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#113 : Virus

Maintenant que l'orage ayant lieu tous les vingt ans environ est passé au dessus de la citée et que l'énorme vague causée par cette ouragan a frappée celle-ci, le Docteur Rodney McKay ainsi que sont équipe vont procéder à la vérification de l'intégrité physique de la structure de la citée afin de détecter les éventuelles défaillances. Pendant leur inspection, ils se rendent compte de l'absence de Wagner et de Johnson. Le Lieutenant Aiden Ford, le Docteur Rodney McKay et le Docteur Zelenka les découvrent dans un endroit sombre et isolé de la citée. Wagner étant déjà mort et Johnson est dans un état de panique absolue, elle hurle, se débat, continue de hurler "ils sont partout" quand tout à coup elle cesse de vivre subitement, laissant les autres impuissants face à ce destin tragique pour nos deux scientifiques. Rodney McKay informe alors Weir de la situation est une mise en quarantaine est décidée par le leader de l'expédition. Le Docteur Grodin s'aperçoit d'un sorte de mise en quarantaine automatique de la citée et il se presse d'en informer Elisabeth. C'est alors qu'elle explique la situation à toutes la citée par le biais des hauts parleur installés sur celle-ci. Toutes les personnes doivent rester précisément à l'endroit où elles se trouvent si elles ne portent pas de combinaison étanche. Le Major John Sheppard et Teyla qui étaient tous deux entrain de s'entraîner au combat cesse leur occupation, et écoute les propos de Weir. Le Major Sheppard demande alors à celle-ci l'autorisation de se rendre dans la salle des combinaisons afin d'aisuder les personnes prises au piège, mais elle refuse de changer d'opinion, les règles sont les mêmes pour tout le monde…

Popularité


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Titre VO
Hot zone

Titre VF
Virus

Première diffusion
04.02.2005

Première diffusion en France
24.06.2005

Plus de détails

Scénariste(s) : Martin Gero

Réalisateur(s) : Mario Azzopardi

Guests : David Nykl (Dr Radek Zelenka), Craig Veroni (Dr Peter Grodin), Dean Marshall (Sgt Bates)

Zelenka, Ford, McKay et Hays parcourent une section de la cité pour mesurer les dégâts causés par la tornade (cf. «En Pleine Tempête»). Zelenka et Rodney jouent au jeu des nombres premiers, ce qui agace les deux autres hommes. Une fois l’inspection terminée, McKay informe Weir. Mais deux personnes, Wagner et Johnson, manquent à l’appel. C’est alors qu'ils entendent un cri. Tous les hommes se dirigent vers la section concernée. L’un d’eux est mort, et l’autre, Johnson, est pris d’une peur panique, avant de mourir dans les bras de Zelenka.

Quelques temps après, Beckett appelle Rodney pour savoir quelle est la situation. Ce dernier préconise une mise en quarantaine, tout comme le Dr Zelenka. Carson mobilise alors son équipe et part prévenir le Dr Weir.

Peter informe Elisabeth de la situation. Ce dernier préconise une quarantaine autorégulée, pensant qu'il s’agit d’un virus similaire à celui ayant frappé les Anciens. Conseil que suit le docteur.

De son côté, Sheppard s’entraîne avec Teyla à un art martial Athosien. Mais il se fait très rapidement dominer. C’est alors qu'ils entendent le message de Weir, via les haut-parleurs de la cité. Elle ordonne à tout le personnel de rester confiné et de ne pas bouger.

Pendant ce temps, l’équipe menée par Ford et McKay refait le parcours inverse de celui effectué par Johnson et Wagner. Ils arrivent devant une sorte de laboratoire. Ford et McKay y pénètrent. Mais l’état de la pièce ne laisse rien présager de bon.

De son côté, John contacte Elisabeth pour en savoir plus. Il n’est pas content de ne pas avoir été mis au courant plus tôt, et désire se rendre en salle de contrôle, mais Weir refuse afin de ne pas briser la quarantaine.

   

Dans le laboratoire, l’équipe scientifique analyse les débris. McKay découvre que la base de donnée de la salle n’est pas reliée au reste de la cité. Il contacte alors Elisabeth. Alors qu'il lui explique la situation, Dumais est touchée par le virus et devient hystérique. Peterson, qui était resté à l’extérieur de la pièce, voit une sorte d’ombre blanche se diriger vers lui, avant de disparaître. Pris de panique, il fuit. Pendant ce temps dans la salle, Dumais décède.

Weir est aussitôt informée de la fuite de Peterson, mais Grodin parvient à le détecter grâce aux capteurs. Ce dernier se dirige droit vers la salle de contrôle. Weir décide alors de lui parler via la radio. Elle essaie de le rassurer, mais l’homme continue sa progression.

Pendant ce temps, l’équipe médicale examine les personnes dans le laboratoire. Mais alors que Beckett ne trouve aucun signe de contamination chez McKay, ce dernier commence à voir cette ombre blanche, mais fait comme si de rien n’était et retourne à ses occupations.

De son côté, le Major Sheppard demande l’autorisation à Weir de stopper Peterson, et essuie un refus. Mais le Major n’en fait qu’à sa tête et décide de sortir. Weir fait fermer la porte du Gymnase. S’en suit une lutte d’autorité entre les deux, et le Sergent Bates ouvre la porte.

   

Via sa radio, Beckett apprend que les deux premières victimes sont mortes d’une rupture d’anévrisme. Le plus troublant est que cela s’est produit au même endroit.

A l’infirmerie, Teyla et John s’équipent de combinaisons de protection. Cette dernière lui fait remarquer qu'il n’aurait pas du remettre en cause l’autorité d’Elisabeth.

Peterson, lui, progresse toujours dans la cité, mais il a toujours des visions terrifiantes.

Dans le laboratoire, Rodney pense avoir identifié les dossiers concernant ce virus. C’est alors qu'il voit cette ombre blanche et noire. Mais il n’est pas le seul à la voir, ce qui inquiète Carson. Rodney comprend alors qu'il est le prochain sur la liste des morts, avec Hays, car ils ont été en contact avec Dumais simultanément.

Sheppard retrouve enfin le Dr Peterson. Ce dernier demande à être isolé et prétend aller bien. Sheppard demande l’autorisation à Weir, mais le docteur en profite pour essayer de fuir vers un transporteur. Il arrive alors au réfectoire de la cité, blessé. Mais soudain une alarme s’enclenche, fermant toutes les portes de la cité.

De son côté, Beckett examine Rodney pour surveiller l’évolution du virus dans son corps.

John contacte Weir pour connaître la situation, mais la discussion tourne court et elle lui ordonne de revenir à son point de départ.

   

De son côté, le Dr Biro informe son collègue que Dumais est aussi morte d’une rupture d’anévrisme. Beckett pense que le point de rupture peut expliquer les visions. Mais pendant que lui et McKay tergiversent, Hays meurt. McKay est alors terrifié à l’idée de mourir. Mais il se rend compte qu'il n’est pas mort, alors qu'il a touché Dumais en même temps qu’Hays.

De son côté, le Major Sheppard progresse toujours dans la cité. Il contacte Weir car toutes les portes s’ouvrent à son passage. Peter pense que la cité les ouvre car ils sont protégés par des combinaisons. Teyla pense qu'ils doivent alors se rendre au mess pour aider les autres personnes.

Alors qu'il assiste à l’autopsie d’Hays, Rodney a une idée : il s’agit d’un nano virus conçu pour tuer les humains.

Quelques instants plus tard, il en informe Weir, en lui expliquant en détails la technologie des nanites. Le virus effraye ses victimes et les tue en endommageant le cerveau et l’artère cérébrale.

Au mess, Teyla informe le personnel de la situation. John, lui, reste près du corps de Peterson. Puis McKay appelle le Major car il a besoin de son aide.

Pendant ce temps, au labo, l’équipe médicale explique à Weir que Rodney n’est pas mort parce qu'il possède le gène des Anciens (cf. «Invulnérable»). C’est alors que Ford est pris de panique. Mais il est impossible de sauver tout le monde en leur injectant le gène en raison du temps nécessaire mais aussi de la fiabilité de la thérapie.

Sheppard est dans le laboratoire du Dr McKay. Via la radio, ce dernier lui demande d’activer le générateur électromagnétique, ce qui permettrait de tuer les nano robots. Mais hélas son plan échoue.

Au mess, de nombreuses personnes sont prises de crises.

Sheppard informe McKay que le générateur n’a pas tenu le coup. Rodney pense qu’en le réparant, tout reviendra dans l’ordre. Il suggère alors que le Major fasse exploser un générateur en altitude pour provoquer une énorme décharge électromagnétique. Weir leur donne le feu vert.

Sheppard prend un Jumper et se met en position. Rodney lui explique qu'il n’a que trente secondes après le largage pour filer le plus loin possible. Il lâche le générateur en plein espace, puis s’éloigne. Le Jumper est pris dans l’onde de choc, mais le Major s’en sort sans problème. Tous les systèmes sont opérationnels, et la cité brise la quarantaine. Soulagés, tous les membres du personnel se congratulent.

Une fois de retour, Sheppard s’entretient avec Weir. Cette dernière lui explique qu'il ne doit plus jamais remettre en question son autorité devant le personnel. Beckett et McKay entrent alors et annoncent que cette technologie n’est pas d’origine wraith, et que ses concepteurs restent inconnus.

                                                                        STARGATE ATLANTIS
                                                                        Saison 1 épisode 13
                                                                                 SCRIPT VF
                                                                                 « VIRUS »



DANS LA CITE

ZALENKA : Sept mille cinq cent quarante neuf.

RODNEY : Oh, arrêtez. C’est un nombre premier, bien sûr. Quatre mille vingt et un.

ZALENKA : Astucieux comme piège, mais non, ce n’est pas un nombre premier. Bon, essayez encore. Lieutenant Ford, cinq cent quatre vingt dix neuf.

LT FORD : Je me fiche que ce soit un nombre premier ou non.

ZALENKA : Oh, Allez répondez, il l’est ou il ne l’est pas ?

LT FORD : Il ne l’est pas.

ZALENKA : Ah, ça c’est incroyable. Zéro sur dix.

RODNEY : Il est nul.

LT FORD : Oui, je n’y connais rien en nombre premier et ça ne va pas m’empêcher de dormir.

ZALENKA : C’est grave un tel pourcentage d’erreur, même si vous ne connaissez pas vos nombres premiers.

RODNEY : Il y a une chance sur deux. Vous devriez avoir 50% de bonne réponse, même en répondant au hasard. Bon allez ! Neuf cent quatre vint treize.

LT FORD : C’est un nombre premier ?


RODNEY : Ouais, il était facile celui-là. Qu’est ce que vous en dites Hays ?

HAYES : Je n’ai pas suivi. J’étais trop concentré sur mon boulot, je suppose.

RODNEY : Nous avons déjà inspecté ce secteur d’Atlantis docteur rabat-joie, les dégâts n’ont rien d’inquiétant.

ZALENKA : Lieutenant Ford, vous accepteriez d’être le sujet d’étude d’un article sur les aberrations des statistiques.

LT FORD : C’est comme ça que vous vous vengez d’avoir été tabassé au lycée par des types comme
moi ?

Rodney, Ford, Zalenka et Hayes, rejoignent le reste du groupe de scientifiques. Ils sont venus vérifier l'une des zones d'Atlantis inondée lors de la récente tempête. Aucun dommage structurel n'est à déplorer.

DANS UNE PIÈCE D’ATLANTIS

DR WEIR : (A la radio) Alors Rodney, comment ça va dans la lointaine banlieue ?

RODNEY : (A la radio) L’entrepôt du niveau supérieur est très endommagé, mais selon la ravissante et talentueuse Dumais, il ne risque pas de s’écrouler tout de suite. A part ça la digue est en bonne état.


SALLE DE CONTRÔLE

DR WEIR : (A la radio) Malgré les inondations causées par l‘orage ?


DANS UNE PIÈCE D’ATLANTIS

RODNEY : (A la radio) Il fait sombre, c’est très humide et ça sens mauvais, mais la structure est toujours bonne.


SALLE DE CONTRÔLE

DR WEIR : (A la radio) Revenez, ça suffira.


DANS UNE PIÈCE D’ATLANTIS

RODNEY : Mission terminé. Ouvrez grand vos oreilles, bande de zigoto, j’ai rarement l’occasion de vous faire un compliment, alors savourez-le. Bravo pour cet excellent boulot. Rentrons chez nous.

ZALENKA : Hé, attendez, attendez. Il nous manque Johnson et Wagner.


RODNEY : (A la radio) Wagner, Johnson, quelle est votre position ?

WAGNER
: (A la radio) Vite ! Envoyez du renfort ! Ils foncent sur nous !

RODNEY : (A la radio) Quoi ?

LT FORD : Où sont-ils ?

ZALENKA : Euh, au bout de ce couloir.

RODNEY : (A la radio) Tenez bon, on arrive !

Ils découvrent Wagner allongé sur le sol et à quelques mètres, Johnson est assise, le dos contre un mur, la tête entre les bras elle semble en état de choc.


DANS UN COULOIR DE LA CITE

RODNEY : Johnson. Johnson, ça va ?

LT FORD : McKay. Il est mort.

RODNEY : Johnson, que s’est-il passé ?

JOHNSON : Ils l’ont massacré.

RODNEY : De qui parlez-vous ?


Johnson semble effrayée, elle se relève en panique, puis se débat contre des ennemis invisibles, faisant de grands gestes pour les chasser.

RODNEY : Il n’y a rien. Calmez-vous !

JOHNSON : Vous ne les voyez pas ? Ils sont là, ils sont là !

RODNEY : Beckett, une équipe médicale de toute urgence !

La jeune femme continue de crier et de se débattre puis elle s’écroule.

ZALENKA : Il n’y a plus rien à faire. C’est fini pour elle.


La jeune femme est morte des filets de sang s’écoulant de son nez et de sa bouche.


         * * * * * * * * * * * * * * GÉNÉRIQUE STARGATE ATLANTIS * * * * * * * * * * * * *

LABORATOIRE MEDICAL

DR BECKETT : (A la radio) McKay, ici le docteur Beckett. Précisez de quel type d’urgence il s’agit ?


DANS LA CITE

RODNEY :
(A la radio) C’est trop tard. Ils sont morts.


LABORATOIRE MÉDICAL


DR BECKETT : (A la radio) Qui est mort ? Et comment ?


DANS LA CITE


RODNEY : (A la radio) Wagner et Johnson. Envoyez nous une équipe d’isolement.



LABORATOIRE MÉDICAL

DR BECKETT : (A la radio) Répétez ?


DANS LA CITE

LT FORD : Une équipe d’isolement ? Pourquoi ?

RODNEY : Parce que personne ne meurt d’une simple hallucination. Nous avons inspectés des zones inexplorées. Johnson et Wagner, ont été exposés à quelque chose.

LT FORD : ça ne veut pas dire...

RODNEY : Et s’ils ont été contaminés, je ne serais pas étonné qu’il en soit de même pour nous.

ZALENKA : Je recommande une mise en quarantaine de niveau 4, en attendant d’en savoir plus.


RODNEY : Je suis d’accord. (A la radio) Vous avez entendu Carson ?


LABORATOIRE MEDICAL

DR BECKETT : (A la radio) Oui restez sur place. Nous allons mettre des combinaisons et descendre vous rejoindre. Je vais mettre le Docteur Weir au courant.

RODNEY : (A la radio) Merci beaucoup.

DR BECKETT : Vous avez compris je suppose. Alors on y va !


DANS LA CITE


PETERSON : Quoi, nous allons rester ici, alors ?

RODNEY : C’est ça mon idée, oui.

PETERSON : Puis-je vous dire qu’elle est très mauvaise.

RODNEY : Non, vous ne pouvez pas.

PETERSON : Je crois qu’il faut vite se tirer d’ici.

ZALENKA : Si l’agent est présent dans l’air nous sommes peut-être contaminés. Rejoindre la cité mettra en danger le reste de la population.

PETERSON : Oui, mais nous ne sommes peut-être pas encore contaminés ?

RODNEY : Nous ne pouvons pas le savoir ?

PETERSON : Je me sens parfaitement bien moi, parfaitement bien.

RODNEY : Allez, la discussion est close Peterson. Nous allons restez ici. Attendez, en fait... venez tous, suivez-moi.


Tout le groupe suit McKay, Peterson s'apprêtait à prendre un autre chemin, lorsqu’il est contraint par les deux soldats, de suivre le groupe
.


BUREAU D’ELIZABETH


PETER : Ils mettent en place une quarantaine de niveau 4.

DR WEIR : J’ai du mal à croire à une contamination bactériologique.

PETER : Je ne vois pas du tout ce que ça peut être. Mais il me semble plus raisonnable de décréter une quarantaine auto-régulée dans les secteurs habités de la cité.

DR WEIR : ça me semble très radical.

PETER : Nous savons que les Anciens ont soufferts d’une sorte de peste. Si jamais par malheur McKay et son équipe sont contaminés, il faut tout faire pour éviter que la maladie ne se propage.

DR WEIR : Bon, allez. L’utilisation de la porte des étoiles est suspendue et chacun doit rester à l’endroit où il se trouve. Mais seulement jusqu’à ce qu’on en sache un peu plus sur de ce qui a provoqué la mort de Wagner et Johnson
.


SALLE D’ENTRAINEMENT

John Sheppard et Teyla Emmagan, s’entrainent sans soupçonner ce qui se trame dans la cité. Des coups sont échangés et Sheppard est en mauvaise posture. C’est Teyla qui l’emporte.

TEYLA : Vous ne vous êtes pas entrainé.

SHEPPARD : Bien sûr que si.

TEYLA : Ah oui, si c’était un vrai combat...

SHEPPARD : Si c’était un vrai combat, je vous aurais abattue depuis longtemps. Vous savez, même si je passe des centaines d’heures à m’entrainer. Vous continuerez à me mettre la raclée.

TEYLA : On ne s’entraine pas dans le but de gagner.

SHEPPARD : A quoi ça sert alors ?

DR WEIR :
(A la radio) Je vous demande à tous de m’accorder votre attention. Nous sommes confrontés à un inquiétant problème médical. Conformément à l’avis du Dr Beckett, nous avons décidé d’établir une quarantaine auto-régulée dans toute la cité. Pour une durée minimum de deux heures, vous allez devoir rester à l’endroit où vous êtes à cet instant. Veuillez signaler toute personne se déplaçant dans les couloirs. J’espère que vous comprenez. Merci à tous.

SHEPPARD : Qu’est ce que c’est que ce cirque ? Vous avez pris votre radio ?



DANS LA CITE

LT FORD : Ce n’est pas le secteur que Wagner et Johnson exploraient ?

RODNEY : Si !

LT FORD : Nous refaisons le même chemin qu’eux, si je comprends bien.

RODNEY : Oui, mais ne vous inquiétez pas, c’est mon instinct de conservation qui me fait agir ainsi.

PETERSON : Attendez ! Attendez, attendez ! Ford a raison. Venir ici augmente les risques d’être contaminés.

RODNEY : Ecoutez, il vaut mieux que je vous dise carrément ce qu'il en est. S’il s’agit d’un agent bactérien qui n’est pas présent dans l’air, il est relativement peu dangereux d’explorer ce secteur, du moment où nous respecterons les précautions à prendre. Par contre, si c‘est un virus présent dans l’air, il y a de forte change que nous soyons déjà contaminé.


LT FORD : Attendez, c’est le docteur Beckett qui saura nous dire ça.

RODNEY : Les victimes étaient dans cette zone depuis 12 heures seulement. Ce qui veut dire que la période d’incubation est terriblement courte. Si quelqu’un d’autre a été contaminé, l’un de nous par exemple, chaque seconde deviennent précieuse lieutenant. Donnez-moi une lampe. Allons-y.

McKay s’arrête devant l'entrée d'un laboratoire, ordonne à tout le monde de rester dans le couloir pendant qu'il entre avec Ford.

RODNEY : Tout le monde reste en arrière. Ford.

LT FORD : Vous avez dis que tout le...

RODNEY : Tout le monde sauf Ford, reste en arrière. Vous croyez que je vais entrer là dedans tout seul ? Hein, hein...


Plusieurs consoles sont allumées au centre de la pièce et d'autres sur les côtés, et ils marchent sur des débris de verre qui proviennent d'une série de longs tubes transparents placés sur le dessus d'une console et dont plusieurs sont cassés, ayant libéré leur contenu.


RODNEY : Ne touchez à rien. C’est très inquiétant.


SALLE D’ENTRAINEMENT

SHEPPARD : (A la radio) Je suis l’officier le haut gradé je vous rappel.

DR WEIR : (A la radio) Oui, je le sais, major mais vous n’étiez pas joignable par radio et nous devions agir vite. De toute façon c’est un protocole qui a été établi avant même que l’expédition d’Atlantis n’ait commencé. Bates est ici avec moi, il pensait lui aussi que c’était le mieux à faire.

SHEPPARD : (A la radio) Bon d’accord, d’accord. On arrive, je viens vous rejoindre avec Teyla.

DR WEIR : (A la radio) La quarantaine est déjà effective, major. Je n’autorise plus aucun déplacement.

SHEPPARD : (A la radio) Ils sont sur la digue Est, à presque deux kilomètres d’ici. Je courrais un grave danger en marchant jusqu’à la salle de contrôle, à votre avis ?

DR WEIR : (A la radio) A l’heure actuelle, nous ne savons pas où ils ont contractés le virus. Il s’agit d’un risque d’épidémie, John. Seules les personnes autorisées et vêtues d’une combinaison ont le droit de circuler. Cette règle s’applique à vous, comme elle s’applique à tous les autres.

SHEPPARD : (A la radio) Dans ce cas, dites à quelqu’un de m’apporter une combinaison, comme ça, ça ira, je pourrais sortir.

DR WEIR : (A la radio) Ceux qui ont une combinaison, prépare le laboratoire pour faire face à une épidémie éventuelle. Dès qu’une occasion se présentera, j’enverrai quelqu’un vous chercher, mais d’ici là, faudra se contenter des liaisons radio.

SHEPPARD :
(A la radio) Très bien, alors... essayez de nous tenir au courant.

DR WEIR : (A la radio) Comptez sur moi.


DANS UN LABORATOIRE DE LA CITE

ZALENKA : Il y a beaucoup de tubes cassés, impossible de savoir lequel contenait le virus, qui a tué Johnson et Wagner.

LT FORD : Et comment un truc comme ça, peut survivre autant d’années.

DUMAIS : Un virus peut rester latent pendant une longue période.

ZALENKA : J’espère que la réponse est quelque part dans la base de données. Écoutez à mon avis il faudrait...


RODNEY : Oui, je sais, je sais, apparemment ça n’a pas été mit en réseau avec le système des Anciens. D’ailleurs regardez. Ce que je vois ce sont des informations sur les expériences menées seulement ici. (A la radio) Weir, ici McKay.

DR WEIR : (A la radio) Je vous écoute, Rodney.

RODNEY : (A la radio) Où est Beckett ?

DR WEIR : (A la radio) Il arrive, ça prend tu temps de mettre toute une équipe médicale en combinaison.

RODNEY : (A la radio) Ecoutez, nous avons fait une découverte qui est... plutôt inquiétante.

DR WEIR : (A la radio) Ce n’est pas ce que j’espérais entendre.

RODNEY : (A la radio) Les Anciens nous ont laissé un laboratoire de virologie, Wagner et Johnson ont dû être contaminés ici. Il faudrait des semaines pour analyser tout ça et nous n’avons aucun moyen de savoir, si les Anciens étudiaient le virus ou s’ils étaient entrain d’en créer. Quoi qu’il en soit la tempête a provoqué de sacrés dégâts dans le laboratoire...

Derrière Rodney, Dumais qui était penchée sur son écran relève soudain la tête, le visage figé par la panique.

RODNEY : Dumais ? Dumais ? Qu’est ce qu’il y a ?

PETERSON : Dumais !

DUMAIS : Ils viennent sur vous !

RODNEY : Dumais ! Dumais !

DUMAIS : Ils viennent sur vous !

RODNEY : Retenez là, enfin.

DUMAIS : Ils viennent sur vous !

RODNEY : Arrêtez Dumais !


Elle se débat entre les mains de ses collègues, gesticule, crie puis se prend la tête entre les mains avant de s'écroule. Quand à Peterson celui-ci vient d’avoir une hallucination, il profite que l’équipe s’occupe de Dumais pour s’éclipser Dumais décède.


RODNEY : Dumais ! (A la radio) Dites à Beckett qu’il se dépêche, j’ai perdu un autre membre de mon équipe !

LT FORD : Où est Peterson ?

RODNEY : Qui ?

LT FORD : Peterson !


Peterson, marche d'un pas rapide dans un couloir, suivi sur les détecteurs de la salle de contrôle par Grodin qui ferme les portes et coupe le courant pour l'empêcher de venir jusqu'à eux.



SALLE DE CONTRÔLE

DR WEIR : (A la radio) ça y est, je crois que nous l’avons repéré, il est entrain de revenir par ici. Ne vous inquiétez pas Grodin va bloquer toutes les portes du couloir et couper le courant dans ce secteur.


DANS UN LABORATOIRE DE LA CITE

RODNEY : (A la radio) Envoyez quelqu’un pour le bloquer.

DR WEIR : (A la radio) La situation est sous contrôle.

RODNEY : (A la radio) Non, Elizabeth la situation n’est pas sous contrôle. Peterson en sait autant que moi sur la technologie des Anciens. Dans le meilleur des cas ce que vous faites va le ralentir, c’est tout !

Peterson force les cristaux d'une porte et réussi ainsi à l’entrouvrir. Il accède à un couloir qui va l'amener tout droit à la salle de contrôle.


SALLE DE CONTRÔLE

DR WEIR : C’est quoi ce couloir où mène-t-il ?

PETER : Il mène droit ici.


DANS UN COULOIR


Peterson est de nouveau bloqué par une porte, Weir s'adresse à lui.

DR WEIR : (A la radio) Peterson, ici Elizabeth Weir. Vous m’entendez ? Ça doit être terrifiant de vivre une pareille épreuve, je comprends bien. Mais le docteur Beckett est déjà auprès de vos compagnons, il a commencé à les soigner. Le mieux que vous avez à faire c’est de retourner là bas. Quand le docteur Beckett aura vérifié votre état de santé, vous pourrez rejoindre la cité rapidement... Vous êtes sûr qu’il entend ce que je dis.

PETER : Absolument certain.

DR WEIR : Est-ce que vous pouvez l’empêcher d’ouvrir les portes aussi facilement ?

PETER : Je vais essayer.


DANS UN LABORATOIRE DE LA CITE


L’équipe médicale qui est en combinaison de protection, a commencé les premiers relevés de fonctions vitales sur les patients. Beckett ne relève rien d'anormal dans la pression sanguine de McKay qui semble plutôt abattu par la situation.

DR BECKETT : Vous avez l’air en parfaite santé.

RODNEY : Juste avant de mourir, Dumais aussi avait l’air en parfaite santé.

DR BECKETT : J’ai fait installer un petit laboratoire dans le couloir. Nous avons déjà commencé les autopsies.

RODNEY : Qu’est ce que ça peut être ?

DR BECKETT : L’équipe ne m’inspire aucune inquiétude. Rien ne justifie...

RODNEY : Pas la peine de raconter des histoires, Carson, c’est grave, nous le savons bien.


DR BECKETT : J’essayais juste de...

RODNEY : Vous avez terminé ?

DR BECKETT : Oui, c’est bon.

RODNEY : Je vais fouiller dans leur base de données. Tenez-moi au courant des résultats des autopsies.

DR BECKETT : Oui.

RODNEY : Oh, et dites à vos légistes de commencer par la tête.


Rodney retourne à ses recherches sur la base de données, s'arrête, se retourne et montre les premiers signes d'une hallucination, ce qui n’échappe pas à Zelenka. Conscient de son regard, McKay se reprend et se retourne vers son ordinateur portable
.


SALLE D’ENTRAINEMENT

Assis sur le banc aux côtés de Teyla, le major Sheppard s'impatiente.

SHEPPARD : (A la radio) Quelqu’un doit essayer de l’arrêter.

DR WEIR : (A la radio) Nous essayons. Grodin cherche un moyen de bloquer le contrôle des portes.

SHEPPARD : (A la radio) Ce n’est pas suffisant. Quelqu’un doit aller l’arrêter, Teyla et moi nous sommes prêts.

DR WEIR : (A la radio) Major...

SHEPPARD : (A la radio) Peterson à perdu les pédales c’est évident et il fait courir un grave danger à toute la population de la cité.

DR WEIR : (A la radio) Nous ne savons pas encore de quel type de virus il s’agit. L’alerte est strictement médicale pour le moment.

SHEPPARD :
(A la radio) On a perdu assez de temps, comme ça. J’y vais.

DR WEIR : Grodin, fermé le gymnase.

SHEPPARD : (A la radio) C’est quoi cette plaisanterie ?

DR WIER : (A la radio) Vous m’avez rappelé vous-même que vous étiez l’officier le plus haut gradé, je ne peux pas risquer que vous soyez contaminé.

SHEPPARD : (A la radio) Je ne peux pas risquer que vous soyez contaminé. Bates ?

BATES : (A la radio) Oui, major.

SHEPPARD : (A la radio) Ouvrez le gymnase.

BATES : (A la radio) A vos ordres.

DR WEIR : Ne faites rien Bates. (A la radio) Vous n’avez pas le commandement ici, major.

SHEPPARD : (A la radio) Bon, sur ce point nos opinons divergent. Bates ouvrez la porte, c’est un ordre !

DR WEIR : Je vous l’interdit.

SHEPPARD : (A la radio) Elizabeth il se dirige droit sur vous.

DR WEIR : Nous l’arrêterons autrement, nous parviendrons à le raisonner, nous l’empêcherons de passer...

SHEPPARD : Sergent Bates, je vous ordonne d’ouvrir toutes les portes entre le gymnase et le laboratoire médical immédiatement.

Bates s’exécute, la porte de la salle d’entrainement s’ouvre.

SHEPPARD : (A la radio) Nous partons à sa recherche.


SALLE DE CONTRÔLE

Elizabeth semble désappointée par ce qui vient de se produire.

BATES : Je suis désolé, madame.

DR WEIR : Vos regrets ne changent rien, vous savez.



ZONE D’AUTOPSIE

Le docteur Biro fait un premier compte-rendu à Beckett.

DR BIRO : (A la radio) Dr Beckett, j’ai les résultats préliminaires de l’autopsie des deux premières victimes.

DR BECKETT : (A la radio) Des trouvailles intéressantes ?

DR BIRO : (A la radio) Dans les deux cas, la mort a été provoquée par une rupture d’anévrisme, ce qui ne constitue pas une information extraordinaire. Enfin le fait que deux personnes l’une à côté de l’autres meurent de cette façon et statistiquement improbable. Mais ce n’est pas l’indice flagrant que nous aurions aimé découvrir. Je sais que vous vouliez...

DR BECKETT :
(A la radio) Venez-en à ce qui m’intéresse docteur Biro.

DR BIRO : (A la radio) Pardonnez-moi. Ce qui est troublant c’est que dans les deux cas la rupture d’anévrisme s’est produite à un endroit identique un tout petit peu au dessus du cortex visuel.

DR BECKETT : (A la radio) Et Dumais la troisième victime ?

DR BIRO : (A la radio) Je m’y mets tout de suite, docteur Beckett. Je vous tiendrais informez.


DANS UN LABORATOIRE DE LA CITE

RODNEY : Elle a bien dit rupture d’anévrisme ?

DR BECKETT : Oui, c’est ça.

RODNEY : C’est la meilleure nouvelle de la journée. Venez voir.


DANS UN AUTRE LABORATOIRE


Teyla et Sheppard enfilent leurs combinaisons.

TEYLA : Vous n’auriez pas dû défier l’autorité du docteur Weir devant le sergent Bates.

SHEPPARD : Elizabeth à tendance à prendre des décisions hâtives et se retrouve forcé de s’y tenir. C’est ça le problème.

TEYLA : Je tiens à vous dire, qu’elle n’est pas la seule à avoir cette mauvaise habitude.


SHEPPARD : (A la radio) Docteur Weir, ici Sheppard. On est prêt à effectuer l’interception. Peterson est dans quel secteur ?


SALLE DE CONTRÔLE

Elisabeth met plusieurs secondes avant de se décider à lui répondre.


DANS UN AUTRE LABORATOIRE

SHEPPARD : (A la radio) Elizabeth.


SALLE DE CONTRÔLE

DR WEIR : (A la radio) Il est dans le secteur E19, niveau trois.


DANS UN AUTRE LABORATOIRE

SHEPPARD : On y va.


DANS UN COULOIR DE LA CITE

Peterson essaye tant bien que mal d’ouvrir la porte qu’il a devant lui. Elle ne s’ouvre que de quelques centimètres et il force pour élargir le passage. Il se retourne soudain, crie et se débat face à l’ombre menaçante qui s'approche de lui. Puis tout s'arrête, il en profite pour se faufiler dans l’ouverture de la porte.


DANS UN LABORATOIRE DE LA CITE

RODNEY : Je n’ai pas tout lu, parce c’est incroyablement long, mais je crois que c’est notre lascar. Six heures d’incubation, hallucination récurrente et j’ai gardé le meilleur pour la fin, évidemment hémorragie cérébrale, rupture d’anévrisme.

DR BECKETT : Oui, ça me rappel quelque chose. Aucun doute.

RODNEY : Il explique peut-être comment faire pour...


Le regard de Rodney s’immobilise, puis une ombre noir s’approche de lui, ce qui le fait paniquer.

RODNEY : Non !

Tous les membres présents dans le laboratoire se figent devant le comportement de McKay.

RODNEY : Désolé.

DR BECKETT : Rodney ?

RODNEY : Je vois des choses étranges.

DR BECKETT : Depuis combien de temps ?

RODNEY : Environ une heure. On se dit qu’on doit avoir les yeux fatigués, au début mais...

HAYS : ça devient de pire en pire

RODNEY : Vous aussi alors ?

HAYS : C’est terrible, ils viennent droit... droit sur nous.

RODNEY : C’est comme... comme un spectre.

ZALENKA : J’ai vérifie le déroulement de la mission. Johnson et Wagner sont partis de leurs côté tous le deux. Mais une heure après ils ont croisés Dumais dans leur secteur.

DR BECKETT : Et Dumais est morte, presque une heure après Johnson et Wagner. Ils ont été en contact avec qui d’autre ?

ZALENKA : Ce qui m’inquiète, c’est de savoir avec qui Dumais a été en contact ?


DR BECKETT : Dumais ? Qui a-t-elle croisée ?

RODNEY : Moi. Elle a été en contact avec Hays et avec moi. C’est nous les suivants.



DANS LA CITE

Peterson se bat encore une fois contre les cristaux d'une porte et arrive une nouvelle fois à l'ouvrir, mais cette fois-ci, il se retrouve face au Major Sheppard et Teyla.

PETERSON : Allez, ouvre toi nom d’un chien, je suis pressé.

SHEPPARD : Docteur Peterson, je présume.

PETERSON : Je ne veux pas y retourner.

SHEPPARD : Vous n’avez pas vraiment le choix. Doucement.

PETERSON : C’est simple, si je vais les rejoindre là bas, je vais être... je vais être contaminé. Ce sera un meurtre.

TEYLA : Lorsque nous aurons la certitude que vous n’avez pas été contaminé, vous pourrez rejoindre la cité. En attendant vous représentez une menace pour le reste de la population.

PETERSON : Vous ne tirerez pas sur un de vos hommes.

SHEPPARD : Peterson ! Je ne vous laisserais pas retourner dans la cité...

PETERSON : ça va, attendez, attendez, on peut discuter ! Mettez moi en quarantaine dans le laboratoire médical, je vous jure j’irais sans résister. Ne m’obligez pas à aller les rejoindre. Je vous jure que je vais très bien. Croyez-moi, je vais parfaitement bien.


SHEPPARD : (A la radio) Dr Weir, ici Sheppard. Peterson accepte de rester dans le laboratoire médical, jusqu’à ce que le problème soit réglé. Stop !


Peterson se précipite dans un téléporteur, avant que la porte ne se referme il reçoit une rafale tirée par Sheppard, est sérieusement blessé à l'épaule et se retrouve à l'entrée de la salle du restaurant où il s'écroule. Plusieurs personnes viennent à son secours, l’alarme de la cité retentie, les portes se ferment, Atlantis, se met alors en mode d’isolement.


AU RÉFECTOIRE

UN MEMBRE DE D’ATLANTIS : Mais qu’est-ce qu’il a ?

UN AUTRE MEMBRE : Il est blessé, vite. Peterson ? Peterson ?



SALLE DE CONTRÔLE

DR WEIR : Que se passe-t-il ?

PETER : Le tableau de commande des Anciens ne fonctionne plus.

SGT BATES : On m’a signalé que Peterson, s’était téléporté dans le réfectoire.


SHEPPARD : (A la radio) Impossible de le suivre, je ne comprends rien.

PETER : La cité à prit le contrôle. Elle nous a mit en isolement.

DR WEIR : Passez en manuel.

PETER : Je n’y arrive pas. Atlantis a une protection automatique contre les épidémies, on dirait. Elle a enfermé tout le monde quand Peterson, s’est téléporté de la zone Est.

DR WEIR : Pourquoi, elle ne l’a pas fait quand Johnson et Wagner ont été contaminés ?

PETER : Les inondations ont dû endommager le système de détection dans cette zone là. Mais quand Peterson est entré dans le réfectoire, l’agent pathogène a été détecté presque aussitôt et le système de protection, s’est activé.

DR WEIR : Quelles sont mes options ?

PETER : Elles sont limitées. Le système nous a coupé l’accès à l’ordinateur central.



DANS UN LABORATOIRE DE LA CITE

RODNEY : Est-ce bien nécessaire ? C’est dans le cerveau que se produira ma rupture d’anévrisme. A quoi bon surveiller mon cœur.

DR BECKETT : Si vous mourez vous aussi, nous saurons un peu mieux comment ça se passe, voyez vous.

RODNEY : ça ne m’intéressera plus tellement, je crois.

LT FORD : Vous savez beaucoup d’autres gens vivent dans cette cité.

RODNEY : Oui, les vivants.


DANS UN COULOIR DE LA CITE


Sheppard et Teyla avancent dans les couloirs de la cité, ils sont étonnés, lorsqu’ils passent devant une porte celle-ci s'ouvre automatiquement sur leur passage.

SHEPPARD : Je croyais que tout les accès étaient fermés. Pourquoi la porte s’est ouverte pour nous ? (A la radio) Weir, ici Sheppard. Avez-vous repris le contrôle des téléporteurs ?

DR WEIR : (A la radio) Non, et ça se présente mal. La cité d’Atlantis semble avoir d’elle-même perçue une menace et elle a quasiment prit tout le contrôle.

SHEPPARD : (A la radio) Elle a immobilisée les téléporteurs ?

DR WEIR : (A la radio) Oui, exact.

SHEPPARD : (A la radio) Dommage que nous n’ayons pas pensé à ça.

DR WEIR : (A la radio) Evidemment que nous avons pensé à ça, major. Mais le secteur tout entier a dû être remit sous tension pour que vous puissiez retrouver Peterson. Si vous n’étiez pas parti à sa poursuite, il n’aurait pas utilisé les téléporteurs. Vous êtes encore persuadé que c’était une bonne idée ?

SHEPPARD :
(A la radio) Peterson s’est téléporté où ?

DR WEIR : (A la radio) Dans le réfectoire. Tous les autres ont respectés la quarantaine, heureusement. Alors il n’y avait pas grand monde.

SHEPPARD : (A la radio) J’ai compris pas la peine d’insister.

DR WEIR : (A la radio) Bon vous pouvez revenir vers la cité. Allez dans le laboratoire de Beckett et attendez mes instructions.


ZONE D’AUTOPSIE

Le docteur Biro a terminé sa troisième autopsie, la conclusion est identique aux deux premières.

DR BIRO : (A la radio) Docteur Beckett.

DR BECKETT : (A la radio) Vous avez du nouveau Docteur Biro ?

DR BIRO : Je viens de terminer l’autopsie de Dumais. Seriez-vous surpris si je vous disais qu’elle est morte d’une rupture d’anévrisme, survenu au dessus du secteur visuel ?


DANS UN LABORATOIRE DE LA CITE

DR BECKETT : (A la radio) Non, je ne serais pas surpris.

DR BIRO : (A la radio) C’est bien ce que je pensais.

DR BECKETT : Les visions sont sans doute liées à la localisation de la rupture d’anévrisme. Le gonflement du cortex visuel, qui survient juste avant explique les hallucinations, de façon évidente.

RODNEY : Je ne suis pas médecin, mais un gonflement de cette zone du cortex, provoque en principe des déliages de couleurs et divers troubles de la vision.


DR BECKETT : ça dépend des personnes.

RODNEY : Oui, justement. Nous avons tous eus des visons similaires. Si elles étaient causées par un gonflement artériel, nos visons devraient être complètement imprévisibles, non.

DR BECKETT : ça tombe sous le sens.

RODNEY : Oui, et je vous signal que tous les contaminés ont les mêmes hallucinations.

DR BECKETT : Alors, vous pensez que ça pourrait-être lié ...

RODNEY : Il devient probable que...


Leur discussion est interrompue par les cris du docteur Hays qui se débat à son tour contre des visions, les battements de son cœur s'accélèrent sur le moniteur.

HAYS : Non ! Non !

RODNEY : Hays ! Ils n’existent pas, vous le savez bien.

HAYS : Non ! Non ! Ça y est, ils arrivent ! Vous ne les voyez pas ? Au secours...

DR BECKETT : A part le rythme cardiaque tout est normal.

RODNEY : Ne me dites pas que tout est normal ! Essayez de le sauver.

DR BECKETT : Je ne peux rien faire.


Le docteur Beckett, ne peut rien faire pour sauver le docteur Hays, ce dernier meurt. Beckett essaye alors la réanimation, mais ca ne donne aucun résultat.

DR BECKETT : Un et deux et trois et quatre et cinq ... un et deux et trois et quatre et cinq...

RODNEY : N’insistez pas. Ce n’est pas son cœur, alors... n’insistez pas.

LT FORD : Et vous ça va ?

RODNEY : Je veux... j’aimerais... écoutez, voilà j’ai une sœur. Je la vois peu, vous aurez du mal à la retrouver...

LT FORD : Qu’est ce que vous racontez ?

RODNEY : Je n’ai plus aucune famille à part elle. Quelqu’un devra lui raconter ce qui m’est arrivé. Et essayez de me donner le bon rôle. Dites lui... que j’ai perdu la vie en sauvant quelqu’un... des enfants. J’ai perdu la vie en sauvant des enfants. Ah oui, Zalenka, j’avais dans l’idée de faire une dérivation sur la porte des étoiles afin de charger un E2PZ. Franchement ça m’étonnerais que ça marche, mais faites un essaie, ça peut ouvrir des pistes intéressantes.


ZALENKA : Nous essayerons ensemble...

RODNEY : Mais enfin, cessez de m’interrompe, alors que j’essaie d’exprimer mes dernières pensées ! C’est important ce que j’ai à vous dire ! Alors, si vous restez plus d’un an sur Atlantis, j’ai élaboré un système de blackout alterné qui permettrait de répondre à vos besoins énergétiques. Oh et dites à tout le monde que j’étais entrain de mettre la touche finale à ma théorie de l’unification mais que les ... les notes ont été perdues quand je me suis sacrifié en sauvant...

ZALENKA : Les enfants.

RODNEY : Oui.


McKay commence à regarder autour de lui en se demandant pourquoi il n'est pas mort puisqu'il a été contaminé au même instant que Hays.


RODNEY : Tient ! Je devrais être mort, théoriquement.

DR BECKETT : Hays et vous, vous avez croisés Dumais à la même heure ?

RODNEY : Exactement au même moment.

DR BECKETT : Alors vous avez raison, vous devriez être mort.

RODNEY : C’est dingue. Je suis toujours en vie.

LT FORD : Oui, vous êtes en vie.

ZALENKA : intéressant ça.

RODNEY : Quoi intéressant ?

DR BECKETT : J’ai une question, ne la prenez pas mal, mais...

ZALENKA : Comment ça se fait ?

DR BECKETT : C’était ma question.

RODNEY : ça m’est égale. C’est vrai, ça m’est complètement égale.



SALLE DE CONTRÔLE

Une grande agitation règne dans la salle de contrôle où de nombreux scientifiques tentent de reprendre la maîtrise de la cité.

UN MEMBRE : Surveillez ce secteur là...

UN AUTRE MEMBRE : Sortez moi un calcul de donné corrigé.

PETER : Prévenez-moi dès que vous l’avez. Je suis à côté. N’oubliez pas celui-là.


SHEPPARD : (A la radio) Dr Weir.

DR WEIR : (A la radio) Oui, major j’écoute.


DANS UN COULOIR DE LA CITE

SHEPPARD : (A la radio) Nous venons de rentrer dans la cité. Elle nous a laissé passer. Êtes vous sûr qu’elle a vraiment prit le contrôle ?


SALLE DE CONTRÔLE

DR WEIR : (A la radio) Certaine, je ne peux même pas entrer dans mon bureau.


DANS UN LABORATOIRE DE LA CITE

SHEPPARD : (A la radio) Elle est très accueillante pour le moment.


SALLE DE CONTRÔLE

PETER : C’est grâce à leurs combinaisons protectrices.

DR WEIR : Quoi ?


PETER : La cité peut surement reconnaitre ceux qui ne risquent aucune contamination. C’est logique, Atlantis procède ainsi, afin que les personnes protégées puissent aider celle qui sont contaminées.



DANS UN LABORATOIRE DE LA CITE

TEYLA : (A la radio) Si c’est le cas, je propose que nous allions dans le réfectoire. Les gens qui se trouvent là bas, doivent être terriblement inquiet.

DR WEIR : (A la radio) Je suis d’accord. Rejoignez le réfectoire et tenez-moi informé.


ZONE D’AUTOPSIE

DR BECKETT: Êtes vous certain de vouloir assister à ça, Rodney ?

RODNEY : Ce virus est trop précis. Une chose organique n’est jamais aussi efficace.

DR BECKETT : Je vous rappel que nous sommes au beau milieu d’une nouvelle galaxie. Ce qui nous semble extraordinaire est peut être une très grande banalité, ici.

RODNEY : Non, non, je n’y crois pas. La plupart des planètes habitables que nous avons connues, sont des copies conformes de la terre, du point de vue de l’environnement... ou alors...

DR BECKETT : Je reviens. Qu’est ce qui vous prend Rodney ?


DANS UN LABORATOIRE DE LA CITE


RODNEY : La durée d’incubation est de six heures très précisément. Les visions sont identiques chez tout les contaminés, et la rupture d’anévrisme qui provoque le décès survient toujours dans la même zone.

DR BECKETT : C’est bien ce que je pense ?

RODNEY : Oui, un nano virus et il a été conçu pour tuer les êtres humains.


SALLE DE CONTRÔLE


DR WEIR : (A la radio) Un nano virus ?

RODNEY : (A la radio) Oui, c’est ça.

DR WEIR : (A la radio) Faisons comme si je ne savais pas exactement ce que c’était.

RODNEY : (A la radio) La nanotechnologie est une technologie qui s’applique à une échelle infinie décimale, je ne sais pas un milliardième de millimètre.


DANS UN LABORATOIRE DE LA CITE

DR BECKETT : (A la radio) Ces virus sont des machines microscopiques capable d’effectuer des tâches très particulières grâce à leurs tailles.

RODNEY : (A la radio) Théoriquement, on a plus qu’à avaler une pilule et un million de petits robots se mettent au travail à l’intérieur, pour réparer ce qu’il ne va pas.


SALLE DE CONTRÔLE

DR WEIR : (A la radio) Vous êtes contaminé par des machines microscopiques ?


DANS UN LABORATOIRE DE LA CITE

RODNEY : (A la radio) Oui, elles sont aussi petites qu’un organisme unicellulaire, en tout cas au lieu d’être programmé pour guérir une maladie ou réparer un vaisseau sanguin...

DR BECKETT : (A la radio) Le virus est programmé pour terroriser ses victimes en agissant directement sur le cortex visuel et provoquer ensuite une rupture d’anévrisme.

RODNEY : (A la radio) Tout en continuant à nous contaminer.

DR BECKETT :
(A la radio) Il y a une bonne nouvelle, je ne crois pas qu’il puisse se multiplier. Je ne sais pas combien de virus il faut pour tuer un humain, mais tout laisse à penser que leur nombre finira par diminuer.


SALLE DE CONTRÔLE

DR WEIR : (A la radio) ça vient des Wraith ?


DANS UN LABORATOIRE DE LA CITE


DR BECKETT : (A la radio) En ce qui me concerne c’est ma première hypothèse.

RODNEY :
(A la radio) N’allons pas trop vite, ça m’étonnerait.

DR BECKETT : (A la radio) Vous m’avez décrit vos visions, le son strident qui accompagne leur arrivés...

RODNEY : (A la radio) Oui, ça inspire la même terreur, mais pourquoi les Wraiths auraient crée l’équivalent d’une épidémie. S’ils veulent nous tués ce n’est pas pour soulager leurs instincts sadiques, c’est parce que nous sommes leur nourriture. Ecoutez, c’est une peu comme si des éleveurs de bétail, décidaient de crée la maladie de la vache folle, enfin !


SALLE DE CONTRÔLE

DR WEIR : (A la radio) Le virus vient d’un laboratoire des Anciens, je vous rappel.


DANS UN LABORATOIRE DE LA CITE

RODNEY : (A la radio) Exterminer la réserve de nourriture des Wraiths auraient pu leur venir à l’idée.

DR BECKETT : (A la radio) Je n’y crois pas du tout, les Anciens n’auraient pas crée une calamité de ce genre.

RODNEY : (A la radio) Et ça n’explique pas les visions d’ailleurs.


SALLE DE CONTRÔLE

DR WEIR : (A la radio) Pour le moment, ce n’est pas le savoir qui a crée le virus, la véritable urgence.


DANS UN LABORATOIRE DE LA CITE

RODNEY : Effectivement.



AU REFECTOIRE

Dans la salle de restaurant et tandis que Sheppard observe le corps de Peterson, Teyla tente de rassurer les gens présents.

TEYLA : Nous ne savons pas encore de quel façon le virus se transmet, il est tout à fait possible que pas un seul d’entre vous n’ai été contaminé.

UNE FEMME : Alors pourquoi vous-avez une combinaison ?

TEYLA : Par mesure de précaution.


McKay demande alors à Sheppard de se rendre à son laboratoire, Teyla préfère rester pour poursuivre ses explications.

RODNEY : (A la radio) Major Sheppard, ici McKay.

SHEPPARD : (A la radio) Allez-y-j’écoute.

RODNEY : (A la radio) J’ai besoin que vous alliez dans mon laboratoire.

TEYLA : (A la radio) Foncez John, moi ça va aller.


DANS UN LABORATOIRE DE LA CITE

RODNEY : (A la radio) Hays et moi nous avons été contaminés au même moment, le fait que j’ai survécu, n’a qu’une explication.

DR BECKETT : (A la radio) Rodney a le gène des Anciens, Hays ne l’avait pas.


SALLE DE CONTRÔLE

DR WEIR : (A la radio) Mais Rodney n’est pas un Ancien.


DANS UN LABORATOIRE DE LA CITE

DR BECKETT : (A la radio) Mais on lui a inoculé le gène ATA.


SALLE DE CONTRÔLE

DR WEIR : (A la radio) Le virus n’est destiné qu'à ne tuer que les êtres humains, vous voulez dire ?


DANS UN LABORATOIRE DE LA CITE

RODNEY : (A la radio) Je suis un être humain.

DR BECKETT : Oui, c’est bien là qu’on veut en venir, Rodney.


SALLE DE CONTRÔLE


DR WEIR : (A la radio) Alors soumettons à une génothérapie.

RODNEY : (A la radio) Non, ça ne suffira pas.


DANS UN LABORATOIRE DE LA CITE

ZALENKA : Le gène m’a été inoculé, il y a plusieurs semaines sans résultat.

RODNEY : Je sais bien, je travail déjà la dessus !


ZALENKA : La génothérapie n’est qu’efficace que chez 48% des receveurs.

LT FORD : Si on me fait une piqûre maintenant, dans combien de temps fera-t-elle effet ?

DR BECKETT : Il faut au moins quatre heures pour qu’elle agisse.

LT FORD : Je ne serais plus là dans quatre heures. J’ai retrouvé McKay et Hays 90 minutes après leurs rencontrent avec Dumais. Alors il me reste un peu moins d’une heure avant que ma cervelle explose.

DR BECKETT : Aiden, écoutez moi bien. Vous n’avez pas dormi depuis 20 heures, vous dites n’importe quoi. Essayez de restez calme.

LT FORD : Restez calme ? Vous venez de me dire qu’un million de petits robots cours dans mes veines avec pour but de me terroriser et ensuite de me tuer. Vous resteriez calme ?

ZALENKA : D’ici peu nous aurons des hallucinations. Nous sommes contaminés Carson, comment devrions nous réagir ?

LT FORD : Il doit bien avoir une solution ?


RODNEY : Je vais tenter quelque chose, je croyais vous l’avoir déjà dit.

SHEPPARD : (A la radio) Voilà McKay, j’y suis.

RODNEY : (A la radio) Vous le voyez ?

SHEPPARD : (A la radio) C’est le gros truc au milieu du labo ?

RODNEY : (A la radio) C’est bien ça oui.


LABORATOIE DE MCKAY

SHEPPARD : (A la radio) Je dois respecter tous les avertissements ?

RODNEY : (A la radio) Non, pas aujourd’hui.


DANS UN LABORATOIRE DE LA CITE

LT FORD : C’est quoi votre idée, dites nous ?

RODNEY : Aussi minuscule soit-il, un nano-virus n’est rien d’autre qu’une machine activé par un ordinateur. Pour mettre un ordinateur K.O rien ne vaut une impulsion électromagnétique, ça heureusement nous savons le faire.


En salle de contrôle tous les ordinateurs sont éteints et refermés.


SALLE DE CONTRÔLE

DR WEIR : (A la radio) Nous avons presque fini d’éteindre les appareils électroniques d’origine terrestres, par contre les commandes des Anciens restent inaccessibles. Impossible d’interrompe leur fonctionnement.

RODNEY : (A la radio) Ce ne sera pas nécessaire, la technologie des Anciens est différente une impulsion électromagnétique ne devrait pas lui faire un effet prolongé.

PETER : ça y est tout est prêt.



DANS UN LABORATOIRE DE LA CITE

DR WEIR : (A la radio) Vous pouvez y aller Rodney. Très bien, on y va.


SALLE DE CONTRÔLE

DR WEIR : (A la radio) Attendez ! Comment savoir si ça fonctionne ?

RODNEY : (A la radio) Sheppard se tient prêt à envoyer une impulsion d’une puissance maximum, ça m’étonnerais qu’elle descende jusqu’ici, mais elle devrait toucher presque toute la tour centrale. Après quoi quand le choc aura éliminé le virus, la cité remettra le contrôle entre vos mains et mettra fin à la mesure d’isolement.

LT FORD : Ici, ça n’aura pas d’effet ?

RODNEY : (A la radio) Si nous obtenons le résultat espéré, vous foncez illico dans mon laboratoire et vous, vous installez devant le générateur et il suffira de recommencer. Major ?


DANS LE LABORATOIRE DE MCKAY

SHEPPARD : (A la radio) ça fonctionne. Quand est ce que j’appuie sur le déclencheur ?

RODNEY : (A la radio) Oh, vous devriez voir un témoin de surcharge, c’est une lumière rouge.

SHEPPARD : (A la radio) Je la vois, ça y est.


DANS UN LABORATOIRE DE LE CITE

RODNEY : (A la radio) Quand cette lumière s’allumera, comptez jusqu’à dix et appuyez sur le déclencheur.


LABORATOIRE DE MCKAY

SHEPPARD : (A la radio) Je dois attendre dix secondes ?


DANS UN LABORATOIRE DE LE CITE

RODNEY : (A la radio) Ne vous inquiétez pas, j’ai reçu pleins d’impulsions électromagnétiques.


LABORATOIRE DE MCKAY

SHEPPARD : (A la radio) Et vous êtes certains que je serais normal après ?


DANS UN LABORATOIRE DE LE CITE

RODNEY : (A la radio) Mais oui. Je vous le garanti, vous irez très bien.


LABORATOIRE DE MCKAY

Sheppard s’apprête à appuyer sur le bouton rouge, lorsque c’est fait l'impulsion s’accélère et une déflagration se produit qui est suivie ensuite par l'arrêt progressif de la machine.

SHEPPARD : S’il le dit. Voilà.

Partout c’est le silence absolu, tous attendent le résultat.


SALLE DE CONTRÔLE

RODNEY : (A la radio) Alors ?

DR WEIR : (A la radio) Vous pensez que ça peut prendre un peu de temps ?


DANS UN LABORATOIRE DE LA CITE

RODNEY : (A la radio) Non, je ne crois pas.


SALLE DE CONTRÔLE

L’accès aux systèmes de la cité reste indisponible.

RODNEY : (A la radio) Vous n’avez toujours pas accès à l’ordinateur central des Anciens ?

DR WEIR : (A la radio) Vous avez une autre idée ?


DANS UN LABORATOIRE DE LA CITE

LT FORD : Il reste 29 minutes.


DANS LE RÉFECTOIRE

Tous les occupants sont pris au même moment d'une crise hallucinatoire tous crient et se débattent contre l'ennemi invisible.

UNE JEUNE FEMME : ça a échoué, ça a échoué.

TEYLA : Rien n’est encore certains.

LA JEUNE FEMME : Qu’est ce que vous racontez ? Si ça avait marché on le serait déjà !

TEYLA : Il faut leur laissé le temps...

LA JEUNE FEMME : Regardez, ça y est , ça y est, ils sont là.

TEYLA : Ce que vous croyez voir est une hallucination.


La jeune femme se précipite violemment sur Teyla qui est envoyé par-dessus une table dans sa chute une carafe se brise et la combinaison de Teyla se déchire.

LA JEUNE FEMME : Oh, c’est horrible.


DANS LE LABORATOIRE DE MCKAY

SHEPPARD : (A la radio) J’ai déjà essayé, le circuit a grillé tout à l’heure.


DANS UN LABORATOIRE DE LA CITE

RODNEY : (A la radio) Oui, mais le commutateur de secours n’avait pas été initialisé.


LABORATOIRE DE MCKAY

SHEPPARD : (A la radio) Peut-être que la mise en surcharge a été excessive ?


DANS UN LABORATOIRE DE LA CITE

RODNEY : (A la radio) Je suis certains que ça peut être réparé. Il faut procéder par élimination.


LABORATOIRE DE MCKAY

SHEPPARD : (A la radio) Ecoutez, même si nous réparons ce machin. Qui nous dit que l’impulsion sera plus puissante ? Ford et Zalenka n’ont plus que 20 minutes avant que leurs artères explosent. Êtes-vous sûr qu’une impulsion électromagnétique suffirait ?


DANS UN LABORATOIRE DE LA CITE

RODNEY : (A la radio) Certains !


LABORATOIRE DE MCKAY

SHEPPARD : (A la radio) Alors ça y est, j’ai une idée.

Sheppard quitte le laboratoire de McKay, pour se rendre dans une salle d’un générateur Naquadah.


SALLE DU GENERATEUR A NAQUADAH

SHEPPARD : (A la radio) Comment ça, non ?

DR WEIR : (A la radio) C’est trop dangereux.

SHEPPARD : (A la radio) Vous préférez perdre un tiers de notre population ?


SALLE DE CONTRÔLE

DR WEIR : (A la radio) Nous n’en sommes pas là, major.

SHEPPARD : (A la radio) Mais si, nous en sommes là. C’est le tour de Ford et Zalenka. Les personnes présentes dans le réfectoire, n’ont plus que trois heures. C’est une effroyable épidémie, si vous refusez de faire ça, pleins d’autres personnes vont mourir.


DANS UN LABORATOIRE DE LA CITE

RODNEY : (A la radio) Même si nous parvenons à reconnecter le générateur d’impulsion, rien ne garanti que nous arriverons à lui donner la puissance suffisante.


SALLE DE CONTRÔLE

DR WEIR : (A la radio) Amenons ceux qui sont contaminés prêts du générateur.

PETER : Nous ne pouvons pas. La cité empêche ceux qui sont contaminé de franchir les portes.



DANS UN LABORATOIRE DE LA CITE

RODNEY : (A la radio) Ce que dit le major est vrai. Le seul moyen de crée un choc électromagnétique qui pourrait éliminer ce virus...


SALLE DE CONTRÔLE

DR WEIR : (A la radio) C’est de déclencher une explosion nucléaire dans l’atmosphère. Il vient de le dire.

RODNEY : (A la radio) Je sais que ça parait inquiétant, mais si le major peut faire exploser un générateur à Naquadah à une trentaine de kilomètre au dessus de la cité, nous n’aurons rien n’à craindre de ce qui est des radiations et l’explosion provoquera une onde de choc électromagnétique d’une puissance dévastatrice. Il est certain qu’elle mettra ce virus K.O.

PETER : Espérons qu’elle épargnera notre matériel informatique.


SALLE DU GENERATEUR A NAQUADAH

SHEPPARD : (A la radio) ça vaut le coup de prendre ce risque.


SALLE DE CONTRÔLE

DR WEIR : (A la radio) Ok, vous avez mon accord.

Sheppard débranche le générateur à Naquadah et l’emporte dans un Jumper.


DANS LE JUMPER

SHEPPARD : (A la radio) Je suis presque en position.


SALLE DE CONTRÔLE

DR WEIR : (A la radio) Message reçu. L’impulsion électromagnétique va dérégler le Jumper ?


DANS LE JUMPER

SHEPPARD : (A la radio) J’espère que ça ira. Mais a vrai dire c’est plutôt l’onde de choc qui m’inquiète.


SALLE DE CONTRÔLE

DR WEIR : (A la radio) Bonne chance.


DANS LE JUMPER

SHEPPARD : (A la radio) Bonne chance à vous.


DANS UN LABORATOIRE DE LA CITE

RODNEY : (A la radio) Quand vous l’aurez largué, vous n’aurez que 30 secondes avant que ça n’explose, plus vous serez loin, mieux ce sera.


DANS LE JUMPER

SHEPPARD : (A la radio) Oui, d’accord je dois m’éloigner de l’explosion nucléaire le plus possible. Excellent conseil Rodney. Merci.


DANS UN LABOIRATOIRE DE LA CITE

RODNEY : (A la radio) De rien John.


DANS LE JUMPER

SHEPPARD : (A la radio) Je largue le générateur... maintenant !

Le major Sheppard largue le générateur dans l’espace et s’éloigne.



DANS LA CITE

UNE VOIX DANS HAUT PARLEUR : Détonation dans 25 secondes. 20 secondes. 15 secondes. Détonation dans 10 secondes, neuf, huit, sept, six, cinq, quatre, trois, deux, un
.

La détonation se produit dans l'espace, le Jumper se trouve prit dans le souffle de la lumière de l'explosion nucléaire qui aveugle partiellement le major Sheppard. Cette lumière blanche arrive jusqu'à Atlantis et éclaire la cité pendant un bref instant.


SALLE DE CONTRÔLE

DR WEIR : (A la radio) Vous m’entendez major Sheppard, ici Weir j’attends votre réponse.

PETER : Les communications sont peut-être perturbées par l’explosion.

DR WEIR : (A la radio) Major, vous m’entendez ?

Tous s’inquiètent pour le major Sheppard, car celui-ci ne répond pas.


DANS LE JUMPER

SHEPPARD : (A la radio) Ici Sheppard. Je ne m’en tire pas trop mal. Je viens vous rejoindre.



SALLE DE CONTRÔLE

DR WEIR : (A la radio) Heureuse de vous entendre.

SHEPPARD :
(A la radio) ça a marché ?

DR WEIR : (A la radio) La réponse devrait arrivée.


DANS UN LABORATOIRE DE LA CITE

RODNEY : (A la radio) Nous n’allons pas tarder à le savoir. L’impulsion ne dure que quelque microsecondes, alors...


SALLE DE CONTRÔLE

DR WEIR : (A la radio) La cité a donnée la réponse avant nous, Rodney. Je vous donne le feu vert pour revenir ici.

Tout le monde est soulagé dans le laboratoire où chacun serre la main de son voisin. John est assit dans le bureau d’Elizabeth.


BUREAU D’ELIZABETH


DR WEIR : ça va ?

SHEPPARD : Oui, c’était juste une petite explosion nucléaire.

DR WEIR : Faire sauter le générateur à Naquadah était une excellente idée, bon travail.

SHEPPARD : Merci beaucoup. Alors je n’ai plus qu’à allé me coucher.

DR WEIR : On doit parler de ce qui s’est passé d’abord.

SHEPPARD : Maintenant ?

DR WEIR : Cela ne doit plus jamais arriver.

SHEPPARD : Oui, je sais excusez moi, d’avoir...

DR WEIR : Dans le domaine militaire, je reconnais vos compétences et quand nous sommes confrontés à un danger de ce type il est normal que je m’en remettre à ses compétences.

SHEPPARD : Merci beaucoup.


DR WEIR : Mais ce n’est pas à vous de décider si le danger auquel nous sommes confrontés est oui ou non de type militaire. Le général O’Neill et le colonel Sumner, m’avaient tous deux averti que vous ne respectez pas la chaine de commandement.

SHEPPARD : Il peut arriver que la façon dont j’interprète un danger, soit différente de la vôtre.

DR WEIR : Non, écoutez-moi John. Vous avez mis en danger votre vie ainsi que celle de beaucoup d’autres.

SHEPPARD : J’ai engagé l’action qui me semblais la plus efficace face à se danger. Je vous rappel que je vous ai tiré d’affaire.

DR WEIR : Je le sais. Mais vous devez avoir confiance en moi.

SHEPPARD : J’ai confiance en vous.

DR WEIR : C’est sûr ?


Leur discussion est interrompu par l’arrivé de Carson et Rodney.

RODNEY : Vous avez un instant ? Nous avons pu faire plus ample connaissance avec ses sympathiques Nano-virus.

DR BECKETT : Ils sont hors d’état de nuire, d’après nos observations.

DR WEIR : C’est très rassurant.

RODNEY : Oui, sauf que nous pouvons maintenant confirmer que ce virus n’a pas été créé par les Wraiths. Il est trop différent de ce que nous connaissons de leurs technologies.

SHEPPARD : Si ce ne sont pas les Wraiths, qui a pu les créé ?

RODNEY : Je reconnais que je ne sais pas. En tout cas j’espère que ces créateurs ne soit plus parmi nous.

DR WEIR : Espérons-le.



                                                                                    FIN


ATLANTIS. Rodney McKay, Aidan Ford, Doctor Zelenka and another man called Hays are checking out one of the piers of Atlantis after the flooding caused by the hurricane. The corridors in that area are quite dark, so they all have torches.
ZELENKA: Seven thousand, five hundred forty-nine.
McKAY (sarcastically): Oh, please. Prime. Four thousand and twenty-one.
ZELENKA: Ah, nice try! Uh, not prime. OK – Lieutenant Ford: five hundred ninety-nine.
FORD: I don’t care if it’s a prime number or not.
ZELENKA: Oh, come on. Yes or no?
FORD (clearly guessing): No.
ZELENKA (to Rodney): Ha! It’s incredible! Ten for ten!
McKAY: He is terrible.
FORD: So I suck at Prime/Not Prime. Somehow I’m going to sleep tonight.
ZELENKA: At this point it’s gone way beyond you not knowing your prime numbers.
McKAY: It’s a true/false game. Statistically, just by guessing, you should be getting at least half of these right. Look: nine ninety-three.
FORD (guessing): Prime.
McKAY: Oh, come on, that’s an easy one! You hearing this, Hays?
HAYS (bored): Not really. Guess I’ve been too busy doing my job.
McKAY: We’ve already been through this section of Atlantis, Doctor Killjoy. It’s structurally sound.
ZELENKA: Lieutenant Ford, would you mind being a subject of research paper on statistical probabilities? (He giggles.)
(Aidan, fed up and embarrassed, rounds on Zelenka.)
FORD: This is some sort of pay-back for guys like me beating up guys like you in high school, right? (He glares at Zelenka for a moment, then turns and stomps off. Zelenka stands there, startled, for a moment, then follows the others down the corridor to meet up with various other groups of personnel who have been investigating the area. At around that time, Elizabeth Weir contacts Rodney by radio from the Control Room.) [Note: in this episode a lot of people are wearing earpiece/microphone combinations rather than speaking into hand-held radios, so a comment of “(over radio)” doesn’t mean that the person lifts a radio and speaks into it.]
WEIR: So, Rodney, what’s it like out there in the suburbs today?
McKAY: Essentially, with the exception of the upper level Storage Room, which the lovely and talented Dumais informs me is in no immediate danger, this pier’s in relatively good shape.
(Dumais and her team are just returning to the rendezvous point at that moment.)
WEIR: Even after all the flooding from the storm?
McKAY: Well, it’s dark, it’s damp and it smells terrible, but from an engineering standpoint we’re good.
WEIR: Head back.
McKAY: Heading back. (He turns to face the group of people around him.) Alright, you clowns, listen up! I don’t often get a chance to say this, so savour it: good work, boys and girls! Let’s go home.
ZELENKA (looking around): Wait, wait, wait. We’re missing Johnson and Wagner.
(Rodney sighs irritably and activates his radio.)
McKAY: Wagner, Johnson, what’s your position?
(There’s a long silence, then Wagner’s voice comes over the radio. He sounds terrified.)
WAGNER: We need back-up! They’re coming at us!
McKAY: What?!
FORD: (to Zelenka): Where are they?
(Zelenka checks his lifesigns detector.)
ZELENKA (indicating the way): Down this corridor.
McKAY (into radio): We’re on our way.
(Everybody rushes down the corridor until they reach Wagner and Johnson. Wagner is lying on the floor. Johnson is sitting on the floor against a wall with her legs drawn up and her head down on her knees. Rodney rushes over to her.)
McKAY: Johnson, Johnson, you OK?
(Aidan goes to Wagner and checks his pulse.)
FORD: McKay. (Rodney looks over to him.) He’s dead!
McKAY: Johnson, what happened here?
JOHNSON (crying, without looking up): They got him.
McKAY: Who got him?
(Johnson looks up and stares in terror over Rodney’s shoulder before scrambling to her feet and starting to back away.)
McKAY: Calm down. There’s nothing here.
(Johnson continues backing away, now flailing at something only she can see.)
JOHNSON: Can’t you see them? They’re everywhere!
McKAY (into radio): Beckett, I need a medical team down here, stat!
(Johnson is still trying to fight off whatever she can see. Zelenka and Hays rush to hold her, trying to calm her down. After a moment, her legs buckle under her. As Zelenka and Hays lower her carefully to the ground, she clutches at her head, then screams in anguish for several seconds before going limp. Zelenka brushes her hair away from her face and puts his fingers to her neck. We see that there is blood coming from her nose and mouth. Zelenka looks up at Rodney, bewildered.)
ZELENKA: It’s no use. She’s gone.


MEDICAL LAB. Carson Beckett replies to Rodney.
BECKETT (into comms): McKay, this is Doctor Beckett. What exactly is the nature of the emergency?
(Back in the corridor, Wagner’s and Johnson’s bodies are being covered over.)
McKAY (into radio): It’s too late. They’re gone.
BECKETT: Who’s gone? How?
McKAY: Wagner and Johnson. I need a containment team here.
BECKETT: I’m sorry?
FORD (to Rodney): A containment team? Why?
McKAY: People don’t just see things and drop dead, Lieutenant. We spent the last hour surveying unexplored areas of this city. I think Wagner and Johnson were exposed to something.
FORD: Yeah, but ...
McKAY: And if they were infected, there’s a very good chance that we were too.
ZELENKA: I recommend a Level Four quarantine until we know what we’re dealing with.
McKAY: Agreed. (Into radio) Carson, you hear all that?
BECKETT: Aye. We’ll get to the hazmat gear and head down. Sit tight. I’ll make sure Doctor Weir’s briefed.
McKAY: Thank you very much.
BECKETT (to his staff): OK, you heard the man. Follow me, ladies and gentlemen.


CORRIDOR.
PETERSON: So, wait, what, we’re just gonna stay here?
McKAY: That’s the plan, yes.
PETERSON: May I say it’s a terrible one?
McKAY: No, you may not.
PETERSON: I think we should get the hell out of here.
ZELENKA: If it is an airborne agent, we may already be infected. Heading back to the city would only endanger the rest of the population.
PETERSON: What if we’re not infected yet?
McKAY: Well, there’s no way of knowing.
PETERSON: But I feel fine. I feel perfectly fine!
McKAY: End of discussion. Peterson, we’re staying here. Actually – wait a second ... (He snaps his fingers several times as he formulates an idea.) Everyone follow me. (He heads off and gradually all the others follow him. Peterson hangs back and turns as if to go in another direction but finds two marines standing behind him. One of them smiles at him mock-sweetly. Peterson reluctantly turns again and follows the others.)


ELIZABETH’S OFFICE. Peter Grodin is bringing Elizabeth up to date with developments.
GRODIN: They’ve begun to institute a Level Four quarantine.
WEIR: It can’t really be a biological infection, can it?
GRODIN: I have no idea what it is, but I agree we should play it safe and initiate self-regulated quarantine in all populated sections of the city.
WEIR: That’s pretty severe.
GRODIN: We’ve known for some time that the Ancients suffered from a plague. If McKay and his team have somehow stumbled upon it and become infected, we’ll need to take every precaution to prevent an outbreak.
WEIR: Alright. We will suspend any and all Gate activity and keep everyone where they are. Again, just until we have a clearer picture of exactly what it is that killed Wagner and Johnson.


GYM. (Or a room that has been designated the gym.) John is twirling two Athosian fighting sticks. Opposite him, Teyla stands with two sticks in one hand. She looks very relaxed, while John is concentrating hard. He runs forward and strikes at her with both of his sticks but she easily fends them off with just one hand and – to add insult to injury (or rather, injury to insult) – steps casually past him and smacks him none too gently on the backside with her sticks. John grimaces and limps round to face her again. Again he attacks her and again she easily meets every move he attempts. This continues for a minute or two until finally Teyla tires of playing with him, smacks one stick out of his hand, hits him in the back of the knees to make him fall and drop the other stick, then stands behind him and holds him tightly across the neck with her sticks.
TEYLA (sternly): You have not been practising.
SHEPPARD: Yes I have.
TEYLA: If this was really a fight ...
SHEPPARD: If this was really a fight, I would have shot you by now. (Exasperated, Teyla releases her grip around his neck and shoves him to the floor.) Y’know, no matter how many hours I put into this, you’re still gonna kick my ass.
TEYLA: It is not for the winning that we practise.
SHEPPARD: Well, what’s the point?
(They go over to a bench, collect their bags and walk towards the exit. Just then, there is a beeping noise and then Elizabeth’s voice comes over the comms.)
WEIR: May I have everyone’s attention please? We have run into a questionable medical situation and at Doctor Beckett’s suggestion we have decided to put the city into a self-regulated quarantine. For at least the next couple of hours, I need everyone to stay where they are, and report anyone moving freely through the halls. I hope you’ll understand. Thank you.
SHEPPARD: What the hell is this? (He rummages through his bag but can’t find what he wants. He turns to Teyla.) Did you bring your radio?


CORRIDORS. Rodney and the others are walking through the corridors.
FORD: Isn’t this the same section Johnson and Wagner were exploring?
McKAY: Yes.
FORD: So we’re retracing their steps.
McKAY: That’s right. Don’t worry, my motivations are based entirely on self-preservation.
PETERSON: Wait, wait, wait! Wait! Ford’s right. Doesn’t this increase our chances of getting infected?
(Rodney stops walking and turns to face everyone else.)
McKAY: Alright, let me spell this out for you, OK? If there is a bacterial agent and it is not airborne, then it should be relatively safe for us to look around as long as we take the proper precautions. However, if it is an airborne agent, then there’s a very good chance we’ve already been infected.
FORD: Well, shouldn’t we wait for Doctor Beckett to decide that?
McKAY: Those men were only down there for twelve hours. Even if they were infected right away, that’s an alarmingly short incubation period. Now, if anyone else is infected – as in, I don’t know, maybe us – seconds are gonna count, Lieutenant. Alright. (He holds out his hand.) Light. (Zelenka hands him a torch.) Let’s go. (He heads off again.)


LATER. The team come to a partially open doorway. Peering inside, Rodney sees that it’s a lab of some kind.
McKAY: Right, everybody stay here. Ford ...
FORD (who was already turning away): You just told me to ...
McKAY: Everybody except Ford stay here. You think I’m going in there by myself? Uh-uh. (He and Aidan squeeze through the doorway and go inside the lab. Their feet crunch through broken glass.) Don’t touch anything. (They go over to some large glass jars on a central table. Several of them are broken.) This is not good.


GYM. Teyla obviously did have her radio because John is now arguing with Elizabeth, who is still in the Control Room. She has Sergeant Bates with her.
SHEPPARD: I’m ranking military officer here.

WEIR: Yes, I’m aware of that, Major. You were off radio and we had to act quickly. Now, this is all protocol that was put into place long before this expedition began. Bates is here with me and we agreed this was the best plan of action.
SHEPPARD: Alright, alright. Teyla and I are coming up to join you.
WEIR: We’re in a self-regulated quarantine, Major. Everyone stays where they are.
SHEPPARD: We’re nearly a mile away on the east pier. D’you really think I’m in any sort of danger walking from here to the Control Room?
WEIR: At this point we don’t know where they contracted the virus. This is a medical situation, John. Only authorised personnel in hazmat suits are allowed to roam freely – those rules apply to everyone, including you.
SHEPPARD (slowly, as if explaining it to an idiot): Well, then, get someone to bring me a hazmat suit.
WEIR (starting to get angry): Everyone in hazmat is busy configuring the lab to deal with a possible outbreak. Now if an opportunity arises, I will send somebody to come get you, but in the meantime, radio contact will have to do.
SHEPPARD (frustrated): Alright. Just ... keep us in the loop.
WEIR: Will do.
(Irritated, John walks back to the bench and tosses his bag down. Teyla rolls her eyes slightly.)


ANCIENT LAB. The rest of Rodney’s team have now come in and are looking at the damage. Some of them have set up laptops.
ZELENKA: Any number of these smashed and open containers could have released the virus that killed Johnson and Wagner.
FORD: And how would something like that survive for all these years?
DUMAIS: Viruses can remain dormant for long periods.
ZELENKA: I’m hoping the answer will be found in the database. (He walks over to a console, where Rodney is already working.) OK, I think that we ...
McKAY (holding up his hand): Yes, yes, yes, yes, yes. It doesn’t appear to be networked in with the rest of the Ancient systems. In fact, if you look, it only contains information about the experiments that took place in this room. (He realises something and slaps his radio to activate it.) Weir, it’s McKay.
WEIR: Go ahead, Rodney.
McKAY: Where’s Beckett?
WEIR: He’s on his way. It takes some time to load a whole medical team into suits.
McKAY: Well, we seem to have stumbled across something that I find ... a little troubling.
WEIR: That’s not what I wanted to hear.
McKAY: I think we may have found an Ancient viral lab. Wagner and Johnson must have been exposed here. Now, it’ll take weeks to sift through all this data, and there’s no way of knowing whether the Ancients were just studying the viruses or actively creating them. (Behind him, Dumais looks up from her laptop, suddenly terrified.) Either way, the storm’s done quite a number on this place and I’ve got ... (Dumais starts whimpering in terror, staring at something only she can see. Rodney hears her and turns around.) Dumais. Dumais? (She holds up her hands to try to prevent whatever it is from getting to her.) Dumais!
(Dumais turns to look at Peterson standing beside her. She rushes towards him.)
DUMAIS: It’s all over you! (She starts flailing at him, trying to brush something off him.)
PETERSON: Dumais? Dumais! (He tries to fend her off.)
DUMAIS: They’re all over you! They’re all over you!
(Rodney rushes over and tries to pull her off Peterson. Zelenka comes over to help. Dumais screams and clutches her head, just like Johnson did, then grunts and starts to convulse.)
(Nearby, Peterson is watching what’s happening, then glances away and stares terrified at a wispy, Wraith-like apparition – except this looks a lot darker and scarier than the Wraith ‘ghosts’. He flinches away as it rushes towards him ... and then it disappears.)
(Meanwhile, Dumais is alternating between grunting in pain and screaming. With everybody distracted by her, Peterson turns and quietly slips away.)
(McKay and Zelenka lower Dumais to the floor. There is blood coming from her nose, mouth and ears. Zelenka checks her pulse, then looks up at Rodney and shakes his head. Nobody except the viewers hears Peterson’s footsteps receding as he runs away.)
McKAY (into radio): Tell Beckett to pick up the pace – I’ve just lost another member of my team!
(Aidan stares in disbelief at the scene before him, then looks around.)
FORD: Where’s Peterson?
McKAY: What?
FORD: Peterson!


LATER. Some distance away, Peterson is hurrying along a corridor. In the Control Room, Elizabeth and Sergeant Bates are looking at a screen which shows lifesigns movements in the corridors.
WEIR: Yes, OK, I think we have him. He’s trying to make his way back. It should be OK – Grodin is locking all the doors in the hallway and killing power to the entire section.
McKAY: You need to send someone to stop him.
WEIR: It’s under control, Rodney.
McKAY: No, Elizabeth, it’s not under control. He knows almost as much about Ancient technology as I do. At the very most, what you’re doing will just slow him down.
(Peterson has reached a sealed doorway. He has opened the door panel and is tinkering with the crystals inside. Moments later, the door opens a little. Painfully, he squeezes through the gap and continues on.)
(In the Control Room, Weir and Bates watch as Peterson’s signal moves on.)
WEIR: Where does that hallway lead?
GRODIN: Straight here.


Peterson reaches another sealed doorway and prises the cover off the door panel. He jumps as Elizabeth’s voice comes over the comm system.
WEIR: Peterson? This is Elizabeth Weir. Can you hear me? I can’t imagine how frightening this whole ordeal must be, but Doctor Beckett has reached the rest of your team and begun to treat them. (Peterson carries on working on the door panel.) Now, I think the best thing for you to do is to head back. If Beckett gives you a clean bill of health, we’ll make sure you get back to the city as soon as possible. (Peterson succeeds in getting the door to open a little. He squeezes through the gap. In the Control Room, Weir sees his signal move on. She turns to Peter.) Are you sure he can hear me?
GRODIN: Positive.
WEIR: Can you do anything to make it harder to get through those doors?
GRODIN: I can try. (He starts working on his console as Elizabeth and Bates anxiously watch Peterson’s signal getting closer to the Control Room.)


ANCIENT LAB. Beckett’s team has indeed arrived, each of them wearing hazmat suits. They are checking various people out. Carson is taking Rodney’s blood pressure.
BECKETT: Well, you seem perfectly fine.
McKAY: Well, Dumais seemed fine, right up to the point where she wasn’t.
BECKETT: I’ve had them set up a small field station down the corridor. We’ve already started the autopsies.
McKAY: Any ideas?
BECKETT: From what we can tell, you’re all in good shape, so I wouldn’t jump to any conclusions.
McKAY (irritably): Stop trying to convince me I’m fine, Carson. I think we all know better.
BECKETT: I was just trying to ...
McKAY: Are we done here?
BECKETT: Yes.
(Rodney pulls the blood pressure cuff off his arm.)
McKAY: I’m gonna see what I can get from the database. Let me know what the autopsy shows up.
BECKETT: Alright.
McKAY: Oh – and tell your pathologists to start with their heads.
(Carson nods and walks away. Rodney walks over to the Ancient console, but then stops and turns around slowly. He can see something flitting around the room. (We don’t see what it is, but Rodney’s head and eye movements indicate that he’s watching something.) Nearby, one of the medical team has put a thermometer in Zelenka’s ear. Zelenka sees what Rodney is doing and pulls his head away from the medic, looking at Rodney in concern. After a moment, Rodney stops seeing whatever it was and turns back to the console, but then turns back and looks nervously around the room before getting back to work.)


GYM. John and Teyla are sitting on the bench.
SHEPPARD (into radio): Someone has to do something.
WEIR: We are doing something. (In the Control Room, Peter is moving small glass plates on a console into different positions.) Grodin’s working on a plan to limit the door controls ...
SHEPPARD (interrupting): That’s not good enough. Someone has to go out there and stop him. Teyla and I are ready.
WEIR: Major, we’ve been ...
SHEPPARD (interrupting again): Peterson obviously isn’t thinking straight and he’s endangering the entire population of the city.
WEIR: We don’t yet know the nature of the virus we’re dealing with. This is still a medical situation.
SHEPPARD: Oh, we don’t have time for this. I’m heading out. (He stands up.)
WEIR: Grodin, seal the gym.
(Peter presses buttons on his console. As John walks towards the doors of the gym, they close just before he can reach them.)
SHEPPARD: What the hell is this?
WEIR: You said so yourself – you are the ranking military officer. I can’t chance you getting infected.
SHEPPARD: I can’t chance you getting infected. Bates?
BATES: Yes, sir.
SHEPPARD: Unlock the gym.
BATES: Yes, sir. (He walks towards the console.)
WEIR: Stand down, Bates. (Into comms) You are not in command here, Major.
SHEPPARD: Well, we’ll agree to disagree. Bates, open the door.
(Bates looks at Elizabeth for a moment, then steps forward again.)
WEIR (firmly): Don’t.
(Bates stops again.)
SHEPPARD: Elizabeth, he’s heading right for you.
WEIR: So we’ll stop him. We’ll talk him down, we’ll block his way, we’ll ...
SHEPPARD: Sergeant Bates, I am ordering you to open up the doors between the gym and the med lab right now.
(In the Control Room, Elizabeth and Bates commence a stare-down. Bates’ expression is resolute; Elizabeth is trying to look firm but she’s clearly afraid that he is going to disobey her in favour of his commanding officer.)
(In the gym, a few seconds later the doors slide open.)
SHEPPARD: We’re heading out. (He runs off. Teyla grabs her bag and follows.)
(In the Control Room, Bates is unsuccessfully trying to hide his smug expression.)
BATES: I’m sorry, ma’am.
WEIR: Doesn’t really matter now, does it?


FIELD STATION. Behind protective plastic sheeting, Doctor Biro is preparing to start her final autopsy. Just outside, the other two bodies are in body bags.
BIRO (into radio): Doctor Beckett, I have the preliminary autopsy results from the first two victims, sir.
BECKETT: Anything of interest?
BIRO: They both died of a ruptured sacular brain aneurysm – which, in itself, isn’t all that remarkable. I mean, sure, the chances of two people standing next to each other and dying of it is statistically improbable, yes, but it’s not the smoking gun we were hoping for, cos I know you said ...
BECKETT (interrupting): Get to the good part, Doctor Biro.
BIRO: Yeah, sorry, sir. (Standing next to Carson, Rodney twirls his hand in a ‘get on with it’ gesture.) What is truly interesting is that both ruptures happened in exactly the same place, right above the visual cortex.
BECKETT: And the third one, Dumais?
BIRO: Just getting to her now, sir. (She starts up a high-pitched drill.) I’ll let you know.
McKAY: She did say brain aneurysm, right?
BECKETT: That’s right.
McKAY: That’s the best news I’ve heard all day. Let me show you something.


MEDICAL LAB. John and Teyla are getting into hazmat suits.
TEYLA: You should not have undermined Doctor Weir’s authority in front of Sergeant Bates.
SHEPPARD: Sometimes Elizabeth makes a decision early on and gets locked into it. That’s a problem.
TEYLA: She is not the only one who suffers from that affliction.
(John looks at her, then rolls his eyes before activating his radio.)
SHEPPARD: Doctor Weir, this is Sheppard. Teyla and I are ready to head out. What’s Peterson’s location?
(In the Control Room, Elizabeth hears him but stares at a laptop and does not reply.)
SHEPPARD: Elizabeth.
(Elizabeth pauses for a moment longer, then speaks, her voice flat and emotionless.)
WEIR: He’s in section E19, level three.
(John puts his hazmat helmet on and looks at Teyla.)
SHEPPARD: Let’s head out.


SECTION E19, LEVEL 3. Peterson is working on another door panel. The door opens a fraction and Peterson struggles to push it open wide enough to be able to squeeze through. After a second, however, he stops pushing and turns around, terrified, as a dark, misty, ghostly figure rushes towards him. There’s a hint of a skeletal face in the mist. The ghost is emitting a high-pitched screech. Peterson screams and tries to fend it off. A moment later, however, he stops screaming and looks around nervously – the ghost is gone. He gets back to forcing the door open and squeezes through. He looks back briefly into the hallway he just left to see if the ghost is still around but there’s no sign of it. He runs off.


ANCIENT LAB. Rodney opens a laptop and shows the screen to Carson.

McKAY: I’ve read the entire entries – it’s incredibly long, but this looks like our guy. Six hour hibernation, reoccurring visions, and best of all, so I’ve left it til last, brain haemorrhage, or aneurysms.
BECKETT: That definitely sounds familiar.
McKAY: Maybe there’s something in here about how to ... (He trails off and looks up, afraid. The dark ghostly mist comes out of the wall behind Carson. Rodney screams and ducks down. Everybody turns round to look at him. Rodney straightens up again, looking around the room, but there’s no sign of the ghost. His voice is a whimper as he speaks.) Sorry.
BECKETT: Rodney?
McKAY (reluctantly): I’ve been seeing things.
BECKETT: Since when?
McKAY: About an hour. First you think it’s just your eyes playing tricks on you but eventually ...
(Hays, recognising what Rodney is describing, steps forward.)
HAYS: ... they get worse.
McKAY: You too?
(Hays nods and looks at Carson.)
HAYS: They come right at you.
McKAY: It’s like a ghost.
ZELENKA: I’ve been going over the survey schedule. Johnson and Wagner started off on their own, but then crossed paths with Dumais an hour later.
BECKETT: Dumais died almost exactly an hour after Johnson and Wagner. Who did they meet up with next?
ZELENKA: My greater concern is who Dumais met up with next.
BECKETT: Dumais? Who’d she run into?
(Zelenka lowers his head for a moment, then looks at Rodney.)
McKAY: Me. She ran into Hays ... and me. We’re next.


CORRIDOR. Peterson gets another door open. As he walks through, John and Teyla are waiting on the other side. Both of them are armed.
SHEPPARD: Doctor Peterson, I presume.
PETERSON (raising his hands): I’m not going back there.
SHEPPARD: You don’t have much of a choice. (Peterson starts to back away, looking back the way he came for an escape route.) Easy.
PETERSON: I go back there, I get infected, that’s murder.
TEYLA: Once we ensure that you are not infected, you will be allowed back into the city. Until then, you are a threat to the rest of the population.
PETERSON: You won’t shoot a member of your own team. (He lowers his hands and starts to walk towards John and Teyla.)
SHEPPARD: Peterson. (He raises his P90. Peterson stops and raises his hands again.) You will not be allowed to go back to the city.
PETERSON: OK, wait, wait, wait a second. Take me back to the medlab, just quarantine me there. I’ll go voluntarily – just please don’t make me go back there. (He indicates the direction he just came from.)
(John and Teyla look at each other.)
PETERSON: Really, I’m-I’m fine. (He lowers his hands and tries to look calm.) I’m fine. I feel perfectly fine.
SHEPPARD (into radio): Doctor Weir, this is Sheppard. Peterson has agreed to go back to the medlab until we can get this situation resolved.
(While he’s talking, Peterson looks around and sees a transporter room just feet away, and the door is open. He runs towards it.)
SHEPPARD: Stop!
(As Peterson hurls himself into the transporter room, John fires several short bursts from his P90 at the transporter doors to try to stop them from closing but to no avail. At least one of the bullets hits Peterson in the arm, who cries out and collapses to the floor just as the doors finish closing.)
(The transporter doors open again and Peterson hauls himself painfully to his feet and stumbles out ... into the Mess Hall. Clutching his injured arm, he staggers up some steps, groaning, then collapses to the floor. Everybody rushes over to him.)
MAN 1: My God, is he alright?
WOMAN 1: Oh, my God!
MAN 2: He’s been shot!
WOMAN 2: What’s going on?
(There is general hubbub as they carefully turn him over onto his back. Suddenly an alarm starts sounding over the comm system.)
(Back in the corridor, John and Teyla rush into the transporter room but just as John reaches for the control panel, a hatch closes over it. The alarm continues to sound.)
(In the Mess Hall, a similar hatch closes over the transporter room control panel and the doors close. All the exit doors start to close.)
(In the Control Room, the doors are closing on all levels as the alarm continues.)
WEIR: What’s going on?
GRODIN (trying to work his console): Ancient controls are unresponsive.
BATES: I’m getting reports that Peterson transported into the Mess Hall.
SHEPPARD (from the transporter room): For some reason, we can’t follow him.
GRODIN: The city has taken over – put us into a lockdown.
WEIR: Override it.
GRODIN: I can’t! Atlantis must be designed to respond to outbreaks automatically. The city initiated a lockdown when Peterson transported out of the east side.
WEIR: Why now? Why not when Johnson and Wagner became infected?
GRODIN: The city’s detection systems might have been affected by the flooding in those areas. Once Peterson entered the Mess Hall, the pathogen was almost instantly detected by automated systems and the city protected itself.
WEIR: Alright, what are my options?
GRODIN: Limited. As of now, we’re completely locked out of the mainframe.


ANCIENT LAB. Rodney and Hays are being hooked up to heart and blood pressure monitors.
McKAY: Is this really necessary? I am about to die of a brain aneurysm – how does being attached to a heart monitor help?
BECKETT: If you die like the others, we’ll have a better idea of how. (He smiles sarcastically.)
McKAY: At that point, I will cease to care.
FORD: There are a lot of other people that live in the city, man.
McKAY: Yes, the living.


CORRIDORS. John and Teyla are walking along. As they walk past a door, it opens automatically.
SHEPPARD: Thought we were in a lockdown? Why’d that open up for us? (Into radio) Weir, this is Sheppard. Were you able to get the transporters online or not?
(Elizabeth looks round at Peter, who shakes his head.)
WEIR: Doesn’t look promising. Atlantis itself seems to have somehow sensed a threat and taken over most of the controls.
SHEPPARD: So it shut down the transporters?
WEIR: That’s right.
SHEPPARD: Well, I wish we would’ve thought of that.
WEIR (furiously): We did think of that, Major. That entire section had to be powered up for you to open the door to Peterson. In fact, if you hadn’t gone after him, he wouldn’t have been able to use the transporters. D’you still feel it was a good idea?
SHEPPARD: Where’d he transport to?
WEIR: The Mess Hall. Thankfully everyone else respected the quarantine – there’s only a handful of people there.
SHEPPARD: Alright, you’ve made your point.
WEIR: Make your way back to the city. Wait in Beckett’s lab for further instructions.


FIELD STATION. Doctor Biro has finished her autopsy of Dumais.
BIRO (into radio): Doctor Beckett.
BECKETT (over radio): Any progress, Doctor Biro?
BIRO: Just finished Dumais’ autopsy. Would it surprise you to learn she died of a ruptured brain aneurysm above the visual cortex, sir?
BECKETT: No, it wouldn’t. Thank you, Doctor.
BIRO: Didn’t think so.
BECKETT (to Rodney): You know, the position of the rupture could explain your visions. Swelling in that area before the breakage could absolutely account for the hallucinations.
McKAY: I’m no MD but wouldn’t brain swelling on the visual cortex just mean that we experience washes of colour or weird visual anomalies?
BECKETT: It would depend on the person.
McKAY: Yeah, that’s my point. All of our visions are so similar. If they’re the result of arterial swelling, wouldn’t the visions we experience be more random?
BECKETT: Most likely, yeah.
McKAY: Well, the things we’re seeing are pretty damn identical!
(Behind them, the beep rate on Hays’ heart monitor begins to speed up.)
BECKETT: And you think it might have something to do with the nature ...
McKAY: There’s a good chance ...
HAYS: No! Noooo! (He starts slapping at himself, trying to get something off him. A couple of medics try to restrain him.)
McKAY: Hey! It’s not real, remember? It’s not real!
HAYS: No! No! (He continues to flail at the unseen ghosts. His heart rate increases drastically.) They’re coming right at us! Can’t you see them?! (He struggles with the medics who are trying to restrain him. He starts to fall to the floor.)
BECKETT: [Transcriber’s note: Sorry, but I really cannot work out what he says here!]
McKAY: Don’t say fine – he’s not fine! Do something!
BECKETT: There’s nothing to do!
(Abruptly, Hays’ rapid heartbeat stops altogether and the monitor emits a single long tone. Carson rushes over to Hays and starts to administer CPR as a medic puts an airbag over Hays’ nose and mouth.)
BECKETT (counting chest compressions): One, two, three, four, five. (He stops, and the medic pumps air into Hays’ lungs. Carson starts compressions again.) One, two, three, four, five.
McKAY (angrily): Stop! It’s not his heart. Just ... (his voice fades into grief) stop.
(Carson and his team stop their work. The medic lifts away the airbag from Hays’ face and we see that he too has blood coming out of his mouth and nose. Carson stands up and turns to face Rodney, whose expression is one of resignation combined with fear. A medic turns off Hays’ heart monitor. Nearby, members of Rodney’s team are clustered together for comfort. One of the women is in tears. Aidan looks at Rodney.)
FORD: How are you feeling?
McKAY: I’m ... I’m ... Listen, I have a sister. We’re not close – I don’t even know how you’d find her.
FORD: Don’t talk like that.
McKAY: She’s the only family I really have, so someone should tell her what happened. And, uh, make it sound good, OK? (He allows himself a small smile for a moment.) Tell her I ... I died saving someone ... kids! I died saving kids – a bunch of them. Nelenka ... (Zelenka shrugs at Rodney getting his name wrong again, but says nothing.) I’ve got some theories on looping the power on the Gate to charge a dummy ZedPM. It probably won’t work but-but you should have someone look at it cos it might lead somewhere else.
ZELENKA: We’ll look at it together.
McKAY (angry, but also on the verge of tears): Look, you seriously have to stop interrupting my last thoughts. I mean, this is important stuff you need to hear. (He looks round and sees that he has got everybody’s attention. Zelenka nods at him to continue.) Now – if you’re here for more than a year, I’ve left some notes on how to roll blackouts to effectively maintain your power requirements and-and, oh, tell everyone that I was, I was inches away from a Theory of Unification but uh, uh, the notes, they were lost when I died saving the ...
ZELENKA: ... kids.
McKAY: Yeah. (He pauses and looks around the room, expecting the ghostly visions to start. He turns around slowly and stares towards the ceiling, but still the ghosts don’t come. After a long moment ...) OK. I should be dead now.
(Carson walks over to him.)
BECKETT: You ran into Dumais at the same time?
McKAY: Exactly the same time.
BECKETT: Then, yes, you should be dead.
McKAY (looking around as he realises that he isn’t dead): Oh, God! (He looks round at Ford and Zelenka.) I’m still here! (He smiles in disbelieving delight.)
FORD: Yes you are.
ZELENKA: Interesting.
McKAY: “Interesting”?!
BECKETT: Don’t take this the wrong way, but ...
ZELENKA: ... why?
BECKETT: Exactly.
McKAY: Well, I don’t care. (He turns to Carson and smiles in relief.) I mean, I really don’t care!
(Carson smiles and pats him on the arm.)


CONTROL ROOM. The place is a hive of activity as various technicians use laptops to try to hack back into the mainframe. Elizabeth is watching all the hubbub as John reports in over the radio.
SHEPPARD: Doctor Weir?
WEIR: Yes, Major?
SHEPPARD: We’ve reached the city, but we haven’t hit the city’s quarantine. Are you sure it’s locked you out?
WEIR: Pretty sure. I can’t even get into my office.
SHEPPARD: Hasn’t given us any trouble yet.
GRODIN (suddenly realising something): Hazmat suits – they’re protected.
WEIR: What?
GRODIN: The city must be capable of sensing they’re in no danger of infection. It makes sense, actually – this way, Atlantis allows protected personnel to assist the infected.
TEYLA: If that is the case, we should make our way to the Mess Hall. I imagine everyone there will be very scared and confused.
WEIR: I agree. Get to the Mess Hall and report back.


FIELD STATION. Doctor Biro and her team are conducting an autopsy on Hays. Carson and Rodney stand nearby.
BECKETT: Are you certain you really wanna see this, Rodney?
McKAY: It’s too accurate. How could something organic be that efficient?
BECKETT: Again, we’re in the middle of another galaxy. Just because it’s out of the ordinary for us doesn’t mean it’s not commonplace here.
McKAY: No, no, no, I don’t buy that. Most of the habitable planets we’ve encountered thus far are-are-are carbon copies of Earth in terms of environmental conditions. (Carson nods his agreement. Rodney is then struck by a thought and snaps his fingers a couple of times.) Unless ... (He rushes off.)
BECKETT (to the autopsy team): I’ll be back. (He hurries off after Rodney.) Wait up, Rodney!


ANCIENT LAB. Rodney has led Carson back to the lab.
McKAY: Incubation to completion is exactly six hours. The visions are identical for all the infected, and the location of the aneurysm is the same for every single deceased. (He opens up a laptop and shows Carson a display. Carson stares at it in dread.)
BECKETT: Is that what I think it is?
McKAY: It’s a nanovirus. One manufactured to kill humans.


LATER. Rodney is reporting to Elizabeth via radio.
WEIR: A nanovirus.
McKAY: That’s right.
WEIR: OK, let’s pretend I don’t know exactly what that is.
McKAY: Nanotechnology – it’s, uh, technology that operates on a nanite scale. It’s around, uh, around a billionth of a millimetre.
BECKETT: Basically, they’re microscopic machines that are able to carry out very specific tasks suited for their size.
McKAY: It’s the whole idea of being able to swallow a pill and having a million little robots go to work and cure whatever ails you.
WEIR: You’re all infected with microscopic machines?
McKAY: Yeah, they’re no bigger than a single-celled organism – although instead of having a sole purpose of curing a disease or mending a blood vessel ...
BECKETT: ... the virus is programmed to terrorise its victims by tapping into their visual cortex and then rupturing an artery in their brain ...
McKAY: ... infecting others along the way as they can.
BECKETT: There’s one good thing: I doubt they can multiply. I don’t know how many nanites it takes to kill a human but eventually I imagine they’ll spread themselves too thin.
WEIR: Could it be Wraith?
BECKETT: That would definitely be my first guess.
McKAY: I’m not so sure about that.
BECKETT: But the visions; the shrill sound you told me they make when they ...
McKAY: I’ll give you that they’re equally terrifying, but why would the Wraith even create the equivalent of a WMD? They’re killing us, not because they sadistically want us dead, but because they need to consume us for food. Look – it would be like the equivalent of cattle farmers creating mad cow disease. I don’t buy it.
WEIR: You did come across it in an Ancient lab.
McKAY: What, so wiping out the Wraith’s food supply was a last-ditch consideration?
BECKETT: I don’t believe that for a moment. The Ancients would never create something like this.
McKAY: It doesn’t explain the visions either.
WEIR: OK, for the moment, who built the virus is really the least of our concerns.
McKAY: Good point.


MESS HALL. John and Teyla have arrived. John is looking at Peterson’s body, which is lying on a table with blood coming from his nose. Teyla is trying to explain the situation to the others.
TEYLA: We have yet to determine how one contracts the virus. It is very possible that none of you have been infected.
LIEUTENANT CROWN: Then why are you in hazmat suits?
TEYLA: Just as a precaution.
(Rodney contacts John by radio.)
McKAY: Major Sheppard, this is McKay.
SHEPPARD: What is it?
McKAY: I could use your help at my lab.
(John looks round at Teyla, who is being bombarded with nervous questions.)
TEYLA: Go. I will be fine.
(John leaves. The others cluster round Teyla, still firing questions at her.)


LATER. Rodney and Carson are explaining things to Elizabeth.
McKAY: Hays and I were infected at the same time. There’s only one thing that explains why I survived.
BECKETT: Rodney has the Ancient gene; Hays did not.
WEIR: But Rodney is not an Ancient.
BECKETT: Aye, but he’s been inoculated with the ATA gene.
WEIR: You’re saying the virus is designed to only kill humans?!
McKAY: Well, I’m human!
BECKETT: Yes, yes, we’re making a point, Rodney.
WEIR: So we give everyone the gene therapy.
McKAY: No – it’s not gonna do it.
ZELENKA: I’ve already been given the gene weeks ago – it didn’t take.
McKAY: I know. I’m already on it.
ZELENKA: The gene therapy is only effective in forty-eight percent of recipients.
FORD (to Beckett): If I was given the gene shot right now, how long would it take to kick in?
BECKETT: A minimum of four hours.
FORD: I don’t have four hours! I met up with McKay and Hays ninety minutes after they met up with Dumais. I have (he checks his watch) a little under an hour before my brain explodes.
BECKETT: Aidan, listen to me. You’ve been up for almost twenty hours now – you’re not thinking straight. Just try to stay calm.
FORD: Calm?! You told me I have a million tiny robots running through my veins whose only purpose is to terrorise and kill me. You stay calm!
ZELENKA: We are about to have hallucinations. We are infected, Carson – how do you expect us to act?!
FORD: There’s gotta be another way.
McKAY: I have already told you – I am working on it.


LATER. John has reached Rodney’s lab.
SHEPPARD: Alright, McKay, I’m here.
McKAY: D’you see it?
SHEPPARD: Is it the big thing in the middle of the room?
McKAY: Yeah, that’s the one.
(We see part of the piece of equipment that John is looking at – it is covered with yellow and black hazard strips, together with “Warning” and “Caution” stickers.)
SHEPPARD: Should I pay attention to all these warnings?
McKAY: Not today, no.
(The camera pulls back and we see that the device is an EM pulse generator [though it’s smaller than the one we last saw Rodney playing with in the SG-1 episode “Redemption part 2”].)
FORD: What are you gonna do?
McKAY: Well, small as they are, the nanovirus is still effectively just a machine run by a computer. The best way to knock out a computer is with an electromagnetic pulse. Thankfully, that’s something we can do.
(In the Control Room, the technicians are shutting down all the laptops and disconnecting them from the mainframe.)
WEIR: We’re about through shutting down all the electronic gear we brought from Earth. We’re still locked out of the Ancient controls, though. There’s no way to power them down.
McKAY: Well, it’s not gonna be necessary. Ancient technology works differently than ours. An EM pulse shouldn’t have any long-lasting effect on ‘em.
GRODIN: We’re ready.
WEIR: We’re all set, Rodney.
McKAY: OK. Here we go.
WEIR: Wait! How’re we gonna know if it works?
SHEPPARD: Well, Sheppard’s dialling up the most powerful pulse the generator can manage. It probably won’t make it all the way down here but it should affect most of the central tower. I imagine once it wipes out the virus, the city should return control of it to you and end the lockdown.
FORD: It won’t make it here?
McKAY: If the pulse works, it will simply be a matter of walking you down to my lab, sitting you down in front of the EMP and repeating the process. (Into radio) Major?
SHEPPARD: It’s working. (We see that the generator is spinning up to speed.) When should I hit the discharge button?
McKAY: OK – there should be a red overload light.
SHEPPARD: Yeah, I see it.
McKAY: Wait til it comes on, give it a good ten count, and then discharge.
SHEPPARD: A ten count?!
McKAY: Don’t worry – I’ve probably been around more EMPs than anyone.
SHEPPARD: This is gonna be, uh – I’m gonna be fine, right?
McKAY (rather sarcastically): Yes. That’s a yes – you’ll be fine.
(In Rodney’s lab, the overload light comes on. John flips open the cover to the discharge button, moving his lips as he silently counts off the seconds. Then he pushes the button. The generator whooshes as it discharges.)
(In the Ancient lab, Rodney is waiting impatiently.)
(In Rodney’s lab, the generator is powering down, then stops. John looks around expectantly.)
(In the Control Room, everyone is waiting.)
McKAY (over comms): Anything?
WEIR: Is it possible it might take some time?
McKAY (sighing): Doubtful.
(Peter turns to his console and starts trying to active it.)
McKAY: Are you still locked out of the Ancient mainframe?
(Peter turns to the screen that shows the mainframe, but there’s no response from it. He turns to Elizabeth and shakes his head.)
WEIR (to Rodney): Got any other ideas?
(Rodney has no reply. Aidan checks his watch anxiously.)
FORD: Twenty-nine minutes.


MESS HALL. The people locked in there are either milling around talking with each other or sitting at the tables. Suddenly one of the marines sitting down looks up in terror, jumps to his feet and starts backing away, whimpering and terrified. Almost immediately, everyone else in the room starts reacting to his or her own visions. Chaos reigns as they all run around the roam, flailing at the ghosts they think are attacking them. Lieutenant Crown runs over to Teyla.
CROWN: It didn’t work! It didn’t work!
TEYLA: It is still unclear.
CROWN: What’s unclear? Either it worked or it didn’t!
TEYLA: They are trying to determine ... (She trails off as Crown stares at her in terror.)
CROWN: They’re everywhere!
TEYLA: You are experiencing a hallucination.
(Crown starts flailing at Teyla, trying to get the ghosts away from herself. She pushes Teyla over the top of a table. Glass smashes as the table falls over, then Crown and Teyla crash down on top of the broken glass. Teyla tosses Crown away from herself, then looks down and realises that the arm of her hazmat suit is gashed and her arm is exposed to the air.)
CROWN (seeing what she’s done): Oh, my God!


RODNEY’S LAB. John has apparently been following some instructions from Rodney.
SHEPPARD: I’ve already tried that – it’s blown.
McKAY: That is before we re-set the sub-switch.
SHEPPARD: Well, maybe we shouldn’t have overloaded it so much.
McKAY: Look, it’s fixable, it’s fixable – we just need to use a little trial and error.
SHEPPARD: Look, even if we get this thing working, who’s to say the pulse is gonna get any bigger? Ford and Zelenka have twenty minutes before their arteries rupture. Are you sure an EMP will kill this thing?
McKAY: Yes.
SHEPPARD: Alright. I have an idea. (He hurries out of the lab.)


GENERATOR ROOM. John has gone to where one of the naqahdah generators is running.
SHEPPARD (into radio): What do you mean, no?
WEIR: It’s too dangerous.
SHEPPARD: You’d rather lose a third of our population?
WEIR: We’re not there yet, Major.
SHEPPARD: We are there! Ford and Zelenka are next. The people in the Mess Hall have a little over three hours. This is a full-blown outbreak. People are gonna keep dying unless we do this.
McKAY: Even if we were able to get the EMP generator back online, the chances are slim that we would ever be able to get it powerful enough.
WEIR: Can we bring the infected to the generator?
GRODIN: We can’t. The city won’t let infected personnel through any of the doors.
McKAY: The major is right – the only way to create an EMP strong enough to wipe these little guys out is to ...
WEIR: ... to detonate a nuclear explosion in the atmosphere! Yes, I heard the first time!
McKAY: I know it sounds severe but if the major was able to overload a naqahdah generator twenty miles above the city, it would be perfectly safe from a radiological standpoint and the ensuing blast would be capable of creating a devastating electromagnetic shockwave – definitely enough to knock this virus out.
GRODIN: Hopefully without destroying all our own computer equipment!
SHEPPARD: It’s worth the risk.
(Elizabeth thinks about it for a moment.)
WEIR (somewhat reluctantly): OK. You have a go.
(John lifts the control mechanism on the top of the naqahdah generator, twists it through ninety degrees and lowers it back down into place. The generator shuts down. John detaches its connecting cables, closes the generator down to make it more compact, lifts it up and carries it away.)


JUMPER BAY. John takes off in one of the Puddlejumpers.


LATER. PUDDLEJUMPER.

SHEPPARD: I’m almost in position.
WEIR: Understood. Would the EM pulse have any effect on the Puddlejumper?
SHEPPARD: I’m hoping not. Either way, I’m more worried about the shockwave.
WEIR: Good luck.
SHEPPARD: You too.
McKAY: You’re only gonna have thirty seconds once you release it before it explodes. You need to get as far away as you can.
SHEPPARD: Get as far away from the nuclear explosion as possible – that’s good advice, Rodney, thanks!
McKAY: You’re welcome.
SHEPPARD: I’m releasing the generator ... now!
(Twenty miles above the planet’s surface, the naqahdah generator is jettisoned out of the top of the Puddlejumper. The Jumper immediately goes into a steep dive and heads away from the generator.)


CONTROL ROOM. Peter starts the countdown.
GRODIN: Detonation in twenty-five seconds.


MESS HALL. The crew’s hallucinations have ceased temporarily. They’re all listening to Peter’s announcements.
GRODIN: Twenty seconds.


ANCIENT LAB. Rodney, Carson and the others are waiting nervously.
GRODIN: Fifteen seconds ... Detonation in ten, nine, eight, seven, six ...


PUDDLEJUMPER. John is racing to get away from the impending explosion. He looks very scared.
GRODIN: ... five, four, three, two, one.


ABOVE THE PLANET. The naqahdah generator explodes. The Puddlejumper is buffeted violently by the enormous shockwave.


ATLANTIS. Above the city, the night sky turns a brilliant white. All around the base, anybody near a window flinches away from the light.


CONTROL ROOM. The light fades.

WEIR: Major Sheppard, come in. (No response.) This is Weir – please respond.
GRODIN: Communications may have been disrupted by the blast.
WEIR: Major, do you read me? (There is no response.)
(All around the base, people look concerned. Finally, after several seconds ...)
SHEPPARD: This is Sheppard. I’ve cleared the blast – I’m returning home.
WEIR: I’m glad to hear it, Major.
SHEPPARD: Did it work?
WEIR: We’re about to find out. (She walks over to Peter, who activates controls on his console, then turns anxiously towards the mainframe screen. After a moment, the screen flashes.)
McKAY: You should know almost right away.
(In the Control Room, doors start to open. The technicians run to their laptops and start opening them.)
McKAY: The pulse only lasts a couple of microseconds and then ...
WEIR: The city’s already ahead of us, Rodney. You have a green light to return.
(In the Ancient lab, Rodney claps his hands together in relief. Various team members hug each other. Rodney shakes hands with Zelenka. Aidan and Carson hug, then Aidan goes over to Rodney and hugs him too.)


LATER. WEIR’S OFFICE. Elizabeth and John are in there.
WEIR: Are you OK?
SHEPPARD: Yeah, just a little nuke – nothin’, really.
WEIR: The naqahdah generator plan was very clever. Good work.
SHEPPARD: Thank you. Now, I’m going to bed. (He stands up to leave.)
WEIR: We need to discuss what happened earlier.
SHEPPARD (turning round wearily): Now?
WEIR: That can never happen again.
(John looks at her for a moment, then comes back to the desk and sits down.)
SHEPPARD: Look, I’m sorry about ...
WEIR (interrupting): I understand your expertise in military matters and I agree that I should defer to those expertise in such situations.
SHEPPARD: Thank you!
WEIR: But you are not the one who decides what is and what is not a military situation. Now, both General O’Neill and Colonel Sumner warned me that you don’t respect the proper chain of command.
SHEPPARD: Well, sometimes I see a situation a little different than ...
WEIR: No. Listen to me, John. Now, you endangered yourself and the lives of many others.
SHEPPARD: Because I thought it was the best course of action to take – and, by the way, I saved your ass.
WEIR: I know you did – but you have to trust me.
SHEPPARD: I do!
WEIR: Do you?
(Rodney and Carson come in.)
McKAY: You guys have a minute? We’ve been able to spend some, uh, quality time with the, uh, nanovirus samples.
BECKETT: From what we can tell, they’ve all been incapacitated.
WEIR: Well, that’s good news.
McKAY: Yes. Also, upon further investigation, I think we can rule out that they were created by the Wraith. They’re different than any Wraith technology we’ve come across thus far.
SHEPPARD: If not the Wraith, then who made ‘em?
McKAY: I honestly don’t know – but whoever they were, let’s just hope that they’re not still around.
WEIR: Let’s hope.

End




Source : www.twiztv.com/scripts/atlantis
Transcript by Callie Sullivan

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choup37, 19.04.2024 à 19:45

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