STARGATE ATLANTIS
Saison 1 épisode 20
SCRIPT VF
«ASSIÉGÉS 2/2»
PRECEDEMMENT DANS STARGATE ATLANTIS
SALLE DE REUNION
RODNEY : Les vaisseaux ruches arriveront à porté de tire du satellite, dans 49 heures.
DR WEIR : Ce satellite est le dernier rempart, entre les trois vaisseaux Wraiths et Atlantis.
SHEPPARD : Et il aurait assez de puissance pour éliminer un vaisseau ruches, d’après vous ?
RODNEY : Selon la base des Anciens, il pourrait éliminer les trois s’il était chargé.
DANS L’ESPACE
RODNEY : (A la radio) Il y a de gros dégâts... de très gros dégâts. Je ne suis pas sûr de pouvoir réparer ça.
LABORATOIRE DE RADEK
ZLANEKA : Il n’est pas du tout dans l’intention des Wraiths de détruire Atlantis. C’est d’aller sur terre leur intention.
DR WEIR : C’est pour ça que cette cité s’autodétruirait, si jamais les Wraiths s’en emparaient.
DANS LE JUMPER
RODNEY : (A la radio) Peter, l’arrimage au satellite se passe mal. Essayez de voir ce que vous pouvez faire.
DANS LE SATELLITE
PETER : (A la radio) Nous n’avons pas assez de temps, les vaisseaux Wraiths sont trop proches. Éloignez vous pour être en sécurité et revenez me chercher quand le satellite aura descendu les 3 vaisseaux Wraiths.
DANS LE JUMPER
RODNEY : (A la radio) Une cible a été atteinte.
Tous ceux qui sont dans la salle de contrôle applaudissent la destruction d’un vaisseau ruche part le satellite.
DANS LE SATELLITE
PETER : (A la radio) Il reste très peu de temps, dégagez de là à toute vitesse !
DANS LE JUMPER
RODNEY : (A la radio) Atlantis, ici McKay. Je viens de voir explosé le satellite.
SALLE DE CONTRÔLE
DR WEIR : (A la radio) Est-ce que d’autres vaisseaux ont été éliminés ?
RODNEY : (A la radio) Négatif. Les deux autres vaisseaux ruches sont intacts.
DR WEIR : (A la radio) Vous ne pouvez rien faire de plus là bas, Rodney. Revenez sur Atlantis.
MAINTENANT
SALLE DE CONTRÔLE
McKay est de retour sur Atlantis.
DR WEIR : Contente de vous revoir, Rodney
RODNEY : Où on en est ?
DR WEIR : D’après nos scanners les vaisseaux ruches se sont remis en mouvement, mais à une allure très réduite.
SHEPPARD : Visiblement vous les avez incités à réfléchir.
DR WEIR : De toute façon qu’ils arrivent dans deux jours ou dans deux heures, ça ne change pas le fait qu’il n’y a plus d’espoir. Impossible de leur résister. Donc à moins que l’un d’entre vous, propose une autre idée ?
LT FORD : Le dernier groupe est rassemblé et prêt à évacué.
DR WEIR : Bon, ça y est l’heure est arrivée. Vous êtes prêts ? Autodestruction enclenchée. Préparez vous à charger le virus dans la base de données. Composez le code du site Alpha.
RODNEY : D’accord. Activation extérieur. Nous recevons un code d’identification.
SHEPPARD : Qui est-ce ?
RODNEY : C’est le SGC, major.
DR WEIR : Vous en êtes certain ?
RODNEY : Oui, absolument.
DR WEIR : Baissez le bouclier.
Une équipe militaire arrive avec du matériel.
UN CHEF MILITAIRE : Docteur Weir ?
DR WEIR : Exact.
LE CHEF MILITAIRE : Colonel Everett, j’appartiens au corps de marines des états unis...
DR WEIR : Je dois...
COLONEL EVERETT : Le général O’Neill, vous adresse ses félicitations pour votre excellent travail et pour votre sang froid exceptionnel. Vous êtes relevé de vos fonctions.
SHEPPARD : Nous sommes sur le point d’être évacués.
COLONEL EVERETT : Sans combattre ?
SHEPPARD : Oui, mon colonel.
DR WEIR : C’est l’ordre que j’ai donné.
COLONEL EVERETT : Bien l’ordre d’évacuation est annulée. Je suppose que vous avez enclenché le système d’autodestruction ?
SHEPPARD : Oui, mon colonel, mais le docteur Weir essayait de vous dire...
COLONEL EVERETT : Vous allez devoir le désarmer, immédiatement.
DR WEIR : Un instant Colonel. Vous ne semblez pas avoir compris la gravité de la situation.
COLONEL EVERETT : Trois vaisseaux rempli de Wraiths s’approche de votre position et vous avez quasiment rien du tout pour vous défendre. C’est un peu prêt ça si on résume.
RODNEY : Vous avez eu notre message ?
COLONEL EVERETT : Nous avons eus votre message.
DR WEIR : Il ne reste que deux vaisseaux ruches, maintenant nous en avons détruit un.
COLONEL EVERETT : Félicitation. Ça devrait rendre ma mission un peu moins difficile.
SHEPPARD : Quelle est votre mission mon Colonel ?
COLONEL EVERETT : Notre mission ? J’ai pourtant l’impression que c’est évident major. Nous somme ici pour défendre la cité d’Atlantis, coûte que coûte.
* * * * * * * * * * * * * * GÉNÉRIQUE STARGATE ATLANTIS * * * * * * * * * * * * *
DR WEIR : Colonel ?
COLONEL EVERETT : Signé par le Général O’Neill.
SHEPPARD : Mon colonel, nous sommes contents que vous soyez là. Mais si vous aviez lu mon rapport sur l’armada qui va nous tomber dessus, vous sauriez qu'on ne peut rien contre elle !
COLONEL EVERETT : J’ai lu votre rapport de la première à la dernière page.
RODNEY : Ils ont trouvé un E2PZ forcément. Pour venir de la terre c’est le seul moyen.
COLONEL EVERETT : Il a été découvert en Egypte par une équipe d’archéologue. Quand je pense qu’il y en avait un sous devant notre nez depuis tout ce temps là.
RODNEY : C’est fantastique ! Oui, mais alors vous n’avez pas pu l’apporter l’E2PZ ici, puisqu’il doit maintenir le vortex.
COLONEL EVERETT : A l’ instant où je vous parle, on est entrain de le charger sur le nouveau croiseur de combat « Le Dédale »
RODNEY : Le jumeau du Prométhée est terminé et je ne le savais pas.
COLONEL EVERETT : Avec l’E2PZ pour booster ses moteurs, il devrait arriver ici dans 4 jours maximum, jusque là nous devons tenir à tout prix. Major Sheppard, composer le code du site Alpha et rappelez tout le personnel militaire, et au fait si des civiles ont envie de donner un coup de main pour limiter les dégâts, vous pouvez êtes sûr qu’ils seront bien accueillis. Quand vous aurez terminé, veuillez nous rejoindre en salle de conférence, nous établirons notre stratégie.
DR WEIR : Colonel Everett ! Vous avez pris le commandement d’accord, mais je devrais assister à cette réunion.
COLONEL EVERETT : Si nous abordons un autre sujet concernant Atlantis, vous serez la bienvenue à notre réunion, mais celle-ci est consacrée à nos options stratégiques.
DR WEIR : ça ne m’avait pas échappé.
COLONEL EVERETT : Tant mieux ! Quelqu’un veut bien couper l’activation du système d’autodestruction ?
SALLE DE REUNION
COLONEL EVERETT : Ce plan est basé sur les informations que vous nous avez envoyées.Sont – elles entièrement fiable ?
LT FORD : Oui, mon Colonel.
COLONEL EVERETT : Capitaine, déployez Alpha 2.
CAPITAINE : A vos ordres! Sergent Alpha 2.
LT FORD : Excusez moi mon colonel, puis-je vous demandez ce que c’est ?
COLONEL EVERETT : Nous avons quelques canons dans nos bagages. Ils ont été conçu pour remplacé les canons latéraux du Prométhée lors que sa prochaine remis en état, leur vitesse Mach 5 quand la cible est à 400 kilomètres figurez vous, et un chargeur standard peu contenir jusqu’à dix milles cartouches.
LT FORD : Wha...
SHEPPARD : Le système d’autodestruction est coupé.
COLONEL EVERETT : Merci Major. Avez-vous contacté le site Alpha ?
DR WEIR : J’ai demandé au Major Sheppard d’attendre, je voudrais d’abord vous parler.
COLONEL EVERETT : Sans blague ?
SHEPPARD : Oui, mon Colonel.
COLONEL EVERETT : Major, contactez le site Alpha.
DR WEIR : Colonel, vous êtes arrivé ici il y a à peine 5 minutes. Je suis responsable de la sécurité des civiles et des militaires qui vivent sur cette base depuis plusieurs mois. Permettez-moi de vous le rappeler ! Je ne mettrais pas des vies en danger sans même savoir comment vous avez l’intention de défendre Atlantis.
COLONEL EVERETT : Sachez que je n’ai absolument aucun compte à vous rendre, docteur Weir et j’arriverais à me passer de votre coopération.
SHEPPARD : Mais la mienne vous sera utile, peut-être... mon Colonel. Je vous demande respectueusement de ne pas laisser la question du docteur Weir sans réponse.
COLONEL EVERETT : Est-ce une menace, major.
SHEPPARD : Non, mon Colonel. Je comprends très bien que la chaine de commandement doit être respectée, mais si vous tenez le docteur Weir à l’écart. Vous vous priverez du soutient des personnes dont elle a gagnée le respect et la confiance, c'est-à-dire tout le monde sur cette base. Moi y compris.
COLONEL EVERETT : Sans blague ? Prenez place.
SUR UN BALCON D’ATLANTIS
RODNEY : Je devrais être à cette réunion. Personne ne connait mieux que moi les capacités défensives de cette cité.
ZALENKA : Toujours pareil, quand les militaires débarquent, les scientifiques ont le droit à un strapontin.
RODNEY : Jusqu’à ce qu’ils ait besoins de nous.
ZALENKA : Ils croient que nous ne servons à rien.
RODNEY : Oui, ils croient ça jusqu’au moment où ils ont besoins de nous et là ils changent d’avis.
ZALENKA : Ils changent d’avis, oui. Vous avez vu ça ?
SALLE DE REUNION
COLONEL EVERETT : Six ogives nucléaires renforcées au Naquadah. 1200 méga tonnes chacune. Elles n’émettent presque pas d’ondes magnétiques et elles sont indétectables par radars. Il suffit de les déployer et si un engin passe à proximité, elles explosent.
LT FORD : Des mines spéciales ?
UN CAPITAINE : Exactement, nous utiliserons les Jumpers en mode furtif pour aller les placer entre leur armada et Atlantis. Major nous comptons sur votre aide, d’ailleurs.
SHEPPARD : D’accord, mais je vous recommande de garder deux Jumpers en réserve.
COLONEL EVERETT : Négatif. Nous n’aurons le droit qu’un un seul essaie.
SHEPPARD : Vous ne pouvez pas exclure la possibilité que...
COLONEL EVERETT : Quatre de mes hommes sont des pilotes et Beckett de leur inoculé le gène des Anciens. Si le résultat est concluant, vous les familiariserez aux pilotages des Jumpers et ils formeront une escadrille.
SHEPPARD : Dont je ferais partie.
COLONEL EVERETT : Non, j’ai une autre mission pour vous. J’ai cru comprendre que cette base était équipée d’un fauteuil de contrôle stratégique semblable à celui que nous avons découvert en Antarctique.
DR WEIR : Oui, mais nous ne pouvons pas l’alimenter.
COLONEL EVERETT : Nous pouvons maintenant. Avec le générateur à Naquadah 2éme génération.
UN CAPITAINE : Nous avons trouvé un moyen d’augmenter sa puissance réactive de 600 %. Il aura une durée de vie plus courte, mais il devrait alimenter le fauteuil juste le temps qu’il nous faut.
SHEPPARD : Ce plan commence à me plaire.
COLONEL EVERETT : Je suis bien content que vous l’approuviez, major. Nous savons que je n’ai pas gagné d’avance, mais comme je le disais tout ce que nous avons à faire, c’est tenir jusqu'à l’arrivée du Dédale. Ensuite, LeE2PZ alimentera le bouclier de la cité. Il y des questions ? Bon très bien. Maintenant que le docteur Weir, a été informé de notre stratégie. Je vous serais reconnaissant de bien vouloir exécuter l’ordre que je vous ai donné. C'est-à-dire contacter le site Alpha.
SHEPPARD : Oui, mon Colonel.
COLONEL EVERETT : Major ! Ne me forcez plus jamais à vous donner deux fois le même ordre.
SHEPPARD : Compris mon colonel.
Tous les nouveaux militaires s’affairent à monter le matériel qu’ils ont apporté. Sheppard donne des courts de pilotage aux militaires qui ont reçu le gène des Anciens. McKay et Zalenka s’active sur le fauteuil des Ancien. Teyla s'entraîne au corps à corps, le Colonel Everett lui rend visite.
AU GYMNASE
COLONEL EVERETT : Vous devez être Teyla ?
TEYLA : Et vous êtes le Colonel Everett.
COLONEL EVERETT : D’après ce que j’ai lu, le Major Sheppard vous tiens en très haute estime. Cela dit le dernier rapport à votre sujet me cause un peu d’inquiétude.
TEYLA : Vous craignez que je tombe à nouveau sous l’influence des Wraiths ?
COLONEL EVERETT : Le Major Sheppard m’a assuré que cela n’arriverais plus, mais je suis quand même dans l’obligation de vous tenir à l’écart.
TEYLA : N’avez-vous pas besoins de toutes les personnes valides pour défendre Atlantis ?
COLONEL EVERETT : Nous avons le contrôle de la situation.
SALLE DU FAUTEUIL
RODNEY : Il ne fait pas le moindre effort.
DR BECKETT : Nous avons déjà essayé des dizaines de fois !
ZALENKA : Jamais avec cette source d’énergie là.
DR BECKETT : L’homme qu’il vous faut, c’est le Major Sheppard.
RODNEY : Evidemment, mais aujourd’hui il entraine des pilotes et il largue des mines dans l’espace. Alors on doit se contenter de vous. Bon si vous m’écoutez attentivement et si vous m’obéissez, en théorie tout ce passera très bien.
DR BECKETT : Rodney, trouvez quelqu’un d’autre.
RODNEY : Concentrez-vous sur l’activation du fauteuil de contrôle, rien d’autre. Rien de moins, rien de plus. Ne pensez pas...
DR BECKETT : Non, ne me dite pas à quoi je ne dois pas pensé, je vais commencer aussitôt à y penser.
RODNEY : S’il vous plait activé le fauteuil.
Le docteur Beckett s‘exécute et réussi à activé le fauteuil, McKay analyse les données.
RODNEY : Bon. C’est bon...c’est bon. Et...Oh, non...
DR BECKETT : Quoi ? Je n’ai pas fait comme il faillait ?
Rodney débranche son ordinateur du fauteuil et part précipitamment.
ZALENKA : Vous voyez ? Tout ce passe très bien.
McKay revient sur ses pas.
RODNEY : Enlevez-le de ce fauteuil.
SALLE DE CONTRÔLE
RODNEY : Elizabeth. Excusez-moi. Ça y est, j’ai branché le générateur et le fauteuil de contrôle est opérationnel.
COLONEL EVERETT : Voilà une bonne nouvelle.
RODNEY : Elle aurait pu être meilleure.
DR WEIR : Quel est le problème ?
RODNEY : Il reste à peine quelques dizaines de drones.
COLONEL EVERETT : C’est seulement maintenant que vous vous en rendez compte ?
RODNEY : Je n’avais aucun moyen de le savoir avant que le fauteuil soit initialisé, et je ne pouvais l’initialiser sans le nouveau générateur.
COLONEL EVERETT : Mais le fauteuil en Antarctique pouvait contrôler plusieurs milliers de drones, monsieur McKay.
RODNEY : Je suis au courent figurez vous. Ici ils ont surment été utilisés quand les Wraiths ont lancés leur première attaque contre les Anciens.
DR WEIR : Quelques dizaines de drones, nous permettrons quand même de les retarder.
L'alarme de la cité retentit.
DR WEIR : De quoi il s’agit ?
CHUCK : Nous avons de la visite. Je ne sais pas d’où ils viennent, c’est apparu brusquement sur l’écran.
SHEPPARD : Que ce passe-t-il ?
DR WEIR : Nous venons de détecter un groupe d’objet qui s’approche de la planète.
COLONEL EVERETT : Il y en a combien ?
CHUCK : Plus d’une centaine.
SHEPPARD : Ils ont échappés aux détecteurs longs distance ?
RODNEY : Oui, parce que ce sont des pierres. Des astéroïdes. Je paris que Wraiths les ont collectés dans la ceinture d’astéroïde et les ont propulsés vers nous en restant à distance. Et l’ordinateur central a mit du temps comprendre que c’était dangereux.
DR WEIR : Peuvent-ils causer beaucoup de dégâts ?
RODNEY : Oui, même si la plupart va se désintégrer dans l’atmosphère, mais les Wraiths avaient une autre idée.
COLONEL EVERETT : Ils les ont envoyés vers les mines.
SHEPPARD : Mais enfin, elles ne peuvent pas être désamorcées ?
COLONEL EVERETT : Non !
Les mines explosent une à une.
RODNEY : Voilà l’affaire est réglée. Vos mines ont fait un sacrée boucan, Colonel. A mon avis les Wraiths ont les oreilles qui bourdonnent.
SHEPPARD : La position des vaisseaux ruches a-t-elle changée ?
RODNEY : Aucun moyen de le savoir. Les détonations ont saturées les détecteurs.
COLONEL EVERETT : Ils seront à nouveau actifs dans combien de temps ?
CHUCK : Il y a beaucoup de radiations résiduelles.
RODNEY : Nous allons être aveugle plusieurs heures.
SHEPPARD : Les Wraiths ne sont pas très loin, et nous avons perdu notre première ligne de défense.
SALLE DE PROJECTION
SHEPPARD : Vous m’avez demandé mon Colonel ?
COLONEL EVERETT : Il parait que je peux en apprendre beaucoup sur l’histoire d’Atlantis dans cette salle.
SHEPPARD : Nous l’utilisons très peu à cause de sa consommation d’énergie.
COLONEL EVERETT : J’aimerais voir par moi-même comment les Anciens ont perdus la première fois, pour ne pas refaire leurs erreurs.
SHEPPARD : Oui, mon Colonel. Je vais vous montrer. Vous voyez ici la répartition des forces dans la galaxie de Pégase, avant que les Anciens ne fassent connaissance avec les Wraiths. Les étoiles bleues sont les plus nombreuses, elles représentent les systèmes habités ou protégés par les Anciens. Maintenant, voici la galaxie après un combat de presque 100 ans.
COLONEL EVERETT : Atlantis a été leur dernière enclave ?
SHEPPARD : Oui, mon Colonel... et les Wraiths l’ont assiégé. Les Atlantes ont réussis à repousser leurs agresseurs pendant plusieurs années, grâce au bouclier de la cité et grâce à leurs armes très sophistiquées comme le satellite de gestion tactique. Ils avaient beau détruire une quantité de plus en plus grande de vaisseaux, les Wraiths en envoyaient d’autres. Ils arrivaient à remporter presque toutes les batailles, mais ils ne voyaient aucune possibilité de gagner la guerre. Alors...ils ont submergées la cité et ils sont partis. C’est tout. Voilà leur histoire. Nous savons à quoi nous en tenir.
COLONEL EVERETT : Vous considérez donc que nous n’avons aucune chance ?
SHEPPARD : Non, mon Colonel. Mais à mon avis, même si...même si nous gagnons cette fois, ils n’en resteront pas là.
COLONEL EVERETT : Major, je crois nécessaire de vous dire que le Colonel Marshall Sumner était un de mes meilleurs amis. J’ai combattue avec lui pendant de nombreuses années et franchement je n’arriverais jamais à comprendre que vous soyez retourné aussi loin derrière les lignes ennemis et que vous ne l’ayez pas sauvé, alors que vous étiez si prêt de lui.
SHEPPARD : Il m’a fallut du temps pour rejoindre le Colonel Sumner...
COLONEL EVERETT : Et en plus vous avez admis avoir tiré le coup de feu qui lui a ôté la vie.
SHEPPARD : J’ai tiré parce que s’est ce qu’il voulait, je l’ai lu dans ses yeux.
COLONEL EVERETT : Vous connaissiez le colonel Sumner si bien que ça ?
SHEPPARD : Vous n’y étiez pas mon Colonel.
COLONEL EVERETT : Il aurait mieux valut pour lui que je puisse y être.
SHEPPARD : Je vous jure que chaque nuit, il y a toujours un moment ou cette scène repasse dans ma tête, et à chaque fois que ce moment arrive...
COLONEL EVERETT ET SHEPPARD (En même temps) : Oui, salle de contrôle.
COLONEL EVERETT : (A la radio) Ici le Colonel Everett. Que se passe-t-il ?
CHUCK : Nous avons détecté une attaque de Darts, mon Colonel. J’arrive dans un instant. Foncez au fauteuil, nous terminerons plus tard.
SALLE DE CONTRÔLE
COLONEL EVERETT : Qu’est ce qui se passe ?
CHUCK : Je reçois de nombreux signaux à la fois. Les Darts approchent très vite. McKay avait raison les explosions ont neutralisés les détecteurs. Quand on a repéré nos ennemis ils étaient déjà au dessus de nous.
COLONEL EVERETT : Les canonniers sont en position ?
CHUCK : Oui, mon Colonel.
COLONEL EVERETT : Et nos équipes de défense civile ?
DR WEIR : Elles sont en position.
COLONEL EVERETT : Alors allez-y ! Coupez l’éclairage.
SUR UNE DES TERASSE D’ATLANTIS
Les canonniers se préparent pour le combat.
UN MILITAIRE : N’oubliez pas ce que je vous ai dit. Des rafales courtes et régulières. L’ennemi arrive !
Des fusées de détresses sont lancées afin d'éclairer le ciel et les premiers coups de feu sont donnés.
UN MILITAIRE : Maintenant !
SALLE DU FAUTEUIL
SHEPPARD : Mettez le en marche McKay !
RODNEY : ça va prendre une minute !
SHEPPARD : Dans une minute il sera trop tard !
RODNEY : Ecoutez ce générateur peut alimenter le fauteuil uniquement si j’arrive à le maintenir à la limite de la surcharge.
SHEPPARD : Faites en sorte que ce truc fonctionne !
RODNEY : C’est bien mon attention !
Sur une des terrasses de la cité les canonniers sont toujours au combat.
RADNER : (A la radio) Colonel. Ici Radner.
COLONEL EVERETT : (A la radio) Oui, parlez.
RADNER : (A la radio) Certains d’entre commence à lancer des opérations Kamikazes.
Une explosion retentie au même moment.
DR WEIR : Que s’est-il passé ?
CHUCK : Le système central n’est plus sous contrôle.
SUR UNE DES TERRASSES DE LA CITE
UN MILITAIRE : Vite ! Allez-y !
Le Colonel Everett et le docteur Weir arrive sur une des terrasses de la cité et constate l’étendu du combat. Certaines personnes sont emportées par des rayons Wraiths, dont un canonnier.
COLONEL EVERETT : On dirait qu’un de nos cannons est devenu inactif. (A la radio) Ferrell pourquoi vous ne tirez plus ?
DR WEIR : (A la radio) Ici Weir.
COLONEL EVERETT : (A la radio) Ferrell j’attends votre rapport.
LT FORD : (A la radio) Mon Colonel ici le lieutenant Ford, je ne suis pas loin du canon de Ferrell. Je vais voir.
SALLE DU FAUTEUIL
RODNEY : Le fauteuil est branché. A vous de jouer.
Le major Sheppard active le fauteuil et commence à tirer le peu de drones qu’ils restent en réserve. Pendant ce temps le lieutenant Ford s’assoie à la place de Farrell qui a été emporté par le rayon d’un Darts et tire des rafales. Deux Darts approchent d’une terrasse, mais ils sont touchés. Un des drones touche un Dart qui explose. Quelques dégâts sont a déploré sur Atlantis.
SALLE DE CONTRÔLE
RODNEY : L’alimentation est coupée dans plusieurs secteurs. Les scanners longues portées et les détecteurs internes sont HS. On essaye de les réparer.
COLONEL EVERETT : Donnez-moi la position des vaisseaux ruches le plus vite possible.
RODNEY : Ils vont bientôt arriver, voilà leurs positions. Demain, après demain ou le jour suivant. Mais ils finiront par arriver ici. Rien ne nous oblige à rester pour les accueillir.
DR WEIR : Rodney !
RODNEY : Le fauteuil de contrôle n’a plus un seul drone. Au prochain raid, qu’est ce que vous allez faire ?
COLONEL EVERETT : Je suis ouvert à toutes les suggestions.
RODNEY : Ah, oui.
SHEPPARD : C’est les vaisseaux ruches qu’il faut frapper.
COLONEL EVERETT : Avec quoi ?
SHEPPARD : Avec un Jumper, qui s’en approchera en mode furtif et les fera exploser.
COLONEL EVERETT : Vous êtes volontaire pour une mission suicide ?
SHEPPARD : Ce ne sera pas une mission suicide, si McKay et Zalenka trouve un moyens de télécommander le Jumper.
COLONEL EVERETT : Est-ce que vous pouvez ?
RODNEY : Je savais que ça allait arriver
COLONEL EVERETT : A oui, vous le saviez.
RODNEY : C’est toujours pareil, vous, vous débarquez avec vos flingues, votre coupe en brosse, mais quand vient le moment de sauvé la cité, vous vous tournez vers les scientifiques et à chaque fois vous leurs demandez l’impossible.
COLONEL EVERETT : Vous n’avez pas dormi depuis combien de temps, docteur?
RODNEY : Silence ! Je viens d’avoir une idée.
ZALENKA : Le fauteuil.
RODNEY : Bien sûr le fauteuil. Mais comment le connecter aux systèmes du Jumper.
ZALENKA : En évitant de surcharger le générateur.
RODNEY : Possibilité serait de fixer des drones sur les Jumpers comme moyen de propulsion.
ZALENKA : Dans ce cas il faudrait que l’inhibiteur de force d’inertie soit au maximum.
RODNEY : Le Jumper sera moins maniable, mais c’est une possibilité.
COLONEL EVERETT : ça veut sire que c’est faisable ?
RODNEY : ça veut sire que c’est une possibilité.
COLONEL EVERETT : Elle m’intéresse. Vous croyez qu’un Jumper ferait beaucoup de dégât.
SHEPPARD : Attendez, j’ai une idée pour être certain d’en faire. Je sais où trouver un autre missile nucléaire.
DR WEIR : ça m’étonnerait que les Geniis fassent preuve de compassion à notre égard, Major.
COLONEL EVERETT : Les Geniis ?
SHEPPARD : Ils veulent tester leur missile, quelle merveilleuse occasion.
TEYLA : Laissez-moi passer ! Je dois absolument parler au docteur Weir.
DR WEIR : Teyla ? Que se passe-t-il ?
TEYLA : Les Wraiths...ce sont introduit sur Atlantis.
LT FORD : Les Wraiths, qui pilotent les vaisseaux Kamikazes se projet dans la cité juste avant de s’écraser.
COLONEL EVERETT : Ils veulent donc prendre la cité intacte. Combien sont-ils à votre avis ?
SHEPPARD : Combien de Darts se sont écrasés ?
COLONEL EVERETT : Une vingtaines peut-être 30, et les détecteurs internes ne fonctionnent plus.
SHEPPARD : Nous avons ce petit radar, il ne fait pas la différence entre les Wraiths et les humains, mais si nous limitons la zone de circulation du personnel de la base, les points qui apparaîtrons hors des limites fixées seront très certainement nos cibles.
COLONEL EVERETT : Montrez-moi ça.
SHEPPARD : Inutile il faut avoir le gène.
COLONEL EVERETT : J’ai suivi la génothérapie.
TEYLA : Mon peuple souhaite vous aider. C’est une très grande cité mon Colonel, plus nous seront nombreux à chercher, mieux ce sera.
SHEPPARD : Teyla est la première à avoir senti la présence des Wraiths, mon Colonel.
COLONEL EVERETT : Capitaine...procurez leurs des armes et un équipement.
LE CAPITAINE : A vos ordres.
SALLE DU FAUTEUIL
DR BECKETT : D’autres personnes sur cette base possède le gène des Anciens. Le docteur Kusanagi, par exemple, je suis certain qu’elle serait enchantée de vous aider.
RODNEY : Je suis épuisé et affamé, Carson alors asseyez vous. Etant donné qu’il n’y a plus un seul drone, vous ne risquez pas de faire le moindre dégât. Merci. Les affaires reprennent. Foncez prêt du Jumper et contacter moi par radio quand vous y serez.
DANS LA CITE
Une équipe fouille une partie de la cité. Teyla fait de même. Le lieutenant Ford est seul mais sur ses gardes. Un Wraith se cache derrière un pilier et attaque le lieutenant Ford, le major Sheppard arrive derrière et tue le soldat Wraith d’une rafale de mitraillette.
SHEPPARD : ça va ?
LT FORD : Oui, si vous faisiez l’appât la prochaine fois ?
SHEPPARD : Oui, pourquoi pas. La prochaine fois. Allez, par ici.
SALLE DE CONTRÔLE
CHUCK : Nous venons de recevoir une réponse des Geniis.
DR WEIR : Ecoutons là.
MESSAGE DES GENIIS
PRENUM : Ici Prenum, j’appartiens aux Geniis. Nous accueillons favorablement l’opportunité d’ouvrir un dialogue entre nos deux peuples. Envoyez votre émissaire, une seule personne, sans arme.
DR WEIR : C’est tout ?
CHUCK : Oui, madame.
DR WEIR : (A la radio ) Colonel Everett, ici Weir. Comme nous l’espérions les Geniis nous ont demandés d’envoyer un émissaire. Je suis prête à tenir ce rôle.
COLONEL EVERETT : (A la radio)Parfait ce serait difficile de trouver une personne plus qualifié. Si vous réussissez, je vous paye un verre.
DR WEIR : D’accord Colonel. Composez le code.
PLANETE GENII
DANS UNE SALLE
Elisabeth est emmenée dans une salle les yeux bandés et les mains attachées derrière le dos. Les deux Geniis qui l’accompagnent l’asseyent sur une chaise.
PRENUM : Docteur Weir. Je suis Prenum, membre des Geniis. Je dois dire que je suis surpris, non , stupéfié, que vous ayez eu l’audace de venir ici.
DR WEIR : Vous avez surement eu notre message, les Wraiths sont à porte.
PRENUM : Et comme vous l’imaginez, nous nous réjouissons déjà à la perspective de votre anéantissement.
DR WEIR : Ce n’est pas surprenant. Mais il me semble bien que vous avez quelque chose qui vous intéresse.
PRENUM : Du C4 bien sûr.
DR WEIR : Pas seulement. Vous auriez une opportunité extraordinaire de tester votre arme sans aucun risque pour vous-même et avec une chance d’infliger des pertes aux Wraiths. Ils sont plus proches d’ici que vous ne le croyiez.
PRENUM : Les Wraiths nous ont déjà rendu visites, docteur Weir. Ils sont venus il y a 6 jours. Heureusement que nous avons détecté leurs approchent et nous avons pu couper les réacteurs avant qu’il ne soit trop tard. Ils ont fait des centaines de victimes à la surface. Mais des milliers de vies ont été sauvées car notre installation souterraine n’a pas été détectée. Donc pour les Geniis, vous voyez cette menace s’en est allée comme elle était venue. Du point de vu des Wraiths, notre planète n’a vraiment plus le moindre intérêt. Le docteur McKay nous a fournis le plan de fabrication de la bombe et nos premiers prototypes sont quasiment terminés.
DR WEIR : Pourquoi, m’avez-vous demandé de venir ici?
PRENUM : Mais pour avoir une monnaie d’échange contre le C4 docteur, votre vie.
CITE D’ATLANTIS
DANS LES COULOIRS DE LA CITE
Everett mène son équipe lorsqu'ils entendent des coups de feu justes avant que le courant soit coupé. L’équipe du Colonel Everett continue d’avancer et découvre hommes morts, ainsi qu’un générateur à Naquadah qui a été endommagé.
COLONEL EVERETT : Bon sang ! (A la radio) Ici Everett. Les Wraiths ont détruit un de nos générateurs.
SHEPPARD : (A la radio) Quel est la centrale la plus proche ?
LT FORD : (A la radio) La numéro 3. Le groupe de Teyla est dans ce secteur.
SHEPPARD : (A la radio) Teyla ?
TEYLA : (A la radio) Je n’en occupe Major.
SHEPPARD : (A la radio) Je vous rejoins là bas.
PLANETE GENII
DANS UNE SALLE
DR WEIR : Je vous ai déjà proposé de vous donner le C4.
PRENUM : Et vous voulez le prototype de notre bombe en échange ? Ce serait une mauvaise affaire pour les Geniis.
DR WEIR : Que feriez-vous si vous aviez du C4 à votre disposition ? Vous l’ajouteriez à votre arme je suppose ?
PRENUM : Oui.
DR WEIR : Et vous feriez un essai ?
PRENUM : Oui, bien sur.
DR WEIR : Essayez de comprendre, je vous offre une chance de tester votre arme contre un vaisseau Wraith, sans faire courir le moindre risque à votre peuple et en gardant de quoi fabriquer des dizaines de bombes. Si vous êtes trop arrogent ou trop stupide.
PRENUM : Soyez prudente docteur...
DR WEIR : Vous croyez que je peux me permettre d’être prudente ! Je vous ai proposé un marché. Il est très avantageux pour vous. C’est prendre ou à laissez.
CITE D’ATLANTIS
HANGAR AUX JUMPERS
Zalenka travaille sur le Jumper en parallèle avec McKay qui se trouve dans la salle du contrôle du fauteuil.
DANS UN JUMPER
ZALENKA : Voilà, je crois que ça y est.
SALLE DU FAUTEUIL
RODNEY : Très bien. Faisons un essai.
ZALENKA : (A la radio) Tout est prêt.
RODNEY : Carson, vous allez faire le vide dans votre esprit et pensez au Jumper. Pensez à le mettre en fonction.
DANS UN JUMPER
ZALENKA : Allez, allez, c’est quand vous voulez.
SALLE DU FAUTEUIL
RODNEY : Carson, vous pouvez y arriver, j’en suis certain. Vous allez activer le Jumper immédiatement.
DANS UN JUMPER
Carson a réussi a faire fonctionner le Jumper à distance.
ZALENKA : Oui ! Ça y est ! (A la radio) Rodney, Rodney, ça fonctionne.
SALLE DU FAUTEUIL
RODNEY : Génial.
SALLE D’EMBARQUEMENT
Weir est de retour avec les prototypes de bombes.
DR WEIR : Donnez-moi votre radio. Merci. (A la radio) Ici Weir. Je viens d’arriver avec le prototype.
SALLE DU FAUTEUIL
RODNEY : Oui, le prototype.
DANS LES COULOIRS DE LA CITE
Les équipes sont en pleine bataille avec les Wraiths, mais elles parviennent à prendre l'avantage en les tuant tout les Wraiths qui étaient dans le secteur.
SHEPPARD : Sauf erreur de ma part, ça doit être les derniers.
BUREAU D’ELIZABETH
DR WEIR : Colonel.
COLONEL EVERETT : Bien joué docteur Weir. Je dois, je dois l’admettre. Je suis impressionné.
DR WEIR : Bon alors, mon cas n’est pas désespéré.
COLONEL EVERETT : Oh, j’ai pris votre fauteuil.
DR WEIR : Je croyais que c’était votre fauteuil.
COLONEL EVERETT : Vous savez...je, je n’aime pas resté assis. Je feuilletais des ...
RODNEY : Nous avons un problème.
COLONEL EVERETT : Nous avons de très nombreux problèmes.
RODNEY : J’ai examiné les armes nucléaires de Geniis, elles sont incomplètes. Je peux les finaliser, mais ça prendra du temps.
COLONEL EVERETT : Combien de temps ?
RODNEY : Environ une journée.
COLONEL EVERETT : Dans une journée, il sera trop tard.
RODNEY : C’est bien ce que je disais. Nous avons un problème.
DANS UN LABORATOIRE DE LA CITE
Zalenka et McKay sont au travail, ils chargent Beckett de leur injecter de nouveau un stimulant afin qu'ils ne s'endorment pas.
DR BECKETT : Vous vouliez me voir Rodney ?
RODNEY : J’ai besoins de quelque chose qui me tienne éveillé.
ZALENKA : Oui, moi aussi.
DR BECKETT : Je vous ai déjà donné un dopant.
RODNEY : Pour fabriqué une bombe nucléaire improvisé, resté éveillé est fortement conseillé.
DR BECKETT : Quel humour percutant. Bon d’accord, je vais un autre stimulant. Bon courage.
RODNEY ET ZALENKA : Merci.
SALLE D’EMBARQUEMENT
Les blessés non militaires sont évacués vers le site alpha.
COLONEL EVERETT : Je regrette que vous ayez perdu des compagnons.
TEYLA : De nombreux compagnons, mon colonel.
UN HOMME : (A la radio) Ici Jumper quatre. Les deux vaisseaux ruches sont visibles.
COLONEL EVERETT : (A la radio) Ici Everett, Jumper quatre vient de m’informer que les vaisseaux Wraiths approchaient de la planète. Equipe de défense prenez position. Docteur...
DR WEIR : Merci beaucoup. (A la radio) C’est Weir qui vous parle. Je sais que vous êtes à bout de forces et que vous avez été mise à très rude épreuves ces derniers jours. Dans le meilleur des cas, le Dédale arrivera à temps pour nous aider. Mais dans l’intervalle, notre sort est entre nos mains. Si au cours de cette bataille, il devient évident que tout espoir est perdu, je donnerais l’ordre d’évacuer. Nous espérons tous ne pas en arriver là. Mais si je donne cet ordre vous ne devrez pas hésiter. C’est tout pour l’instant.
DANS LE LABORATOIRE DE LA BOMBE
LT FORD : On a plus le temps.
RODNEY : Quelle coïncidence, on vient de finir.
ZALENKA : Bon allez...le fauteuil de contrôle ?
RODNEY : Ouais.
DANS UN COULOIR DE LA CITE
UN MILITAIRE : (A la radio) Mon colonel, on va au hangar à vaisseau pour charger les Jumpers.
COLONEL EVERETT : (A la radio) Message reçu.
SALLE DE CONTRÔLE
COLONEL EVERETT : N’oubliez pas... je dois vous offrir un verre.
HANGAR AUX JUMPERS
DANS LE JUMPER
Les bombes sont installées dans les deux Jumper.
ZALENKA : Doucement, doucement, doucement, jusque là.
DANS UN COULOIR DE LA CITE
Teyla et son équipe parcourt la cité à la recherche de Wraith.
SALLE DE CONTRÔLE
DR WEIR : (A la radio) Sheppard, êtes vous prêt ?
SALLE DU FAUTEUIL
SHEPPARD : Rodney ?
RODNEY : Le générateur, ne s’est pas mis sous tentions comme prévu.
DANS LA CITE
Teyla patrouille toujours dans la cité. Les militaires qui sont posté que les terrasses d’Atlantis sont positionné prêt à combattre. Les vaisseaux ruche Wraiths lancent l’attaquent.
SALLE DE CONTRÔLE
L’alarme vient de retentir, annoncent l’attaque des Wraiths sur la cité.
DR WEIR : Les Wraiths lancent une nouvelle attaque, Major ! Il faut agir immédiatement !
A l'extérieur, les soldats ouvrent le feu sur l'ennemi.
SALLE DU FAUTEUIL
SHEPPARD : McKay !
RODNEY : Il y a un problème la puissance baisse.
HANGAR AUX JUMPERS
ZALENKA : (A la radio) Rodney, rien ne s’est allumé.
SALLE DE CONTRÔLE
DR WEIR : (A la radio) Dites-moi pourquoi les Jumpers ne sont pas sorti.
RODNEY : (A la radio) On a dû épuiser la puissance réactive du modèle 2. Il est mort.
Sheppard quitte le fauteuil.
SHEPPARD : Au revoir Rodney.
RODNEY : Il y a surement un moyen de... Major !
DANS LES COULOIRS DE LA CITE
Le Colonel Everett inspecte une partie de la cité avec son équipe.
COLONEL EVERETT : Vigilance maximum, ils sont ici.
SALLE DE CONTRÔLE
DR WEIR : (A la radio) Colonel, nous avons un problème.
COLONEL EVERETT : (A la radio) Qu’est qu’il y a ?
DR WEIR : (A la radio) Nous allons surement devoir donner l’ordre d’évacuer.
SHEPPARD : Elizabeth. Attendez !
DR WEIR : Vous devez rester.
SHEPPARD : Je dois faire mon devoir et vous le savez !
DR WEIR : John... allez-y !
COLONEL EVERETT : (A la radio) Docteur Weir, est ce qu’il y a du nouveau pour le Jumper.
DR WEIR : Il va décoller.
Dans la cité le Colonel Everett est désarmé par un Wraith et tire sur lui à plusieurs reprises avec son pistolet ce qui n'a aucun effet.
SALLE DE CONTRÔLE
ZALENKA : (A la radio) Docteur Weir, Sheppard à fait décollé le Jumper.
DR WEIR : (A la radio) J’en ai été informé docteur Zalenka. Commencer à préparer le Jumper 2. Teyla j’entends des coups de feu. Qu’est ce qu’il se passe ? Teyla vous m’entendez ? Teyla ?
HANGAR AUX JUMPERS
Un Jumper s’apprête à sortir. John est à bord.
SHEPPARD : Il faut espérer que si j’en descends un, l’autre décidera de faire demi-tour.
SALLE DE CONTRÔLE
DR BECKETT : Avancez, avancez. Nous devons partir Elizabeth.
RODNEY : Il a raison, les Wraiths se projettent partout.
DR WEIR : Nous ne partons pas. Pas encore.
Le Jumper s’occulte pour ne pas que les Wraiths repèrent les major Sheppard.
DANS LE JUMPER
SHEPPARD : (A la radio) Si j’arrive à en descendre un. Quelqu’un devra peut-être faire pareil.
SALLE DE CONTRÔLE
DR WEIR : (A la radio) Message reçu.
DANS LA CITE
Le lieutenant Ford et son équipe.
LT FORD : Plus vite. Par ici.
Ford et son équipe sont pris au piège par de nombreux Wraith.
SALLE DE CONTRÔLE
RODNEY : Sheppard pilote le Jumper ?
DR WEIR : Aidez-moi à armer le système d’autodestruction en cas d’échec.
DANS LE JUMPER
SHEPPARD : (A la radio) Ils n’ont pas détecté le Jumper. L’arme est enclenchée, tout est prêt. J’avance vers eux.
A SUIVRE...