre de l'équipe qui vient d'atterrir.
SORA : Où est mon père ?
COWEN : Il n’a pas survécu.
SORA : Quoi ? Que s’est-il passé ?
COWEN : Nous allons le découvrir, Sora. Emparez vous d’eux !
Les Geniis armés sortent de leur cachette et encercle l’équipe de Sheppard.
SHEPPARD : Cowen, je croyais qu’on testait un terrain d’entente ?
COWEN : Elle a tué Tyrus
TEYLA : C’est faux.
COWEN : En le laissant mourir, c’est comme si vous l’aviez vous-même assassiné.
TEYLA : Il à tiré sur l’homme que j’essayais de sauver.
COWEN : C’était une erreur de tenter de sauvé qui que ce soit. Cela a mit cette mission en péril. Nous allons garder ces précieux renseignements.
SHEPPARD : C’est vous qui commettez une belle erreur.
COWEN : Votre vaisseau également, ainsi que les quantités de C4, que vous avez en votre possession.
TEYLA : C’était donc votre seul intention, vous servir de nous.
COWEN : Et pour vos efforts, j’épargnerais vos vies.
RODNEY : C’est très généreux à vous.
SHEPPARD : Je suppose qu’ont peut faire une croix sur vos fameux haricots ?
COWEN : Donnez-moi vos armes.
SHEPPARD : Non ! Je ne crois pas, non.
COWEN : Nous avons l’avantage, major.
SHEPPARD : Ah, oui.
TEYLA : C’est pour ça que votre père est mort ? Au nom d’un peuple qui dépouillerait et mentirait à ceux qu’ils osent appeler des alliés ?
SHEPPARD : Ben moi aussi j’ai menti. (A la radio) Jumper deux et trois exécution.
Apparaît alors deux Jumpers en vols.
SHEPPARD : Vous n’avez pas cru que c’était le seul Jumper que nous avions ? Je vous jure qu’il n’y aura pas blessé si vos gorilles s’en vont. Jumper deux, préparez vous à tirer à mon signal.
COWEN : Attendez ! Vous me promettez de vous en aller ?
SHEPPARD : Oui, c’est l’idée de base. Je suppose que c’est sur une autre planète que nous trouverons nos haricots magiques ? Mais, je trouve tout à fait juste qu’on ne s’en aille pas les mains vides.
COWEN : Vous ne voulez pas que nos peuples soit ennemis, j’en suis certain.
SHEPPARD : Je vais vous dire... vous non plus.
SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS
DR WEIR : Major, je crois que ça risque de vous intéresser.
PETER : Certains renseignements que nous avons téléchargés du stockeur de données étaient crypté, nous sommes encore dessus.
SHEPPARD : Oui, je savais que ce ne serait pas facile.
PETER : Nous avons établie l’existence de 21 vaisseaux ruches rien que dans le quart de la circonférence de la galaxie.
SHEPPARD : 21 vaisseaux ?
PETER : Toute porte à croire que d’autre ailleurs dans pégase.
SHEPPARD : Combien ? Beaucoup ?
PETER : Je ne peux pas le savoir avec certitude... peut-être bien 60 ou plus.
SHEPPARD : C’est tout une armada.
PETER : Certains semblent, comme en mouvement.
SHEPPARD : Vers notre planète ?
PETER : C’est justement ce qu’on cherche.
DR WEIR : Donc, même si nous avions aidé les Geniis à fabriquer des têtes nucléaires...
SHEPPARD : Nous aurions réussi qu’à détruire une poignée de vaisseaux ruches.
DR WEIR : Exactement.
PETER : Il y a trop de vaisseaux ennemis pour seulement envisager une attaque coordonnée.
DR WEIR : Le plan des Geniis, n’aurait pas marché, avec ou sans notre aide.
PETER : Je vais voir ce que je peux trouver d’autre.
DR WEIR : Merci, Peter. Vous serez surement heureux d’apprendre que le sergent Bates à pu négocier un petit arrangement pour vivres, pendant votre absence.
SHEPPARD : Oh, il a réussi ?
DR WEIR : Oui, en effet, mais ce n’est pas une compétition.
SHEPPARD : Qui sont les heureux commerçants ?
DR WEIR : Des négociants, il se font appeler, les Manarians. Je suis navré que vous n’ayez pu trouver les alliés que vous cherchiez, John.
SHEPPARD : On a obtenu des renseignement précieux, ce n’est pas si mal.
DR WEIR : Vous essayez de me convaincre que c’est une bonne nouvelle ?
SHEPPARD : Je préfère savoir contre quoi je me bats, quitte à choisir.
DR WEIR : 60 vaisseaux au moins, sinon plus.
SHEPPARD : En espérant qu’ils ne viendront pas tous en même temps.
FIN