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#112 : Duel

Le Docteur Rodney McKay, le Major John Sheppard, le Docteur Brendan Gall et le Docteur Abrams font une petite excursion dans l'espace en Jumper. McKay en profite pour prendre une leçon de pilotage par le Major car le calme semble régner. L'équipe est chargée de trouver un satellite découvert précédemment par le Docteur Ball, quand tout à coup ils tombent nez à nez avec une sorte de station Lantienne qui contiendrait une arme. Après l'avoir scannée, elle ne semble pas être utilisable avec le matériel qu'ils ont à bord du Puddle Jumper. Puis, le Docteur Abrams intercepte de petits signaux qui semblent venir de la surface de la planète qui est à proximité de cette station. Ces signaux proviennent d'un vaisseau Wraith, qui se serait écrasé sur la surface de la planète, il fut très certainement touché 10 000 années auparavant par l'arme de la station pendant la tentative d'invasion de la citée par les Wraith, en conclu l'équipage. Sheppard informe alors Weir de tout cela et ils se mettent en route pour inspecter le vaisseau. Sur la planète, et après avoir rendu le Jumper invisible, les quatre hommes se dirigent prudemment vers le vaisseau. Sheppard demande à McKay de vérifier s'il y a une présence autre que la leur dans les parages, mais leur instrument indique le contraire. Confiants, ils pénètrent alors dans le vaisseau. Sheppard et McKay partent tous deux d'un coté de l'engin, quant à Gall et Abrams ils prennent l'autre chemin. Une fois ces derniers arrivés près de ce qui pourrait bien être le poste de commande, un Wraith sortit de son état d'hibernation surgit, frappe l'un des deux hommes et se nourrit de l'autre. Affolés par les cris de leurs compagnons, Sheppard et McKay se mettent tous deux à la poursuite du Wraith…

Popularité


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Titre VO
The Defiant One

Titre VF
Duel

Première diffusion
28.01.2005

Première diffusion en France
17.06.2005

Plus de détails

Scénariste(s) : Peter DeLuise

Réalisateur(s) : Peter DeLuise

Guests : Richard Ian Cox (Dr. Brendan Gall), Paul Magel (Dr. Abrams), Joseph May (Sgt. Markham)

L’équipe d’Atlantis se trouve à bord du Jumper 1 dans l’espace. McKay est aux commandes. Deux scientifiques, Abrams et Gaul, sont avec l’équipe. Ils aperçoivent une structure bizarre dans l’espace. McKay pense que c’est une ligne de défense des Anciens. Gaul ne capte pas d’énergie provenant de l’appareil, mais Abrams capte un signal dans les ultra basses fréquences qui provient de la planète à proximité de laquelle ils se trouvent. C’est un signal de détresse de Wraith émis depuis plusieurs milliers d’années. L’équipe prévient Weir. McKay veut aller voir d’où vient le signal. Weir est réticente mais finit par accepter.

L’équipe atterrit sur la planète, le climat est désertique. L’équipe marche vers le vaisseau d’où provient le signal de détresse. En chemin, une petite lumière blanche, une sorte d’insecte, tourne autour des membres de l’équipe. Ils découvrent le vaisseau, celui-ci est en mauvais état et Sheppard ne reconnaît pas le genre de ce vaisseau. Ils aperçoivent un squelette à l’extérieur. McKay ne détecte aucune activité à l’intérieur du vaisseau, mais capte de faibles signaux électriques. Il pense que c’est lié à la balise de détresse.

A l’intérieur, ils découvrent un Wraith mort. Ils se rendent compte qu’il a servi de nourriture à quelqu’un et comprennent que les Wraith peuvent être cannibales. Gaul les appelle. Il a découvert des corps humains. L’équipe comprend que c’est un vaisseau de ravitaillement. Sheppard et McKay partent ensuite vers la salle de commandes chercher des informations.

Sur Atlantis, Weir demande à Ford de préparer une mission de sauvetage au cas où l’équipe rencontrerait des problèmes.

   

Dans le vaisseau Wraith, McKay a un doute. Il croit qu'aucun Wraith n’est vivant mais pense que c’est tout de même possible. Sheppard prévient alors les autres et leur demande de sortir du vaisseau mais la transmission est mauvaise. Gaul pense avoir vu quelque chose dans le couloir, il prévient Sheppard qui part le rejoindre. Un Wraith se trouve en fait derrière Gaul et Abrams. Il tue Abrams et assomme Gaul. Quelques instants plus tard, Sheppard découvre le corps de Abrams et essaie de prévenir Gaul. Il voit sur le scanner que celui-ci se déplace. Sheppard et McKay comprennent que c’est un Wraith qui a tué Abrams.
De son côté, le Wraith a chrysalidé Gaul, mais ce dernier est toujours conscient.

Sur Atlantis, Weir demande à Ford, Teyla et un autre militaire de partir rejoindre l’équipe.

Dans le vaisseau, Sheppard récupère des armes bizarres sur le Wraith mort qu'ils ont découvert. De son côté, le Wraith demande à Gaul de quel monde il vient et où se trouve son vaisseau, mais ce dernier refuse de répondre. Peu après, Sheppard retrouve Gaul. Il aperçoit sur le scanner que le Wraith est sorti du vaisseau. Gaul dit qu'il a avoué au Wraith où se trouve le Jumper. McKay répond qu'il ne pourra pas s’en servir car il n’a pas le gène des Anciens. Sheppard part le rattraper, il veut arriver au vaisseau avant le Wraith. McKay essaie de soigner Gaul car le Wraith a aspiré une partie de son énergie vitale et Gaul a vieilli.

De son côté, le Wraith a trouvé le Jumper. Avec la commande de Gaul, il fait apparaître le vaisseau et entre à l’intérieur mais il ne parvient à le faire fonctionner. A ce moment-là, Sheppard arrive à proximité du vaisseau.

   

De leur côté, Ford et Teyla sont partis avec le Jumper 2. Weir les prévient que cela fait six heures qu'ils n’ont pas de nouvelles de l’équipe.

Sur la planète, le Wraith fouille le Jumper. Sheppard fait une transmission au vaisseau afin que le Wraith l’entende. Il lui dit que toute son espèce est morte, puis il le provoque en duel. Le Wraith sort du vaisseau, Sheppard lui tire dessus et le Wraith tombe à terre. Sheppard s’approche doucement. Mais le Wraith n’est pas mort, il prend une arme et tire sur Sheppard qui est blessé à l’épaule. Ce dernier s’éloigne du vaisseau pour se soigner.

Dans le vaisseau Wraith, McKay et Gaul reçoivent une transmission de Sheppard qui les tient au courant de la situation. Sheppard sort alors une des armes qu'il a trouvées sur un des Wraith. Il parvient à l’activer et comprend que c’est une bombe.

Un peu plus tard, Sheppard prend une barre de céréales. Au moment où il l’ouvre, l’insecte lumineux s’approche. Sheppard lui donne un bout de sa barre et la lumière part. Mais de nombreuses autres reviennent pour en avoir aussi un morceau.

De son côté, le Wraith bricole dans le vaisseau. Sheppard allume alors un fumigène et tire deux coups de feu. Le Wraith sort du vaisseau et appuie sur une touche de la commande qui est à son poignet. Sheppard en profite pour s’approcher du vaisseau mais se heurte au bouclier que le Wraith venait d'activer.

   

Le Jumper 2 essaie d’établir un contact avec le Jumper 1. Ford les prévient qu'ils seront là dans une heure.

Sur la planète, le Wraith parle à l’attention de Sheppard. Celui-ci lui répond à travers un talkie-walkie posé sur le sol et dit au Wraith qu'il doit appuyer sur le bouton pour l’entendre. Le Wraith appuie sur le bouton ce qui provoque une forte explosion.

Au vaisseau Wraith, McKay a entendu l’explosion. Il pense que Sheppard a des problèmes. Gaul lui dit de l’abandonner et d’aller rejoindre Sheppard. Puis il se suicide.

Le Wraith est toujours vivant. On entend une transmission de Ford qui prévient qu'il sera là dans vingt minutes. Sheppard dit au Wraith que pour pouvoir piloter le Jumper, celui-ci a besoin de lui. Ils commencent alors un combat au corps à corps et le Wraith parvient à mettre Sheppard à terre. A ce moment-là, McKay arrive et tire sur le Wraith.

Le Jumper 2 est arrivé à proximité de la planète. Ford capte la position de l’équipe et prévient Sheppard. McKay, de son côté, n’a plus de munitions. Sheppard s’attaque alors au Wraith mais il est une nouvelle fois mis à terre. A ce moment-là, les insectes lumineux s’approchent du Wraith. Sheppard dit alors à Ford de repérer la plus grande source d’énergie et de tirer dessus. Le Jumper 2 tire et le Wraith meurt.
 

                                                                          STARGATE ATLANTIS
                                                                           Saison 1 épisode 12
                                                                                   SCRIPT VF
                                                                                    « DUEL »



DANS LE JUMPER

Revenant du compartiment arrière un scientifique de l'expédition Atlantis vient s'asseoir dans le siège situé derrière celui du copilote. Il s'essuie le front avec un mouchoir, il semble être mal à l'aise. Cette fois ci c’est Rodney qui pilote le Jumper et le major Sheppard est le copilote.

SHEPPARD : Allez-y doucement avec les commandes, Docteur.

RODNEY : Je maîtrise.

SHEPPARD : Vous allez finir par tout casser. Allez-y doucement.

RODNEY : Je veux voir ce que cette poupée a dans le ventre.

ABHRAMS : Vous avez dit « Poupée » ?

RODNEY : C’est une expression typique du jargon spatiale.

SHEPPARD : Essayez de piloter la poupée en ligne droite.

RODNEY : Je la pilote en ligne droite.


L’écran sur le Jumper lui prouve le contraire, effectivement Rodney pilote le Jumper en zig-zag.

SHEPPARD : Pas vraiment, non.

RODNEY : En fait...dans l’espace tout mouvement est relatif. Pas vrai ?

SHEPPARD : ça va docteur Gall ?

DR GALL : Je suis malade en navette.

SHEPPARD : Ces engins sont dotés d’inhibiteurs inertiels, vous ne devriez rien sentir.


DR GALL : Oui, mais savoir que l’on bouge, est suffisant pour moi.

SHEPPARD : (A voix basse) Pourquoi avez-vous choisi ce type pour la mission ?

RODNEY :
(A voix basse) Brendan à découvert le satellite du point de Lagrange. Elizabeth a pensé qu’il devait le voir par lui même.

SHEPPARD : Ne lâché pas les commandes !

RODNEY : Me crier dessus ne m’aidera pas.

SHEPPARD : C’est pour ça que les parents délèguent les cours de conduite de leurs gosses à quelqu’un d’autre.

RODNEY : Cette remarque me touche autant qu’elle m’insulte.

DR GALL : Oh, mais c’est quoi ça ?

Devant le Jumper un satellite flotte dans l'espace.

SHEPPARD : McKay.

RODNEY : Oui, bien sûr, je vous en prie.

Sheppard récupère sa place de pilote.

SHEPPARD : Je maintiens la position à 1000 mètres.

RODNEY : A 800 mètres il remplit le pare-brise. Ce truc est énorme.

DR GALL : Il est aussi large qu’un vaisseau mère Goa’uld , certainement la base d’armement la plus grande jamais construite.

RODNEY : Peut-être la dernière ligne de défense des Anciens avant Atlantis ?

SHEPPARD : Vous croyez qu’elle est encore opérationnelle ? Parce ce si c’est le cas ça pourrait nous servir.

ABRAMS : Est-ce que vous détectez des relevés énergétiques ?

DR GALL : Négatif.

SHEPPARD : Alors ce truc est HS ?

DR GALL : Il vaudrait mieux pousser l’analyse plus loin, mais ça en a l’air.

SHEPPARD : Il aurait été détruit dans le dernier combat des Anciens ?

RODNEY : Oui, ou la batterie est à plat, au bout de 10 milles ans ce serait normal. Nous devrions regarder de plus près.

ABRAMS : Attentez... attendez ! Je capte quelque chose dans les ultras basses fréquences.

SHEPPARD : ça vient d’où Abrams ?

Le lieu exact d'émission s'affiche sur l'écran du Jumper.

ABRAMS : De la planète.

RODNEY : C’est un signal de détresse. Un appel de Wraith.



         * * * * * * * * * * * * * * GÉNÉRIQUE STARGATE ATLANTIS * * * * * * * * * * * * *

Le Jumper est en vol stationnaire à proximité du satellite, l'équipe du Jumper à pris contact avec Elizabeth Weir pour l'informer de la découverte de ce signal.

DR WEIR : (A la radio) Un signal de détresse d’un Wraith ? Dans ce système solaire ?

RODNEY : (A la radio) Oui, célestement parlant il est à notre porte.

SHEPPARD :
(A la radio) On pense que le satellite des Anciens a abattu le vaisseau Wraith, lors du dernier combat, pour d’Atlantis.


SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS


DR WEIR : (A la radio) Et il émet encore un signal après des milliers d’années ?


JUMPER 1

RODNEY : (A la radio) Un signal très faible. Si une quelconque partie de ce vaisseau est intacte, alors les connaissances scientifiques et militaires qu’on pourrait en tirer seraient inestimables.


SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS

DR WEIR : (A la radio) Et donc, en d’autre terme...



JUMPER 1


RODNEY : (A la radio) Il nous faut aller y jeter un œil. (En s’adressant à Sheppard) Aider moi.


SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS


DR WEIR : (A la radio) Oh, il vous faut... ça vous a pris presque 15 heures pour aller là bas.


JUMPER 1

SHEPPARD : (A la radio) Raison de plus pour laquelle nous devrions aller voir, on est déjà là.

DR GALL : (A la radio) Je dois vous prévenir que l’atmosphère de la planète est extrêmement ionisée. Les communications radios pourraient-être difficiles.

DR WEIR : (A la radio) Il nous faudrait 15 bonnes heures pour vous envoyer une équipe de secours.

RODNEY :
(A la radio) Tout se passera bien.

DR WEIR :
(A la radio) Major ?

SHEPPARD : (A la radio)  Je suis d’accord avec McKay.


SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS

DR WEIR : (A la radio) Bien sûr que vous l’êtes. Pour vous l’envie d’aller explorer un vaisseau étranger est irrésistible.


JUMPER 1

SHEPPARD : (A la radio) Oui, irrésistible.

RODNEY : (A la radio) Notre intérêt est purement professionnel, Elizabeth.


SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS


SHEPPARD : (A la radio) Songez aux renseignements que l’on pourrait obtenir, sur leurs armes, leurs codes, leurs boucliers...

DR WEIR : (A la radio) Très bien. Procédez avec une extrême prudence et prenez contact avec la base dans trois heures.


JUMPER 1

RODNEY : (A la radio) Quoi dans trois heures ? Mais on aura à peine eu le temps...

SHEPPARD :
(A la radio) Entendu. Jumper 1 terminé.


SUR LA PLANETE

Le Jumper est à présent posé sur la planète dont le paysage est plutôt désertique, constitué de quelques dunes de sable presque dépourvues de végétation et parsemées de rochers.

RODNEY : « Les communications radio pourraient être difficiles »

DR GALL : ça va, elle à dit oui, que je sache.

RODNEY : Surement pas grâce à vous.

SHEPPARD : Bon, allez, bouclez là deux secondes, je viens de passer ses 15 dernières heures à vous écoutez, alors ça suffit. Est ce qu’on est prêt ? Attention, n’oublions pas où nous sommes garés.


Les quatre hommes avancent dans un chemin sableux garni d’herbes et de petits monticules fumants.

DR GALL : Pourquoi, n’avons-nous pas atterri à côté du vaisseau ?

SHEPPARD : Par précaution.

ABRAMS : Précaution contre quoi ? Ce vaisseau Wraith s’est écrasé il y a des milliers d’années.

SHEPPARD : Des défenses automatiques.

DR GALL : Je n’avais pas pensé à ça.

RODNEY : Ce n’est pas grave, on n’est pas tous fait pour enquêter sur le terrain.
(En s’adressant à John)  Sérieusement, on est encore loin, là ?

Soudain un petit insecte lumineux jaune sort de l’un des petits cratères et se met à tourner autour des visages en bourdonnant. Rodney McKay est peu rassuré et c'est bien sûr davantage autour de lui que s'attarde l'animal. Ils poursuivent leur route laissant l'insecte derrière eux.

ABRAMS : Oh, qu'est ce que c'est que ça ?

Le docteur Abrams, a sorti de sa poche le détecteur de vie, constate que l'animal émet une importante quantité de signes vitaux.


ABRAMS : Une espèce d’insecte.

SHEPPARD : Une bestiole spatiale.

ABRAMS : Cet insecte émet d’importants signes vitaux.

RODNEY : Euh... vous ai-je parlé de mon allergie aux piqûres de guêpes ?

SHEPPARD : C’est peut-être la nourriture qui les attire.

DR GALL : Ou bien peut-être l’odeur d’une jeune fille effarouchée.

SHEPPARD : Bon, laissons cet insecte tranquille, il finira par partir.

RODNEY : Hé, les gars...


Ils poursuivent leur route laissant l'insecte derrière eux. Ils arrivent enfin à proximité du vaisseau qui se révèle de très grande taille.

ABRAMS : Vous en avez déjà vu un comme ça ?

SHEPPARD : C’est trop petit pour être un vaisseau ruche.

RODNEY : Il est ici depuis longtemps ? Ils ont peut-être arrêté la production de ce modèle.

SHEPPARD : Possible oui. Mais quoi que ce soit il a prit un sacré choc.

DR GALL : Succès pour le satellite des Anciens.

SHEPPARD : Il y a encore des squelettes à l’extérieur, à croire que tout le monde n’est pas mort dans le crash. Y-a-t-il de l’activité ?

RODNEY : Je crois que l’on peut exclure cette idée.

SHEPPARD : C’est simple une précaution.

RODNEY : Parfait. Non, il n’y a que nous et la luciole. Rien qui vienne du vaisseau.

SHEPPARD : Bien, allons jeter un œil.


Ils s'approchent et trouvent une entrée dans la coque.

RODNEY : Je capte de faibles signaux électriques.

SHEPPARD : Il a bien fallut qu’un appareil alimente la balise de détresse.

Sheppard, McKay et le Dr Gall entrent, mais Abrams se montre hésitant.

DR GALL : Bon, alors vous venez ?

ABRAMS : Vaut peut-être mieux que l’un de nous reste à l’extérieur.

DR GALL : Ecoutez je sais ce que vous ressentez, mais combien d’opportunité de ce genre aurons nous ?


A l’intérieur du vaisseau Wraith il fait sombre, les quatre membres de l’expédition ont allumés les lampes torches. Tous parcourent le vaisseau prudemment. Le docteur Gall s’arrête et prend une autre direction.

ABRAMS : On dirait que ce type est assit là et qu’il est mort.

RODNEY : Il est remarquablement bien conservé.

SHEPPARD : Ou alors, c’était il n’y a pas si longtemps. Bon, Beckett va vouloir des prélèvements.

RODNEY : Est-ce qu’il est... ? Ouais. Ok.


Rodney, prélève des échantillons pour le docteur Beckett. Ils découvrent alors que le Wraith porte sur la poitrine la trace de la main d'un congénère qui s'est donc nourri de lui. Cela signifie que certains Wraiths ont survécu à l'accident et se sont livrés à une sorte de cannibalisme.


RODNEY : Qu’est ce que c’est... ?

SHEPPARD : Je vois, c’est différent.

RODNEY : Il donne dans le cannibalisme ?

SHEPPARD : ça m’en a tout l’air.

RODNEY : Les Wraiths s’entre dévorent ?

SHEPPARD : Sans doute en dernier recours.

ABRAMS : Certains ont dû vouloir survivre le plus longtemps possible.

RODNEY : En tout cas, c’est réellement perturbant.


SHEPPARD : Sans rire ? Entre nous, je commence à me demander, si...

DR GALL : Hé, venez voir.


Ils rejoignent le Dr Gall.


DR GALL : Il y a des corps, des corps humains.

SHEPPARD : Ils ont des pièces comme celle-ci dans les vaisseaux ruches. Je n’en avais jamais vu d’aussi immense.

DR GALL : A quoi servent-elles ?

RODNEY : Les Wraiths chrysalident les humains et maintiennent leurs corps dans une espèce de coma pour que plus tard ils les...

SHEPPARD : Je pense qu’on a deviné à quoi servait ce vaisseau.

RODNEY : Ouais, c’était pour le ravitaillement, pour nourrir les Wraiths pendant qu’ils assiégeaient Atlantis.

DR GALL : C’est terrifiant.

SHEPPARD : Gall, Abrams, regardez de prêt, mais soyez prudent.


DR GALL : Quoi ? Non, attendez !

ABRAMS : Où allez-vous ?

SHEPPARD : Trouvez la salle des commandes pour obtenir des renseignements utiles.

DR GALL : Alors, vous nous laisser seul ici ?

RODNEY : Où est le problème, ils sont tous mort.

DR GALL : C’est bien ça le problème.

SHEPPARD : Filmez les avec votre DV et effectuez un vrai décompte, nous resterons en contact radio.

DR GALL : Ce sera difficile cette partie du vaisseau est protégé par un bouclier.

SHEPPARD : Weir, ne nous a donné que quelques heures, on s’appellera toutes les cinq minutes.

RODNEY : Vous vouliez travailler sur le terrain ? Hé bien, vous voilà comblé.


Sheppard et McKay quittent Gall et Abrams.



BASE D’ATLANTIS BUREAU D’ELIZABETH

DR WEIR : Lieutenant, je souhaiterais que vous mettiez une équipe sur pied pour une mission de sauvetage.

LT FORD : Le major va bien ?

DR WEIR : Je suis sûr que ça va aller. Je veux qu’une équipe soit prête.

LT FORD : Pour le cas où ?

DR WEIR : C’est ça, pour le cas où, lieutenant.

LT FORD : Bien, madame.


DANS LE VAISSEAU WRAITH


RODNEY : Je ne capte rien du tout avec le spectrographe. Je vais peut-être avoir besoin d’installer une deuxième source électrique pour me connecter à leur système informatique.

SHEPPARD : Dites, je pensais à quelque chose.

RODNEY : Quoi ?

SHEPPARD : Pendant combien de temps les Wraiths peuvent-ils tenir avec tous ces corps humains ?

RODNEY : Ils sont capables d’hiberner des centaines d’années, mais bon, imaginez le topo : il y a dix mille ans, c’est à peine l’aube de la civilisation humaine.

SHEPPARD : Alors il n’y aucun risque.

RODNEY : Oh, non, vous rigolez ... enfin peut-être bien.

SHEPPARD : McKay !

RODNEY : Non ! Non, aucun être vivant ne peut survivre aussi longtemps dans ces conditions, c’est insensé.


SHEPPARD : Ok !

RODNEY : A moins d’avoir une incroyable source électrique capable de maintenir un stock d’humain dans le coma pendant tout le temps où ils hibernent.

SHEPPARD : Alors, c’est possible ?

RODNEY : Oh, bon sang. C’est possible. Il faut que l’on se tire de là.


SHEPPARD : (A la radio) Gall, Abrams, ici Sheppard.

DR GALL : (A la radio) Oh, major vous avez failli me faire mourir de trouille.

SHEPPARD : (A la radio) Vous allez certainement penser que je suis trop...prudent, mais je crois qu’on devrait...

ABRAMS : (A la radio) Qu’on devrait quoi ?

DR GALL : (A la radio) Major, je n’entends rien. Vous pouvez répéter, je vous prie ?

SHEPPARD : (A la radio) Faut-nous replier au point d’entrer et retourner immédiatement au Jumper.

DR GALL : Je crois qu’on s’en va.

Les deux scientifiques s'apprêtent à regagner la sortie, lorsque le Dr Gall perçoit dans le dos d'Abrams une ombre, un mouvement dans le couloir qu'ils devaient prendre pour rejoindre John et Rodney.

ABRAMS : Quoi ?

DR GALL : J’ai... j’ai vu quelque chose, derrière vous, dans le couloir, on ne peut pas aller par là. (A la radio) Major, j’ai vu quelque chose bouger.

SHEPPARD : Ok, restez où vous êtes, nous vous rejoignons.

ABRAMS : Compris ! Il n’y a rien Brendan... il n’y a rien du tout. Franchement vous me faites flipper.

DR GALL : Je vous dis que j’ai vu quelque chose.

ABRAMS : Baissez ce flingue !

DR GALL : J’ai vu quelque chose !

ABRAMS : Oh, Brendan...

Derrière le Dr Gall un wraith vient de descendre du plafond, il se retourne, pour être expédié au sol par le Wraith qui aussitôt abat sa main sur la poitrine d'Abrams. McKay et Sheppard qui couraient pour rejoindre leurs collègues entendent alors dans leurs récepteurs les hurlements d'Abrams dont le Wraith se nourris de sa force vital.

SHEPPARD : De ce côté.


Lorsqu’ils arrivent, le cadavre du jeune scientifique est adossé à la paroi. Plus loin le Wraith traîne derrière lui le corps du Dr Gall.

RODNEY : Il est mort.

SHEPPARD : Où est Gall ?

RODNEY : Je n’en sais rien.

SHEPPARD :
(A la radio) Gall, ici Sheppard. Répondez.

RODNEY : Il a surement dû l’emmener.

Le major Sheppard sort son détecteur de vie et suit le déplacement du Wraith.

SHEPPARD : Vous avez raison, il se déplace.


Sheppard récupère les armes d'Abrams et donne le 9 mm à McKay, puis ils se lancent à la poursuite de l'ennemi afin de tenter de sauver Brendan Gall.

RODNEY : Qu’est ce que vous faites ?

SHEPPARD : Je prends son arme et ses minutions. Tenez.

RODNEY : J’ai déjà un pistolet.

SHEPPARD : Maintenant ça fait deux.

RODNEY : Vous ne comptez pas poursuivre le Wraith ?

SHEPPARD : Non, j’ai plutôt l’intention de trouver Gall et de se tirer d’ici vite fait.

RODNEY : Je vous jure, qu’il n’y avait aucun signe de vie quand j’ai scanné les lieux.

SHEPPARD : Les Wraiths ne montrent aucun signe de vie quand ils hibernent. Bon allez, en route.


Le Wraith fouille les affaires du Dr Gall. Ce dernier se réveille enveloppé dans un cocon au travers duquel il peut découvrir le Wraith.

DR GALL : Pitié.


CITE D’ATLANTIS

LT FORD : Ils sont encore dans les temps pour appeler.

DR WEIR : Aucune importance. Appeler ça de l’intuition, de la paranoïa, ou tout simplement un exercice. Quoi qu’il en soit, allez-y maintenant.

TEYLA : On pourra toujours faire demi-tour, mais s’ils ont réellement des ennuies...

DR WEIR : Alors chaque minute compte, en effet. Ford, qui est le pilote ?

LT FORD : Markham.

DR WEIR : Bien, un entrainement ne lui fera pas de mal.

LT FORD : J’ai même ce qu’il faut au cas où il faudrait mener une petite guerre.

DR WEIR : J’espère bien que non.

LT FORD : Oui, madame. Allez c’est parti.



DANS LE VAISEAUX WRAITH

Dans le vaisseau, Sheppard, lui, se sent sérieusement sous-équipé, et récupère sur le cadavre d'un soldat Wraith des armes dont il ne sait comment elles fonctionnent.

RODNEY : C’est quoi ?

SHEPPARD : Je n’en sais rien. Mais je n’ai pas l’artillerie qu’il faudrait et il en faut pour tuer ses monstres. Je mets toutes les chances de notre côté.



DANS UNE AUTRE PARTIE DU VAISSEAU WRAITH

LE WRAITH : De quel monde venez-vous ?

DR GALL : Vous allez me tuer de toute manière.

LE WRAITH : Vous êtes venu jusqu’ici a bord d’un vaisseau... où est-il ?

DR GALL : Vous allez me tuer de toute manière.

LE WRAITH : Mais pas en une seule fois.


Le Wraith aspire quelques années de vie. Ses cris de douleur parviennent jusqu'à Sheppard et McKay qui accourent.


SHEPPARD : Ok. Restez derrière moi et ne tirez quand je vous le dirais.

Lorsque Sheppard et McKay arrivent, la poitrine du Dr Gall est marquée d'une grande tache sanglante. Le bruit des pas du major Sheppard et de McKay qui approchent font fuir le Wraith qui choisit de se cacher.


DR GALL : Je suis désolé.

SHEPPARD : Chut !

Sur le détecteur de signes de vie le point qui se déplace, correspond au Wraith qui s'éloigne rapidement du vaisseau. Sheppard commence alors à dégager le visage de Gall du matériau qui le couvre pour se rendre compte qu'il est à présent vieilli.


SHEPPARD : Il a quitté le vaisseau.

DR GALL : Il a tué Abrams.

SHEPPARD : On sait.

DR GALL : Tout est allé si vite. Il m’a vidé de mes forces.

RODNEY : Tout va bien se passer.

DR GALL : Il était entrain de prendre la vie. Je pouvais le sentir...

SHEPPARD : D’accord...ça va, ça va, ça va. Écoutez-moi ! Écoutez-moi ! Vous êtes toujours là. Vous pouvez bouger ?

DR GALL : Je ne sens rien en dessous de mes épaules.

RODNEY : Je pense que la paralysie n’est que temporaire, ce n’est qu’une question d’heure.

DR GALL : Je lui ai dit où nous avions posé le Jumper. Il a prit mon boitier de commande.

RODNEY : Il sera incapable de le piloter.


SHEPPARD : En sommes nous vraiment certain ?

RODNEY : Je pense que c’est justement à cause des Wraiths que la technologie des Anciens ne fonctionne qu’avec ceux qui portent le gène.

SHEPPARD : Quoi qu’il en soit, il aura toujours, nos armes, nos vivres et notre eau.

RODNEY : Qu’est ce que ça change ?

SHEPPARD : Et s’il se sert de notre radio subspacial pour avertir ses congénères ?

RODNEY : Il est capable de le faire, oui.

SHEPPARD : Pas si j’y suis avant lui.

RODNEY : Il a une longueur d’avance.

SHEPPARD : Je peux être très rapide.

RODNEY : Elizabeth, va envoyer un autre Jumper, il faut attendre...


SHEPPARD : Restez avec lui. S’il vous plait.

DR GALL : Non. Je vous en pris ne nous laissez pas.

RODNEY : Il fait qu’on reste ensemble, il a raison.

SHEPPARD : Il a tué Abrams.


RODNEY : sa mort m’attriste autant que vous, mais ce n’est pas parce qu’on a fait une erreur de jugement...

SHEPPARD : Entre nous, je n’ai pas vraiment le temps de parler de ça ! Branchez votre radio sur le canal 2, mais ne vous en servez que si je vous appel.

RODNEY : Major ! Major ! Faut pas vous en faire, ça va aller. Bon.

John Sheppard est parti à la poursuite du Wraith. Quand à McKay, il s’occupe du Dr Gall.

DR GALL : Aucun signe ?

RODNEY : Non. Heureusement il n’y a que celui là.

DR GALL : Vous n’allez pas me laisser mourir ?


RODNEY : Ne soyez pas ridicule.

DR GALL : Parce que ça jaserait.

RODNEY : Et pourquoi, ça jaserait ?

DR GALL : C’est évident. Vous avez peur que je vous fasse de l’ombre, par mon esprit, ma jeunesse. Combien d’année de ma vie m’a-t-il ôté ?

RODNEY : Tout va bien.

DR GALL : C’est bien ce qu’ils font, non ? Ils vous prennent des années de votre vie. J’ai l’air vieux, je pari ?

RODNEY : Plus âgé, oui.

DR GALL : Faites-moi voir.

RODNEY : Je ne vois pas à quoi ça vous avancera de le voir.


DR GALL : Rodney, faites moi voir.

Rodney sort alors de sa poche un miroir.

DR GALL : C’est monstrueux.

RODNEY : J’ignore comment ça marche Brendan, d’ailleurs personne ne le sait. Peut-être n’avez-vous pas vraiment vieilli, que c’est un leurre. Il est possible qu’en temps voulu ça aille mieux. L’important aujourd’hui, c’est que vous soyez en vie. Vous pouvez bouger ?

DR GALL : Je crois que je commence à avoir des picotements dans les extrémités.

RODNEY : Alors, c’est bon signe. Quoi ? J’essaie seulement de vous aider. C’est vous qui avez trouvé ce stupide satellite.


DR GALL : Aïe, ne me faites pas rire.

RODNEY : Ouais, vous ne devriez pas, c’est...c’est très mauvais.



SUR LA PLANÈTE

Le Wraith marche à grands pas en suivant les traces dans le sable que l'équipe de Sheppard a laissé en venant, et s'arrête à leur point d’origine. Il actionne alors la commande et le Jumper apparaît la porte grande ouverte. II entre et commence à vouloir faire voler le petit vaisseau, mais rien ne fonctionne, ce qui le rend furieux. Frustré il pousse long un cri de colère. Quand à Sheppard ce dernier s’est dissimulé derrière une dune. L’équipe du lieutenant Ford, est en route a bord d’un Jumper pour secourir l’équipe de Sheppard.



DANS LE JUMPER

DR WEIR :
(A la radio)  ça fait six heures et ils n’ont toujours pas prit contact.

LT FORD :
(A la radio) On a bien fait de partir alors.


SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS

DR WEIR : (A la radio) Soyez prudent lieutenant.


DANS LE JUMPER

LT FORD : (A la radio) Oui, madame.

DR WEIR : (A la radio) Gall a dit que le contact radio serait difficile à la surface, espérons que ce soit juste un problème de communication subspacial.

LT FORD : (A la radio) De toute façon nous sommes parés à tout affronter.


SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS

DR WEIR : (A la radio) Vous êtes de l’autre côté du système solaire. C’est à vous de jouer, lieutenant.

LT FORD :
(A la radio) Oui, madame, je le sais.


DANS LE VAISSEAU WRAITH

Dans le vaisseau Wraith, Rodney s’occupe de la blessure du Dr Gall.

SHEPPARD : (A la radio) McKay ?

RODNEY : (A la radio) On est toujours là.


SUR LA PLANÈTE

SHEPPARD : (A la radio)  Ce salopard est déjà à bord il m’a prit de vitesse.

RODNEY : (A la radio) Alors revenez ici.

SHEPPARD : (A la radio) Négatif.

RODNEY : (A la radio) ça ne sert à rien que vous soyez là bas.

SHEPPARD :
(A la radio) Il est à bord de mon Jumper.


DANS LE VAISSEAU WRAITH

RODNEY : (A la radio) Vous êtes qui ? Le capitaine Kirk ? A quoi ça sert franchement.


SUR LA PLANETE

SHEPPARD : (A la radio) Je n’en sais rien, il peut bidouiller l’appareil et le faire démarrer. Je ne veux pas prendre de risque. Avez-vous une idée de la longueur des journées sur cette planète ?

RODNEY :
(A la radio)  Non, pourquoi ?

SHEPPARD :
(A la radio)  J’ai la nette impression que les nuits sont plutôt froides. Température en dessous de zéro.


DANS LE VAISSEAU WRAITH

RODNEY : (A la radio) On est en retard de six heures. En supposant qu’ils ai attendus une heure avant de nous envoyer du secours...

SHEPPARD : (A la radio) Il y a des chances qu’il fasse nuit avant qu’un Jumper arrive. Si on s’amuse à les attendre, j’ai peur que le monstre qui rôde ici depuis dix mille ans ne l’emporte.

RODNEY
: (A la radio) Major, quelque chose ou quelqu’un capable de survivre aussi longtemps peut devenir un sérieux adversaire.


SUR LA PLANÈTE

SHEPPARD : (A la radio) Pas si je l’affronte en dehors de l’appareil. Il ne connait pas nos armes. Si tout va bien, alors je reviens vous récupérer à bord du Jumper.


DANS LE VAIISEAU WRAITH

RODNEY : (A la radio) Et au cas où ça tournerait mal ?

SHEPPARD :
(A la radio) Tout ira bien.

RODNEY : (A la radio) Entre nous, ça n’a pas vraiment été le cas jusqu'à maintenant.

SHEPPARD : (A la radio) Vous savez Rodney, avec assez de puissance de feu, ces types là finissent par mourir.

RODNEY : (A la radio) Oui, bien sûr à la longue...


SUR LA PLANETE

SHEPPARD : (A la radio) Essayez de rester positifs. Et le Docteur Gall, ça va ?


SUR LE VAISSEAU WRAITH

RODNEY : (A la radio) Il peut remuer ses doigts de pieds.


SUR LA PLANETE

SHEPPARD : (A la radio) Vous voyez comme quoi il y a du mieux.

Pendant la discussion le Wraith entreprend une fouille énergique du Jumper et trouve des armes de réserve qu'il délaisse.


SHEPPARD : (A la radio) Ici, le major John Sheppard. Vous saccagez mon vaisseau, rendez le moi.

LE WRAITH : (A la radio) C’est un vaisseau Lantien ?

SHEPPARD : (A la radio) Oui, c’est exact.

LE WRAITH : (A la radio) Les Lantiens étaient au bord de la défaite.

SHEPPARD : (A la radio) Vous n’étiez pas là à la fin. C’est vous qui avez perdu.

LE WRAITH : (A la radio) Impossible.

SHEPPARD : (A la radio) C’est la vérité. Vous êtes le dernier de votre espèce.

LE WRAITH : (A la radio) Leur cité était assiégée. Seul Atlantis restait à prendre. Notre victoire était inévitable.

SHEPPARD : (A la radio) Vous pouvez voir par vous-même que mon vaisseau est Lantien. Je suis la preuve vivante de notre survie, mais ce n’est pas le cas des vôtres. Aucun Wraith, n’a survécue. A part vous.

LE WRAITH : (A la radio) Ce que vous dites, ne peut être vrai.

SHEPPARD : (A la radio) Venez donc le vérifier par vous-même dans votre vaisseau, amenez vous je vous attends.

Le Wraith fait un pas sur la porte du Jumper qu'il est accueilli par une rafale de balles venant du P90 du major Sheppard et celui-ci s'écroule. Sheppard s’approche lentement du Jumper, l’œil sur son viseur. Les blessures du Wraith cicatrisent vite. Très lentement le Wraith attrape le 9 mm qu'il avait jeté au sol, puis se redresse et tire sur Sheppard qui réagit par une nouvelle rafale de balle, mais touché au bras le major se jette à l'abri derrière un petit rocher pendant que le Wraith vide son chargeur dans sa direction. Blessé le major Sheppard s’éloigne et se cache derrière une dune.

LE WRAITH : Vous ne pouvez pas espérez m’éliminer.

Il applique sur la blessure de son bras un bandage, puis informe Rodney de son état.


DANS LE VAISSEAU WRAITH

McKay masse une main de Gall pour en rétablir la mobilité, mais l'état général de celui-ci semble s'aggraver.

RODNEY : Alors qu’est ce que je vous disais.

DR GALL : Rodney, je ne me sens pas bien.

RODNEY : De l’eau, vous avez besoin d’eau.


SHEPPARD : (A la radio) McKay

RODNEY : (A la radio) Major, qu’est ce qui se passe ?

SHEPPARD :
(A la radio) Je vous tiens au courant. Match nul, au premier round.

RODNEY :
(A la radio) C’est mauvais ça.

SHEPPARD : (A la radio) Ouais, il y a eu beaucoup de balles perdues.

RODNEY : (A la radio) Vous êtes blessé ?

SHEPPARD : (A la radio) Oui, c’est ce que je voulais dire, par beaucoup de balles perdues. Ça va, la blessure n’est pas trop grave. Mais mon P90 est totalement HS. Il a trouvé un 9mm a bord et a vite deviné comment s’en servir.

RODNEY : (A la radio) Leurs blessures se résorbent vite.

SHEPPARD : (A la radio) Non, vous croyez ? Je lui ai tiré au moins vingt balles dans le corps, et un peu plus par sécurité. J’ai vu tomber des Wraiths et ils restaient à terre pour moins que ça. Celui-là est différent vous pouvez me croire.

RODNEY : (A la radio) Selon la théorie de Beckett, la capacité d’un Wraith à s’auto-guérir, est proportionnel à la nourriture récemment ingurgité et celui-là s’est nourri récemment.

SHEPPARD : (A la radio) Je crois que ça va beaucoup plus loin que ça. Est-ce que Gall peut bouger les doigts ?

RODNEY : (A la radio) A peine.

SHEPPARD : (A la radio) Collez-lui un flingue dans la main.

RODNEY : (A la radio) Major ?

SHEPPARD : (A la radio) C’est au cas où je ne reviendrais pas. Terminé.

RODNEY : C’est réconfortant. Allez, tenez, buvez. Buvez.


SUR LA PLANETE

Pendant l'échange radio, Sheppard a sorti l'une des armes Wraith récupérées dans le vaisseau, il la manipule, puis regarde les petites lampes s'allumer et qui se met à clignoter pendant qu'un sifflement se fait entendre, il réalise soudain qu'il s'agit d'une grenade et qu'il vient d’armer. Il a juste le temps de la jeter a plusieurs mètres avant qu'elle explose.

SHEPPARD : Quel imbécile.


DANS LE VAISSEAU WRAITH

RODNEY : (A la radio) Major, c’était quoi ça ?

SHEPPARD : (A la radio) J’ai presque failli me faire exploser.

RODNEY : (A la radio) Quoi ?

SHEPPARD : (A la radio) Ne squattez pas la fréquence, je suis occupé.

RODNEY :
(A la radio) Ok. Il est occupé.

DR GALL : Vous voulez y aller et l’aider je pari ?

RODNEY : Quoi, moi, aller défier un Wraith, vous rigolez.

DR GALL : Vous en avez envie, je le sens. Vous avez changé. Vous voulez vraiment le rejoindre.

RODNEY : Taisez-vous, je vous en prie.

DR GALL : Détrompez-vous, ça m’impressionne. Vous voulez vous battre. Le Rodney McKay que j’ai connu n’aurait...

RODNEY : On ne bouge pas de là, ce sont les ordres. Tenez ! Prenez cet arme, mais surtout ne tirez que quand je vous le dirais de le faire.

DR GALL : D’accord.



SUR LA PLANÈTE

Sheppard s'est à nouveau rapproché du Jumper et, constatant que le Wraith continue de mettre le bazar dans le Jumper. Il profite de ce petit moment de répit pour manger une barre nutritive. Aussitôt un petit insecte lumineux se met à tourner autour de lui.

SHEPPARD : Tu veux un morceau de ça ?

Sheppard accepte de lui donner une miette, qu’il dépose sur son genou, l’insecte s’en approche puis repart immédiatement et revient avec une dizaine de ses congénères.

SHEPPARD : Bon, allez dégagez ! Ça suffit !

Sheppard finit par jeter au loin un morceau pour avoir la paix. Sheppard reprend son observation pour découvrir que le Wraith a entrepris de bricoler les cristaux de contrôle du Jumper. Afin de le distraire de cette tâche susceptible d'endommager l'appareil, Il entreprend de mettre une fusée de détresse derrière une dune et tire deux coups de feu. Ce qui attire le Wraith qui en sortant du Jumper aperçoit la fumée de la fusée de détresse. Entre temps Sheppard est retourné en courant à son poste d’observation. Le Wraith sort du Jumper, actionne le bouclier de la navette. Quand à Sheppard il sort de sa cachette et se dirige en courant vers le Jumper, il se heurte alors au bouclier du Jumper. Sa tentative ayant échoué il retourne à son observatoire derrière la dune. Le Wraith trouve la fusée de détresse et se retourne avec un large sourire au Jumper.


DANS LE VAISSEAU WRAITH

McKay fait les 100 pas tiraillé par l’envie d’aller aider le major Sheppard et resté avec le Dr Gall.

RODNEY : Vous avez raison, je devrais y aller.

DR GALL : Je n'ai pas dis que vous devriez y aller, j’ai dis que vous en aviez envie.

RODNEY : Parce que je devrais l’aider.

DR GALL : Vous n’y êtes pas obligé. Mais il ne faut pas que je sois un frein pour vous. Si vous êtes convaincu de pouvoir aider le major en y allant.

RODNEY : Je ne peux pas vous laisser tout seul.

DR GALL : Si vous le pouvez. Quelle différence cela peut faire ? Vous et moi savons que je ne vais pas m’en sortir.

RODNEY : Ne soyez pas si dramatique. Vous êtes plus fort à chaque minute.

DR GALL : Je ne me suis jamais senti aussi faible.

RODNEY : Cessez de parler.

DR GALL : Je me sens mourir Rodney. Je vais mourir.

RODNEY : Arrêtez Brendan !


DR GALL : Je ne vais pas mieux au contraire. Le Wraith, m’a laissé juste assez de vie pour que vous me regardiez mourir.

RODNEY : Allons écoutez moi, tout ce qu’il nous faut, c’est prendre un bon repas, une tasse de thé, et arrêté de parler. Brendan ! Je suis désolé.

DR GALL : J’ai arrêté de parler ?

RODNEY : Non, j’ai cru que vous... toutes mes excuses. Reposez vous.



SUR LA PLANÈTE

Sheppard prépare une nouvelle offensive, il enfouit quelque chose près d'un rocher, puis se met à couvert en attendant que le Wraith revienne. Sheppard surveille ce que fait le Wraith en le regardant avec son couteau suisse, les bestioles reviennent.


SHEPPARD : Les filles allez vous en. Dégagez.


Le major Sheppard sort de sa poche une nouvelle barre énergétique et l’expédie au loin pour avoir la paix. Le Wraith s’approche de Sheppard, mais il change de direction étant attiré par les insectes lumineux.


DANS LE JUMPER

Le lieutenant Ford tente de joindre Sheppard mais en vain.

MARKHAM : On peut peut-être établir un contact radio maintenant.

LT FORD : Major, ici le lieutenant Ford. Répondez. Major on devrait être là dans une heure. S’il vous plait répondez.

TEYLA : Nous sommes peut-être encore trop loin.

MARKHAM : Ou alors il ne capte pas le signal.

LT FORD : Voyez si vous pouvez aller plus vite.



SUR LA PLANÈTE

LE WRAITH : Vous me prenez pour un imbécile, major Sheppard ? Vous n’avez aucun endroit où aller dans ce monde. Quand je me nourrirai de vous, je savourerai le goût de votre bravoure.

SHEPPARD : Hé, du genou ! Je suis là ! La radio par terre.

LE WRAITH : Les jours sont longs, sur cette planète, mais les nuits sont froides, et tôt ou tard, je vous aurai.

SHEPPARD : Je ne peux pas entendre vos menaces, si vous n’appuyez pas sur l’interrupteur de la radio.


Quand le Wraith ramasse l'appareil, ce qui déclenche la mise à feu de la grenade que Sheppard avait cachée juste en dessous. L'explosion projette le Wraith au sol où il reste étendu mais relativement intact. Sheppard jette un œil avec des jumelles.


DANS LE VAISSEAU WRAITH

Le bruit de l'explosion et le temps qui passe rend McKay de plus en plus nerveux et Gall voit bien qu'il n'acceptera pas de le laisser seul.

RODNEY : Vous avec entendu ?

DR GALL : Non.

RODNEY : J’ai cru entendre quelque chose. Il y en a peut-être un autre qui hiberne ?

DR GALL : Non.

RODNEY : ça fait trop longtemps. Je crois que le major a un problème, et s’il a un problème on a un problème.

DR GALL : Alors, allez-y.

RODNEY : Vous pouvez bouger ?

DR GALL : Inutile. Je ne peux aller nulle part.

RODNEY : D’accord, d’accord, d’accord je vois.

DR GALL : Allez-y, Rodney, allez le rejoindre. Tirez-le de là.


RODNEY : J’ai vraiment envie de le contacter. Mais s’il se cache, j’ai peur de dévoiler sa position, et puis quelle serait nos chances contre un Wraith si Sheppard ne peut le supprimer lui même. Je croyais que vous reprendriez assez de force... Oh, non.


Le Dr Gall, profite du fait que McKay lui tourne le dos, pour utiliser le 9mm pour mettre fin à ses jours. 


SUR LA PLANÈTE

Au très grand découragement de Sheppard, le Wraith se relève encore une fois.

SHEPPARD : Oh, non dites-moi que je rêve ! C’est une blague ?

LE WRAITH : Je me suis nourri de milliers d’être humains et de Lantiens et même des membres de notre vaisseau, je me nourrirai de vous avant la fin de cette journée.


Le Wraith se met à tirer sur le major Sheppard, ce dernier réplique en tirant sur son ennemi. La voix de Ford se fait alors entendre.

LT FORD : (A la radio) Major, ici le lieutenant Ford. Répondez.

SHEPPARD : (A la radio) Lieutenant vous tombez à pique. Ramenez vos fesses par ici.

LT FORD : (A la radio) Nous sommes encore à 20 minutes et à la vitesse maximum.

SHEPPARD : (A la radio) Alors dans ce cas votre timing craint. Venez ici dés que vous pourrez. Si vous prévoyez de quitter cette planète, vous avez besoin de moi. Je suis le seul à pouvoir piloter la navette.

LE WRAITH : Je me servirais de vos mains pour manipuler les commandes.

Le Wraith avance toujours et ils continuent d'échanger des coups de feu, jusqu’au moment où les armes des deux adversaires soient vide. Le major Sheppard empoigne son couteau, se lève pour affronter le Wraith. Il s’avance et d’un geste sûr et rapide, traverse la paume de la main droite du Wraith, en échange il reçoit un revers de la main gauche qui le jette à plusieurs mètres. Légèrement assommé, le Wraith se dirige vers le major Sheppard, soudainement le docteur McKay apparaît derrière le Wraith et lui tire dessus.


RODNEY : Major !

SHEPPARD : McKay !

RODNEY : Qu’est ce que je fais, maintenant ?

SHEPPARD : Envoyez-lui tout ce que vous avez !


Le Wraith se retourne et avant dans la direction de Rodney. Les balles tirées par McKay atteignent l’ennemi .Ce qui ne n’empêche pas ce dernier d’avancer. Le chargeur de Rodney est désormais vide. Il demande conseil au major Sheppard.

RODNEY : Et maintenant qu’est ce que je fais ?

SHEPPARD : Rechargez votre flingue !

Rodney s’exécute.

DANS LE JUMPER

TEYLA : Nous captons leur présence sur la planète.


LT FORD : Dirigez vous vers eux Markham. (A la radio) Major on capte votre position.

Sheppard sort une nouvelle barre énergétique qu’il ouvre, pendant ce temps McKay vide son chargeur du son 9mm sur le Wraith qui s’approche dangereusement de lui.

RODNEY : Je n’ai plus de munitions.

Sheppard se lève son arme vide à la main et sa barre nutritive et s’élance vers le Wraith et l’assène d’un coup de son arme derrière la tête et a déposé le barre énergétique dans la ceinture. Le Wraith se retourne et d'une puissante manchette réexpédie Sheppard dans les airs avant d'atterrir lourdement sur le sable. Les insectes lumineux étant attirés par la nourriture se précipitent sur le Wraith. Pendant que l’ennemi essaie d’attraper les bestioles lumineuses, le major Sheppard en profite pour donner un ordre au lieutenant Ford.

SHEPPARD : (A la radio) Ford, vous allez repérer le signe de vie le plus important et tirez dessus.

LT FORD : (A la radio) Négatif, major, vous êtes trop prêt !

SHEPPARD : (A la radio) C’est un ordre lieutenant ! Veuillez tirer !


DANS LE JUMPER

LT FORD : Feu sur ce point.

Le drone est envoyé sur les cordonné du Wraith.

SHEPPARD : McKay, courrez !

Le Wraith cherche d’où vient le sifflement qu’il entend, quelques secondes plus tard le drone le percute et explose. Lorsque la fumée se dissipe Sheppard vérifie que le Wraith est bien mort et s’assure que McKay va bien.

SHEPPARD : McKay ?

RODNEY : Toujours là.


LT FORD : (A la radio) Major, ici Ford. La cible à été éliminée.

SHEPPARD : (A la radio) Ouais, ouais, et bien ce n’est pas trop tôt, mon vieux.

TEYLA : (A la radio) On est venu aussi vite qu’on a pu, major.

SHEPPARD : (A la radio) Ce n’était pas un reproche. Merci.

LT FORD : (A la radio) Il n’y a pas de quoi, major. On est là dans une minute.

SHEPPARD : (A la radio) Nous pouvons attendre.

McKay rejoint le major Sheppard.

SHEPPARD : Merci.

RODNEY : Ouais, à vous aussi. Ça va ?

SHEPPARD : A part ça et quelques côtes fêlées, ça peut aller... où est passé Gall ?

RODNEY : Non.

SHEPPARD : Va falloir remettre un peu d’ordre dans le Jumper, si vous pouvez désactiver le bouclier, ça va de soit.

RODNEY : Parfait. Tant qu’on peut rentrer chez nous.

SHEPPARD : Je vous laisse les commandes.

RODNEY : Oh, c’est gentil, merci.


                                                                             FIN


SPACE. On board a Puddlejumper are Sheppard and McKay. Rodney is in the pilot’s chair and is flying the ship, while sits John alongside watching what he does. Behind them are two scientists, Doctor Brendan Gaul and Doctor Abrams.
SHEPPARD (to Rodney): Ease up on the controls a little.
McKAY: I’m fine.
SHEPPARD: You’re gonna snap the damn things off. Ease up!
McKAY: I’m just seeing what this baby can do.
ABRAMS: Did you just say “this baby”?!
McKAY: That’s perfectly appropriate space pilot parlance.
SHEPPARD: Try to fly the “baby” in a straight line.
McKAY: I am flying in a straight line.
(A screen appears superimposed over the windshield. It shows a straight line in comparison to the route that Rodney is flying, which is all over the place.)
SHEPPARD: Not so much.
(Behind John, Brendan Gaul is fanning himself with a piece of paper.)
McKAY: Well – in space all motion is relative.
(Brendan groans. John looks round and notices that he is looking distinctly queasy.)
SHEPPARD: Are you OK, Doctor Gaul?
GAUL: I-I get, uh, motion sickness.
SHEPPARD: These things have inertial dampeners. You shouldn’t feel a thing.
GAUL: Well, I-I-I know we’re moving. That’s enough for me.
(John turns round again and leans close to Rodney.)
SHEPPARD: Why’d you choose this guy for the mission?
McKAY (also leaning close): Brendan’s the one who discovered the Lagrange Point satellite was out here. Elizabeth felt he should, uh, see it for himself.
SHEPPARD (realising that Rodney has taken his hands off the controls): Don’t let go of the controls!
McKAY (putting his hands back on the controls): Snapping doesn’t help.
SHEPPARD: This is why parents get someone else to teach their kids how to drive.
McKAY: I am both insulted and touched by that.
(Brendan leans forward and stares out of the windshield in amazement.)
GAUL: Oh my God!
(A huge and very ornate-looking satellite is coming into view. The Puddlejumper is tiny in comparison.)
SHEPPARD: McKay ...
McKAY: Yes, yes, of course, please. (He relinquishes the controls and he and John swap places. John flies the Jumper closer to the satellite.)
SHEPPARD: Holding station at one thousand metres.
McKAY: Almost half a mile away and it’s filling the windshield. This thing is enormous.
GAUL: It’s as large as a Goa’uld mothership. This might be the single largest weapons platform ever constructed.
McKAY: Probably the Ancients’ last line of defence before Atlantis.
SHEPPARD: Any chance it’s still operational? Because that would be a very good thing.
(Brendan and Abrams go over to a couple of displays and check their readings.)
ABRAMS (to Brendan): You getting any energy readings?
GAUL: Negative.
SHEPPARD: So it’s dead.
GAUL: Well, it warrants closer scrutiny but ... yeah.
SHEPPARD: Knocked out during the Ancients’ last stand?
McKAY: Or its power source is depleted. Ten thousand years is a long time. We could still take a closer look.
ABRAMS: Wait, wait. I’m getting something in the ultra-low frequency range. (He puts the sound on speakers and everyone can hear a repeating pulse.)
SHEPPARD: Where’s it coming from?
(A screen comes up on the windshield showing where the sound is coming from.)
ABRAMS: The planet.
McKAY: A distress call. A Wraith distress call.


LATER. The Puddlejumper crew are reporting back by radio to Atlantis.
WEIR: Are you sure it’s Wraith? In this solar system?
McKAY: I know. Celestially speaking it’s right in our back yard.
SHEPPARD: We figure the Ancient satellite shot the Wraith ship down in the final battle for Atlantis.
WEIR: And it’s still putting out a signal after thousands of years?
McKAY: It’s a very weak signal. Look, if any part of that ship is intact, the wealth of scientific and military knowledge we could acquire is invaluable.
WEIR: So what are you saying?
McKAY: We have to go down and take a look.
WEIR (cynically): You have to. It took you almost fifteen hours to get there.
SHEPPARD: All the more reason we should have a look. We’re already here.
GAUL: I should mention that the planet’s atmosphere is extremely ionised. Radio communication could be difficult.
(Frantically, Rodney draws his hand across his throat to try to shut Brendan up.)
WEIR: And it would take at least fifteen hours to send out any sort of rescue.
McKAY: We’ll be fine.
WEIR: Major?
SHEPPARD: I agree with McKay.
WEIR: Of course you do! How could either of you resist exploring a crashed alien spaceship?!
SHEPPARD: Exactly.
McKAY: I assure you our interest is purely professional, Elizabeth.
SHEPPARD: Seriously, the amount of intel we could gather from their weapons system – codes, shields ...
WEIR: Alright. Proceed with extreme caution, please, and check in with me in three hours.
McKAY: Three hours is hardly enough time ...
SHEPPARD (interrupting him): Will do! Jumper One out.


PLANET. The Jumper has landed in a sunny, desert-like, area. Rodney is outside the Jumper putting sunscreen on his lips. The others are just coming out of the Jumper.
McKAY (mimicking Brendan): “Radio communication could be difficult.”
GAUL: Hey, she said yes, didn’t she?
McKAY: And no thanks to you.
SHEPPARD: Alright, knock it off, guys. I’ve spent the last fifteen hours listening to you two. (He starts to walk away from the Jumper, then realises nobody is following him. He stops and turns around.) Are we ready?! (They all start walking.) Alright, let’s remember where we parked.
(Behind them, the Jumper cloaks.)


LATER. The team is walking along. There is some scrub-like grass but it’s mostly sand and rock.
GAUL: Why didn’t we just land next to the ship?
SHEPPARD: Just a precaution.
ABRAMS: Precaution for what? The Wraith ship crashed thousands of years ago.
SHEPPARD: Automated defences.
GAUL: I never thought of that.
McKAY: Don’t worry, Brendan. We weren’t all built for fieldwork. (To Sheppard) Seriously, we’re almost there, right?
(A small glowing light appears out of a mound and flies around the men, emitting a high buzzing sound. [It looks and sounds like the bugs from the SG-1 episode “Prodigy”.])
McKAY (nervously): Oh, what’s that?
GAUL: Is it a bug?
SHEPPARD: A space bug.
ABRAMS (checking a lifesigns detector): It’s giving off a pretty strong lifesigns reading.
McKAY: Uh, OK, did I mention how allergic I was to bee stings?
SHEPPARD: Maybe he smells the food.
GAUL (grinning at the sight of Rodney flinching away from the bug): Maybe he’s just smelling the girlish fear. (He chuckles.)
SHEPPARD: Well let’s leave it be and it’ll leave us be.
McKAY (eyeing the bug nervously): Right. (He ducks around the bug and the team moves on.)


LATER. The team reaches the top of a hill and sees the crashed Wraith ship at the bottom.
ABRAMS: Have you seen one like this before?
SHEPPARD (looking at it through binoculars): It’s too small to be a hive ship.
McKAY: Well, it’s been here for a very long time. Maybe they’ve discontinued that model.
SHEPPARD: Maybe. Whatever it is, it took a hell of a hit.
GAUL: Score one for the Ancient satellite.
(John swings the binoculars around and sees several skeletons lying near the ship.)
SHEPPARD: There’s still some skeletons down there. I guess everyone didn’t die in the crash. You getting any lifesigns?
McKAY (folding his arms): I think we can rule that out.
SHEPPARD: It’s just a precaution.
McKAY: Fine. (He opens a pocket in his vest, takes out a lifesigns detector and looks at it.) No, it’s just us and the glowy bugs. Nothing coming from the ship.
SHEPPARD: Good. Let’s go take a look.


LATER. The team have reached the ship and have found an entrance.
McKAY: I’m picking up faint power readings.
SHEPPARD: Something had to be powering the distress beacon.
(The team starts to move into the ship, but Abrams hesitates nervously at the entrance.)
GAUL: Come on, Abrams!
ABRAMS: Maybe one of us should stay outside.
GAUL: Look, I know how you feel, but how many opportunities like this are we gonna get?
(They follow John and Rodney. As they work their way deeper into the ship, Brendan heads off in a different direction, unnoticed by the others. Shortly afterwards, John, Rodney and Abrams come across the mummified corpse of a Wraith sitting up against a wall, covered in cobwebs.)
SHEPPARD: This guy looks like he just lay there and died.
McKAY: It’s remarkably preserved.
SHEPPARD: Or it wasn’t that long ago. Alright, Beckett will want samples.
(John and Rodney crouch down by the Wraith. Rodney looks nervously at John, suddenly unsure that it’s dead.)
McKAY: It is, uh ...? (John shoots him a look.) Yeah. OK ... (As he brushes away some of the cobwebs over the corpse’s face, it becomes clear that the Wraith didn’t die naturally – it has the appearance of something which has been drained of its life energy.) What the ...?
SHEPPARD: OK, this is different.
McKAY: Wraith cannibalism?
SHEPPARD: Looks like it.
McKAY: They feed off each other?
SHEPPARD: Probably as a last resort.
ABRAMS: I guess some of them tried to survive as long as possible.
McKAY: OK, that is incredibly disturbing.
SHEPPARD: No kidding. You know, I wonder if there’s ...
(At that point, Brendan calls out to them from some distance away.)
GAUL: Guys!
(The others follow the sound of his voice and find him in a large chamber. There are capsules all around, similar to the ones seen on the Wraith mothership in “Underground”.)
GAUL: They’re bodies. Human bodies.
SHEPPARD: They have chambers like this on hive ships. I’ve never seen one so large before.
GAUL: I don’t understand.
McKAY: The Wraith cocoon humans. They keep their bodies in a sort of suspended animation, so later they can ... (He trails off, unwilling to say what happens next.) Yeah.
SHEPPARD: I think we just figured out what this ship is for.
McKAY: It’s a supply ship, probably on its way to feed the Wraith when they were laying siege to Atlantis.
GAUL: Well, that’s terrifying.
SHEPPARD: Gaul, Abrams, check it out, but be careful. (He turns towards the exit of the chamber.)
GAUL: What? No, wait!
ABRAMS: Where are you going?
SHEPPARD: Well, the ship’s gotta have a bridge. Maybe we can get some useful intel.
GAUL: So you’re just leaving us here?!
McKAY: What’s the problem? They’re all dead.
GAUL: That’s the problem!
SHEPPARD: Just get some [?D.V.?] and a rough head count. We’ll stay in radio contact.
GAUL: That could be difficult. This part of the ship seems really shielded.
SHEPPARD: Weir only gave us a few hours. We’ll check in every few minutes.
McKAY: You wanted fieldwork. This – (he gestures into the chamber) this is fieldwork. (He and John walk away.)


ATLANTIS. WEIR’S OFFICE. Aidan walks in, apparently summoned by Elizabeth.
WEIR: Lieutenant, I’d like you to put a team on standby for a rescue mission.
FORD: Is the major alright?
WEIR: I’m sure he’s just fine. I’d just like to have a team ready.
FORD: So, just in case?
WEIR: Yeah. Just in case.
FORD: Yes, ma’am.


PLANET. WRAITH SHIP. John and Rodney are making their way through the ship.
McKAY: I’m not picking up anything in the EM spectrum. I may need to rig up a secondary power source so we can interface with their computer systems.
SHEPPARD: I’m just thinking out loud here ...
McKAY: What?
SHEPPARD: How long do you think the Wraith could feed on all those humans back there?
McKAY: Well, they’re capable of hibernating for hundreds of years at a time. But if you think about it, ten thousand years ago? Roughly the dawn of human civilisation.
SHEPPARD: So there’s no chance that, uh ...
McKAY: No, no, no, no, no. Are you kidding? Well ... maybe.
SHEPPARD: McKay.
McKAY: No. No. No living thing could survive that long under those conditions. It’s ridiculous.
SHEPPARD: OK.
McKAY: It would require an incredible power source capable of sustaining those poor humans in suspended animation almost the entire time.
SHEPPARD: So it’s possible.
McKAY: Oh my God, it is possible! (He shines his torch around nervously.) We’ve gotta get out of here.


STORAGE CHAMBER. Sheppard contacts the scientists over the radio, making Brendan jump.
SHEPPARD (over radio): Gaul, Abrams, this is Sheppard.
GAUL (into radio): Major, are you trying to scare me to death?
SHEPPARD (over radio): I’m sorry if we’re being a little over-cautious but, uh ...
(His signal starts to break up and whatever he says next is almost completely obscured in a storm of static.)
ABRAMS (listening nearby): We need to what?
GAUL (into radio): Major, say again. Your radio’s breaking up.
(We switch briefly to John so that we can hear what he’s saying.)
SHEPPARD: Let’s fall back to our point of ingress. We’re headed back to the Jumper.
(In the Storage Chamber.)
GAUL (to Abrams): I think we’re getting out of here.
(Something flits across the space behind Abrams.)
GAUL (pointing panic-stricken): I just saw something in the corridor behind you. We can’t go that way. (Into radio) Major, I just saw something.
SHEPPARD: Alright, stay put. We’re coming back to you.
ABRAMS (into radio): Understood. (He checks his lifesigns detector, then turns to Brendan.) There’s nothing out here. Brendan, you’re just freaking out on me.
GAUL: I’m telling you, I saw something. (He has got his pistol out and is pointing it in Abrams’ direction.)
ABRAMS: Put that thing away. You’re gonna kill someone.
GAUL: I know what I saw!
(Something drops from the ceiling behind Brendan.)
ABRAMS (staring in horror over Brendan’s shoulder): Oh my God!
(Brendan turns to find a Wraith standing up behind him. It backhands him hard, knocking him to the ground, then steps forward and slams its open palm onto Abrams’ chest. He screams. Nearby, John and Rodney hear the sound. Abrams’ scream fades as the Wraith snarls in pleasure.)
SHEPPARD: This way.
(They run into the Storage Chamber and find Abrams on the ground. He is ancient and withered and clearly dead. There’s no sign of Brendan.)
(Elsewhere, the Wraith is dragging Brendan along behind it.)
(In the Storage Chamber, Rodney has checked Abrams’ pulse, just in case.)
McKAY: He is dead.
SHEPPARD: Where’s Gaul?
McKAY: I don’t know.
SHEPPARD (into radio): Gaul, this is Sheppard. Come in.
(There’s no reply.)
McKAY: It must have taken him.
(John looks at his lifesigns detector and sees two moving blips.)
SHEPPARD: You’re right. They’re on the move. (He bends down to Abrams and starts removing equipment from him.)
McKAY: What are you doing?
SHEPPARD: Taking his weapons and his ammo. Here. (He hands Abrams’ pistol to Rodney.)
McKAY: I already have a gun.
SHEPPARD: Now you have two.
McKAY: You’re not planning on going after the Wraith?
SHEPPARD: I’m planning on going after Gaul, then I plan on getting the hell out of here.
McKAY: I swear there was nothing alive when I scanned for lifesigns.
SHEPPARD: They don’t show up as lifesigns when they’re hibernating. OK, let’s go.


LATER. Elsewhere on the ship, the Wraith is rummaging through Brendan’s pack. Nearby, Brendan is sitting on the floor, covered in Wraith cocooning. He regains consciousness, stares up in terror at the Wraith and starts to hyperventilate.
GAUL (quietly, terrified): Please!
(The Wraith hears him, looks round, and starts to walk towards him.)


ATLANTIS. Aidan and Teyla have geared up ready for departure. A marine, also in gear, comes to join them as they talk with Elizabeth.
FORD: They’re not even overdue yet.
WEIR: It doesn’t matter. Call it intuition, paranoia, or we can just call it a drill. Either way I want you to go now.
TEYLA: We can always be called back, but if they are in trouble ...
WEIR: ... every moment counts, exactly. Ford, who’s your pilot?
FORD: Marco.
WEIR: Good. He could use some piloting practice.
FORD: And I’ve packed enough ordnance to fight a small war.
WEIR: Let’s hope you don’t have to.
FORD: Yes, ma’am. (To his team) Let’s move out.


PLANET. WRAITH SHIP. John goes over to the dead Wraith they found earlier and rummages through its clothing. He finds a small oval-shaped object.
McKAY: What’s that?
SHEPPARD (pocketing the device): I don’t know, but I don’t have the ordnance I should have. It takes a lot to kill these guys – I’ll take any edge I can get. (He finds a second similar device on the Wraith and pockets that too.)


CHAMBER. The Wraith bends down over Brendan.
WRAITH: What world are you from?
GAUL (terrified, whimpering): You’re gonna kill me anyway.
WRAITH: You have come here by ship. Where is it?
GAUL: You’re gonna kill me anyway.
WRAITH (smiling unpleasantly): But not all at once. (It slams its open palm onto Brendan’s chest. Brendan screams. Elsewhere on the ship, John and Rodney hear the sound.)
SHEPPARD: OK. Stay behind me. Shoot only when I tell you to shoot.
(They head towards the sound. In the chamber, the Wraith has released Brendan and stands up again, smiling and looking invigorated. On the floor behind it, Brendan whimpers quietly. The Wraith hears John and Rodney coming and leaps up into the ceiling. John and Rodney run into the chamber and stop at the sight of Brendan, whimpering tearfully and with a large gash in the cocoon over his chest. John runs over and squats down in front of him.)
GAUL: I’m sorry. I didn’t ...
(John checks his lifesigns detector and sees a single signal moving away from the three dots that signify John and his team.)
SHEPPARD: He’s left the ship. (He starts to pull the cocoon webbing off Brendan.)
GAUL (gasping in pain and terror): It killed Abrams.
SHEPPARD: We know.
GAUL: It was so fast. It fed off me.
McKAY: You’re gonna be alright.
GAUL: It was taking my life. I could feel it. I could feel it!
SHEPPARD: Alright, alright, alright. Listen to me. Listen to me. You’re still here. Can you move?
GAUL (gasping, sobbing): Nothing below my shoulders.
McKAY: I’m sure the paralysis is just temporary. You’ll be alright in a few hours.
GAUL: I told – I told him where we left the Jumper. He took my remote.
McKAY: He won’t be able to fly it.
SHEPPARD: Do we know that for a fact?
McKAY: I’m sure the Wraith were the main reason the Ancient technology only works if the operator has the specific gene.
SHEPPARD: Either way, he’s still gonna have all of our weapons, food and water.
McKAY: Who cares?
SHEPPARD: What if he can use our subspace radio to signal his friends?
McKAY: He might be able to do that.
SHEPPARD: Not if I can get there first.
McKAY: He’s got a head start.
SHEPPARD: I can be pretty fast.
McKAY: Elizabeth will send another Jumper. We just need to wait longer.
SHEPPARD (indicating Brendan): Stay with him.
GAUL: No – please don’t leave us.
McKAY: He’s right – we should stick together.
SHEPPARD: He killed Abrams.
McKAY (starting to get angry): And I’m as sorry about that as you are, but just because we both made an error in judgement ...
SHEPPARD (shouting): I don’t have time to argue about this! (More quietly) Now set your radio to Channel Two but don’t use it til you hear from me. (He runs off.)
McKAY: Major! Major! (Unable to get John to come back, he turns to Brendan.) It’s fine. Just ... (He trails off.)


PLANET SURFACE. John is running towards the Jumper.


WRAITH SHIP. CHAMBER. Rodney is pulling the webbing off Brendan. He pauses and looks down at his hands, moving his fingers with a little difficulty. The webbing is apparently making his fingers go numb. We get our first good look at Brendan since the Wraith’s attack. He looks much older than he did previously. Before the attack he was in his early thirties but now he looks closer to sixty. His hair is grey and his face is wrinkled. Rodney stares at him for a moment, then tries to hide his shock by picking up his lifesigns detector and checking it.

GAUL: Anything?
McKAY: No. Hopefully there was just the one.
GAUL: You’re not gonna let me die out here, are you?
McKAY: No. Don’t be ridiculous. (He starts to tend to Brendan’s chest wound.)
GAUL: You know, ‘cos people would talk.
McKAY: Why would they do that?
GAUL (joking): It’s obvious. You’re afraid I’ll outshine you – my mind, my youth ... (More seriously) How much of my life did he take?
McKAY: You look fine.
GAUL: ‘Cos that’s what they do, isn’t it? They take years off your life. I look old, don’t I?
McKAY: You look older, yes.
GAUL: Show me.
McKAY: There’s no point in doing this – you ...
GAUL: Rodney. Show me.
(Reluctantly, Rodney opens his pack and gets out a mirror. He holds it up so that Brendan can see himself.)
GAUL (staring at himself aghast): Oh my God!
McKAY (lowering the mirror): I don’t know how it works, Brendan. I don’t think anybody does. Maybe you haven’t really aged. Maybe it doesn’t work that way. Look, it’s possible that, in time, you could get better. I mean, the important thing is that you’re still alive. Can you move yet?
GAUL: I think I’m starting to get some feeling back in my extremities.
McKAY: Well, there’s something. (Off Brendan’s look.) What? I’m just trying to help here. You’re the one that had to find the stupid satellite.
(Brendan starts to chuckle but then groans in pain.)
GAUL: Ah! Don’t make me laugh.
McKAY: Yeah. You shouldn’t laugh, because that’s ... not so good.


SURFACE. The Wraith is following the team’s footprints through the sand. It arrives at a place where the footprints stop and presses the remote to bring the Jumper out of its cloak. The back is open and it walks inside. It touches a few controls on the console between the two front seats, then sits down in the pilot’s seat and tries some more controls but none of them work. It stands up, furious, and roars in anger. Nearby, John hears the sound and takes cover behind an outcrop several metres away.


PUDDLEJUMPER TWO. The Jumper is flying through space. Aidan and Elizabeth are talking over the radio.

WEIR: It’s been six hours – they still haven’t checked in.
FORD: Good thing we left when we did.
WEIR: Be careful, Lieutenant.
FORD: Yes, ma’am.
WEIR: Gaul said something about radio being a problem on the surface, so hopefully the Jumper’s subspace communications are just down.
FORD: We’re prepared to do whatever we need to do.
WEIR: You’re on the other side of the solar system, Lieutenant. It’s gonna be your call.
FORD: Yes, ma’am, it is.


PLANET. WRAITH SHIP. CHAMBER. Rodney has finished bandaging Brendan’s chest wound. John radios in.
SHEPPARD (over radio): McKay.
McKAY (into radio): Still here.
(John is still sheltering behind the outcrop.)
SHEPPARD: The son of a bitch beat me to it. He’s fast.
McKAY: I think you should get back here.
SHEPPARD: Negative.
McKAY: There’s no point in you being out there.
SHEPPARD: He’s aboard my ship.
McKAY: What are you, Captain Kirk?! What good’s it gonna do him?
SHEPPARD: I don’t know. Maybe he can hotwire the damn thing – I don’t wanna take a chance. (He looks down into a small sheltered crevice and sees something white in there. Reaching down, he picks some of it up and realises that it’s ice.) D’you have any idea how long the days are on this planet?
McKAY: No, why?
SHEPPARD: ‘Cos I got a feeling the nights are pretty damn cold. Sub-zero cold.
McKAY: We’re six hours overdue. Assuming they waited an hour before sending a rescue mission ...
SHEPPARD: There’s a very good chance it’s gonna be dark before another Jumper can get here. If we play the waiting game, the guy who’s been around for ten thousand years is gonna win.
McKAY: Major, anyone or anything capable of surviving that long is gonna be a serious adversary.
SHEPPARD: Well, not if I get him out in the open. He won’t know about our weapons. If all goes well, I’ll fly the Jumper back and pick you up.
McKAY: And if all doesn’t go well ...
SHEPPARD: It will.
McKAY: Well, things haven’t gone all that well thus far.
SHEPPARD: You know, Rodney, these guys do die if you have enough fire power.
McKAY: Eventually, yes, but ...
SHEPPARD: Try and stay positive. How’s Gaul feeling?
McKAY: He can move his toes.
SHEPPARD: See? Things are looking up.


PUDDLEJUMPER ONE. The Wraith is ransacking the ship, looking for something it can use. John speaks over his radio to it.
SHEPPARD: This is Major John Sheppard. That’s my ship you’re messing with. I’d like it back.
WRAITH: This ship is Atlantean.
SHEPPARD: Yes, it is.
WRAITH: The Atlanteans are on the verge of defeat.
SHEPPARD: Oh, you weren’t around for the end of the war. Your side lost.
WRAITH: Impossible.
SHEPPARD: It’s true. You’re the last of your kind.
WRAITH: Their city was under siege. Atlantis was all that remained. Victory was inevitable.
SHEPPARD: You can see for yourself: my ship is Atlantean. I’m living proof we’re still around, but the Wraith are all gone. No-one’s left but you.
WRAITH: What you say cannot be true.
SHEPPARD: Why don’t you come down to your own ship and see for yourself? I’ll be waiting for you. (He raises his P90 and takes aim.)
(As soon as the Wraith reaches the rear of the ship, it is met by a hail of bullets from John’s P90. The Wraith falls onto the ramp. John comes out of cover and walks cautiously towards the Wraith, unable to see that its wounds are already healing themselves and that the Wraith has opened its eyes again but it’s deliberately not moving yet. John walks closer and fires two more bullets into the Wraith. It jerks from the impact but otherwise doesn’t move. The Wraith turns its head a little and sees a pistol within easy reach. It grabs it, sits up and fires at John who returns fire but is hit in the arm and falls to the ground. He gets up and runs for cover, diving behind a large rock, where he then realises that his P90 is damaged and won’t fire. The Wraith continues to fire the pistol until it’s empty, then gets up and heads back into the Jumper as John gets up and runs for better cover. The Wraith grabs another pistol and turns to aim it at where John last was, but there’s no sign of him. John has made it to the nearest hilltop and throws himself over the top of it, rolling down the dune on the other side. He gets up and runs to better cover, then checks his P90 again but it’s useless.)
SHEPPARD: Damn!
(He throws the gun down and takes a bandage out of one of the pockets in his vest. He starts to wrap it around his injured arm.)
(Back at the Jumper, the Wraith calls out.)
WRAITH: You cannot hope to defeat me!
(John throws a dirty look in the direction of the sound. At the Jumper, the Wraith has been weakened by the bullets that John pumped into it. It leans against the bulkhead of the ship for a moment, gathering its strength, then moves back inside the ship.)


WRAITH SHIP. CHAMBER. Rodney is massaging the fingers of one of Brendan’s hands. After a moment, Brendan straightens his fingers, then flexes them a little.
McKAY: Yeah, what did I tell you, huh? (He starts to massage the fingers again.)
GAUL: Rodney. It’s OK.
McKAY: Water. You probably need some water. (He unscrews the top of his canteen and has just tilted it to Brendan’s mouth when John radios in, making Rodney jump.)
SHEPPARD (over radio): McKay.
McKAY (into radio): Major! What’s happening?
SHEPPARD: I thought you should know – round one was a draw.
McKAY: I don’t like the sound of that.
(Out in the dunes, John is just finishing bandaging his arm.)
SHEPPARD: Me neither. I took some fire.
McKAY: Are you injured?
SHEPPARD: Yeah, that’s what I mean by “I took some fire”. But I don’t think it’s too bad. (He checks and loads his pistol.) My P90’s out of commission. He found a 9 mil in the Jumper – figured out how to use it pretty fast.
McKAY: Well, the Wraith will heal itself.
SHEPPARD: Yeah, no kidding. I put at least twenty shots into him and a couple more for good measure. I’ve seen Wraith go down and stay down with far less. This guy’s different somehow.
McKAY: Doctor Beckett has theorised that the Wraith’s ability to heal itself is directly proportional to how recently the Wraith has fed. (He glances at Brendan.) And he’s ... fed pretty recently.
SHEPPARD: I think there’s gotta be more to it than that. Can Gaul move his fingers yet?
McKAY: Barely.
SHEPPARD: Alright, then stick a gun in his hand.
McKAY: Major?
SHEPPARD: Just in case I don’t make it back. Sheppard out.
McKAY (to Brendan): That’s comforting, huh? Right – water. (He resumes putting his canteen to Brendan’s lips.)


SURFACE. John gets out one of the oval devices that he took off the dead Wraith and experiments with it. He pulls part of it open, twists it, then shuts it down again. The device trills, then starts to beep faster and faster as red lights flash on its surface. John realises what it is.
SHEPPARD: Crap! (He hurls the device as far away from himself as he can and throws himself to the ground. When the device lands, there is a massive explosion.)
McKAY (over radio): Major, what the hell was that?
SHEPPARD (into radio): I almost blew myself up.
McKAY: What?!
SHEPPARD: Stay off the radio. I’m busy.
McKAY: Right. (To Brendan) He’s busy.
GAUL: You wanna get out there and help him, don’t you?
McKAY: What? Me go up against a Wraith? Are you kidding?
GAUL: You do. I can tell. You’ve changed. You really wanna get out there.
McKAY: Shut up!
GAUL: Don’t get me wrong. I’m impressed. You want in the fight. The Rodney McKay I knew would never ...
McKAY (interrupting): You heard the man. We’re staying right here. (Brendan just gazes at him.) Alright. (He walks over to Brendan.) Alright. (He hands him a pistol.) Take this, but don’t shoot at anything until I tell you to, OK?
GAUL: OK.


SURFACE. John has moved to a large rock nearer to the Jumper. He takes out his binoculars to try to see what the Wraith is doing inside but can’t see much. After a while he sits down behind the rock and takes out an energy bar. As he pulls open the wrapper and takes a bite, a glowing bug flies over and buzzes around him. He tries to shoo it away but it easily evades him and hovers around his energy bar.
SHEPPARD: You want some of this?
(He puts a small piece on his knee. The bug eats it and flies away. A few seconds later it returns with several of its friends. They buzz around John’s head. He tries to flap them away but they continue to hover around him.)
SHEPPARD: OK, OK, that’s enough!
(He breaks off a large piece of the bar and tosses it as far as he can. The bugs chase off after it. John puts the rest of the bar in his mouth, then gets up and looks cautiously over the top of the rock before pulling out his pistol and heading off.)
(Inside the Jumper, the Wraith has pulled several cables from a panel on the wall and is generally tampering with the insides of the panel. Meanwhile John runs almost to the top of one of the sand dunes in front of the Jumper, plants a flare and lights its fuse before making his way back the rock near the rear of the ship. He aims his pistol towards the Jumper and checks his watch. Inside the Jumper, the Wraith hears two small explosions (possibly shots from John’s pistol?). It goes to the front of the ship, looks out of the windshield and sees smoke rising from behind the dune. Delighted at the potential death of his enemy, the Wraith comes out of the rear of the Jumper. John ducks down out of sight. Unseen by John, the Wraith presses something on a band on its wrist, producing some beeping noises and a whooshing sound, before going off to investigate the smoke. Behind it, John runs towards the Jumper but slams into an energy shield that the Wraith has somehow cobbled together and is knocked to the ground. After catching his breath, he gets up, realises that he can’t get into the Jumper and runs off again.)
(Over the dune, the Wraith has reached the flare, realises that it has been tricked, and heads back towards the Jumper.)


WRAITH SHIP. CHAMBER. Rodney is pacing in an agitated way, unsure of what to do.
McKAY: You’re right – I should go out there.
GAUL: I didn’t say you should – I said you wanted to.
McKAY: Because I should.
GAUL: No you shouldn’t. But don’t let me stop you. If you really think that you can help the major by going out ...
McKAY: I can’t leave you here.
GAUL: Yes you can. What difference does it make? You and I both know I’m not gonna make it.
McKAY: Stop being so dramatic. You’re getting stronger by the minute.
GAUL: I’ve never felt so weak.
McKAY: Then stop talking.
GAUL: I’m dying, Rodney. I can feel it.
McKAY: Stop it!
GAUL: I’m not getting better, I’m getting worse. He left me with just enough life so that you’d have to watch me die.
McKAY: Listen to me. All you need is a good meal, a pot of tea, and to stop talking and ... (Brendan’s eyes close and his head sinks onto his chest. Rodney rushes over to him, afraid.) Brendan! (Brendan’s eyes snap open again and he jerks his head up.) I’m sorry.
GAUL: You said to stop talking.
McKAY: I’m sorry. I thought you ... Apologies. Nice work.


SURFACE. John is now behind a much smaller rock which doesn’t give him much cover but is nearer to the Jumper than before. The Wraith returns to the Jumper and slaps its arm against the shield to make sure it’s still active. John gets out his knife and carefully holds it up to use as a mirror so that he can see the Wraith without raising his head out of cover. The Wraith is walking away from the Jumper again. Just then, some of the glowing bugs come back to pester John.
SHEPPARD (irritated): Come on, guys!
(He opens another energy bar, breaks off a piece and throws it in the direction of the Jumper for them to chase after. The Wraith, who happens to be walking in the same direction as the energy bar went, walks through the cloud of bugs and irritably snatches one of them out of the air. As soon as the Wraith is far enough away, John gets up and runs off.)


SPACE. PUDDLEJUMPER TWO.
MARCO: We may be able to make radio contact now, sir.
FORD (into comms): Major, this is Lieutenant Ford, come in. (Static.) Major, we should be there inside an hour. Please respond. (Static.)
TEYLA: Perhaps we are still too far away.
MARCO: Or maybe they can’t get a signal on the planet.
FORD: See if you can make this thing go a little faster.


PLANET SURFACE. PUDDLEJUMPER ONE. The Wraith is standing a few yards away from the Jumper, shouting out to wherever John is.
WRAITH: Do you think I’m a fool, Major Sheppard? There’s nowhere for you to go on this world. Let me upon you. I will savour the taste of your defiance.
(John is hiding behind another rock nearby.)
SHEPPARD (speaking into his radio): Hey, you. Over here. On the ground – the radio.
(The Wraith looks towards the sound and sees a radio lying on the ground nearby.)
WRAITH: The days on this planet are long, but the nights are cold. Sooner or later, I will have you.
SHEPPARD (into radio): I can’t hear you threatening to suck the life out of me til you hit the button on the radio.
(The Wraith picks up the radio. Underneath, John has hidden another of the Wraith explosive devices. When the radio is lifted off it, the device activates and there’s a massive explosion. The Wraith is thrown through the air by the blast and crashes down to the ground, its face burnt. John pops up from behind his rock and looks at the Wraith through his binoculars. It doesn’t move.)


WRAITH SHIP. CHAMBER. Rodney hears something – possibly the distant explosion. He turns towards the entrance, raising his gun.
McKAY: You hear that?
GAUL: No.
McKAY: I thought I heard something. Maybe there’s another one hibernating.
GAUL: No.
McKAY (checking his lifesigns detector): It’s been too long. I think the major could be in trouble – and if he’s in trouble, we’re in trouble.
GAUL: Then go.
McKAY (turning to face him): You figure you can move?
GAUL: Not a chance. I’m not going anywhere.
McKAY: OK. That’s OK. (Clearly torn and unable to decide what to do for the best, he turns away and faces the entrance again.)
GAUL: Go. Rodney, just go. Save the day.
McKAY: What I really wanna do is call him on the radio, but I’m afraid if he’s hiding from the Wraith, I might inadvertently give away his position, and let’s face it, what chance do we have against the Wraith if Sheppard can’t take him out? (Behind Rodney’s back, Brendan slowly and painfully raises the pistol that Rodney gave him, turning it towards himself.) I was hoping to be strong enough, then I ...
(Behind his back, there’s a gunshot, then the pistol drops to the ground. Rodney spins round and stares in horror and anguish.)
McKAY: Oh, no!


SURFACE. As John watches cautiously from behind his rock, the Wraith opens its eyes and stands up.
SHEPPARD (to himself): You’ve gotta be kidding me.
WRAITH: I’ve fed upon countless thousands of humans, Atlanteans, even a part of my own crew. And I will feed upon you before this day is done.
(It raises another pistol it has taken from the Jumper and it and John start to exchange shots. Suddenly Aidan’s voice comes over John’s radio.)
FORD (over radio): Major, this is Lieutenant Ford. Please respond.
SHEPPARD: Lieutenant, I like your timing. Get your ass down here.
FORD: Sir, we’re still two-zero minutes away at top speed.
SHEPPARD: Well, in that case, your timing sucks. Get here as soon as you can. (He calls out to the Wraith.) You need me to get off this planet. I’m the only one that can fly that ship.
WRAITH (stopping firing for a moment): I will use your dead hands to operate its controls.
(It starts firing again. John tries to return fire but his pistol is empty. After a couple more shots, the Wraith’s pistol is also empty. It throws it away. John takes out his knife, stands up and walks determinedly towards the Wraith, who half-smiles/half-snarls in anticipation. As John gets within reach, the Wraith lifts its right hand to swipe at him, but John swings his knife up and plunges it straight into the Wraith’s hand. Somewhat foolishly, John not only lets go of the knife but also doesn’t duck, and the Wraith – unaffected by the knife – uses the same hand to knock him flying. As John lies on the ground winded, the Wraith pulls the knife out of its hand and starts to walk towards him. Just then, Rodney appears behind the Wraith and fires a couple of shots at it. The Wraith stops and turns towards him.)
McKAY: Major!
SHEPPARD: McKay!
McKAY: What do I do now?
SHEPPARD: Keep firing everything you’ve got!
(Rodney fires repeatedly at the Wraith as it starts to walk slowly towards him. The bullets slow it down a little, making it jolt with every impact, but it keeps going. Eventually Rodney empties his gun.)
McKAY: OK, what now?!
SHEPPARD: Reload!
(As Rodney hurries to comply, the Wraith turns back towards John, then back towards Rodney again, uncertain of who is the greatest danger.)


PUDDLEJUMPER TWO.
TEYLA: We are picking up their lifesigns on the planet.
FORD (to Marco): Head straight for ‘em. (Into comms) Sir, we’re picking you up on the hub.
(On the surface, knowing that he has to distract the Wraith for a little longer, John grabs another energy bar out of his pocket and unwraps it. The Wraith is now limping towards Rodney, who has managed to reload and fires at it again until his gun is empty.)
McKAY: No more bullets!
(John gets up and runs to the Wraith, hitting it hard in the back. The Wraith turns and swipes at him but John ducks. However, he can’t duck the Wraith’s second blow, which throws him through the air. John crashes to the ground. Just then, the glowing bugs come buzzing around the Wraith and we see that John jammed his opened energy bar into the Wraith’s clothing. Distracted, it snatches a few of the bugs out of the air. John speaks into his radio.)
SHEPPARD: Ford, lock onto the biggest lifesign signals you can see and fire.
FORD: Negative, sir, you’re too close.
SHEPPARD: That’s an order, Lieutenant! Do it!
FORD (pointing to the display on the screen): Fire on that target.
(The Jumper fires towards the planet.)
SHEPPARD: McKay, run!
(John and Rodney run in opposite directions away from the Wraith and dive behind rocks. Still swatting at the bugs, the Wraith looks up too late to do anything. A massive blast hits the ground where the Wraith is standing, blowing it to bits.)
(As the smoke clears, John gets up and calls out.)
SHEPPARD: McKay?
(Rodney waves from behind his rock.)
McKAY: Still here!
FORD (over comms): Sir, this is Ford. The target is gone.
SHEPPARD: Well, it’s about damn time!
TEYLA: We got here as soon as we could, Major.
SHEPPARD: That’s not what I meant. Thanks.
FORD: You’re welcome, sir. We’ll be there in just a few minutes.
SHEPPARD: We can wait. (He walks over to join Rodney at the blast site.) Thanks.
McKAY: Yeah, you too. You OK?
SHEPPARD (gesturing to his injured arm): Other than this and a few cracked ribs. What about Gaul?
McKAY (sadly): No.
(They start to walk towards the Puddlejumper.)
SHEPPARD: We’ll have to put the ship back together, provided you can disarm the shield.
McKAY: Fine. As long as we get to go home.
SHEPPARD: You can drive.
McKAY: Oh, thank you!

End




Source : www.twiztv.com/scripts/atlantis
Transcript by Callie Sullivan

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chrismaz66, 15.04.2024 à 11:46

Oui cliquez;-) et venez jouer à l'animation Kaamelott qui démarre là maintenant et ce jusqu'à la fin du mois ! Bonne chance à tous ^^

Supersympa, 16.04.2024 à 14:31

Bonjour à tous ! Nouveau survivor sur le quartier Person of Interest ayant pour thème l'équipe de Washington (saison 5) de la Machine.

choup37, Avant-hier à 08:49

5 participants prennent part actuellement à la chasse aux gobelins sur doctor who, y aura-t-il un sixième?

chrismaz66, Avant-hier à 11:04

Choup tu as 3 joueurs de plus que moi!! Kaamelott est en animation, 3 jeux, venez tenter le coup, c'est gratis! Bonne journée ^^

choup37, Hier à 19:45

Maintenant j'en ai plus que deux, je joue aussi sur kaa

Viens chatter !