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#115 : Le grand sommeil

Aujourd'hui sur Atlantis c'est l'anniversaire du Docteur Elizabeth Weir, et bien qu'elle ne l'ait dit à personne, le Major John Sheppard lui offre une jarre en céramique que les Athosiens lui ont confectionné tout spécialement pour cet événement. Après lui avoir offert ce cadeau, le Major accompagné du Lieutenant Aiden Ford et de Teyla partent tous trois explorer des parties de la Citée encore inconnues à ce jour. Après qu'ils aient un peu marché, ils trouvent un laboratoire Ancien avec des sortes de chambres de stases. Incroyablement, l'une de ces chambres semble contenir une personne apparemment très vieille mais toujours en vie. Ils se dépêchent donc d'appeler le Docteur Carson Beckett pour qu'il vienne vérifier son état de santé, et il en déduit qu'elle serait âgée d'environ cent années. Techniquement parlant, selon le Docteur Rodney McKay cette femme serait dans un état de stase métabolique. Toujours d'après McKay et de ce qu'il peut voir dans la base de donnée de la citée, cette femme serait dans cette chambre de stase depuis dix mille ans ! Malgré que le Docteur Carson Beckett affirme que le fait de la réveiller pourrait la tuer, le Docteur Elisabeth Weir donne l'ordre de la sortir de cet état de stase, car elle espère en apprendre plus sur les Anciens grâce à cela. À l'infirmerie, Weir est très étonnée quand la vielle femme arrive à reconnaître tous les membres de l'expédition sur Atlantis. Cela parait d'autant plus étonnant que la vielle femme prétend être le Docteur Elizabeth Weir en personne…

Popularité


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Titre VO
Before I sleep

Titre VF
Le grand sommeil

Première diffusion
18.02.2005

Première diffusion en France
08.07.2005

Plus de détails

Scénariste(s) : Carl Binder

Réalisateur(s) : Andy Mikita

Guests : Gildart Jackson (Janus), Paul McGillion (Dr. Carson Beckett), Craig Veroni (Dr. Peter Grodin), David Nykl (Dr. Radek Zelenka), Holly Dignard (Dr. Elizabeth Weir agée)

Elisabeth Weir prend l’air sur un balcon, quand le Major John Sheppard la rejoint. Ce dernier part avec une équipe pour explorer la cité. Mais avant de partir, il lui offre un cadeau pour son anniversaire.

Sheppard explore les différentes zones, lié par radio à Rodney resté en salle de contrôle. Mais au détour d’un couloir, Ford découvre un laboratoire. John et Teyla le suivent. Les systèmes se rallument et ils découvrent une femme dans un caisson de stase.

Weir et Rodney les rejoignent. Ce dernier pense qu'ils doivent la sortir de là, mais le Dr Beckett s’y refuse. Selon les indications disponibles, elle serait là depuis dix mille ans. Rodney pense qu'ils ont l’opportunité de parler à une Ancienne. Ses arguments font mouche, et Weir leur ordonne de la ranimer.

Quelques minutes plus tard, Beckett surveille les signes vitaux de cette femme. Il trouve sur elle un message qu'il remet au Dr Weir : il s’agit de coordonnées planétaires. Soudain la femme se réveille. Avant de replonger dans un sommeil profond, cette dernière dit : «ça a marché».

   

Weir rejoint John et Rodney en salle de contrôle. C’est alors que Beckett les appelle. Sa patiente s’est réveillée et tient de drôles de propos.

Une fois à l’infirmerie, Carson met Elisabeth et Rodney en garde car selon lui cette femme sait beaucoup de chose sur eux. Weir s’approche d’elle. La femme se dit heureuse de les retrouver, avant d’affirmer qu’elle est le Dr Elisabeth Weir.

En salle de réunion, Weir fait part des informations que la femme a révélé au reste de l’équipe. Elle prétend avoir voyagé dans le temps jusqu’à l’époque où les Anciens vivaient encore dans ces murs. McKay n’y croit pas une seconde, car le voyage dans le temps, bien que théoriquement possible, est une chose dure à maîtriser. Beckett entre alors avec les résultats des tests ADN : il s’agit bien du Dr Weir.

A l’infirmerie, Weir attend que la patiente se réveille. Rodney l’informe alors qu’à leur arrivée, la cité a essayé de la réveiller, en vain faute d’énergie disponible. Lorsqu’elle se réveille, Rodney la harcèle de question. Elle raconte alors son histoire. Lors de l’arrivée de l’expédition sur Atlantis, il se produisit un accident. Le début est similaire à celui que vécut l’expédition. Mais elle dit que les choses ne se sont pas si bien passées la première fois.

Dans son bureau, Weir demande au docteur Carson s'il ne peut pas améliorer la santé de sa patiente. Mais ce dernier est réticent car le moindre traitement peut lui être fatal. Cependant Weir sait se montrer persuasive et Carson accepte.

   


Quelques instants plus tard, Weir vient chercher la femme à l’infirmerie. Après une petite visite, elle l’amène en salle de réunion. Là, elle exprime son soulagement de voir la cité au milieu de l’océan. Elle raconte alors la suite de l’arrivée de l’expédition. Comme l’expédition actuelle, ils découvrirent que la cité était immergée à plusieurs mètres de profondeur. Mais le bouclier n’a pas résisté et l’eau s’est engouffrée dans toute la cité, sans que celle-ci n’émerge. Pendant que les scientifiques essayaient d’ouvrir un passage vers un autre monde, Sheppard, lui, se dirigeait vers le hangar à vaisseau. Une fois sur place, il informa Weir qu’un des vaisseaux était différent des autres. L’eau s’infiltra dans la salle de contrôle en quelques secondes. Elle explique alors que le système d’immersion n’existait pas lors de sa venue. Puis elle poursuit son récit. Elle, Zelenka et John étaient coincés dans le Jumper. Sheppard appuya sur la console et ils se retrouvèrent en orbite autour de la planète, attaqués par plusieurs darts. Mais soudain l’état de santé de la femme se dégrade.

A l’infirmerie, Elisabeth veille toujours à son chevet. John la rejoint et ils discutent un peu. McKay arrive et confirme que le Jumper servait à voyager dans le temps. La patiente se réveille et reprend son récit. Le vaisseau était attaqué par des darts. Puis elle se réveilla dans la cité, il y a dix milles ans. Un certain Janus la soigna et s’occupa d’elle. Le vaisseau fut abattu et récupéré au fond de l’océan. Il lui expliqua que ce Jumper était une machine à voyager dans le temps construit par ses soins. Une fois remise sur pied, Janus la présenta au Conseil des Atlantes. Janus était très enthousiasmé, mais pas le reste du Conseil. Ils lui parlèrent des Wraiths, et de leurs efforts vains pour négocier une paix avec eux. Le Conseil lui proposa de revenir sur Terre avec eux, mais Weir voulait trouver une solution pour repartir dans le futur et sauver la cité.

   

Quelques temps après, Carson les informe de la dégradation de la santé de leur visiteur. La femme poursuit son histoire. Janus était devenu son allié, mais le conseil ne voulait rien entendre. Cependant, Janus ne voulait pas s’avouer vaincu. Il a donc mis au point un plan dans le dos du Conseil : utiliser les E2PZ séparément pour permettre un prolongement de la durée du bouclier. Cependant, quelqu'un devait rester sur place pour les permuter. En orbite, les Wraiths attaquaient de plus en plus violemment les Anciens qui tentaient de fuir. Moros ordonna alors l’évacuation totale de la cité.

Durant la nuit, Elisabeth ne bouge pas de l’infirmerie. A son réveil, la vieille femme reprend son récit. Janus avait préparé le caisson de stase pour elle. Ce dernier devait se réactiver à écart régulier pour qu’elle puisse changer les E2PZ. De plus, par sécurité, il avait mis en place un système permettant à la cité de remonter à la surface en cas d’insuffisance d’énergie. Puis les Anciens abandonnèrent la cité. Elle plongea la cité dans un long sommeil, avant de se mettre en stase. Puis régulièrement, elle se réveillait pour changer les E2PZ. Elle parle ensuite des coordonnées : cinq avant postes disposant d’E2PZ, avant de s’éteindre.

Quelques temps plus tard, Weir répand ses cendres depuis le balcon de la cité. Sheppard vient alors la chercher pour le briefing.

                                                                    STARGATE ATLANTIS
                                                                     Saison 1 épisode 15
                                                                             SCRIPT VF
                                                                « LE GRAND SOMMEIL »



Elizabeth est sur la terrasse, John Sheppard la rejoint.

SHEPPARD : Ah, vous voilà !

DR WEIR : Ouais, j’avais besoin de prendre une bouffée d’air. Je vous croyais entrain d’explorer la cité ?

SHEPPARD : Je ne vais pas tarder. J’ai rapporté ça du continent, c’est un objet fabriqué par les Athosiens. Bon anniversaire.

DR WEIR : C’est magnifique. Comment avez-vous su, John ?

SHEPPARD : Motus et bouche cousue.



SALLE DE CONTRÔLE

SHEPPARD : (A la radio) Quartier d’habitation terminé, on continue.

RODNEY : (A la radio) Une seconde avant de passer à autre chose. Avez-vous repérez mieux que nos quartiers actuels ?


QUELQUE PART DANS LA CITE

SHEPPARD : (A la radio) J’ai vu quelques jolies pièces plutôt chouettes, à vrai dire.


SALLE DE CONTRÔLE

RODNEY : (A la radio) Et de combien de mètre carré est ce qu’on parle ?


QUELQUE PART DANS LA CITE

SHEPPARD :
(A la radio) Je ne suis pas votre agent immobilier, nous sommes ici pour percer tous les secrets de la cité d’Atlantis.

RODNEY :
(A la radio) Ouais bon, je cherche un deux pièces avec mezzanine de préférence avec balcon, mais s’il y en a pas, je n’en ferais pas un fromage.

LT FORD : Venez jeter un coup d’œil.


RODNEY : (A la radio) On a tout de même droit au confort en attendant que les Wraiths arrivent.

SHEPPARD : (A la radio) Fermez la une seconde.

Le lieutenant Ford a trouvé un nouveau laboratoire.

 

LABORATOIRE DE STASE

RODNEY : (A la radio) Quoi ? Qu’avez vous trouvez ?

TEYLA :
(A la radio) ça ressemble à un laboratoire.

RODNEY : (A la radio) On en a trouvé une douzaine, la cité en est plaine. Celui-ci présente-t-il quelque chose d’inhabituel, ou d’insolite ?

Lorsque Sheppard effleure la console principale, celle-ci s’allume, l’équipe découvre devant eux, une vieille femme dans un caisson de stase.

SHEPPARD :
(A la radio) Je suis forcé de dire oui... Très insolite.

                 * * * * * * * * * * * * * * GÉNÉRIQUE STARGATE ATLANTIS * * * * * * * * * * * * *


LABORATOIRE DE STASE

RODNEY : On pourrait rester comme ça à la regarder toute la journée, mais la sortir de ce caisson, serait plus judicieux.

DR BECKETT : On ne peut pas prendre ce risque. Regardez là, elle a facile une centaine d’années.

RODNEY : C’est pour ça que chaque seconde compte ! Elle pourrait tomber raide morte, pendant qu’on discute !

SHEPPARD : Comment pourrait-elle mourir ? Vous disiez qu’elle était congelée.

RODNEY : Techniquement elle est dans un état de stase ou le vieillissement est ralenti, mais pas entièrement suspendu.

TEYLA : Vous dites que cette femme est encore en vie ?

DR BECKETT : Oui.


RODNEY : Oui. On est en présence d’un système vital viable et selon les données auxquelles j’ai pu accéder, elle est enfermée là dedans depuis dix mille ans.

LT FORD : Alors elle a dix mille ans ?

SHEPPARD : Je ne lui donne pas plus de neuf mille ans.

RODNEY : Elle va continuer de vieillir lentement, jusqu'à ce qu’elle meurt. Ce qui, vu l’état de son visage, devrait arriver plus tôt que prévue. Ce qui étaille mon premier argument.

DR BECKETT : Regardez-la. Elle est tellement vieille que j’ai peur que le processus de réanimation la tue.


RODNEY : On ne va pas encore laisser passer une fois l’occasion de pouvoir parler à un Ancien, présent en chair et en os.

DR BECKETT : Qui sait dans quel état d’esprit elle sera, sans parler des germes et des maladies qu’elle peut porter.

RODNEY : Et si elle savait des choses sur notre cité, ou mieux, elle sait peut-être où on peut trouver des E2PZ.

SHEPPARD : Ah ça c’est pertinent.

DR WEIR : Réanimez-la !

DR BECKETT : Mais, docteur...

DR WEIR : Je le prends sur moi.

RODNEY : Merci.

SHEPPARD : Dire que pendant tout ce temps, on croyait cette cité abandonnée.

TEYLA : Il est possible que les Atlantes ne l’aient pas emmené quand ils ont abandonnées la cité, pour la terre ?


SHEPPARD : Peut-être qu’elle a refusée de partir.

LT FORD : Il se peut qu’ils l’aient oublié.

SHEPPARD : Auquel cas elle ne sera pas de bonne humeur, une fois réanimé.

DR WEIR : Ouais, si seulement elle se souvient de quelque chose.


La femme a été sortie du caisson. Elle est allongée sur une table ou le docteur Beckett peut l’examiner.

DR BECKETT : Respiration superficielle. Pouls rapide. Je vais lui faire un électro-encéphalogramme pour être sûr.

Carson trouve dans la main de la vieille femme un papier.

DR WEIR : Qu’est ce que c’est ?

DR BECKETT : Je n’en sais rien.

RODNEY : Ce sont cinq adresses de porte. M7G-677, on connait.

TEYLA : Docteur Weir ?

La vieille femme ouvre les yeux.

DR WEIR : Bonjour. Est-ce que vous m’entendez ?

RODNEY : Et oui, c’est bien ce que je craignais. Le froid l’a brûlé.

LT FORD : Je croyais qu’elle n’était pas congelée.

DR BECKETT : A son âge vous vous attendiez à quoi, qu’elle se mette à danser la gigue ?

RODNEY : Regardez ses yeux, Carson, regardez ses yeux. Il y a de la lumière mais il n’y a personne à la maison. Pas besoin d’être médecin pour...


DR WEIR : C’est évident qu’elle nous voit, et elle nous entend aussi. Bonjour. Comment vous sentez vous ?

LA VIEILLE FEMME : ça a marché.

RODNEY : Qu’est ce qu’elle a dit ?

DR WEIR : Elle a dit « ça a marché »

RODNEY : De quoi elle parle ?

SHEPPARD : Il y a forcément quelque chose qui a fonctionné.

RODNEY : Vous êtes très perspicace.

SHEPPARD : Merci, docteur.


DR WEIR : Bonjour. Elle s’est endormie. Quand son état sera plus stable, transféré la à l’infirmerie, et mettez la sous vidéo surveillance pour tout enregistrer. On aura peut-être pas d’autre occasion que quelqu'un nous dise quelque chose.

RODNEY : Ouais, en espérant qu’on en ait une.



SALLE DE CONTRÔLE

John et Rodney sont en salle de contrôle.

SHEPPARD : Ces quartiers sont trop grands, c’est ça ?

RODNEY : Je ne dis pas que c’est trop grand, je fais seulement remarquer les dimensions.

SHEPPARD : En fait, ce n’est pas si spacieux...

DR WEIR : ça va messieurs ?

SHEPPARD : On se demandait s’il n’y avait pas d’autres humains congelés sur Atlantis, qu’on n’aurait pas encore découverts.

RODNEY : Et je disais qu’on avait pas moyen de le savoir à court terme et que serait comme fouiller chaque pièce, de chaque immeuble à Manhattan. Ça prendrait un bon bout de temps. On ignore ce que la cité nous réserve comme surprise, qu’on n’aurait pas encore détecté.

DR WEIR : Ouais, et nous sommes là pour le découvrir.


DR BECKETT : (A la radio) Docteur Weir ?

DR WEIR :
(A la radio) Carson ?

DR BECKETT :
(A la radio) Vous feriez bien de venir à l’infirmerie.

DR WEIR :
(A la radio) Notre patiente est réveillée ?

DR BECKETT :
(A la radio) Oui, et elle dit des choses qui me paraissent étonnantes

DR WEIR :
(A la radio) Nous arrivons.


A L’INFIRMERIE

DR BECKETT : Elle refait surface de temps en temps. Elle est encore très faible. Mais cette femme est très bizarre, je dirais même surprenante. Elle m’a appelé Carson. Elle connaît mon nom.

RODNEY : Elle a peut-être entendu quelqu’un vous appelez ?

DR BECKETT : Non. Quand elle s’est réveillée, il n’y avait qu’elle et moi.

DR WEIR : C’est son subconscient alors. C’est connu les gens dans le coma sont capable de tout entendre...

DR BECKETT : Non, non, ça va plus loin que ça. Elle sait tout un tas de chose.

Elizabeth s’approche du lit.

DR WEIR : Comment vous sentez vous ?


LA VIEILLE FEMME : Regarde-toi. Je croyais que je ne reverrais aucun d’entre vous. Vous m’avez tous, terriblement manqués. Même vous, Rodney.

DR BECKETT : Vous voyez ?

DR WEIR : Excusez moi, mais est ce que nous vous connaissons ?

LA VIELLE FEMME : Oh, ça oui. Je suis toi, Elizabeth.



SALLE DE REUNION

LT FORD : Un voyage dans le temps ?

DR WEIR : Oui, c'est ce quelle a dit. Elle aurait... je ne sais comment voyager dans le temps pour revenir là, à l’époque où les Anciens habitaient la cité.

TEYLA : Et comment a-t-elle réussi, à faire ça ?

DR WEIR : Ce sera la première chose que je lui demanderais quand elle sortira de son sommeil.

SHEPPARD : Si elle ressort de son sommeil.

RODNEY : Ne négligeons pas non plus l’éventualité que cette femme puisse être... quel est le terme clinique déjà ? Cinglé !

DR WEIR : Il est possible qu’elle soit sénile à son âge, mais ça n’explique pas le fait qu’elle en sache autant à notre sujet.

LT FORD : Remonter le temps est-il possible ?


RODNEY : Et bien si on en croit la théorie de la relativité d’Einstein, rien dans les lois de la physique n’empêche de le faire. Ceci dit c’est très difficile à réaliser. Il faut la technologie permettant la manipulation des trous noirs pour créer des vortex à travers les points dans l’espace mais aussi dans le temps.

SHEPPARD : Sans oublier une chouette Delorean.

RODNEY : Ne commencer pas à me prendre la tête avec ce film.

SHEPPARD : C’est mon film préfère.

RODNEY : Retour vers le futur, oui on sait.

DR BECKETT : J’ai les résultats du test ADN. Il correspond au vôtre. C’est vous.



A L’INFIRMERIE

Elizabeth est auprès d’elle même, Rodney la rejoint.

RODNEY : Bon, je sais ce que vous pensez. Si elle a attendu notre arrivée durant des millénaires dans ce caisson réfrigéré, pourquoi le système ne l’a pas tout de suite réanimé quand on a mis les pieds ici ? Réponse : Il l’a fait. J’ai re parcouru les données de notre arrivée. La première des choses qu’on a remarquées, ce fût cette surprenante surtension dans la partie de la cité où se trouve ce laboratoire. Une tentative de réanimation, sauf qu’on l’ignorait. On a cru que le courant allait épuiser l’E2PZ qui était déjà pratiquement à plat, alors on a coupé tous les systèmes secondaires. J’ai failli la tuer...vous tuer. Etrange n’est ce pas ?

DR WEIR : Très. C’est réellement très étrange. Se regarder soit même et voir comment on sera...

RODNEY : A vrai dire, ce à quoi vous ressemblerez sera complètement différent de ce à quoi elle ressemble maintenant. Au moment où elle revenue dans le temps, elle a crée une deuxième réalité temporelle, un second vous, vivant dans un monde parallèle en quelque sorte. Selon l’une des nombreuses interprétations de la théorie quantique. En terme simple, cette interprétation stipule que l’univers est en fait composé d’un nombre infini de reproduction de lui même, dans lesquels chaque conséquence possible de chaque décision qui a été prise, existe toute quelque part dans ce multi-univers aux nombreuses couches infinies.

DR WEIR : En terme simple.

RODNEY : Oui, en terme simple.

ELIZABETH ÂGÉ : Elisabeth ? Il y a tellement de chose à dire. J’avais noté quelque chose...


DR WEIR : Oui...

RODNEY : Oui, oui, oui, c’est nous qui l’avons. Je vous pris de m’excusez ma brusquerie, mais nous avons besoin d’en savoir un peu plus sur votre rencontre avec les Anciens, depuis le jour où vous êtes remonté dans le temps, et surtout comment vous êtes revenue. J’avoue que cette info nous serait très utile...

DR WEIR : Rodney... laissez moi parler.

RODNEY : Désolé.

ELIZABETH ÂGÉ : Il y a eu un accident. Je m’en souviens, nous sommes arrivés par la porte des étoiles.


                                                                               FLASHBACK


CITE ATLANTIS


ELIZABETH ÂGÉ : Les lumières s’allumaient d’elles mêmes au fur et à mesure. Comme si elle captait notre présence.

DR WEIR : Qui a déclenché ça ?

ELIZABETH ÂGÉ : La cité s’est doucement réveillée.



HANGAR A JUMPER

UN MEMBRE DE L’EXPEDITION : (A la radio) Docteur Weir, vous devez absolument voir ça !


CITE D’ATLANTIS

DR WEIR : (A la radio) Il y a beaucoup de choses que je dois voir. Soyez prudent.

RODNEY : C’est la salle de contrôle, j’imagine. Et visiblement ce truc est l’équivalent d’un DHD.

SHEPPARD : Ouais, visiblement.

RODNEY : Ici ça doit être le système de régulation d’énergie, avec peut-être une interface informatique.

DR WEIR : Essayez de tirer ça au clair.


RODNEY : Il y a un truc qui cloche, les lumières s’allument dans toute la cité, l’air circule mais on n’a pas de courant pour ces consoles. Alors...



                                                                       RETOUR AU PRESENT
A L’INFIRMERIE


RODNEY : Non, non, attendez, attendez une seconde... Ce n’est pas comme ça que cela s’est passé, tout s’est allumé quand nous sommes arrivé, tout, les lumières, les ordinateurs, les systèmes d’alimentations, tout. J’ai immédiatement eu accès aux bases de données.

ELIZABETH ÂGÉ : Ce n’est pas ce qu’il s’est passé, pas la première fois.


DANS UN BUREAU

DR WEIR : Vous ne pouvez pas lui donner un traitement ?

DR BECKETT : Elle est dans un état d’extrême fragilité. Les battements de son cœur sont très faibles. Si je lui administre un stimulent, ça peut provoquer une forte irrégularité du rythme cardiaque ou pire encore.

DR WEIR : Est-ce qu’on peut lui administrer un faible psychotonique qui lui permettrait de rester éveillé un peu plus longtemps. Elle a, à peine le temps de prononcé un mot, qu’elle se rendort aussitôt

DR BECKETT : Ce qui je vous le rappel est hors du commun, pour une femme âgée de dix mille ans.


DR WEIR : Carson, je comprends vos réticences, mais je suis mieux placé que quiconque pour savoir qu’elle tiendra le coup et qu’elle voudrait qu’on le fasse.

DR BECKETT : Entendu.



A L’INFIRMERIE

Le Docteur Beckett prend la tension d’Elizabeth âgée.

ELIZABETH ÂGÉ : ça va aller Carson. Tous ces mystères m’effraient autant que vous, vous savez.

Le docteur Weir arrive à l’infirmerie avec un fauteuil roulant.

DR WEIR : Comment se porte notre patiente ?

DR BECKETT : La pression sanguine s’améliore et on constate qu’elle est beaucoup plus alerte.

DR WEIR : Alors vous êtes prête à sortir d’ici ?

ELIZABETH ÂGÉ : Oui.



SALLE DE REUNION

ELIZABETH ÂGÉ : Voir la cité comme ça, trônant à la surface de l’océan, vous ne pouvez pas imaginer le soulagement que cela me procure.

RODNEY : Qu’êtes-vous entrain de dire ? Que la cité n’a pas surgi la première fois ?

ELIZABETH ÂGÉ : Non, non. La cité présentait de sérieux problèmes, au moment même de notre arrivée.



                                                                           FLASHBACK
SALLE DES COMMANDES

RODNEY : Nous essayons de connecter ces consoles à un groupe électrogène d’appoint, histoire d’accéder à un système d’alimentation général pour tout faire fonctionner.

SUMNER : (A la radio) Dr Weir, ici le colonel Sumner. Pouvez-vous me rejoindre s’il vous plait ? Nous sommes au niveau moins trois.

ELIZABETH :
(A la radio) J’arrive.

RODNEY : Vous avez quelque chose ?

PETER : Rien encore.

RODNEY : Voyons ce qu’on peut faire.



NIVEAU MOINS 3

SUMNER : On a pu sécuriser qu’une petite partie du complexe, c’est gigantesque.

ELIZABETH: C’est peut-être vraiment la cité perdue d’Atlantis ?

SUNMER : En tout cas, ça ne m’étonnerait pas.

ELIZABETH: Oh, ce n’est pas vrai. Une ville sous-marine.


SUMNER : Nous sommes plusieurs centaines de mètre sous la surface de l’eau. A long terme, ça risque de nous poser des problèmes.


SALLE DES COMMANDES

RODNEY : Oh, non. (A la radio) Dr Weir, venez immédiatement me rejoindre dans la salle de contrôle... La cité a un bouclier, une espèce de bouclier de force énergétique qui retient la pression de l’eau, enfin qui retenait ... les systèmes d’alimentations sont extrêmes faibles et notre arrivée a précipité leur entropie. Je veux dire... regardez, le bouclier se désactive rapidement et plusieurs secteurs de la cité sont déjà inondés.

ELIZABETH : On ne peut pas utiliser nos propres générateurs ?

RODNEY : Je doute qu’il soit suffisamment puissant pour soutenir le bouclier, ni même qu’on est le temps d’essayer, quand je dis qu’il se désactive rapidement, ce n’est pas des paroles en l’air.


ELIZABETH : (A la radio) Colonel Sumner, cessez tout de suite les recherches et revenez immédiatement, vous et toutes vos équipes dans la salle de la porte des étoiles. Sumner, vous me recevez ?

SUMNER : Docteur Weir, ici le colonel Sumner...


                                                                RETOUR AU PRESENT
SALLE DE REUNION

DR WEIR : Le colonel Sumner s’est noyé ?

ELIZABETH ÂGÉ : Et il ne fût malheureusement pas le seul à périr.



                                                                    FLASHBACK
SALLE DES SOMMANDES

SHEPPARD : Nous devrions commencer à évacuer tout le monde par la porte des étoiles.

RODNEY : Impossible ! Le peu de courant qu’il reste dans le système à été détourné pour que le bouclier retienne la pression.

ELIZABETH : Savons nous pourquoi, cela se produit maintenant ?

RODNEY : Il aurait pu retenir l’eau pendant encore un siècle, mais la réserve d’énergie a dû s’épuisée à notre arrivée.

SHEPPARD : Alors en débarquant on a tout déclenché ?

RODNEY : Je le crains, oui.

ELIZABETH : Et une alimentation supplémentaire ?

RODNEY : Je vais essayer de connecter la porte sur l’un de nos générateurs, nous avons suffisamment de temps. Grodin accédez au système de contrôle de la porte et tentez de trouver des adresses dans la base de données. On aura peut-être pas assez de courant pour revenir sur terre, mais on pourra au moins aller ailleurs dans Pégase.

DR WEIR : Des équipes ont découverts une espèce de hangar avec ce qui pense être des navettes.

SHEPPARD : Des navettes spatiales ?

ELIZABETH : Oui.

SHEPPARD : On va aller voir de plus prêt.

ELIZABETH : Vous croyez pouvoir...

SHEPPARD : Oui, je peux piloter n’importe quel engin.

ELIZABETH: D’accord jetez-y un œil.

La cité se met à trembler, tous s’inquiètent.


HANGAR AUX VAISSEAUX

John Sheppard et le lieutenant Ford arrivent au hangar et commencent leur investigation.

SHEPPARD : Je commence avec celui-là et occupez vous des autres.

LT FORD : Qu’est ce que je regarde.

SHEPPARD : A combien on peut monter à bord. On peut, peut-être partir avec.



SALLE DES COMMANDES

GRODIN : Deux embarcadères de la cité, sont presque entièrement engloutis, un troisième est sur le point de s’effondrer.

SHEPPARD : (A la radio) Docteur Weir, ces vaisseaux m’ont l’air tout à fait adéquat. Chacun d’eux peut embarquer plusieurs personnes. Quand à les piloter, ce sera une autre paire de manche.

RODNEY : (A la radio) Je vais essayer de trouver un plan pour nous sortir de là.

SHEPPARD : (A la radio) Ces vaisseaux paraissent différents des autres.

ELIZABETH : (A la radio) Différent comment ?

SHEPPARD : (A la radio) Les commandes ne sont pas pareilles. J’ai appelé Zalenka, il va venir y jeter un œil.

ELIZABETH : C’est très bien, je vous rejoins.

RODNEY : Oh, non !

ELIZABETH : Quoi ?

RODNEY : La cité à déclenché l’ultime système d’auto destruction. Les cloisons hermétiques se ferment toutes et certaines équipes seront prises au piège.

ELIZABETH : ça devrait les maintenir à l’abri ?

RODNEY : C’est trop petit et c’est trop tard. L’eau a déjà pénétré dans la plupart des pièces. Le niveau augmente, ils sont piégés.

ELIZABETH : Oh, non...

RODNEY : Je vais essayer de forcer le système pour ouvrir les portes, mais ça va nous handicaper pour déclencher la porte des étoiles.


La cité tremble de nouveau.

ELIZABETH : Bon, si ces vaisseaux sont le seul moyen pour sortir d’ici, n’attendez pas trop longtemps avant de nous rejoindre là bas. Rodney ?

RODNEY : Oui, oui, allez-y... j’ai entendu.



                                                                             HANGAR AUX VAISSEAUX
DANS LE JUMPER

ELIZABETH : Où on en est ?

ZALENKA : Cet appareil est différent des autres.

SHEPPARD : Oui, on sait ! En quoi est-il différent ?

ZALENKA : Je l’ignore encore, il me faudrait encore un peu plus de temps.

ELIZABETH : Sauf que nous n’en avons pas. Il est hermétique, je suppose.

SHEPPARD : C’est un vaisseau spatial, il vaudrait mieux.


RODNEY : (A la radio) Major Sheppard. J’ai localisé une trappe dans le plafond du hagard. Je vais essayer de l’ouvrir.

Un bruit se fait entendre.

ELIZABETH : Qu’est ce que c’était ?

L’alarme de la cité raisonne.

RODNEY : (A la radio) Le bruit de la fermeture des cloisons menant à la salle des commandes. On est enfermé !

ELISABETH : (A la radio) Vous ne pouvez pas les rouvrir ?

RODNEY :
(A la radio) C’est ce qu’on essaie de faire !

UN MEMBRE DE L’EXPEDITON : Faut qu’on sorte d’ici.

UNE FEMME DE L’EXPEDITION : Au secours ! C’est trop tard, regardez !

UN MEMBRE DE L’EXPEDITION : Allez, venez, venez !

UN FEMME DE L’EXPEDITION : Oh, mon dieu.

Rodney va voir ce qu’il se passe. La salle d’embarquement se rempli d’eau.

RODNEY : (A la radio) On oublie ! Toute la salle est inondée.


DANS LE JUMPER

ELIZABETH : (A la radio) Ouvrez les portes et montez nous rejoindre ! Nous vous attendons !


SALLE DES COMMANDES

RODNEY : (A la radio) Elizabeth, nous allons trouver le moyen d’ouvrir la trappe, dés qu’elle s’ouvre vous décollez.


DANS LE JUMPER

ELIZABETH: (A la radio) Rodney !

RODNEY : (A la radio) Non, on a pas le temps de discuter ! On est à deux doigts d’un court jus monumental. Bouclez-vous tous dans la navette et allez-vous-en !

ELIZABETH ÂGÉ : Malgré vos efforts Rodney, vous n’avez rien pu faire.


                                                                         RETOUR AU PRESENT

SALLE DE REUNION

ELIZABETH ÂGÉ : En quelques secondes la salle de contrôle était Immergée.

RODNEY : J’ai été noyé ?

ELIZABETH ÂGÉ : Vous n’avez jamais abandonné, jusqu’à la fin.

RODNEY : Ma fois ... et moi qui me suis souvent demandé comment je choisirais de m’en aller dans un cas extrême comme celui-là. Maintenant je le sais.

ELIZABETH ÂGÉ : En essayant de sauver la vie des autres.

SHEPPARD : Mais vainement de toute évidence.

RODNEY : Je pense qu’avec quelques secondes de plus j’aurais sans doute pu...

DR WEIR : Non, un instant ! Pourquoi le système de sureté ne s’est pas enclenché, pour remonter la cité à la surface ?

ELIZABETH ÂGÉ : Parce que la toute première fois, il n’y avait pas ce mécanisme. Atlantis est restée posé au fond de l’océan. Le bouclier c’est totalement désintégré. L’eau est entrée, elle a tout saccagée, s’engouffrant, inondant toutes les parties de la cité. Vous êtes mort noyés tout les deux en essayant de faire monter tout le monde à bord des vaisseaux. Et nous trois, le docteur Zalenka, vous et moi, nous nous sommes trouvés pris au piège.



                                                                            FLASHBACK
DANS LE JUMPER


SHEPPARD : Faut qu’on sorte de là ! On décolle ! Est-ce que McKay a ouvert la trappe ?

ZALENKA : Je n’en sais rien du tout.

LT FORD :
(A la radio) Major, six d’entre nous sont à bord d’un vaisseau. Qu’est-ce qu’on fait ?

ZALENKA : Qu’avez-vous touché ?


SHEPPARD : Je n’en sais rien, je crois que je l’ai mis en route. (A la radio) Restez en Stand by Ford. Les manuels d’instructions ne sont pas mon fort, mais si j’en avais un je me pencherais dessus.

En une fraction de secondes le Jumper se retrouve dans l’espace.

ELIZABETH : C’est miraculeux.

SHEPPARD : On est dans l’espace. Qu’est-ce qui s’est passé ?

ZALENKA : Qu’est ce que vous avez fait ?

SHEPPARD : Je n’en sais rien, j’ai... j’ai...


Une nouvelle fois le Jumper transporté dans un autre lieu. Il se trouve dans un conflit avec d’autres vaisseaux.

ELIZABETH : Qu’est-ce que c’est que ça ?


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SALLE DE REUNION


ELIZABETH ÂGÉ : Nous subissions une attaque ! Nous ne savions pas où nous étions, ni qui nous tirait dessus... et c’est là que John...

DR WEIR : Carson !


DR BECKETT : (A la radio) Ici, Beckett. Envoyez-moi une équipe médicale dans la salle de conférence. Le plus vite possible !


A L’INFIRMERIE

SHEPPARD : Comment va-t-elle ?

DR WEIR : Elle s’est stabilisée, mais elle est affaiblie et ça ne va pas en s’arrangeant.

SHEPPARD : Votre propre mortalité, qui se tient là devant vous. Je n’ose même pas imaginer ce que vous ressentez.

DR WEIR : Quand elle pose les yeux sur moi, c’est comme si elle captait mes pensées, et que je percevais les siennes. C’est troublant comme sensation.

SHEPPARD : Dans le genre étrange, je pensais avoir tout vu ici.

RODNEY : En tout cas c’est évident, le Jumper qu’ils ont pris devait être une sorte de machine à remonter le temps qui devait posséder un composant particulier.


SHEPPARD : Un capaciteur de flux.

RODNEY : Ouais ! La question est tant, où se trouve-t-elle maintenant ?

DR WEIR : Nous n’avons qu’à lui demander.

ELIZABETH ÂGÉ : Que s’est-il passé ?

DR WEIR : Le vaisseau dans lequel vous et le major vous êtes échappés. Où est-il aujourd’hui?

ELIZABETH ÂGÉ : Désintégré.



                                                                     FLASHBACK    
DANS LE JUMPER


Le jumper essuie des coups de feu.

ZALENKA : Mais qui nous tire dessus ?

SHEPPARD : Mieux vaudrait savoir comment riposter.

Les nacelles de tire du Jumper s’ouvrent et un drone est lancé sur ennemi. Ce dernier explose.

SHEPPARD : C’est nous qui avons fait ça ? Allez, on s’accroche !


Des nouveaux coups de feu sont tirés sur le Jumper.


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A L’INFIRMERIE


ELIZABETH ÂGÉ : Et quand j’ai ouvert les yeux, j’étais sur Atlantis.

SHEPPARD : Vous parlez d’aujourd’hui, quand on vous a réveillé ?

ELIZABETH ÂGÉ : Non, jadis...



                                                                             FLASHBACK

SUR ATLANTIS DU PASSÉ


Elizabeth ouvre les yeux, un homme est auprès d’elle.

UN ANCIEN : A vous êtes réveillée.

ELIZABETH ÂGÉ : Il s’appelait Janus. Il a soigné mes blessures, il m’a expliqué ce qui était arrivé.

JANUS : Votre vaisseau à été abattu. Nous l’avons récupéré au fond de l’océan.

ELIZABETH : Le major Sheppard et le Docteur Zalenka ?

JANUS : Aucun d’entre eux n’a survécu.


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A L’INFIRMERIE


RODNEY : Ah ! Qu’il est amer le gout de l’ultime échec, hein ?

SHEPPARD : Si vous aviez trouvé le moyen de réparer ce satané bouclier, j’avoue que peut-être aucun de nous ne serait mort.

RODNEY : J’ai fait tout ce que je pouvais, y compris sauver avec beaucoup de courage votre...

DR WEIR : ça suffit, messieurs. Concentrez-vous. Poursuivez, je vous en prie.

ELIZABETH ÂGÉ : Inutile de vous dire que j’étais terriblement troublé. Il se mit à m’expliquer que le vaisseau à bord duquel on s’était échappé, était une machine à remonter le temps. C’est lui qui l’avait construite. Lorsque j’ai recouvré mes forces, il m’emmena devant le grand conseil, Atlante.

                                                                              FLASHBACK

SALLE DU GRAND CONSEIL DES ANCIENS

UNE ATLANTE : Vous êtes la bienvenue dans la cité d’Atlantis.


ELIZABETH : Merci.

UNE ATLANTE : Malheureusement, vous arrivée dans un moment de grand conflit. Nous sommes en état de siège depuis de nombreuses années et nous avons immergé notre cité par mesure de protection.

ELIZABETH : Oui, c’est extraordinaire, c’est ainsi que nous avons trouvé la cité, lorsque nous avons franchi la porte des étoiles.

UN ATLANT : Depuis la terre ?

ELIZABETH : Exact !

JANUS : Dans dix milles ans d’ici. Ce qui nous prouve que nos efforts ainsi que toutes nos actions engagées pour protéger la cité pendant autant d’années, sont une belle réussite.

UNE ATLANTE : Oui, en espérant que l’arrivée du docteur Weir, n’ai pas altérer cette finalité. En ce battant directement avec les Wraiths, elle a déjà peut-être déclenché une série d’événement qui construiront un avenir fort différent de celui duquel elle vient.


ELIZABETH : Veuillez m’excuser ... Qu’est ce que les Wraiths ?


                                                                         RETOUR AU PRESENT

A L’INFIRMERIE

ELIZABETH ÂGÉ : Ils m’ont appris que de monstrueuses créatures appelées Wraiths existaient. Que c’était un redoutable ennemi très vicieux, dont les pouvoirs et la technologie rivalisaient les leurs.

RODNEY : Oui, en réalité ils ont déjà... euh...

ELIZABETH ÂGÉ : Les Atlantes envoyèrent une délégation, protégée par une armas de vaisseaux de guerre d’une grande puissance, dans le faible espoir de négocier une trêve. Réuni, les vaisseaux Atlantes étaient très puissants, mais les Wraiths étaient tellement nombreux qu’à la fin de cette grande bataille, il ne s’agissait plus de conclure un accord
.


                                                                                   FLASHBACK

SALLE DU GRAND CONSEIL DES ANCIENS

UNE ATLANTE : Nous attendons le dernier de nos vaisseaux de transport interplanétaire pour commencer l’évacuation à travers la porte des étoiles.

ELIZABETH : Mais où comptez vous aller ?

UNE ATLANTE : Nous retournons sur terre. Vous pouvez vous joindre à nous.

ELIZABETH : Merci, c’est très gentil, mais... vous comprendrez surement que ce que je souhaite avant tout, c’est de retourner dans le futur, être parmi les miens. J’avais l’espoir de pouvoir reprendre la machine à remonter le temps et de la programmer pour arriver exactement au moment où nous avons traversé la porte des étoiles. Et si c’est possible et si vous avez un E2PZ, je l’emporterais avec moi là bas, ce serait pour mes hommes et moi une aide précieuse. On s’est aperçu que les systèmes d’alimentations étaient littéralement à plat...

MOROS : Non ! On ne badine pas avec le temps ! La causalité ne se traite pas avec autant de légèreté.


JANUS : Personne ne la traite à la légère.

MOROS : Vous, si ! Dans votre insistance à continuer vos expériences et ce malgré notre entière désapprobation. Le conseil vous avait donné l’ordre de cesser ces activités, pourtant nous sommes assis là, entrain de converser avec un visiteur du futur... qui est arrivé chez nous dans la machine que vous aviez juré de ne pas construire.

JANUS : Nous sommes sur le point d’évacuer la cité d’Atlantis, dans l’espoir qu’elle demeure intacte et sauve pour de nombreuses années et qu’un jour notre espèce revienne...et elle est revenue. C’est bien la cause de mes expériences que nous avons cette merveilleuse opportunité...

MOROS : Allons, ça suffit ! Nous n’avons pas le temps pour ça ! J’intime dés maintenant, l’ordre de détruire ce dispositif de voyage dans le temps, ainsi que tout l’équipement et les matériaux lié à sa conception. Vous pouvez bien sûr revenir sur terre avec nous madame, mais il n’est pas question de rejoindre les vôtres.



                                                                      RETOUR AU PRESENT

A L’INFIRMERIE

DR BECKETT : Les résultats de la dernière série d’examen, confirment l’évidence, son squelette, ses systèmes circulatoires, neuroendocrinien, ainsi que ses muscles ont été très endommagé, on constate une insuffisance hépatique, une insuffisance rénal et des traces d’accident cérébraux à chaque évanouissement.

SHEPPARD : Elle en a pour combien de temps ?

DR BECKETT : Je doute qu’elle passe la nuit.


ELIZABETH ÂGÉ : S’il vous plait. Je ne sais pas combien de temps il me reste, pour vous relater votre histoire. J’ai attendu si longtemps. Oh... le grand conseil, était extrêmement contrarié.

DR WEIR : Oui, vous disiez qu’il avait décidé de détruire la machine à remonter le temps.

ELIZABETH ÂGÉ : J’ai essayé de les en dissuader, je ne voulais pas perdre espoir. Grâce au ciel, j’avais un allié.


                                                                             FLASHBACK

DANS LA CITE

JANUS : Vous devez parler à Moros, ce n’est pas la faute au docteur Weir si elle a voyagée jusque chez nous. Nous ne pouvons pas la punir pour cela.

UNE ATLANTE : Elle est tout à fait libre de repartir avec nous sur terre.

JANUS : Non, non, non, elle doit retourner dans son temps, pour demeurer avec les siens.

UNE ATLANTE : C’est impossible. Je suis désolé.

ELIZABETH : Attendez ! Je crois que vous ne comprenez pas jusqu’où nous sommes allés et combien de mes compagnons se sont sacrifié dans l’espoir de vous rencontrer. Nous vous appelons les Anciens. Les fondateurs de la porte des étoiles. Nous avons traversé tant de galaxie pour trouver un grand peuple. Je vous en prie... n’y a-t-il donc aucun autre moyen pour m’aider ?


UNE ATLANTE : Nous pourrions bloquer définitivement la porte après l’évacuation, de sorte que dans le futur, votre équipe ne puisse pas venir ici.

JANUS : Si vous faites ça, ils ne pourront jamais espéré découvrir ses lieux.

UNE ATLANTE : Mais les membres de cette expédition seront sains et sauf.

ELIZABETH : Merci pour votre offre généreuse, mais nous sommes des explorateurs, tout comme vous.

JANUS : Ce qui n’est absolument pas une surprise, étant donné qu’ils sont la seconde évolution de notre espèce. Ne comprenez vous donc pas ? Cette cité va survivre dix milliers d’années.

UNE ATLANTE : La décision du conseil est définitive.



                                                                             RETOUR AU PRESENT

A L’INFIRMERIE

ELIZABETH ÂGÉ : Il va de soit que Janus refusait de s’avouer vaincu. Plus on lui interdisait de faire quelque chose, et plus il fallait qu’il le fasse. Il mit donc au point un plan alternatif dans le dos du conseil bien sûr. Et je ne pouvais que suivre l‘engouement de cet homme.



                                                                               FLASHBACK

DANS UN LABORATOIRE DE LA CITE

ELIZABETH : Puis-je savoir ce que vous faites ?

JANUS : Je calcule la puissance qui vous sera nécessaire.

ELIZABETH : Nécessaire pourquoi ?

JANUS : Vous dites que le bouclier s’est désactivé peu de temps après votre arrivée. Il faut que je trouve un moyen de prolonger son alimentation. Comment appelez vous ces appareils ?

ELIZABETH : E2PZ, extracteur de potentiel de point zéro.

JANUS : Oui, c’est ça. Ils sont conçus pour repéré en parallèle, tous les trois pouvant alimenter la cité de façon simultané, cela dit si nous les utilisons en séquence, il est possible qu’ils accumulent assez de courant et le répartisse quand vous en aurez besoin.

ELIZABETH ÂGÉ : Je n’en croyais pas mes yeux, il y avait trois E2PZ juste devant moi.

JANUS : Cependant il y a tout de même un petit problème. Ce plan nécessite forcément que quelqu’un soit là pour transférer la puissance d’un module à l’autre et pour les faire tourner de façon séquentielle.

ELIZABETH : Sur une période de dix mille ans ?

JANUS : Oui, c’est possible.


UNE ATLANTE : (A la radio) Janus nous vous attendons au centre de contrôle.


                                                                   RETOUR AU PRESENT

A L’INFIRMERIE


Leur vaisseau de transport était en chemin, il essuyait les tires de l’ennemi.


                                                                                 FLASHBACK

SALLE DE CONTRÔLE


UN PILOTE ATLANT : (A la radio) Les boucliers sont endommagés. Nous ripostons mais nous ne pouvons pas rentrer.

UNE ATLANTE : Il y a trop de vaisseaux ennemis.


UN PILOTE ATLANT : (A la radio) Ils tirent de tous les côtés.

UN ATLANT : Les nôtres sont en chemin.

UN PILOTE ATLANT : (A la radio) Nous sommes touchés.

JANUS : (A la radio) Enclenché l’alimentation auxiliaire et essayé de les distancer. Il y a plus de 300 personnes à bord.

UN PILOTE ATLANT : (A la radio) Nous n’y arriveront jamais. Ils sont partout. Nous n’avons plus de bouclier. Atlantis vous me recevez ? Atlantis... Aaahhh...

Le vaisseau des Ancien a été détruit par les Wraiths.

MOROS : Procédons à l’évacuation, nous devons partir, maintenant !


                                                                           RETOUR AU PRESENT

A L’INFIRMERIE

Rodney dort sur une table, John est endormi sur une chaise et Elizabeth est auprès d’elle-même.

ELIZABETH ÂGÉ : Je me suis encore endormie.

DR WEIR : Vous savez vous n’êtes pas la seule. Est-ce que vous souffrez ?

ELIZABETH ÂGÉ : On l’admettrait si c’était le cas.

DR WEIR : J’aimerais tellement, pouvoir faire plus ,pour vous.

ELIZABETH ÂGÉ : Regarde comme tu es ! Toujours à t’inquiéter, tu te mets trop de pression. Souviens-toi, de cette épouvantable négociation empathique... et de ce que Simon nous a dis après.

DR WEIR : Respire avant tout, entre autre chose.


ELIZABETH ÂGÉ : Profite du moment présent et de ce qui est là aujourd’hui. Le soleil...la brise, notre anniversaire.

DR WEIR : Alors, Sheppard n’a encore pas su tenir sa langue, à ce que je vois.

ELIZABETH ÂGÉ : Je dis seulement qu’il faut être moins dur avec toi-même. La vie est courte, tu sais.

DR WEIR : Pas pour vous.

ELIZABETH ÂGÉ : C’était mon choix, Elizabeth. Je ne me suis pas posé la question à l’époque, et je ne regrette rien aujourd’hui.


                                                                                  FLASHBACK

SALLE D’EMBARQUEMENT


La porte des étoiles entre en fonction, les Anciens s’apprêtent à évacuer la cité d’Atlantis. Plusieurs groupes passent la porte.

UNE ATLANTE : Où est le docteur Weir ?

JANUS : Elle a traversé la porte. Elle était parmi les premiers à être évacué.

MOROS : Excellent.


Janus s’éclipse discrètement et rejoint Elizabeth.



LABORATOIRE DE STASE

ELIZABETH ÂGÉ : Janus a préparé le caisson de stase pour moi, il m’a dit que je sombrerais dans un sommeil profond sans rêve.

JANUS : J’ai programmé le système pour qu’il vous ranime deux fois dans un intervalle d'approximativement 3.3 milliers d’années. Vous pourrez procéder à la rotation des E2PZ. Je vais vous donner les instructions pour réactiver après le processus de stase. Je programme aussi le système pour qu’il commence la réanimation finale au moment ou les capteurs indiqueront la présence de votre... équipe d’exploration. Ecoutez, je me dois de vous dire qu’il y a une possibilité, infime serte, que tout ceci soit voué à l’échec.

ELIZABETH : J’en suis consciente.


JANUS : On ne peut pas prédire ce qu’il peut arriver sur une période aussi long. J’ai l’intime conviction que vous survivrez. Mais dans l’éventualité improbable d’un échec, j’ai programmé un dispositif de sauvetage à sureté intégré pour protéger la cité.

ELIZABETH : Un dispositif de sauvetage ?

JANUS : Oui. Si la puissance arrive à un niveau critique, le mécanisme qui retient la cité au fond de l’océan se déverrouillera et elle remontra à la surface.

ELIZABETH : Vraiment ?




SALLE D’EMBARQUEMENT


Les Anciens continuent d’évacuer la cité.

ELIZABETH ÂGÉ : Puis ils sont partis. Ils sont tous retournés sur terre, à travers la porte des étoiles.


LABORATOIRE DE STASE

ELIZABETH : Qu’est ce que c’est que ça ?

JANUS : Mes recherches.

ELIZABETH : Vous allez construire une autre machine à remonter le temps ?

JANUS : Je doute de réussir. Le conseil surveillera le moindre de mes mouvements.

ELIZABETH : Je pense que vous trouverez un moyen.

JANUS : J’ai bloqué l’accès d’Atlantis à ce qui ne vienne pas de la terre. Vous n’avez pas à vous en faire. Vous serez en sécurité.

ELIZABETH : Merci Janus.

JANUS : Merci à vous, pour m’apporter l’espoir qu’Atlantis va survivre dix autres milliers d’années, quand vous l’aurez redécouverte.


Elizabeth embrasse Janus sur la joue, puis Janus quitte le laboratoire, laissant Elizabeth seule.


SALLE D’EMBARQUEMENT

JANUS : Je suis prêt.

Juste avant de franchir la porte des étoiles Janus regarde une dernière fois la cité. Quand à Elizabeth, cette dernière observe leur départ.


SALLE DE CONTRÔLE

ELIZABETH ÂGÉ : Et je me retrouvais seul. J’ai mis la cité en sommeil.


LABORATOIRE DE STASE

Elizabeth, touche la console de contrôle, le volet du laboratoire se ferme et Elizabeth entre dans le caisson de stase.

ELIZABETH ÂGÉ : Et j’ai commencé mon long voyage de retour.


                                                                       RETOUR AU PRESENT

A L’INFIRMERIE

DR WEIR : Et tout a fonctionné, la stase, le mécanisme de sauvetage, vous avez sacrifié toute votre vie.


ELIZABETH ÂGÉ : Non, parce que nous sommes la même personne. La meilleure partie de ma vie ne fait que commencer. Je suis entrain d’explorer une nouvelle galaxie. J’ai encore tant d’années devant moi, chérie. Aie confiance en toi, Elisabeth. L’instant présent... est tout ce qui compte. Le bout de papier, j’ai noté quelque chose au cas où je ne survivrais pas. Est-ce que Rodney a trouvé de quoi il s’agissait ?

DR WEIR : Ce sont cinq adresses de portes des étoiles.

ELIZABETH ÂGÉ : D’avant-postes, et sur chacun d’eux, il y a un extracteur potentiel de point zéro. C’est Janus qui me l’a dit.

Elizabeth réveille John et Rodney.

DR WEIR : Sur le mot qu’elle a laissé, il y a les coordonnées de planète sur lesquelles, il y a un E2PZ.

Rodney qui vient de se réveiller, il sort de sa poche le papier, et regarde avec le Docteur Weir et le major Sheppard, les adresses inscrites sur le morceau de papier. Pendant ce temps Elizabeth âgé s’éteint lentement.

SHEPPARD : Ils pourraient encore s’y trouver.


RODNEY : M7G-677, c’est écrit là ! C’est incroyable Elizabeth on a...

Lorsqu’ils regardent Elizabeth, celle-ci vient de mourir. Le docteur Weir s’approche d’elle-même et lui prend la main.

SUR UNE TERRASSE D’ATLANTIS

Le docteur Weir vide les cendres d’Elizabeth dans l’océan. John Sheppard la rejoint.

SHEPPARD : On commence la réunion pour la prochaine mission.

DR WEIR : C’est bon j’arrive. Non tout compte fait... laissez moi quelques minutes.

SHEPPARD : Bien sûr.


                                                                                   FIN


CONTROL ROOM BALCONY. Elizabeth is leaning on the balcony reflectively. John comes out.
WEIR: Hey.
SHEPPARD: There you are.
WEIR: I was just sneaking a breath of fresh air. Thought you were off exploring the city.
SHEPPARD: About to. (He reaches into his pack and takes out a round shape wrapped in cloth.) Picked this up on the mainland. The Athosians made it. (He hands it to Elizabeth.) Happy birthday.
(Elizabeth stares at him, part pleased and part annoyed.)
WEIR: Hmm. (She unwraps the cloth and finds an earthenware pot with a lid.) It’s beautiful. (She looks at him.) How did you find out?
SHEPPARD: Mum’s the word. (He goes back inside. Elizabeth looks at her present and smiles.)


CONTROL ROOM. On one of the screens showing the layout of Atlantis, Rodney is watching the progress of John, Aidan and Teyla as they investigate part of the city.
SHEPPARD (over radio): Alright, we’re done with the living quarters. Moving on.
McKAY: Woah-woah-woah-woah-woah-woah. Before you go. You see anything better than our current quarters?
SHEPPARD: A few. Some of them are pretty nice, actually.
McKAY: Well, what kind of square footage are we talking about?
SHEPPARD: What am I, your realtor, Rodney? We’re here to unlock the secrets of Atlantis.
McKAY: Yeah, well, I’m looking for a one-bedroom with a den, preferably with a balcony, but I’m not married to it. Look ...
(As he rambles on, Aidan reaches the door of a room up ahead and sees something of interest inside.)
FORD: Sir, check this out!
McKAY: ... we might as well be comfortable, at least until the Wraith get here.
SHEPPARD: Shut up for a second.
(He and Teyla run to join Aidan. John takes a look through the doorway, then nods to Aidan to proceed. Aidan walks inside. As John follows him, the lights come on automatically.)
McKAY (over radio): What? What is it?
TEYLA: Some sort of laboratory.
McKAY: We’ve come across dozens of those. The city’s full of them. Something unusual about it?
(John walks over to a console and waves his hand over the top. It activates. More lights come on, some of them illuminating an upright stasis capsule [similar to the one Jack O’Neill was put into at the end of the SG-1 episode “Lost City”]. Inside, wearing a long white dress, is an elderly woman with long white hair.)
SHEPPARD: I’d have to say ... yes.


LATER. Elizabeth, Rodney and Carson have joined the others.
McKAY: Well, we could stand here looking at her all day. What we’ve gotta do is get her out of this box.
BECKETT: Rodney, we can’t take that chance. Look at her – she’s at least a hundred years old.
McKAY: Which is why every second counts! I mean, she could drop dead while we stand here arguing.
SHEPPARD: How could she drop dead? You said she was frozen.
McKAY: Technically she’s in a state of metabolic stasis. Ageing slowed considerably, yes, but not entirely suspended.
TEYLA: You are saying this woman is still alive.
BECKETT and McKAY (simultaneously): Yes.
McKAY: Lifesigns systems indicate viability. According to the initial data I’ve been able to access, she’s been in that chamber for ten thousand years.
FORD: Ten thousand years?!
SHEPPARD: Doesn’t look a day over nine thousand.
McKAY: She’ll continue to age at a very slow rate until she dies which, judging by the look of her, seems more likely to occur sooner rather than later – bringing me back to my original point.
BECKETT (to Elizabeth): Look at her. She’s so old I’m afraid the process of reviving her might actually kill her.
McKAY: We cannot let this chance to talk to a living, breathing Ancient slip through our fingers – again. (He throws a black look at John, who tries to look innocent.)
BECKETT: And who knows what state of mind she’ll be in? Not to mention the fact that she might be carrying some horrifying contagion.
McKAY: And who knows what she knows about our city? More importantly, does she know about any ZedPMs lying around?
SHEPPARD: Ah, there’s a thought.
(Elizabeth thinks about it, then makes a decision.)
WEIR: Revive her.
BECKETT: But, Doctor ...
WEIR: It’s my call.
McKAY: Thank you. (He and Carson leave the lab to make preparations.)
SHEPPARD: The whole time we thought this city was abandoned.
TEYLA: Is it possible the Atlanteans left her behind when they abandoned the city for Earth?
SHEPPARD: Maybe she wanted to stay behind.
FORD: Maybe they forgot about her.
SHEPPARD: In which case she’s gonna be really pissed when she wakes up.
WEIR: If she remembers anything at all.


LATER. The woman has been taken out of the capsule and is lying on a surface in the lab. Carson is checking her vital signs.
BECKETT: Breathing shallow, pulse rapid. I’ll run an EEG to determine any brain activity. (He looks down and sees something. He reaches out and pulls a piece of paper from the woman’s clenched hand.)
WEIR: What is it?
BECKETT: Don’t know. (He hands it to Elizabeth, who unfolds it. Rodney looks over her shoulder.)
McKAY: It’s Gate addresses – five of them. (He recognises one of the addresses.) M7G-677 – we’ve been to this planet.
TEYLA: Doctor Weir? (She has noticed that the old woman has opened her eyes. Elizabeth leans closer to the woman.)
WEIR: Hello? Can you hear me?
(The woman doesn’t respond or react.)
McKAY: Yeah, that’s what I was afraid of. (He waves his hand in front of the woman’s eyes.) Freezer burn.
FORD: I thought she wasn’t frozen?
BECKETT: Ten thousand years – d’you expect her to dance a bloody jig?
McKAY: It’s the eyes, Carson, you look at the eyes. The lights are on but nobody’s home. (The woman turns her head slightly to look directly at him.) Don’t take a medical professional to know that ... (He trails off as he realises that she’s listening to him.)
WEIR (smiling): Of course she can see us. (The woman turns her head to look at her.) And hear us. Hello. How are you feeling?
(The woman tries to smile.)
WOMAN: It worked.
McKAY: What was that?
WEIR: She said, “It worked.”
McKAY: What’s that mean?
SHEPPARD: I assume something worked.
McKAY: Yes, that’s very sharp!
SHEPPARD: Thank you!
(The woman starts to turn her head towards Carson, Teyla and Aidan but then her eyes close and she stops moving.)
WEIR: Hello? (She leans forward nervously, then realises what has happened.) She fell asleep. Once you’ve got her more stable, transfer her to the Infirmary. And I want video on her at all times recording everything. We might not get a second chance at anything she may say.
McKAY: Let’s hope we get a first, huh?


CONTROL ROOM. John and Rodney are sitting with their feet up on a console, looking at a screen map of Atlantis.
SHEPPARD: Too big, huh?
McKAY: I’m not saying it’s too big, I’m just pointing out its dimensions.
SHEPPARD: Huh. It’s not that ...
(Elizabeth walks in.)
WEIR: Gentlemen.
SHEPPARD: We were just wondering whether there were any other frozen bodies out there in Atlantis that we haven’t discovered.
McKAY: And I was just saying there’s no way of knowing in the short term. It’d be like searching every room in every building in Manhattan. It’ll, uh, take a while. God knows what other kinds of surprises are out there not showing on the sensors.
WEIR: Well, that’s what we’re here to find out.
BECKETT (over radio): Doctor Weir.
WEIR: Yes?
BECKETT: You’d better come to the Infirmary.
WEIR: Is our patient awake?
BECKETT: Aye – and she’s saying the most peculiar things.
WEIR: On our way.


INFIRMARY. Carson is watching over the woman, then walks over to Elizabeth and Rodney as they come in.
BECKETT: She’s drifting in and out – still very weak. But there’s something a wee bit odd about this woman. She called me Carson. She knows my name.
McKAY: Maybe she overheard you talking with someone.
BECKETT: No. I was alone in here when she woke up.
WEIR: Well, what about subconsciously? I’ve read stories where coma patients have been able to hear ...
BECKETT: No, no. It’s more than that. She knows things.
(Elizabeth and Rodney walks over to the woman’s bedside. Elizabeth puts her hand on the woman’s shoulder, who, although very weak, stares up at her with a look of delight on her face.)
WEIR: How are you feeling?
WOMAN: Look at you! I didn’t think I’d see any of you again. Missed you all so terribly – even you, Rodney!
BECKETT: You see?!
WEIR (to the woman): I’m sorry? Do we know you?
WOMAN: Oh yes. I’m you, Elizabeth.


CONFERENCE ROOM.
FORD: Time travel?
WEIR: That’s what she said. She somehow found a way to travel back in time to when the Ancients inhabited the city.
TEYLA: How did she do this?
WEIR: That will be one of the first questions I ask her when she wakes up again.
SHEPPARD: If she ever wakes up again.
McKAY: Well, let’s not be too quick to exclude the possibility that the woman might be, umm, what is the clinical term ... nuts?
WEIR: She may be senile, yes, but that doesn’t explain that she knows so much about all of us.
FORD: Is time travel even possible?
McKAY: Well, according to Einstein’s General Theory of Relativity, there’s nothing in the laws of physics to prevent it. Extremely difficult to achieve, mind you – you need the technology to manipulate black holes to create wormholes not only through points in space but time.
SHEPPARD: Not to mention a really nice DeLorean.
McKAY: Don’t even get me started on that movie!
SHEPPARD: I liked that movie!
(Carson comes in with a computer padd.)
BECKETT: The results of the DNA test. It’s a match. (He puts the padd down in front of Elizabeth.) She is you.


INFIRMARY. Elizabeth is standing looking down at her older self, who is asleep. Rodney comes in and speaks quietly to Elizabeth.
McKAY: I know what you’re thinking. If she’s been waiting in that stasis chamber all these millennia for us to arrive, why didn’t the system automatically attempt to revive her the moment we got here? Answer: it did. I’ve been going over the data from our arrival. One of the first things we noticed was a sudden power surge in the section of the city where the stasis lab was. It was trying to revive her, only we didn’t know that. All we saw was more power draining from an already nearly-depleted ZedPM, so we shut down all secondary systems. Almost killed her ... you. How weird is that, hmm?
WEIR: Very. Very, very weird. (She looks at her older self again.) Looking at yourself – how you will be.
McKAY: Actually, how you will be will be different than how she is right now. You see, the moment she went back in time, she created a separate reality – a second “you” living in a parallel world; well, according to one of many interpretations of quantum theory. I mean, simply put, this interpretation states that, uh, the universe is in fact split into an infinite number of copies of itself in which every possible outcome to every decision ever made all exist somewhere in this infinitely layered multi-universe.
WEIR: Simply put(!)
McKAY: Yeah – in a nutshell.
(Alt-Elizabeth wakes up.)
ALT-WEIR: Elizabeth? (Elizabeth steps closer to the bed.) There’s so much to tell you. The note ... I had a note.
WEIR: Yes.
McKAY (stepping forward): Yes, yes, yes, yes. We got your note and-and, forgive my bluntness, but we really need to know everything about your encounter with the Ancients, um, beginning with the point when you went back in time; specifically, how you went back in time, because that would be very useful for us ...
WEIR (putting her hand on his arm): Rodney – let me talk.
McKAY: Yeah. (He backs away a little.)
ALT-WEIR: There was an accident. I remember we arrived through the Stargate.

[Transcriber’s note: to try to avoid confusion, when flashback scenes are intermingled with present scenes and so that we see versions of Elizabeth Weir both in the present and in the flashbacks, I will refer to Elizabeth in the flashbacks as “Past-Weir” or “Past-Elizabeth”. If, however, we are fully into a flashback, I will use just her name.]


FLASHBACK TO “RISING”. The team have just arrived at Atlantis and are looking around the Gateroom.
ALT-WEIR (voiceover): The lights came on by themselves ...
(John and Rodney start to walk up the steps opposite the Gate. The steps light up as they tread on them.)
ALT-WEIR (voiceover): ... sensing our presence.
PAST-WEIR: Who’s doing that?
ALT-WEIR (voiceover): The city slowly awoke.
(Marines move into the Control Room and the lights come on automatically. In the Jumper bay, a couple of scientists get their first sight of the Puddlejumpers.)
SCIENTIST (into radio): Doctor Weir? You have to see this!
WEIR (into radio): There are a lot of things I have to see. Just be careful.
(In the Control Room, Rodney is pulling dust covers off the consoles.)
McKAY: This must be the Control Room. This – (he indicates a console) this is obviously their version of a DHD.
SHEPPARD: Oh, obviously!
McKAY (going over to another console): This area is probably power control system – some sort of a computer interface system of some kind ...
WEIR: Why don’t you find out?
McKAY: Well, see, that’s the hitch. We’ve got lights coming on all over the city, air’s starting to circulate, but no power coming on to these consoles.


THE PRESENT. INFIRMARY.
McKAY: Wait a minute, back up a second. That isn’t the way it happened. Everything came online when we arrived. It was, err, lights, computers, power control systems, everything. I was able to access the database immediately.
ALT-WEIR: That’s not what happened – not the first time.
(As Rodney looks at her, confused, her eyes close and she falls asleep again.)


ELIZABETH’S OFFICE. Elizabeth is talking with Carson.
WEIR: Isn’t there something you can give her?
BECKETT: She’s in an extremely fragile state. Her blood pressure is low; her heart is very weak. If I administer a stimulant, I’m afraid it may induce a dangerous arrhythmia – or worse.
WEIR: I’m not talking about a strong stimulant, just enough to keep her alert for a few more minutes at a time. I mean, we hardly get a couple of words out of her before she dozes off.
BECKETT: Which, I might remind you, is not uncommon for a woman of ten thousand.
WEIR: Carson, I understand your reticence, but trust me when I say I believe she can handle it – and I know she’d want it.
(Carson looks at her for a moment, then grimaces.)
BECKETT: OK.


INFIRMARY. Carson is taking alt-Elizabeth’s blood pressure. She is now sitting up in bed looking more awake. Carson sighs as he finishes.
ALT-WEIR: It’s OK, Carson. I’m just as freaked out about all this as you are.
(Carson smiles. Elizabeth comes in, pushing a wheelchair.)
WEIR: How’s our patient doing?
BECKETT: Pressure’s improving – and as you can tell she’s much more alert.
WEIR (to her older self): Are you up for getting out of here?
(Alt-Elizabeth smiles and nods.)


LATER. Elizabeth wheels alt-Elizabeth into the Gateroom. Alt-Elizabeth gazes around the Gateroom and the Control Room.


CONFERENCE ROOM. Alt-Elizabeth is there, with Elizabeth, Rodney, John, Carson, Aidan and Teyla.

ALT-WEIR: Seeing the city like this, sitting on the surface of the ocean – you can’t imagine how relieved I am.
McKAY: What are you saying? The city didn’t rise the first time round?
ALT-WEIR: No. No. The city was in serious trouble the very moment we arrived.


FLASHBACK. CONTROL ROOM.
McKAY: I’ve been trying to interface these consoles with a temporary battery power, see if we can access the city’s main power systems and get this place up and running.
SUMNER (over radio): Doctor Weir. Colonel Sumner. Can you come down here and meet me, please? We’re three levels down from you.
PAST-WEIR (into radio): Right away. (She and John head out.)
McKAY: How we doing over there?
GRODIN: Nothing yet.
McKAY: Well, let’s see what we can do here.


THREE LEVELS DOWN. Elizabeth and John have joined Sumner.
SUMNER: We’ve only been able to secure a fraction of the place. It’s huge.
WEIR: So it might really be the lost city of Atlantis?
SUMNER: I’d say that’s a good bet.
WEIR: Oh my God! (They have reached a large window which makes her realise where the city is.) We’re under water.
SUMNER: I’d say we’re under several hundred feet of ocean. (Outside, there’s a muffled explosion and a large bubble of air bursts out of part of the city.) This could be a problem.


CONTROL ROOM. Rodney has finally got some laptops interfaced with the Atlantis mainframe. He looks at the read-out on one with horror.
McKAY: Oh, no! (Into radio) Doctor Weir – I need to see you in the Control Room immediately.


SHORTLY AFTERWARDS. Elizabeth and John arrive back.
McKAY: This city has a shield – some sort of energy forcefield holding the water back. That is, it had a shield. Power systems are nearing maximum entropy. Our arrival hastened their depletion big time. (He takes them over to a screen on the wall which shows the entire city.) As you can see, the shield is collapsing rapidly – several sections of the city are already flooded.
WEIR: Can we use our own power generators?
McKAY: I doubt our naqahdah generators could supply enough power to sustain the shield, and we probably don’t have enough time to try. When I say “rapidly collapsing”, I mean rapidly.
WEIR (into radio): Colonel Sumner – I need you to order all your security teams to stop searching the city and fall back to the Gateroom immediately. (There’s no response.) Sumner, do you copy?
(Over the radio, Sumner’s voice can be heard calling out her name but what he says next is drowned by the sound of panicked men shouting, and the rush of water. After a few seconds, the radio goes dead.)


THE PRESENT.
WEIR: Colonel Sumner drowned?!
(Alt-Elizabeth nods. Everybody looks shocked.)
ALT-WEIR: And he wasn’t the only one to perish.


FLASHBACK. CONTROL ROOM.
SHEPPARD: We should start evacuating people through the Stargate.
McKAY: We can’t. Whatever power’s left in the system has been diverted to sustaining the shield holding the ocean back.
WEIR: Do you know why this is happening now?
McKAY: The shield might have held the water back for another hundred years, but power consumption spiked when we arrived.
SHEPPARD: This is happening because we arrived?
McKAY: Yes.
WEIR: What about auxiliary power?
McKAY: I’ll try to interface the Gate with one of our generators. Hopefully there’s enough time. Grodin – access the Stargate control system, see if you can locate any Gate addresses in the database. (To Elizabeth) There won’t be nearly enough power to get back to Earth, but, uh, maybe we’ll have enough to gate elsewhere in Pegasus.
(Elizabeth turns to John.)
WEIR: Some of our team discovered a bay full of what they’re calling ships.
SHEPPARD: As in spaceships? (Elizabeth nods.) We should check ‘em out.
WEIR: You think you can figure out ...?
SHEPPARD: I can fly just about anything.
WEIR: Good. Go.
(John hurries away. As Rodney and Peter continue to work on the consoles, the city shakes briefly. Everybody looks concerned.)


JUMPER BAY. John and Aidan run in.
SHEPPARD (gesturing to the nearest Jumper): I’ll start with this one – you start with any of those. (He gestures to other Jumpers nearby.)
FORD: What am I looking for?
SHEPPARD: See how many people they can fit. Maybe we can fly out of here.
(He runs to the rear of the nearest Jumper while Aidan runs over to another one.)


CONTROL ROOM.
GRODIN: Two piers of the city are almost entirely flooded; the third about to collapse as well.
SHEPPARD (over radio): Doctor Weir, these ships are quite a good fallback – they can hold several people each. Learning how to fly ‘em’s gonna be another matter.
McKAY: I’ll see if I can pull up a schematic – find a way out.
SHEPPARD: This ship seems different than the others.
WEIR: Different how?
SHEPPARD: It’s a different control console. I’ve radioed Zelenka – he’s on his way over to check it out.
WEIR: Good. I’m on my way too.
McKAY (looking at a console): Oh no!
WEIR: What’s wrong?
McKAY: The city’s going into a last-gasp self-protect mode. Airtight bulkheads are slamming shut all over the city. We’ve got people trapped.
WEIR: Wouldn’t that protect them?
McKAY: It’s too little, too late. Most of the rooms are already breached. We’ve got people trapped with water rising.
WEIR: Damn!
McKAY: I’ll try to override the system, open the doors, but this could seriously hamper efforts to re-power the Stargate.
(The city shakes again.)
WEIR: If these ships turn out to be our only way out of here, I don’t want you waiting too long to get up to the bay. (Rodney doesn’t answer her, distracted by his work on the console.) Rodney!
McKAY: Yes, yes, yes! I heard. Go.
(Elizabeth hurries away.)


JUMPER BAY. In the “different” Puddlejumper, Zelenka is working on the unusual console. Elizabeth hurries in.
WEIR: How’re we doing?
ZELENKA: This ship is different than the others.
SHEPPARD: Yeah, we know that. Why – what’s it do?
ZELENKA: I don’t know. I’m going to need more time.
WEIR: You don’t have time! (Zelenka shrugs. Elizabeth turns to John.) It’s airtight, I assume?
SHEPPARD: It’s a spaceship – it’d better be!
McKAY (over radio): Major Sheppard – I’ve located a roof hatch in the Gateship bay. I’ll try to get it open.
(There’s a slamming sound nearby.)
WEIR: What was that?
(In the Control Room, alarms are sounding.)
McKAY: Bulkhead doors leading out of the Control Room have all slammed shut. We’re locked in!
WEIR: Can you get it open?
McKAY: I’m trying! (Water starts to force its way through the gaps in the closed doors. Rodney runs over to the balcony overlooking the Stargate. Water is rising rapidly in the Gateroom.) Forget it! The Gateroom’s flooding.
WEIR: Get them open and get up here! We’re waiting for you!
McKAY (starting to work on a handheld device he’s holding): Elizabeth – I’m gonna keep trying to retract the roof. As soon as it opens, you go.
WEIR: Rodney!
McKAY: Look, there’s no time to argue. Catastrophic failure is imminent. Just lock yourself in and go.
(He continues working on the device as the water rises rapidly towards him.)


THE PRESENT.
ALT-WEIR: Despite your efforts, there was nothing you could do, Rodney. Within seconds the Control Room was flooded.
(Rodney stares at her in shock.)
McKAY: I died?!
ALT-WEIR: You never gave up trying, right until the end.
McKAY (still shocked): Well, a man wonders how he would choose to go out, given such dire circumstances. Now I know.
ALT-WEIR: Trying to save the lives of others.
SHEPPARD: But ultimately failing! (He throws Rodney a smug look.)
McKAY: I’m sure if I had a few more seconds, I ...
WEIR: Wait a second. Why didn’t the failsafe mechanism engage and raise the city to the surface?
ALT-WEIR: Because there was no failsafe the first time. Atlantis remained on the ocean floor. The shield completely collapsed. Water came crashing in, flooding every room in the city. (She looks at Aidan and Carson.) You both drowned while attempting to get our people into ships. (She looks at John.) And we, along with Doctor Zelenka, we found ourselves trapped.


FLASHBACK. JUMPER BAY.
SHEPPARD: We need to get outta here! (He hits the button to close the rear hatch of the Puddlejumper as water rushes into the bay. The hatch closes just in time. John runs forward to the pilot’s seat.) Did McKay get the hatch open?
ZELENKA: I do not know.
A SERGEANT (over radio): Major! There’s six of us stuck in one of the ships! What do we do?!
(John puts his hand onto the control console, and it lights up.)
ZELENKA: What did you do?
SHEPPARD: I don’t know – I think I just turned it on. (Into radio) Stand by, Sergeant. (To Zelenka) I’m not much for instruction manuals, but I could use one right about now. (He experimentally touches a control. There’s a large white flash and the Jumper jolts. As the light fades, the three of them can see that they’re now high above the planet’s surface.)
WEIR: Oh, my God!
SHEPPARD: We’re in space! What happened?
ZELENKA: Now what did you do?!
SHEPPARD: I don’t know – I just ... (He reaches out for the control again but before he can touch it the ship jolts again and there’s another flash, but this flash is orange.)
WEIR: What was that?
(Outside the Jumper, two Wraith Darts race past.)


THE PRESENT.
ALT-WEIR (upset and breathing fast): We were under attack. We didn’t know where we were or who was shooting at us. And that’s when John ... (She passes out.)
WEIR: Carson!
BECKETT (into radio as he rushes over to Alt-Elizabeth): This is Beckett – I need medical assistance in the Conference Room, asap!


INFIRMARY. Alt-Elizabeth is back in bed and either asleep or unconscious. Elizabeth stands nearby. John comes in.
SHEPPARD: How’s she doin’?
WEIR: Stabilised but still very weak – and getting weaker.
SHEPPARD: Your own mortality staring you right in the face. I can’t imagine how you must be feeling.
WEIR: When she looks at me, it’s as if she’s sensing my thoughts, and I’m sensing hers. It’s very unsettling.
SHEPPARD: Just when you thought this place couldn’t get any weirder!
(Rodney comes in.)
McKAY: Well, it’s obvious. The Puddlejumper they escaped in must have been some sort of a time machine; had to have an additional component built into it.
SHEPPARD: Flux capacitor!
McKAY: ... Yeah. The question is, where’s the time machine now, hmm?
(Elizabeth smiles as she sees her older self starting to wake up.)
WEIR: Why don’t we ask her?
ALT-WEIR: What happened?
WEIR: Can you tell us: the ship that you escaped in – where is it now?
ALT-WEIR: It’s gone.


FLASHBACK. PUDDLEJUMPER. The Wraith Darts fire repeatedly on the Jumper.
ZELENKA: Who is shooting at us?
SHEPPARD: A better question is how do we shoot back?
(Responding to his thoughts, the Jumper deploys an energy drone which flies off and destroys one of the Darts.)
SHEPPARD: Did I do that?
(The second Dart flies directly towards the Jumper.)
SHEPPARD: Hang on!
(There’s a massive impact.)


THE PRESENT. INFIRMARY.
ALT-WEIR: The next thing I knew, I woke up here.
SHEPPARD: You mean now?
ALT-WEIR: No. Then.


FLASHBACK. INFIRMARY. Past-Elizabeth opens her eyes.
MAN’S VOICE: You’re awake.
ALT-WEIR (voiceover): His name was Janis.
(Past-Elizabeth, now dressed in the same long white dress that alt-Elizabeth is wearing in the present, is lying on a bed in the Infirmary. A man is standing next to the bed. She sits up.)
ALT-WEIR (voiceover): He healed my wounds and explained to me what had happened.
JANIS: Your ship was shot down. We retrieved it from the ocean floor.
PAST-WEIR: Major Sheppard, Doctor Zelenka?
JANIS: No-one survived.


THE PRESENT. INFIRMARY.
McKAY: Ha! Ah, the bitter taste of ultimate failure, hmm? (He smiles smugly at John.)
SHEPPARD: Well, if you’d just figured out how to fix the damn shield in the first place, none of us would have died.
(Alt-Elizabeth smiles fondly at the sight of the pair of them bickering, while present-Elizabeth rolls her eyes.)
McKAY: I did everything I could, including valiantly attempting to save your sorry ...
WEIR: Gentlemen. Focus. (She turns back to alt-Elizabeth.) Please, continue.
ALT-WEIR: Needless to say, I was very confused. He explained to me that the ship we had escaped in was a time machine. He was the one who built it. After I was feeling better, he brought me before the Atlantean Council.


FLASHBACK. CONFERENCE ROOM. Past-Elizabeth meets the Council, one of whom, Melia, is the woman whose hologrammatic image was found during “Rising”. Another is a man called Moros, who appears to be the leader of the Council.)
MELIA: We welcome you to the city of Atlantis.
PAST-WEIR: Thank you.
MELIA: Unfortunately, your arrival has come at a time of great conflict. We’ve been under siege for many years and have submerged our city as a measure of protection.
WEIR: Yes – it’s extraordinary. It’s how we found the city when we came through the Stargate.
MOROS: From Earth?
WEIR: Yes.
JANIS: Ten thousand years from now. (He smiles.) It should be noted that our actions have succeeded in protecting the city for so many years.
MELIA: Let us hope Doctor Weir’s arrival has not altered this eventuality. By directly encountering the Wraith, she may have already set in motion a chain of events that could lead to a future far different from the one she left.
WEIR: I’m sorry – what are the Wraith?


THE PRESENT. INFIRMARY.
ALT-WEIR: They told me of beings called Wraiths – a vicious, formidable enemy whose power and technology rivalled their own.
McKAY: Yes – actually , we’ve already, umm ... (He trails off as Elizabeth shoots him a look to shut him up.)
ALT-WEIR: The Atlanteans sent a delegation protected by their most powerful warships in the faint hope of negotiating a truce. One on one, the Atlantean ships were more powerful, but the Wraith were so many. After that great battle, it was only a matter of time.


FLASHBACK. CONFERENCE ROOM.
MELIA: We’re awaiting the last of our offworld transport ships before beginning our evacuation through the Stargate.
PAST-WEIR: Where will you go?
MELIA: We’re returning to Earth. You’re welcome to join us.
WEIR: Thank you. That’s very kind, but I’m sure you must understand my desire to return to the future – to my people. I was hoping I would be able to use the time machine again, and programme it to arrive at the precise moment we came through the Stargate – and if it was possible and you had a ZeePM I could take back with me, that would help us considerably. See, the power systems of the city were virtually depleted ...
MOROS: No. Enough of this tampering with time. Causality is not to be treated so lightly.
JANIS: No-one’s treating it lightly.
MOROS: You are, with your insistence on continuing with experiments – despite the condemnation of this Council. We ordered you to cease these activities and yet here we sit, face to face with a visitor from the future who arrived here in the very machine you agreed not to construct.
JANIS: We are about to evacuate this city in the hope that it will lie safe for many years and then, one day, our kind will return. (He looks at Elizabeth.) And they have. It is because of my experiments that we now have the opportunity ...
MOROS: Enough! We have no time for this. (He stands.) I’m hereby ordering the destruction of this time-travel device, and all the materials connected with its design. (To Elizabeth) You are welcome to return to Earth with our people. You shall not be returning to yours.


PRESENT. INFIRMARY. Alt-Elizabeth is looking very weak. A short distance away, Carson is talking to Present-Elizabeth, John and Rodney.
BECKETT: The last of the test results only confirm the obvious: her skeletal, muscular, circulatory and neuro endocrine systems have all been decimated by age. I’m seeing renal failure, liver failure, and evidence of a stroke from her recent collapse.
SHEPPARD: How long does she have?
BECKETT: I doubt she’ll live out the night.
ALT-WEIR: Please. (Present-Elizabeth and the others turn and walk towards her.) I don’t know how much time I have left to tell the story I have waited so long to tell. (She sees that she has everyone’s attention.) Oh ... the Council. They were very upset.
WEIR: Yes – you said they decided to destroy the time machine.
ALT-WEIR: I tried to talk them out of it. I didn’t give up hope. Thankfully, I had an ally.


FLASHBACK. Janis and Past-Elizabeth are talking with Melia.
JANIS: You need to talk to Moros. Doctor Weir was brought here through no fault of her own. She shouldn’t be punished for it.
MELIA: She’s free to come with us back to Earth and live among our kind ...
JANIS (interrupting): She needs to return to her time, not remain in ours.
MELIA: That’s not possible. (To Elizabeth) I’m sorry. (She turns to walk away.)
WEIR: Wait. (Melia stops and turns back again.) I don’t think you understand how far we’ve come, or how much my people have sacrificed in the hopes of meeting you. We call you the Ancients – the Gatebuilders. We’ve crossed galaxies in the hopes of finding a great people. Please – is there no other way you can help?
MELIA: We could block the Stargate permanently after the evacuation. That way, in the future, your team will be unable to come here.
JANIS: If they can’t come, the city may never be found.
MELIA: But the lives of her expedition will be saved.
WEIR: Thank you for your generous offer, but we are explorers – just like you.
JANIS (to Melia): Which should come as no surprise since they are the second evolution of our kind. Don’t you understand? This city will survive ten thousand years.
(Melia looks as if she is torn by what to do for the best. Finally ...)
MELIA: The Council’s decision is final. (She turns and walks away.)


THE PRESENT. INFIRMARY.
ALT-WEIR: Of course, Janis refused to concede defeat. The more someone told him not to do something, the more he had to do it. So he came up with an alternate plan behind the Council’s back. (She chuckles.) It was all I could do to try to keep pace with him.


FLASHBACK. Janis and Elizabeth go to a lab with a triangular console in the middle of it. Janis goes to another console nearby and starts working on it.
WEIR: May I ask what it is you’re doing?
JANIS: Calculating the necessary power needed.
WEIR: Needed for ...?
JANIS: You said the shield collapsed shortly after your arrival. I have to find a way to extend the supply of power. (He looks up towards the triangular console.) What is you called them?
WEIR: ZeePM – zero point module.
JANIS: Yes. (He starts working on the console in front of him again.) They’re designed to operate in parallel – all three providing power to the city simultaneously. However, used in sequence, it may be possible to sustain the necessary power for the needed time. (He pushes a button and, from the triangular console, three ZPMs rise up.)
ALT-WEIR (voiceover): I didn’t believe my eyes. Three ZeePMs right in front of me.
JANIS: There is one small problem, though. Someone will need to remain behind in the city to transfer the power from one device to the other – to rotate them sequentially.
PAST-WEIR: Over thousands of years?
JANIS: It is possible.
MELIA (over comms): Janis – please report to Central Control.

ALT-WEIR: Their transport ship was inbound. It was taking heavy fire.


CENTRAL CONTROL (called CONTROL CENTRE by the Stargate Atlantis team)
PILOT (over radio): Cloaking shields damaged. We’re returning fire but we cannot access ...
MELIA: There’s too many enemy ships.
TECHNICIAN: There are more coming.
PILOT (over radio): Our shields are damaged ...
JANIS: Engage auxiliary power – try to outrun them.
(The pilot responds but what he says is drowned out by the screaming of other passengers and the sound of the ship being attacked, presumably by Wraith Darts.)
JANIS (to Elizabeth): There are over three hundred people on that transport.
PILOT (over radio): The shields are down! (He continues talking but again what he says is unclear as passengers scream. There’s the sound of an explosion. On a screen in Central Control, the Atlanteans watch as the signal depicting the transport ship flashes and goes out.)
MOROS: Begin evacuation. We must leave – now.
(Melia begins working a console. Janis and Elizabeth look at each other in alarm, then Janis hurries off, Elizabeth following him.)


THE PRESENT. NIGHTTIME. INFIRMARY. Rodney is lying down on a spare bed with a blanket over him and is fast asleep. John is sitting in a chair with his feet up on another chair. His arms are folded and his eyes are closed, so he’s probably asleep or dozing as well. Elizabeth is sitting at her alt-self’s bedside, stroking her hair. Alt-Elizabeth wakes up.
ALT-WEIR: Damn! Fell asleep again!
WEIR: Well, you’re not the only one. (She looks round at the boys, then back to alt-Elizabeth.) Are you in any pain?
ALT-WEIR: Would we admit it if we were?
WEIR: I wish there was more we could do for you.
ALT-WEIR (gazing at her younger self): Oh, look at you! Always worrying. You put too much pressure on yourself. Remember that miserable Baltic negotiation? What Simon told us afterwards?
WEIR: “Breathe” – among other things!
ALT-WEIR: Enjoy the moment – what’s here right now. The sun, the breeze ... our birthday!
WEIR: Sheppard couldn’t keep it to himself, huh?!
ALT-WEIR: I’m just saying stop being so damned hard on yourself. Life is quick.
WEIR: Not for you.
ALT-WEIR: It was my choice, Elizabeth. I didn’t second-guess it then, and I don’t regret it now.


FLASHBACK. GATEROOM. The Stargate kawhooshes and many Atlanteans, some wearing backpacks, walk through the Gate. In Central Control, Janis walks past Melia on his way to one of the control consoles.
MELIA: Where is Doctor Weir?
JANIS: She’s gone through the Gate. She was among the first to evacuate.
MOROS: Good.
(Janis finishes what he is doing and moves away. When he’s sure nobody is watching him, he walks into the rear part of the Control area and trots down the stairs there.)


STASIS CHAMBER.
ALT-WEIR (voiceover): Janis prepared the stasis chamber for me – said it would be like a deep, dreamless sleep.
JANIS: I’m inputting commands to the system to revive you twice at intervals of approximately three point three thousand years so that you can rotate the ZeePMs. I’ll give you instructions on how to reactivate the stasis process afterwards. I’m also entering the necessary commands to commence final revival the moment sensors indicate the presence of your expedition team. (He walks over to Elizabeth.) Look – I feel that I must tell you that there is a possibility – remote as it is – that this might not succeed.
WEIR: I know.
JANIS: It’s impossible to predict what’ll happen over such a long period of time. I’m convinced that you will survive. But, in the highly unlikely eventuality that you don’t, I’ve programmed the failsafe mechanism to protect the city.
WEIR: A failsafe?
JANIS: Yes. If the power drains to a critical level, the mechanism holding the city on the ocean floor will release, and it will rise to the surface.
WEIR (not looking convinced that such a thing is possible): Really?


GATEROOM. The last of the Atlanteans are going through the Gate.
ALT-WEIR (voiceover): And then they left – all of them; returning to Earth through the Stargate.
(In Central Control, Past-Elizabeth is lurking out of sight of the departing Atlanteans. Janis is removing some glass control panels from the consoles and putting them into a carrying case.)
PAST-WEIR: What’s all that?
JANIS: My research.
WEIR: You’re gonna build another time ship.
JANIS: Doubt I’ll succeed, seeing that the Council will be watching my every move.
WEIR: I’m sure you’ll find a way.
JANIS: I’ve blocked all addresses to the Gate except Earth. You will be safe.
WEIR: Thank you.
JANIS: Thank you – for giving me the hope that Atlantis will survive another ten thousand years ... after you discover it again.
(Elizabeth walks over to him and kisses him on the cheek. He gazes at her for a moment, then turns and walks away down the steps. He walks to the Gateroom, where Moros, Melia and a technician are waiting for him.)
JANIS: I’m ready.
(The technician, Moros and Melia go through the Gate. Janis turns and looks up into Central Control where Elizabeth is watching him. He gives her one last smile, then goes through the Gate.)
ALT-WEIR (voiceover): And then I was alone.
(We see past-Elizabeth standing in the empty Central Control.)
ALT-WEIR (voiceover): I set the city to slumber ...
(Past-Elizabeth activates controls on the consoles and gradually all the lights on the panels go out. She spreads dust covers over the consoles.)


STASIS CHAMBER. Elizabeth activates the last few controls, closing a blind down over a window showing the water outside, then walks to the stasis pod and nervously steps inside.
ALT-WEIR (voiceover): ... And began my long journey home.


THE PRESENT. INFIRMARY.
WEIR: It worked – the stasis, the failsafes. You gave up your entire life.
ALT-WEIR: No – because we are the same person. The best part of my life – it’s just beginning. I’m exploring a new galaxy. I have years ahead of me still. (She reaches out to touch Elizabeth’s cheek.) Trust yourself, Elizabeth. All that matters is right now. And the note – I wrote it in case I didn’t survive. Has Rodney figured it out yet?
WEIR (shaking her head): Five Gate addresses.
ALT-WEIR: Outposts: each one with a Zero Point Module. Janis told me.
(Elizabeth gets up from the bed and walks over to John. As soon as she speaks, both he and Rodney wake up.)
WEIR: The note she left – coordinates of planets to have known ZeePMs.
(Rodney gets off the bed and fumbles the note out of his pocket. John takes it from him.)
SHEPPARD: They could still be there.
(Behind them, unnoticed, Alt-Elizabeth’s eyes close and her head rolls to the side. Her heart monitor flatlines.)
McKAY: M7G-677’s on here! I mean, this is amazing! Elizabeth, we’ve got ... (He trails off as he realises what has happened to alt-Elizabeth. Elizabeth walks slowly over to her older self, and gently takes her hand.)


CONTROL ROOM BALCONY. Out on the balcony, Elizabeth takes the lid off the earthenware pot which John gave her earlier, then leans over the balcony and sprinkles the ashes of her older self out over the city and into the ocean. A few moments later, the door to the Control Room opens and John comes outside.
SHEPPARD: We’re about to start our mission briefing, so ...
WEIR: I’ll be right there. (John nods and goes back towards the door. As it opens ...) Actually, John. (He stops and turns around to face her.) Give me a minute, will you?
SHEPPARD: Sure. (He goes back inside and the door closes again.)
(Elizabeth turns and leans on the balcony reflectively.)

The End




Source : www.twiztv.com/scripts/atlantis
Transcript by Callie Sullivan

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