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#201 : Sous le feu de l'Ennemi 3/3

L'expédition d'Atlantis aidée par le nouveau vaisseau Terrien se prépare à défendre la cité contre l'assaut des Wraiths.

Popularité


4.75 - 4 votes

Titre VO
The Siege, part 3

Titre VF
Sous le feu de l'Ennemi 3/3

Première diffusion
15.07.2005

Plus de détails

Scénariste(s) : Martin Gero

Réalisateur(s) : Martin Wood

Guests : Clayton Landey (Colonel Dillon Everett), Paul McGillion (Dr. Carson Beckett), David Nykl (Dr. Radek Zelenka), Mitch Pileggi (Colonel Steven Caldwell), Ellie Harvie (Dr. Lindsey Novak), Chuck Campbell (Chuck) and Trevor Devall (Voix d'Hermiod)

Ford et son équipe sont encerclés par des Wraiths. Le combat fait rage, Ford après avoir éliminé plusieurs de ses assaillants, se fait surprendre et un Wraith, en lui apposant une main sur la poitrine, commence à lui soutirer son énergie vitale. A la suite de l’explosion d’une grenade à coté d’eux, ils sont projetés tous deux dans l’océan.

Dans un Jumper, Sheppard se dirige toujours vers un des vaisseaux ruches dans le but de faire exploser une bombe Genii, et donc de se sacrifier. Soudain, le colonel Caldwell à bord du Daedalus (Dédale) contacte par radio Sheppard.

Sur Atlantis, tous observent, sur les écrans de contrôle l’explosion de la bombe et la destruction du vaisseau ruche. Puis, ils reçoivent le signal IFF du Major Sheppard qui est sain et sauf à bord du Dédale où se tient le Colonel Steven Caldwell. L’autodestruction de la cité est aussitôt annulée et le tant attendu E2PZ est téléporté à l’attention de McKay.
En orbite, le combat s’engage. Des Darts se dirigent vers le Dédale qui riposte avec ses canons électro-magnétiques.

Dans la cité, le Colonel Everett est toujours en prise avec un Wraith. Il vide son chargeur de 9mm mais en vain car cela n’arrête en rien le Wraith qui commence déjà à lui aspirer son énergie vitale.

A bord du Dédale, Hermiod, conseiller technique asgard qui est là pour assister l’équipage dans le maniement des technologies avancées Asgards incorporés au vaisseau, souligne que la puissance des boucliers sera sévèrement diminuée sans le E2PZ branché sur leur système d’énergie.

Sur le pont du vaisseau, le colonel Caldwell et le Major Sheppard dressent une stratégie pour contourner les défenses du dernier vaisseau mère ennemi. Ils tentent d’envoyer deux têtes nucléaires Mach8 dans sa direction, mais ils sont interceptés bien avant leur arrivée. A l’évidence, le Dédale est trop loin de sa cible pour avoir une chance de le toucher.

Dans le centre névralgique de la cité, McKay explique au docteur Zelenka comment procéder pour activer le bouclier une fois le E2PZ en place. Puis il se dirige vers la salle d’énergie flanqué d’une garde rapprochée composée de deux soldats. McKay rappelle à son escorte que le E2PZ doit être protégé coûte que coûte, ainsi que son porteur, en l’occurrence, «sa propre personne».
Le sergent en charge des communications informe le Dr. Weir de la situation, celui-ci n’arrivant pas à joindre les équipes du Capitaine Radnor, de Teyla et du Lieutenant Ford fait part de son inquiétude.

À bord du Dédale, Sheppard émet la suggestion d’utiliser le téléporteur Asgard pour envoyer les têtes nucléaires directement à l’intérieur du vaisseau mère, mais celui-ci lui dit que le système est muni d’une sécurité, les Asgards ne souhaitant pas en effet qu’on détourne leur téléporteur à des fins offensives. Doutant de la nature humaine, ils n’ont fourni que des éléments défensifs : boucliers, technologie d’hyper propulsion et téléportateur.

Sheppard insiste et met en exergue la dangerosité de la situation, Caldwell contacte alors le Dr Novak pour que Hermiod déverrouille la protection. Ce dernier accepte avec réticence, ce qui permet de verrouiller le dernier vaisseau ruche et de le détruire.

Dans la cité, McKay et son escorte évoluent prudemment. Ils neutralisent deux Wraiths mais un autre surgit et neutralise les deux soldats. Mckay tentant le tout pour le tout, s’apprête à tirer sur le Wraith, mais dans la panique démet le chargeur de l’arme. C’est alors que Teyla arrive à revers et supprime les Wraiths. Ils repartent ensuite en direction de l’emplacement des E2PZ pour terminer le travail.

À bord du Dédale, Novak règle la détonation d’une ogive à cinq secondes. L’ogive est lancée et le dernier vaisseau ruche Wraith est détruit. Il ne reste alors plus que les croiseurs Wraiths, qui s’empressent de fuir en hyper-espace.

Les derniers chasseurs Wraiths se rassemblent alors pour se diriger droit vers Atlantis afin de la détruire. Il ne reste que 45 secondes pour activer le bouclier avant que la cité ne soit détruite sous l’impact des chasseurs kamikazes. Rodney parvient à installer le E2PZ juste a temps activant par là même le bouclier. Les chasseurs Wraiths s’écrasent ainsi à plus de 10.000 km/heure sur cet écran protecteur.

À l’infirmerie, Sheppard raconte les faits au colonel Everett maintenant vieilli de plusieurs décennies. Le colonel s’excuse auprès de Sheppard et lui dit qu’il aurait fait la même chose dans les mêmes circonstances avec Sumner. Se rendant bien compte de la fragilité de son propre état, il regrette que Sheppard n’ait pu être présent avec lui pour agir de même.

Sheppard veut savoir où est Ford, l’ensemble des capteurs internes à la cité ne permettant pas de le localiser, il demande qu’une recherche externe soit effectuée, on découvre alors qu’Aiden dérive dans l’océan à proximité de la cité. Grâce à la technologie de téléportation asgard, celui-ci est téléporté dans le Dédale puis ramené à l’infirmerie. Ford est toujours attaché au bras du Wraith et apparaît le visage mutilé.

À l’infirmerie, le Dr. Beckett explique que Ford pourrait devenir dépendant d’une enzyme que les Wraiths sécrètent à l’intention de leur victime, habituellement dans un but de conservation avant de leur aspirer leur fluide vital. En effet, il est resté plus d’une heure accroché à un Wraith dans l’océan sans perdre la vie.
Weir et Sheppard sont demandés en salle de contrôle, douze nouveaux vaisseaux ruches sont en approche. Ils seront là dans moins de 36 heures.

En salle de réunion, les membres importants de l’expédition discutent d’un plan de défense et décident au final de changer de tactique et d’attaquer les premiers en envoyant le Dédale au devant de la flotte des Wraiths.

Elisabeth Weir et Teyla discutent de sa perception cognitive des Wraiths qui sont en approche, quand Ford entre dans le bureau en témoignant de sa bonne santé supposée. Beckett se montre plus que sceptique et lui demande de regagner l’infirmerie. Ford entre alors dans une colère inhabituelle et empoigne violemment le docteur. Avec l’intervention du Docteur Weir et de Teyla, Ford reprend ses esprits et retourne à l’infirmerie.

Pendant ce temps, le Dédale attend que les Wraiths sortent de l’hyperespace pour attaquer. Une première ogive est lancée et un vaisseau est détruit, puis un autre rapidement. Les vaisseaux mère commencent à riposter sur le Dédale, qui est alors obligé de battre en retraite car face à une telle supériorité numérique, les boucliers Asgard ne sont plus en mesure de résister.

À l’infirmerie, Ford assomme le garde chargé de sa surveillance et menace le Dr. Beckett, arme au poing, pour obtenir la précieuse enzyme Wraith. Carson lui donne le dernier sac d’enzyme et Ford s’échappe. 

Le Dédale atterrit sur un des ponts de la cité pour effectuer les réparations nécessaires, au même moment les vaisseaux ruches sortent de l’hyperespace en approche de la planète. Ils ouvrent massivement le feu, le bouclier tient bon mais devant un tel déferlement et avec un seul E2PZ pour l’alimenter, il ne pourra tenir que quelques jours.

Dans la salle de réunion, on essaie de trouver un moyen de détruire les vaisseaux. C’est alors que Sheppard propose une autre solution, la disparition de la cité en simulant son auto destruction. Les Wraiths, croyany la cité détruite, s’en retourneront et cesseront leur siège. McKay approuve ce plan audacieux. McKay et Zelenka s’attellent à adapter le dispositif occulteur des Jumpers à l’ensemble de la cité, toutefois l’énergie nécessaire rendra le bouclier protecteur inopérant pendant toute l’opération.

Beckett arrive en courant à la sortie de la salle de réunion et annonce à Sheppard et Weir que Ford s’est enfuit de l’infirmerie. Sheppard se met alors en tête de le retrouver au plus vite.
Teyla, assistée de Beckett, se prépare à envoyer un message télépathique aux Wraiths pour leur reléguer une information erronée : les humains vont détruire la cité plutôt que de la laisser tomber entre leurs mains. Pendant ce temps, Sheppard est toujours à la recherche de Ford.

À l’infirmerie, Teyla se connecte aux Wraiths et leurs envoie le message erroné, la désinformation fonctionne à merveille et les Wraiths interrompent immédiatement leurs tirs. Le Dédale téléporte alors une tête nucléaire qui explose juste au dessus du bouclier permettant ainsi le passage en mode invisible sans possibilité de détection par les instruments Wraiths. Une fois les radiations de la bombe à peu près dissipées, McKay active l’invisibilité et désactive en même temps le bouclier protecteur.

Sheppard retrouve Ford et essaie de le résonner sans succès, Ford s’enfuit en empruntant l’un des téléporteurs présents dans la cité. Dans la salle de contrôle, tout le monde espère que la ruse fonctionnera et que les Wraiths seront persuadés de la destruction de la cité une fois l’explosion dissipée.

Dans le hangar, Ford vole un Jumper et active la porte pour s’enfuir, Sheppard lui donne l’ordre direct d’arrêter mais Ford n’en tient pas compte et franchit la porte. En orbite, les vaisseaux Wraiths repartent en hyperespace, bernés par la ruse.

Weir rejoint alors Sheppard devant la porte et lui dit qu’ils feront tout leur possible pour ramener Ford.

Stargate Atlantis  

SCRIPT VF

Saison 2 épisode 01 partie 3 /3

«SOUS LE FEU DE L’ENNEMI»

 

Précédemment dans Stargate Atlantis…

On voit des vaisseaux Wraiths entrer en hyper-espace.

DR BECKETT: Vous avez de l’ADN de Wraith.

SHEPPARD : Alors elle voit réellement ce qui ce passe ?

TEYLA: Je suis à bord d’un vaisseau…

RODNEY: Nous recevons un code d’identification.

SHEPPARD : Qui est-ce ?

RODNEY: C’est le SGC, Major.

COLONEL EVERETT: Tout ce que nous avons à faire c’est tenir jusqu’à l’arrivée du Dédale. Ensuite l’E2PZ alimentera le bouclier de la cité.

CHUCK: je reçois de nombreux signaux, quand on a repéré nos ennemis, ils étaient déjà au-dessus de nous.

On voit les militaires de la cité tirer sur les darts qui volent au dessus d’Atlantis.

COLONEL EVERETT: Le colonel Marshall Sumner était un de mes meilleurs amis. Vous avez admis avoir tiré le coup de feu qui lui a coûté la vie.

TEYLA : Les Wraiths ont débarqué sur Atlantis.

DR WEIR : Les Wraiths lancent une nouvelle attaque.

On voit des vaisseaux Wraiths en train de tirer.

SHEPPARD: Le jumper pourrait s’en approcher en mode furtif et les faire exploser.

COLONEL EVERETT : Vous êtes volontaire pour une mission suicide ?

DR WEIR : Vous devez rester !

SHEPPARD : Je dois faire mon devoir et vous le savez.

Un jumper sort du hangar par le toit.
Everett se bat contre un wraith et perd une de ses armes. Avec l’autre, il se met à tirer sur son ennemi sans grand effet.

DR WEIR : Teyla ! J’entends des coups de feu, qu’est-ce qui ce passe ? Teyla !

Un dart libère une dizaine de Wraiths sur une des terrasses de la cité Atlantis, juste devant Ltd Ford et son équipe.

DR WEIR : Autodestruction activée.

SHEPPARD : L’arme est enclenchée. Tout est prêt. J’avance vers eux.

 

Maintenant

On se retrouve sur une des terrasses de la cité où l’équipe de Ford est opposé à un groupe de Wraiths.

LTD FORD : Tirez dans le tas !!!

Le carnage fait rage des deux côtés. Alors que les balles affaiblissent les Wraiths, ceux-ci se déchaînent grâce à leur puissante force. Ford se défend très bien et parvient à tuer plusieurs Wraiths, mais l’un d’entre eux le surprend par derrière et commence à l’étrangler au bord du pont. Un de ses soldats, très mal en point sur le sol, prend une grenade qu’il dégoupille. Au même moment, le Wraiths colle sa main sur la poitrine du lieutenant Ford et commence à lui aspirer la vie. Ford sort un couteau de sa poche, mais la grenade explose. Le Wraith et Ford tombe dans l’océan, toujours collés l’un à l’autre.

Sheppard est dans le jumper et arrive près du vaisseau ruche.

 

DANS LE JUMPER

COLONEL CALDWELL: (A la radio) Major Sheppard, désactivé votre occulteur immédiatement.

SHEPPARD : (A la radio) Quoi ? Dites-moi déjà qui vous êtes.

COLONEL CALDWELL : (A la radio) Code d’authentification Alpha Charlie 1, désactivé l’occulteur tout de suite.

Sheppard s’exécute.

 

SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS

RODNEY : Détonation dans 5, 4, 3, 2 …

CHUCK: La cible a été neutralisée.

DR WEIR : Il a réussi.

RODNEY : Ouais… Il a réussi.

CHUCK: Dr Weir, un autre vaisseau arrive.

DR WEIR: Un autre vaisseau ruche ?

CHUCK: Négatif, il s’est identifié.

SHEPPARD: (A la radio) Atlantis, ici Sheppard.

DR WEIR : (A la radio) John ?

SHEPPARD : (A la radio) Vous connaissez d’autres Sheppard ?

DR BECKETT: Il est extraordinaire !

RODNEY: (A la radio) Ça alors, on a vu le vaisseau ruche explosé pourtant !

COLONEL CALDWELL : (A la radio) Croyez-moi Docteur Mac Kay, le major Sheppard est sain et sauf.

DR WEIR: Qui est-ce ?

 

PASSERELLE DU DEDALE

COLONEL CALDWELL : (A la radio) Colonel Steven Caldwell aux commandes du Dédale. Nous venons vous porter assistance.

 

SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS

RODNEY: Ahhhhhhhhhh  c’est un miracle.

DR WEIR : (A la radio) Nous sommes heureux d’entendre ça colonel.

Autodestruction annulée.

DR WEIR : (A la radio) Et je suppose que c’est à vous que nous devons la survie du Major Sheppard ?

 

PASSERELLE DU DEDALE

COLONEL CALDWELL : (A la radio) Je vous écoute depuis notre sortie de l’hyper-espace, mais on ne pouvait pas le téléporter avant qu’il est désocculté son jumper.

SHEPPARD : (A la radio) Je ne me suis pas fait prier.

COLONEL CALDWELL: (A la radio) Docteur Mac Kay ?

 

SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS

RODNEY: Euh ! Oui colonel, présent !

COLONEL CALDWELL: (A la radio) Vous serez sûrement quoi faire de ceci.

Deux hommes sont téléporter sur de la cité. L’un d’entre eux porte une caisse contenant l’E2PZ.

UN MILITAIRE: Votre E2PZ, monsieur.

Toute l’équipe SGA est ébahie, et Mac Kay se précipite vers l’objet.

DR BECKETT: Comment ils ont fait ?

RODNEY: Le dédale bénéficie de la technologie des Asgards, et la téléportation y tient une place fondamentale. J’imagine qui…

 

PASSERELLE DU DEDALE

SHEPPARD : (A la radio) Rodney, qu’est-ce que vous diriez de réactivé le bouclier ?

 

SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS

RODNEY: Oui, excellente idée !

DR WEIR : (A la radio) Nous avons encore des Wraiths partout dans la cité.

 

PASSERELLE DU DEDALE

COLONEL CALDWELL: (A la radio) Dès qu’on aura éliminé le deuxième vaisseau ruche, on viendra vous aider. Terminé.

PILOTE DU DEDALE : Des attaquants ennemis, mon colonel. Position 3 2 0.

COLONEL CALDWELL : Canons latéraux avant tenez-vous prêt. Décollage de tous les chasseurs.

Le combat s’engage entre les Wraith et le Dédale.

 

  * * * * * * * * * * * * * * GÉNÉRIQUE STARGATE ATLANTIS * * * * * * * * * * * *  

 

TERASSE D’ATLANTIS

Le colonel Everett tente de tuer un Wraith mais celui-ci commence à aspirer sa force vitale. Heureusement pour lui, il est abattu par un militaire qui se trouve couché au sol.

SUR LE DEDALE

DR NOVAK : (A la radio) Colonel Caldwell ? Ici, Novak, votre ingénieur en chef.

COLONEL CALDWELL : Oui, j’écoute.

NOVAK : Hermiod tient à vous rappeler, que notre bouclier résistera beaucoup moins bien aux feux ennemis, maintenant que l’E2PZ n’est plus relier à notre système alimentation.

COLONEL CALDWELL : J’en suis bien conscient Dr Novak, terminé.

 

PASSERELLE DU DEDALE

COLONEL CALDWELL : Major, quelle partie du vaisseau ruche vous me conseillez de viser ?

SHEPPARD : Une de leur plate forme d’envole.

COLONEL CALDWELL : Pour favorisez les explosions collatérales

SHEPPARD : C’est à ça que je pensais, mon colonel.

COLONEL CALDWELL : Armez deux missiles de type Mach8. Notre cible est notre la plate forme d’envole principale.

PILOTE DU DEDALE : Les missiles sont armés. Cible verrouillé, mon colonel.

COLONEL CALDWELL : Feu !

SHEPPARD : Ils n’ont même pas effleuré leur vaisseau.

COLONEL CALDWELL : Pilote, dirigez vous vers la cible à puissance maximum.

PILOTE DU DEDALE : Puissance maximum.

COLONEL CALDWELL : Il faut se rapprocher deux.

SHEPPARD : Les Asgards ont bien voulu vous donner l’hyper-navigation et le bouclier, mais pas une seule arme offensive ?

COLONEL CALDWELL : Ils évitent de procurer aux autres races, des armes qui pourraient les menacer.

SHEPPARD : Je croyais que c’était des alliés ?

COLONEL CALDWELL : C’est grâce à eux que nous avons pu vous téléporter. Préparez deux autres missiles Mach8.

SHEPPARD : Gâchez des munitions, vos missiles sont interceptés à plusieurs kilomètres de la cible.

 

SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS

RODNEY : J’ai déclenché le sous-programme du bouclier. A mon signal vous aurez juste à taper le...

ZALENKA : Oui, oui, dépêchez vous, voyons.

Zalenka prend la place de Rodney à l’ordinateur et Rodney prends la caisse ou se trouve l’E2PZ, et découvre l’escorte qui lui a été attribué.

RODNEY : Hé, hé, attendez, c’est ça mon escorte de protection ?

DR WEIR : Nos troupes sont déployées pour faire face aux assaillants.

RODNEY : Bon, d’accord. Si jamais nous sommes attaqués, vous devrez me protégé au péril de votre vie.

DR WEIR : Rodney !

RODNEY : Enfin je voulais dire l’E2PZ, vous devrez à tout prix protégé l’E2PZ, et moi. Je n’ai pas raison ?

CHUCK : Dr Weir ?

DR WEIR : Oui.

CHUCK : J’ai perdu tout contacte avec plusieurs équipe.

DR WEIR : Les quelles ?

CHUCK : Je n’arrive pas à joindre l’équipe du capitaine Radner, ni celle de Teyla, ni celle du lieutenant Ford.

DR WEIR : Essayez encore.

 

PASSERELLE DU DEDALE

SHEPPARD : ça fait déjà deux échecs. Vous en avez combien des missiles comme ça ?

COLONEL CALDWELL : Il suffirait d’un passer un seul.

SHEPPARD : C’est possible de leur envoyer une ogive avec le téléporteur qui m’a sorti du Jumper ?

COLONEL CALDWELL : Les Asgards ont pensés à ça, major, une sécurité intégrée au système empêche de l’utiliser pour expédier ce type d’arme.

SHEPPARD : Mais vous avez un Asgards à bord du vaisseau. Pourrait-il déjouer cette sécurité ?

COLONEL CALDWELL : Pourquoi ferait-il ça ?

SHEPPARD : Il aurait une bonne raison, c’est qu’il risque ça peau autant que nous, ici.

COLONEL CALDWELL : (A la radio) Novak, voyez avec Hermiod, comment effectuer un transport de matériel vers un site localisé sur le vaisseau ennemi.

NOVAK : (A la radio) Non, non, non, Colonel je crois qu’ Hermiod, ne va pas aimer ça.

COLONEL CALDWELL : (A la radio) Exécution, docteur Novak. C’est un ordre.

 

CITÉ D’ATLANTIS

Au sein d'Atlantis, McKay et son équipe progressent dans les couloirs, mais ils tombent sur deux Wraiths.

RODNEY : C’est là qu’il faut entrer.

Les militaires avancent discrètement et se cache derrière des caisses et communique par signes.

RODNEY : C’est veut dire quoi, ce truc là ? Où je dois aller ? Je suis très fort pour me planquer. Peut-être que je pourrais...

Un des deux militaires tire sur un Wraith, ce dernier s’effondre au sol. Les coups de feu qui ont été tiré, ont averti un deuxième Wraith.

UN DES DEUX MILITAIRES : La voie est libre.

Rodney sort de sa cachette.

UN DES DEUX MILITAIRES : Non, vous restez ici !

RODNEY : Quoi ?

Malheureusement, pour McKay un autre Wraith arrivent et paralysent les soldats, McKay se retrouve seul et tente de faire feu avec son pistolet, en voulant tirer, il laisse s'échapper le chargeur... Il n’a plus d’autre choix que de lancer un appel de détresse via sa radio.

RODNEY : Alors ! C’est ça que vous voulez, hein ? Il n’y a plus que moi. Bon très bien. Vous allez voir. Tenez, vous voulez goûter à ça ? Ici, McKay je me suis mis dans le pétrin !

Teyla intervient juste à temps pour le sauver.

TEYLA : Docteur, McKay, ça va aller ?

RODNEY : Teyla ! Tout le monde a cru que...

TEYLA : Ma radio est HS et j’ai été séparé de mon groupe. J’ai eu du mal pour revenir jusqu’ici.

RODNEY : Quelle chance, j’étais persuadé que ma dernière heure...

TEYLA : Votre courage m’a impressionné.

RODNEY : C’est vrai ? C’est un E2PZ.

TEYLA : Oui, je vois.

RONDEY : Il faut que j’aille activer le bouclier.

TEYLA : Vous savez où c’est ?

RODNEY : Bien sûr...heu... Après vous.

 

SUR LE DEDALE

DR NAVAK : Voilà, j’ai réglé le chronométrage pour le déclenchement sur 5 secondes. Ça vous convient comme délais ?

HERMIOD : 5 secondes, est un délai plus que suffisant.

DR NOVAK : Hermiod, je sais que c’est contrariant pour vous d’utiliser votre technologie ainsi, mais vous savez bien que...

HERMIOD : Je suis prêt.

DR NOVAK : (A la radio) Colonel ? Hermiod est prêt à envoyer une ogive par téléportation. Mais croyez moi, il va le faire sans le moindre enthousiasme.

COLONEL CALDWELL : (A la radio) Oui, j’en prends bonne note, Novak. Sommes-nous à porté de téléportation ?

PILOTE DU DEDALE : Oui, mon colonel.

COLONEL CALDWELL : ( A la radio) Envoyez l’ogive dés que vous êtes prêtes.

NOVAK : Je suis prête... 5 – 4, l’ogive à été envoyée.

Hermiod, qui n’a pas l’air content, murmure des mots en Asgards. Entre temps l’ogive a explosée, détruisant le dernier vaisseau Ruche.

 

SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS

CHUCK : Cible atteinte, le dernier vaisseau ruche a été neutralisé.

 

PASSERELLE DU DEDALE

COLONEL CALDWELL : (A la radio) Novak, laissez la téléportation d’une autre ogive pour éliminer les croiseurs, maintenant.

SHEPPARD : Regardez mon colonel.

PILOTE DU DEDALE : Mon colonel, les croiseurs ont prit la fuite dans hyper-espace.

COLONEL CALDWELL : Vu ce qu’ont n’a pas à leur dernier vaisseau ruche, c’est compréhensible.

SHEPPARD : Il reste un grand nombre de Dart.

COLONEL CALDWELL : Allez on va nettoyer tout ça.

PILOTE DU DEDALE : Colonel, les Wraiths se regroupent.

COLONEL CALDWELL : Canons latéraux, attention tenez vous prêt pour un tire de défense.

SHEPPARD : Ce n’est pas nous qu’ils vont attaquer.

PILOTE DU DEDALE :  Le major Sheppard à raison, mon colonel. Leur formation, se dirige vers Atlantis.

SHEPPARD : (A la radio) Elisabeth, vous avez un sérieux problème.

 

SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS

DR WEIR : Cela ne nous a pas échappé, major.

SHEPPARD : (A la radio) On va tenter une interception, je ne sais pas si on arrivera à temps.

CHUCK : Aucune chance, contenu de leur vitesse.

ZALENKA : Il faut craindre le pire. Il représente une menace balistique.

DR WEIR : ça signifie quoi en terme clair ?

ZALENKA : La vitesse d’impact sera certainement supérieure à 10 000 Km à l’heure. Aucune zone de la cité ne pourra résister à ça.

 

PASSERELLE DU DEDALE

SHEPPARD : (A la radio) Activé le bouclier, on discutera après.

 

SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS

DR WEIR : Il nous reste combien de temps.

ZALENKA : 45 secondes.

DR WEIR : (A la radio) Rodney, il faut absolument activer le bouclier dans les 40 secondes sinon on n’est mort.

 

SALLE DU GENERATEUR

RODNEY : (A la radio) Vous plaisantez, j’espère ?

DR WEIR : (A la radio) Non !

 

SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS

RODNEY : (A la radio) Ah, bon... je crois que c’était un test pour savoir jusqu’ou on peut aller avant que je craque.

DR WEIR : (A la radio) Faites vite Rodney !

 

SALLE DU GENERATEUR

RODNEY : (A la radio) Je crois que c’est bon. Activez le bouclier.

Il insère le E2PZ et tente de l'activer mais rien ne fonctionne.

 

SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS

DR WEIR : (A la radio) ça n’a rien donné.

 

SALLE DU GENERATEUR

RODNEY : (A la radio) Quoi ?

TEYLA : ça n’a rien donné.

RODNEY : Je sais, elle vient de le dire.

DR WEIR : (A la radio) 20 secondes.

RODNEY : (A la radio) Bon, ça y est, je craque ! Voilà, vous êtes contente, maintenant ?

 

SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS

DR WEIR : (A la radio) Rodney.

Rodney appuie alors sur l’E2PZ, celui-ci descend dans son enclave.

RONDNEY : (A la radio) Attendez ! Essayez encore.

 

SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS

ZALENKA : ça y est.

Le bouclier se met en place, la cité est enfin protégée, les darts, s’écrase sur le bouclier de la cité. Le major Sheppard essaye de contacter Atlantis.

 

PASSERELLE DU DEDALE

SHEPPARD : (A la radio) Atlantis, ici Sheppard... Répondez... Atlantis.

 

SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS

SHEPPARD : (A la radio) Elisabeth, je répète, ici, Sheppard. Quelle est votre situation ?

ZALENKA : Les explosions ont sans doute interrompus les transmissions radios.

DR WEIR : (A la radio) Nous sommes toujours là. C’est tout ce que je peux vous dire pour l’instant.

 

PASSERELLE DU DEDALE

SHEPPARD : (A la radio) Evitez de me faire peur comme ça...

DR WEIR : (A la radio) Désolé, la flotte des Wraiths est toujours une menace ?

COLONEL CALDWELL : Les derniers croiseurs se sont retirés de la bataille.

 

SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS

DR WEIR : (A la radio) Merci, colonel. Merci à vous tous.

 

PASSERELLE DU DEDALE

COLONEL CALDWELL : (A la radio) Heureux d’avoir été utile, on reste en orbite géo synchronisé, pour m’instant. Avez-vous besoins de notre assistance ?

 

SALLE DE CONTRÔLE D’ATALANTIS

DR WEIR : (A la radio) Un certain nombre de Wraiths sont présent dans la cité.

COLONEL CALDWELL : (A la radio) Je vous envois de l’aide. Fin de communication.

 

PASSERELLE DU DEDALE

COLONEL CALDWELL : Major, Sheppard. Vous devez être impatient de retourner sur Atlantis.

SHEPPARD : Oui, mon colonel. Merci beaucoup.

COLONEL CALDWELL : Il n’y a pas de quoi. Allez-y.

 

SALLE DU GEGERATEUR D’ATLANTIS

DR WEIR : (A la radio) Rodney, vous pouvez prendre votre après-midi.

A cette nouvelle, McKay s’allonge au sol.

RODNEY : Ahhh, je n’ai qu’une envie, c’est de m’affaler sur mon lit... Avec le plus grand sandwich que je pourrais trouver.

TEYLA : Si je rencontre des Wraiths, qui se promène sur la base, je leur dis de revenir plus tard, que vous avez un coup de fatigue.

Rodney se relève aussitôt.

RODNEY : D’accord...

Sheppard et une équipe de sécurité sont téléportés en salle d’embarquement

SHEPPARD : Sécurisez l’accès à la porte des étoiles. Heureux d’être de retour.

Elisabeth vient à la rencontre du major Sheppard et se jette dans ses bras, ravie de le voir de nouveau parmi eux.

DR WEIR : Heureuse de vous revoir. J’ai cru que cette fois ci...

SHEPPARD : Oui, oui, j’ai cru la même chose à propos de vous, il y a un instant. On devrait arrêter de se faire peur.

DR WEIR : Oui, ça suffit comme ça.

SHEPPARD : Alors dites-moi un peu où on n’en est ?

DR WEIR : La plupart de nos détecteurs, sont hors services, mais nous savons qu’un certain nombre de Wraiths se trouvent encore dans la cité.

SHEPPARD : Bon, il reste du boulot.

DR WEIR : Avant que vous fassiez quoi que ce soit, le colonel Everett, voudrait vous parler. Vous le trouverez à l’infirmerie.

 

A L’INFIRMERIE

SHEPPARD : Nous avons neutralisés les vaisseaux ruches, activé les boucliers et nous avons envoyés la plupart des soldats disponible à la recherche des Wraiths qui seraient resté planqués.

COLONEL EVERETT : Excellent travail, major.

SHEPPARD : Merci, mon colonel.

COLONEL EVERETT : Je vais être évacué dans pas longtemps avec un groupe de blessés... avant de m’en aller, je veux finir notre conversation.

SHEPPARD : Oui, mon colonel.

COLONEL EVERETT : Je vous dois des excuses.

SHEPPARD : Non, bien sûr que non, mon colonel.

COLONEL EVERETT : J’ai bien réfléchi, je crois pouvoir vous dire... j’aurais agit comme vous, je comprends ce que vous avez fait, quand vous avez trouvé le Colonel Sumner. Je voulais que vous le sachiez.

SHEPPARD : Ne vous inquiétez pas à ce sujet, mon colonel.

COLONEL EVERETT : Ce que j’essayais de vous dire... c’est que j’aurais voulu que vous fassiez pareil pour moi.

SHEPPARD : Je suis sûr que vous allez vous en sortir, dés que vous arriverez sur la terre.

COLONEL EVERETT : Je n’ai rien d’autre à ajouter. Remettez vous au travail.

SHEPPARD : A vos ordres.

 

DANS LA CITE

ZAKENKA : Selon nos premières estimations, on n’a perdu 40 personnes, peut-être d’avantage. Tous les signes de vie, n’ont pas été encore attribués à des personnes.

SHEPPARD : Aucun signe de vie venant d’un Wraith ?

ZALENKA : Le dernier était piégé dans une des zones les plus profondes de la cité. Il est mort en essayant de faire exploser une grenade à un endroit stratégique.

DR WEIR : Trois de nos hommes ont été blessés, mais ils ont pu éviter une grave inondation.

SHAPPARD : Et vous avez réussi à localisé le lieutenant Ford, Zalenka ?

ZALENKA : Heu... je regrette, non... on l’a cherché partout dans la cité, sans aucun résultat. Peut-être que les Wraiths l’ont téléportés dans un de leur Dart.

SHEPPARD : Ce n’est même pas une hypothèse, pour l’instant ?

ZALENKA : Major, excusez moi, mais on n’a cherché dans les moindres recoins.

SHEPPARD : Et à l’extérieur de la cité aussi ?

ZALENKA : Je ne comprends pas ?

SHEPPARD : Elargissez vos recherches, il est peut-être dans l’eau.

ZALENKA : Même si cela était le cas... il n’y aucune chance...

SHEPPARD : Je ne vous demande pas d’aller le récupérer à la nage, mais de taper sur quelques boutons. Ce n’est pas compliqué.

ZALENKA : Même si vous avez raison, je doute qu’il soit encore en...

Zalenka augmente alors la portée des détecteurs et signal apparaît sur l'écran.

ZALENKA : C’est insensé...

DR WEIR : (A la radio) Colonel Caldwell ? Un de nos hommes est dans l’océan, derrière le bouclier. Pouvez-vous le téléporter ? D’abord dans votre vaisseau, puis dans notre infirmerie.

Le Dédale se cale sur le signal du lieutenant Ford, le téléporte sur le vaisseau, puis ensuite à l'infirmerie.

 

LE DEDALE

NOVAK : (A la radio) Atlantis ? Ici le docteur Novak, sur le Dédale. Prévoyez des hommes armés avant qu’on téléporte votre homme.

DR BECKETT : (A la radio) Des soldats sont présent, docteur, vous pouvez y aller.

Le lieutenant Ford est téléporté à l’infirmerie, mais il n’être pas seul, il est attaché au Wraith qui a essayer de prendre sa force vital.

 

A l’INFIRMERIE D’ATLANTIS

DR BECKETT : Dieu du ciel. Séparons-le de cette horreur.

SHEPPARD : Comment va-t-il ?

DR BECKETT : Je lui ai donné un léger sédatif, pour qu’il puisse dormir. Il devrait être mort.

SHEPPARD : C’est un dur à cuire, ce môme.

DR BECKETT : Ce n’est pas ça que je voulais dire. Il est resté la tête sous l’eau dans un océan glacial pendant plus d’une heure. Je m’en fiche qu’il soit un dur à cuire.

DR WEIR : Qu’est ce que ça signifie ?

DR BECKETT : Nos connaissances sont encore très limitées, mais durant le processus d’alimentation, les Wraiths injectent une enzyme spéciale à leur victime, cette enzyme renforce la résistance du corps humain et permet au cœur de continuer à battre.

SHEPPARD : Pourquoi nous rendrais-t-il plus résistant ?

DR BECKETT : Il veule éviter que leur victime meurt tout de suite, leur façon de nous dévorer est si effroyable, que s’il n’injectait pas cette enzyme, on fermerait le rideau avant qu’il ne soit rassasié.

DR WEIR : Il renforce notre organisme, afin de pouvoir nous tuer sans précipitation.

DR BECKETT : Oui, exact. Sympathique, non ? Dans la plupart des cas l’enzyme est libérée dans le sang très lentement pendant le processus d’alimentation... là j’en suis réduit à supposer que le Wraith est mort avant d’avoir fini et que l’enzyme a envahi tout l’organisme du lieutenant Ford.

DR WEIR : Ce serait la raison pour la quelle il a pu survivre dans l’eau aussi longtemps.

DR BECKETT : Je pense, oui. Le problème c’est que l’enzyme est entrain de se diluer dans son organisme, d’ici peut il en aura plus, c’est certain.

SHEPPARD : Très inquiétant.

DR BECKETT : Soyons clair, ça m’étonnerait qu’on puisse le maintenir en vie. Son corps ne pourrait sans doute plus fonctionner, s’il était privé de cette enzyme.

DR WEIR : Qu’est ce que vous proposez ?

DR BECKETT : Un sevrage progressif devrait permettre de rétablir son équilibre chimique.

SHEPPARD : Alors il va falloir se procurer une réserve de cette enzyme.

DR BECKETT : Ouais... avec votre permission Dr Weir, je vais en récolter à la morgue sur les cadavres de Wraiths... C’est un peu lugubre, je sais, mais...

RODNEY : (A la radio) Elisabeth, Major Sheppard.

DR WEIR : (A la radio) Bon, faites ce qu’il faut... Oui, Rodney.

RODNEY : (A la radio) On n’a une urgence là haut.

DR BECKETT : Je vous tiens au courant.

 

SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS

SHEPPARD : Vous ne croyez pas que vous devriez dormir un peu, Rodney.

RODNEY : J’ai bien essayé, mais quelqu’un a tenu à me monter que les détecteurs intersidéraux re fonctionnait.

DR WEIR : Oui et donc ?

ZALENKA : On n’a repéré douze autres vaisseaux ruches en progression dans hyper-espace.

RODNEY : Contenu de leur trajectoire et de leur vitesse. Ils seront ici, dans 36 heures.

 

SALLE DE REUNION D’ATLANTIS

COLONEL CALDWELL : Vous avez dis 12 vaisseaux ruches ?

SHEPPARD : Les croiseurs qui ont prit la fuite, ont fait une demande de renfort, j’imagine.

RODNEY : Nos recherches ont démontrées qu’il y avait au moins 60 vaisseaux ruches dans cette galaxie. Je me demande combien ils vont nous en envoyer ?

SHEPPARD : Heureusement que le bouclier est activé.

RODNEY : C’est une protection temporaire...

SHEPPARD : Ça nous laissera le temps de réfléchir.

RODNEY : Oui, je suis d’accord, mais le premier siège d’Atlantis a duré des années, d’après les archives. Avec un seul E2PZ, pas la peine d’espérer tenir aussi longtemps.

COLONEL CALDWELL : Pouvons-nous ré immergé Atlantis ?

RODNEY : C’est une cité, ce n’est pas un yo-yo. Je ne sais même pas comment ils ont fait la première fois.

COLONEL CALDWELL : Ils seront là dans combien de temps ?

DR WEIR : Dans un peu plus d’une journée.

SHEPPARD : Bon, franchement... je commence à en avoir assez.

DR WEIR : Qu’est ce que vous avez dis ?

SHEPPARD : J’en ai marre d’attende sagement qu’ils viennent nous massacrer, on ferait mieux de les attaquer, ça changerait un peu.

COLONEL CALDWELL : Nous avons un seul vaisseau, major.

SHEPPARD : Oui, mais il est équipé d’un bouclier Asgard, du système de téléportation et de tout un arsenal nucléaire. Ça rétablie l’équilibre.

COLONEL CALDWELL : Contre 12 vaisseaux ruches et leurs escortes.

SHEPPARD : Croyez-moi je suis persuadé qu’il faut leur adresser un message, on ne va pas se contenter de les attendre, comme les Anciens. On doit leur monter que s’ils ne font pas demi-tour, on n’a les moyens et la volonté de leur mettre une bonne raclée.

COLONEL CALDWELL : Comment attaquer un vaisseau dans l’hyper-espace ?

RODNEY : Les vaisseaux Wraiths vont plus vite que la lumière, mais ils ont un système moins efficace que l’hyper-navigation. Non seulement ils sont plus lents, mais ils se déplacent par succession de bonds. Donc si mes calcules sont exacts, ils vont faire une dernière escale ici à 50 années lumière, avant d’effectuer leur dernier bond vers Atlantis.

COLONEL CALDWELL : Dr Weir ?

DR WEIR : Ça ferait du bien de les voir en position de défense pour changer.

SHEPPARD : Alors, on va leur monter qui on est.

Le Dédale sort de l'hyperespace.

 

PASSERELLE DU DEDALE

PILOTE DU DEDALE : Rien sur les radars mon colonel. Aucun contact.

COLONEL CALDWELL : J’espère que nous sommes au bon endroit ?

SHEPPARD : Ils vont bientôt arriver. J’ai appris à faire confiance à Rodney pour ce genre de calcule.

DR NOVAK : J’ai réglé les ogives pour qu’elles explosent une seconde après leur réintégration.

HERMIOD : Ahhhh...

DR NOVAK : Si j’ai bien entendu, ça vous convient ? Restons zen.

 

BUREAU DU DR WEIR

TEYLA : Ils sont en colère je le sens. Très en colère. Notre succès risque d’encourager les autres mondes, alors ils veulent nous réduire au silence.

DR WEIR : Vous avez senti ça ?

TEYLA : Je vous assure. Les guerriers Wraiths se trouvaient à une telle proximité.

LTD FORD : Excusez-moi de vous déranger.

DR WEIR : Ford.

LTD FORD : Je suis à nouveau opérationnel, madame.

DR WEIR : Le docteur Beckett est d’accord avec vous ?

LTD FORD : Mais oui, je vais très bien.

 

PASSERELLE DU DEDALE

SHEPPARD : Si on n’arrive à descendre leur premier vaisseau dés qu’ils sortent de hyper-espace, ça leurs mettra les idées en place.

COLONEL CALDWELL : Peut-être qu’ils vont se rendre.

PILOTE DU DEDALE : Colonel, on n’a un contact.

COLONEL CALDWELL : Préparez vous à faire partir les ogives. Bouclier à puissance maximal.

PILOTE DU DEDALE : Bouclier activé.

Les vaisseaux Wraiths sortent de l’hyper-espace.

COLONEL CALDWELL : (A la radio) Dr Novak, ici Caldwell. Faites partir les ogives quand vous voulez.

HERMIOD : Une ogive est verrouillée sur les coordonnées du premier vaisseau ennemi.

DR NOVAK : ça y est je vois. Expédie la première ogive.

C’est un succès le vaisseau ruches explose.

PILOTE DU DEDALE : Cible atteinte.

DR NOVAK : (A la radio) On n’est prêt.

La deuxième Ogive est envoyer et un autre vaisseau explose.

SHEPPARD : Voilà et de deux.

DR NOVAK : C’est une réussite.

HERMIOD : Je vais transmettre de nouvelles coordonnées.

PILOTE DU DEDALE : Les autres vaisseaux ruches ont modifié leur trajectoire.

COLONEL CALDWELL : Foncez droit de dessus.

PILOTE DU DEDALE : A vos ordres.

SHEPPARD : Ils nous prennent de flanc.

COLONEL CALDWELL : Canons latéraux avant, ripostez. Il faut accélérer les envoies les ogives nucléaire, sinon se combat va être vite terminé.

UN MEMBRE DU DEDALE : Maintenez leur trajectoire sous surveillance.

HERMIOD : L’ennemi a lancé des contres mesures, qui bloque nos capacités de téléportation des ogives.

DR NOVAK : Y-a-t-il des moyens contrer, les contres mesures ?

HERMIOD : Non, aucun.

DR NOVAK : (A la radio) Mon colonel, on n’a un problème, ils ont bloqués les téléportation, vers leur vaisseaux, on ne sait pas comment.

PILOTE DU DEDALE : Les émetteurs des boucliers arrière sont réduits à 40 %.

Le dédale commence à souffrir des attaques ennemies et plusieurs circuits grillent. Un membre de m’équipage est touché, Sheppard s’approche de lui pour l’aider.

PILOTE DU DEDALE : Le canon latéral inférieur 2 a été neutralisés.

COLONEL CALDWELL : Moteurs sub-spatiaux à puissance maximal.

PILOTE DU DEDALE : A vos ordres.

COLONEL CALDWELL : Détourner le bouclier endommagé de la rax de tire.

PILOTE DU DEDALE : Mon colonel un croiseur approche sur une trajectoire parallèle à la notre.

SHEPPARD : Ils vont peut-être tenter aborder, c’est la stratégie qu’ils ont employés pour attaquer Atlantis.

COLONEL CALDWELLE : Quel est l’état du bouclier ?

PILOTE DU DEDALE : Il tient à moins de 20%.

COLONEL CALDWELL : Mettez le cap sur Atlantis et enclenché l’hyper navigation.

PILOTE DU DEDALE : Hyper navigation enclenché.

COLONEL CLADWELL : Je déclare la fin de se combat.

Le dédale quitte la bataille.

 

SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS

COLONEL CALDWELL : (A la radio) Bref, ça n’a pas marché.

DR WEIR : (A la radio) Oui, mais vous leurs avez donné matière à s’inquiéter.

 

PASSEELLE DU DEDALE

COLONEL CALDWELL : (A la radio) L’avenir nous le dira, mais je doute fort que cette tactique puisse fonctionner à nouveau et le Dédale à été sérieusement touché.

SHEPPARD : Il fallait quand même tenter le coup, mon colonel. Théoriquement nous rejoindrons Atlantis avant eux.

DR WEIR : (A la radio) J’espère bien, on vous laissera une lumière allumée au dessus de la porte.

 

SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS

DR WEIR : Alors quelle sont les autres possibilités ?

RODNEY : Voyons, on n’a le choix entre, mort lente, mort rapide, mort douloureuse, mort en groupe, mort solitaire...

DR WEIR : Rodney, vous avez dis vous-même qu’on pouvait compter sur le bouclier pour... pour nous laisser le temps de réagir.

LTD FORD : Que puis-je faire d’utile ?

DR WEIR : Lieutenant je crois que...

D’un pas rapide le docteur Beckett arrive, et lui demande ce qu'il fait là.

DR BECKETT : Lieutenant, qu’est ce que vous fichez ici ?

LTD FORD : Je vais mieux docteur, je vous assure.

DR BECKETT : Arrêter, je vous rappel que vous êtes malade !

LTD FORD : Je me sens très bien. Fichez-moi la paix.

DR BECKETT : Je ne vous ficherais pas la paix. Il y a 20 minutes vous étiez à l’article de la mort. Vous devez rester sous surveillance médical, même si vous, vous croyez en pleine forme.

LTD FORD : Je veux me remettre au boulot.

DR WEIR : ça me rassure de vous voir aussi enthousiaste, mais...

LTD FORD : ça va mieux je vous jure... laissez moi vous le prouver. Confiez-moi, n’importe quelle mission.

DR BECKETT : Hors de question.

Le docteur Beckett, saisit le bras du Lieutenant Ford, mais ce dernier se retourne et d’un geste rapide le prend par la gorge, puis le soulève légèrement du sol et le plaque contre la vitre du bureau du Dr Weir.

LTD FORD : Je vous interdis de me toucher !

TEYLA : Lieutenant. Calmez-vous Aiden. Il essaie de vous aider. Reposez-le. Aiden.

Ford descend lentement le Dr Beckett puis le relâche.

LTD FORD : Excusez moi docteur... je ne sais pas...

DR BECKETT : Il faut vous placer sous surveillance médicale.

DR WEIR : Vous devriez l’écouter, on veut savoir pourquoi vous vous sentez aussi perturbé.

LTD FORD : Oui, je retourne là bas.

DR WEIR : Très bien, bonne décision.

LTD FORD : Oui, madame.

DR WEIR : Donnez-lui un sédatif s’il le faut.

DR BECKETT : Oui...

 

A l’INFIRMERIE

Ford semble endormi sur le lit pendant que le Docteur Beckett, lui fait passer un scanner. Pendant qu’il discute avec le Dr Weir et Teyla, le sédatif ne faisant plus effet le lieutenant Ford ouvre les yeux.

DR BECKETT : L’enzyme provoque des perturbations chimiques dans son cerveau.

DR WEIR : Vous ne pouviez pas le devinez Carson et c’est mieux que de le voir mort.

DR BECKETT : Nous allons prendre le risque de lui infliger un sevrage plus rapide que prévu. Ce sera douloureux et difficile, mais malheureusement je crois qu’on n’a plus le choix. Il est sous sédatif, mais nous devons faire venir des soldats pour le surveiller.

DR WEIR : J’ai placé un garde devant l’entrée.

CHUCK : (A la radio) Docteur Weir, le Dédale demande la permission de se poser sur la digue Est.

DR WEIR : Permission accordée. Je les rejoins là bas.

Le Dédale se pose sur Atlantis.

DR WEIR : Heureuse de vous revoir sur Atlantis Colonel.

SHEPPARD : Les Wraiths, ne sont pas loin derrière nous.

DR WEIR : Je ne m’attendais pas à ce que vous vous posiez.

COLONEL CALDWELL : En attendant d’être réparé, le dédale aura besoins de la protection de votre bouclier.

CHUCK : Dr Weir, les vaisseaux ruches émerge de l’hyper espace.

DR WEIR : Nous arrivons tout de suite.

 

A L’INFIRMERIE 

Le docteur Beckett s’occupe d’un patient, pendant ce temps un militaire surveille. Soudainement Ford se réveille et métrise le militaire en l’assommant avec une tasse qui lui a lancé en pleine tête, puis s‘empare de son arme et menace le Dr Beckett afin d’obtenir de l’enzyme.

DR BECKETT : Ford.

LTD FORD : Ne bougez pas ou je le tue... où avez-vous mis les réserves d’enzymes ?

DR BECKETT : Il n’en reste plus.

LDT FORD : Je vous ais vu en extraire, alors ne mentez pas ! Elles sont où ?

DR BECKETT : Non, mais je ne mens pas.

N’ayant pas eu la réponse qu’il escomptait, Ford tire à côté du Dr Beckett.

LTD FORD : Dites-moi où c’est ?

DR BECKETT : Allons, vous n’avez pas les idées claires.

LTD FORD : Vous avez tous peur de moi.

DR BECKETT : On n’a de bonne raison d’avoir peur. Vous voyez bien ?

LTD FORD : Sans l’enzyme des Wraiths, je vais mourir.

DR BECKETT : Non, Aiden. Vous n’allez pas mourir...

LTD FORD : Ne dites plus un mot !

Ford braque son arme sur un patient afin d’obtenir l’enzyme.

LTD FORD : Donnez-moi ce que je vous demande.

Beckett, n’a plus le choix que de céder à la menace de Ford, il va chercher la dernière poche d'enzyme dans une armoire réfrigérante.

LTD FORD : C’est tout ce que vous avez ?

DR BECKETT : Oui, je vous le jure.

LTD FORD : Lancez le moi. Je vous ais dis de le lancer ! Ne me suivez pas.

 

SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS

CHUCK : Ils se sont placés en formation.

RODNEY : Poussez-vous, poussez vous.

Les vaisseaux ruches commencent à tirer sur la cité.

MEMBRE DE L’EXPEDITION : Programmez le système de refroidissent de la salle de contrôle. Mettez la ventilation à sa puissance maximale.

RODNEY : Le bouclier résiste au bombardement, mais il est soumit à une tension incroyable.

DR WEIR : Combien de temps résistera-t-il ?

RODNEY : S’ils arrêtaient tout de suite, il tiendrait presque indéfiniment, mais...

DR WEIR : C’est une question de mois, de semaines ?

RODNEY : Non, de jours. L’E2PZ ne pourra l’alimenter que quelques jours à cette cadence.

McKay et Sheppard sont sur la terrasse et observent le bombardement, qui donne une couleur rouge au ciel d'Atlantis.

RODNEY : C’est presque beau, vous ne trouvez pas ?

SHEPPARD : Presque, oui, si on veut.

 

SALLE DE REUNION D’ATLANTIS

COLONEL CALDWELL : Le dédale sera à nouveau opérationnel d’ici 24 heures, mais une nouvelle offensive échouerait de la même façon.

DR WEIR : Et puis même si on pouvait détruire les vaisseaux qui se trouvent au dessus de nous. D’autres vaisseaux arriveraient quelques jours plupart, suivie par de nouveaux vaisseaux, juste après. Franchement j’ai l’impression que nous n’avons pas la moindre chance...

RODNEY : Maintenant on s’est ce que les Anciens ont éprouvés.

ZALENKA : Atlantis est le seul accès vers la terre, les Wraiths savent que nous sommes ici, ils ne nous laisserons pas en paix.

SHEPPARD : Tant qu’ils savent que nous sommes ici.

DR WEIR : Oui et alors ?

SHEPPARD : Zalenka, vient de dire « Tant qu’ils savent que nous sommes ici, ils ne nous laisserons pas en paix. »

RODNEY : Oui, on n’a entendu aussi.

SHEPPARD : Et s’ils croyaient qu’on n’était plus là...

TEYLA : Il est tout à fait probable qu’ils décideraient de s’en aller.

SHEPPARD : Exact.

RODNEY : De quoi, vous parlez ?

SHEPPARD : De notre disparition.

COLONEL CALDWELL : Vous voulez détruire la cité ?

SHEPPARD : Non, juste faire croire qu’on l’a détruite.

DR WEIR : Mais comment ?

RODNEY : En l’occultant.

ZALENKA : Excellente idée. Bien sûr, en fait les Jumpers sont équipés d’un système d'occultage qui les rend invisible à l’œil nu et indétectable pour les radars des Wraiths. Ça parait assez simple, il suffit de prendre un générateur d’occultage sur un Jumper, il faudra ...

RODNEY : Je ne dirais pas que ça va être simple, c’est vrai, si on interface le générateur furtif de l’un des Jumpers avec le bouclier, on devrait être capable de rendre la cité invisible.

COLONEL CADLWELL : Tout ça est très astucieux, mais je crois que si la cité disparaissait soudain, nos ennemis auraient des doutes.

RODNEY : Non, non, on va faire semblant de nous, autodétruire. Il suffit que le dédale téléporte une bombe nucléaire au dessus du bouclier et la déclenche, pendant que les détecteurs des Wraiths seront aveuglés, nous occulterons la cité et quand la fumé se dissipera...

DR WEIR : Ils verront seulement l’océan.

COLONEL CALDWELL : Vous avez pensez aux radiations mortelles ?

RODNEY : Je vais calculer combien de temps il faudra attendre avant de basculer sur l’occulteur.

ZALENKA : N’oublions pas que ça se déplace les radiations.

RODNEY : On n’a l’émulateur coplanaire, ça ne m’inquiète pas.

ZALENKA : Bon très bien, et pour la partie inquiétante ?

SHEPPARD : De quoi il parle ?

RODNEY : Si on n’applique ce plan, l’occulteur, va remplacer le bouclier, alors évidement, faut savoir que rien ne nous protégera, une fois l’occulteur activé.

DR WEIR : On sera exposé aux feu ennemis, alors.

RODNEY : Oh... oui.

COLONEL CALDWELL : Donc, s’ils ne se laissent pas prendre à notre ruse.

SHEPPARD : Ils vont détruire la cité d’Atlantis, mais laisser moi vous rappeler que c’est ce que nous avions pensé faire au départ.

DR WEIR : Et pour le dédale ?

COLONEL CLADWEELL : En cas d’échec, notre bouclier sera suffisamment rechargé pour que nous puissions entre les vaisseaux des Wraiths et prendre la fuite.

SHEPPARD : Dans ce cas, faisons embarquer sur votre vaisseau les personnes dont on n’a pas vraiment besoins, oui en cas d’échec.

DR WEIR : Je crois que c’est un plan excellent, il me plait beaucoup. Ce qui m’inquiète, c’est que bien sûr les Wraiths savent que nous pouvons occulter Atlantis.

TEYLA : Ils sont tout prêt d’ici, vous savez. J’arriverais surement à me connecter à eux, docteur. Il faudra que je parvienne à les convaincre que nous avons l’intention de détruire Atlantis pour ne pas la laisser tombé entre leurs mains, juste avant l’explosion ne se produise.

DR WEIR : Quel moyen avons-nous de savoir qu’ils nous ont crus ?

SHEPPARD : S’ils stop les bombardements, ça voudra dire qu’ils ont crus.

TEYLA : Il a raison. Si les Wraiths croient que nous avons l’intention de détruire cette cité, ils n’auront surement pas du tout envie de nous aider à y parvenir.

DR WEIR : Combien de temps cela va vous demander ?

ZALENKA : Une semaine

RODNEY : Environ 2 heures.

DR WEIR : La deuxième estimation me convient. Au boulot.

RODNEY : Vous êtes syndicaliste ?

ZALENKA : Environ deux heures.

Alors que les membres d’Atlantis quitte la salle de réunion, pour s’atteler à leur tache respective, le Dr Beckett arrive en courant vers eux.

DR BECKETT : Il s’est évadé.

TEYLA : Evadé ?

SHEPPARD : Qui ?

DR BECKETT : Ford, il a désarmé un marines et il s’est enfuit avec le dernier sachet d’enzyme de Wraith.

SHEPPARD : (A la radio) Ford, ici, Sheppard, répondez. Ford ? Il faut que vous reveniez dans la salle contrôle, on va tous rentrer chez nous.

Le lieutenant Ford, s'injecte de l'enzyme Wraith.

SHEPPARD : (A la radio) Lieutenant, est ce que vous me recevez ?

LTD FORD : (A la radio) Vous avez juste peur de moi, major. Vous avez peur de ce que je risque de faire. Je ne veux même pas vous écouter.

SHEPPARD : Je pars à sa recherche.

DR WEIR : Non, revenez, on s’occupera de lui après.

Rodney et Zalenka sont en pleins travail. Certain membre de l’expédition d’Atlantis sont accueillis à bord du dédale. Pendant ce temps le major Sheppard cherche le lieutenant Ford. La cité quand à elle est toujours bombardée par les tires des Wraiths. Teyla est allongé sur un lit à l’infirmerie, afin de pouvoir se connecter aux Wraiths dans le but de leur envoyer un message.

DR BECKETT : Je vous ramène tout de suite parmi nous, si je sens que se passe mal.

TEYLA : Oui, j’ai confiance.

DR BECKETT : (A la radio) Teyla et moi nous sommes prêt.

 

SALLE DE CONTRÔLE

DR WEIR : Très bien, on n’est presque prêt aussi. Rodney.

RODNEY : On n’est prêt, on n’est prêt.

 

DANS LE JUMPER

ZALENKA : Quand vous voulez.

 

PASSERELLE DU DEDALE

DR WEIR : (A la radio) Colonel Caldwell ?

COLONEL CALDWELL : (A la radio) Vos équipes sont en sûreté à bord du vaisseau. L’ogive est armée prête à partir à votre signal.

DR WEIR : (A la radio) Parfait. Tenez-vous prêts.

 

DANS LA CITE

Ford et Sheppard continuent leur petit jeu du chat et de la souris.

 

SALLE DE CONTRÔLE

DR WEIR : (A la radio) Bien, docteur Beckett ?

 

A L’INFIRMERIE 

DR BECKETT : Teyla ?

TEYLA : Je suis prête.

DR BECKETT : (A la radio) Bien, c’est quand vous voulez.

 

SALLE DE CONTRÔLE

DR WEIR : (A la radio) Allez-y, transmettez leur nos intentions.

 

A L’INFIRMERIE

Teyla prend une profonde respiration et ferme les yeux afin de se concentrer.

TEYLA : Je suis à bord d’un vaisseau ruche. Ils me voient, ça y est.

Elle se relève brusquement.

DR BECKETT : Teyla ?

TEYLA : Le message a été délivré.

DR BECKETT : (A la radio) Elisabeth, ça y est.

Le bombardement cesse progressivement.

DR WEIR : Visiblement le message de Teyla est passé. Rodney ?

RODNEY : Je crois que je suis prêt.

DR WEIR : Vous croyez ?

RODNEY : Je suis absolument sûr d’être prêt.

DR WEIR : (A la radio) Dédale, lancez votre arme. Mettez-moi, l’inter-com. Toutes les personnes présente sur la base doivent se protégé du flash nucléaire.

RODNEY : Coupez tout !

 

SUR LE DEDALE 

DR NOVAK : Départ de l’ogive nucléaire.

Juste après le lancement l’ogive explose juste au dessus de la cité dans une lumière aveuglante. Quelques secondes plus tard, Rodney rallume son ordinateur.

DR WEIR : Rodney ?

RODNEY : Si on permute sur l’occultage avant que le rayon est diminué, on sera carbonisé, encore cinq secondes.

 

PASSERELLE DU DEDALE

COLONEL CALDWELL : Soyez prête à enclencher les moteurs subliminiques, à mon signal.

PILOTE DU DEDALE : Oui, mon colonel. A vos ordres.

 

SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS

DR WEIR : Je suis certaine que cinq secondes se sont écoulées.

RODNEY : On est occulté, ça y est.

DR WEIR : Vous en êtes certain.

RODNEY : Leurs radars ont l’air d’être affolé.

 

DANS LA CITE

Sheppard se retrouve face à Ford

LTD FORD : J’ai eus plusieurs fois, l’occasion de vous tirer dessus.

SHEPPARD : Et bien, j’apprécie que vous ayez hésité. Je crois qu’on devrait aller, dans un coin tranquille, pour discuter tous les deux.

LTD FORD : Vous voulez me faire redevenir comme avant.

SHEPPARD : Non, j’aimerais juste vous aider, si je le peux.

LTD FORD : Ça m’étonnerait...

SHEPPARD : Imbécile...

Le major Sheppard tire sur Ford avec une arme paralysante Wraith, mais cela n'a aucun effet, le lieutenant Ford s’engouffre dans l’ascenseur et disparait.

 

SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS

RODNEY : On dirait qu’ils ne nous ont pas détectés.

DR WEIR : Pourquoi, vous parlez tout bas ?

RODNEY : J’en sais rien, ça me semblait judicieux.

DR WEIR : Ça à réussie, oui ou non ?

 

HANGAR A JUMPER

Zalenka se fait assommé par le lieutenant Ford.

 

SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS

La porte des étoiles s’active.

DR WEIR : Que ce passe-t-il ?

Ford est dans un Jumper et se prépare à franchir la porte des étoiles. Quant au major Sheppard il arrive en salle de contrôle.

SHEPPARD : Où est Ford ?

RODNEY : C’est surement lui dans le Jumper.

DR WEIR : Les Wraiths peuvent détecter ça ?

RODNEY : On va bientôt le savoir.

DR WEIR : Fermez la porte.

RODNEY : Je ne peux pas, le Jumper a pris le contrôle.

Sheppard est descendu en salle d’embarquement afin d’essayer de raisonner le lieutenant Ford.

SHEPPARD : Stop ! Lieutenant Ford, arrêter tout et descendez, c’est un ordre !

Malgré l’ordre donné par le major Sheppard, le lieutenant Ford passe la porte des étoiles.

SHEPPARD : Est-ce que quelqu’un sait où il est allé.

DR WEIR : C’est sans important, si les Wraith ont détectés l’activité de la porte des étoiles.

RODNEY : On va le savoir bientôt.

COLONEL CALDWELL : (A la radio) Ici, le dédale. D’après notre capteur, la flotte des Wraiths a changée d’orbite.

DR WEIR : C’est vrai ?

RODNEY : C’est vrai, je peux le confirmer, ils partent vers l’hyper-espace. Dr Weir je laisse le système d’occultage par sécurité, mais... je crois que ça a marché.

 

EN SALLE D’EMBARQUEMENT

Sheppard se tient devant la Porte, pensif, Elisabeth le rejoint.

DR WEIR : Sa destination restera dans le fichier mémoire, ça laisse une chance de...

SHEPPARD : Peu importe sa destination, de toute façon je sais dés qu’il va arriver, il va abandonner le Jumper, s’approcher du cadran et composer une adresse, dont il ne restera aucune trace.

DR WEIR : On le retrouvera.

SHEPPARD : Je ne sais pas, peut-être.

DR WEIR : Hé, au moins on est encore là pour essayer.

SHEPPARD : C’est vrai.

Alors que l’épaisse fumée de l'explosion nucléaire se dissipe peu à peu dans l’air, la cité d’Atlantis ré apparait.

FIN

 

Transcript by Callie Sullivan

Continuing straight on from the previous episode, we start with Aiden Ford and his team facing off against two teams of Wraith and their guards who have beamed down in front of and behind the team. The marines aim their weapons at the Wraith.
FORD: Take them!

(The marines open fire. Some of the Wraith go down, while others rush in and go hand-to-hand with the marines, most of whom are soon shot or tossed around and thrown to the ground. One of the Wraith guards grabs Aiden by the throat and pushes him up against the balcony. Lying on the ground badly wounded, one of the marines, realising that all is lost, takes the pin out of a grenade. The Wraith guard, still holding Aiden by the throat, raises its other hand and slams it into Aiden's chest. The marine passes out (or dies) and the grenade rolls from his hand. A few seconds later, the grenade explodes. The shockwave throws Aiden and the Wraith over the balcony and they plunge into the ocean below.)

SPACE. PUDDLEJUMPER. The Jumper is approaching the rear of one of the hive ships. John's face is unreadable, but he knows there is nothing else he can do. As he almost reaches the ship, an unfamiliar male voice comes over the comms.

VOICE: Major Sheppard, decloak your Jumper immediately.

SHEPPARD: What?! Who the hell is this?

VOICE: Authentication Alpha Charlie One. Decloak *now*.

(John complies. The Jumper becomes visible just as it flies inside the ship.)

ATLANTIS. CONTROL ROOM.

McKAY: Detonation in five, four, three, two ...

(He walks towards the screen showing the Wraith fleet. Carson is still standing there watching the screen. We see an outside perspective of the city as Wraith Darts still swarm around. Above the city, the sky turns a brilliant white. In the Control Room, the screen also shows a huge explosion at one of the hive ships. Carson closes his eyes in grief.)

TECHNICIAN: Target has been neutralised.

(Elizabeth bows her head briefly, then raises it again.)

WEIR (with tears in her voice): He did it.

McKAY (quietly): Yeah. He did it.

(An alarm bleeps.)

TECHNICIAN: Doctor Weir, I'm picking up another ship.

WEIR: Another hive ship?

TECHNICIAN: Negative. I'm reading ISF.

SHEPPARD (over comms): Atlantis, this is Sheppard.

WEIR: John?!

SHEPPARD: What other Sheppards do you know?

BECKETT (full of relief): Oh my God!

McKAY: No, no, that can't be. We saw the hive ship go up.

(The same voice that spoke to John on the Jumper speaks over comms.)

VOICE: I assure you, Doctor McKay, that Major Sheppard is alive and well.

WEIR: Who is this?

VOICE: Colonel Steven Caldwell, commander of the Daedalus. We are ready to assist you.

(Rodney and Carson sigh in relief.)

McKAY: Oh, thank you!

WEIR: We are very glad to hear it, Colonel. (She bends down to a laptop and types in her code to disengaged the self-destruct.) And I assume we have you to thank for saving Major Sheppard.

CALDWELL: We were monitoring your transmissions as soon as we came out of hyperspace. We couldn't beam him in until he decloaked his Jumper.

SHEPPARD: Didn't take much convincing!

CALDWELL: Doctor McKay?

McKAY: Present, yes.

CALDWELL: I trust you'll know what to do with this?

(Rodney looks confused. A moment later, a bright light appears in the Control Room. When the light fades, two marines are standing there. One of them is holding a large metal box.)

MARINE: Your ZeePM, sir.

(Rodney stares in delight, then runs over to take the box from the marine and puts it on the floor to open it. Carson stares in amazement at the marines.)

BECKETT: How did they do that?!

McKAY: Well, the Daedalus is loaded with Asgard technology. The beaming technology's the first part of it. They've got things like ...

SHEPPARD (interrupting over comms): Rodney. What say we get the shields back up?

McKAY: Yeah. (He opens the box and takes out the ZPM, smiling in delight.) What say we?

WEIR: We still have Wraith all over the city.

CALDWELL: After we deal with this other hive ship, we'll assist you as soon as we can. Caldwell out.

(The scene shifts to the Daedalus.)

WEAPONS OFFICER: Sir, we have incoming enemy fighters bearing three- two-zero.

CALDWELL: All forward rail guns stand by. Launch all fighters.

(Daedalus moves forward towards the last remaining hive ship. Wraith Darts and other fighters attack. Its rail guns return fire, and its shields hold against the onslaught being fired at it.)

ATLANTIS. As Darts continue to swoop around the city, we switch to Colonel Everett firing his pistol into the Wraith attacking it. When his pistol is empty, the Wraith slams its hand into Everett's chest.

Everett screams. The Wraith roars as it begins to feed. A few seconds later, it recoils from the impact of bullets. One of Everett's marines, lying injured on the floor, has fired into it from behind.

DAEDALUS. As the battle continues, Doctor Lindsey Novak (who "SG-1" viewers will remember from `Prometheus Unbound') reports over comms.

NOVAK: Colonel Caldwell. This is Novak in Engineering.

CALDWELL: What is it?

NOVAK: Uh, Hermiod wanted to remind you that that our shield strength will be severely diminished without the Zero Point Module tied into our power systems.

(As she speaks, she walks over to an Asgard who is working on a control panel. [Note: for anyone who's never seen an episode of "SG- 1", the Asgard are allies of Earth, and look like Roswell greys.])

CALDWELL: I'm well aware of that, Doctor. Caldwell out. (To John)

Major, do you recommend any specific target on the hive ship?

SHEPPARD: One of the fighter bays, sir.

CALDWELL: It would increase the chance of secondary explosions.

SHEPPARD: That was the thinking, sir.

CALDWELL: I agree. Weaps, arm two Mark Eight tacticals. Our target is the hive ship's main fighter bay.

WEAPONS OFFICER: Warheads armed. Target is locked, sir.

CALDWELL: Fire.

(The warheads fly toward the hive ship. Darts fire at them and deflect them enough so that they impact fairly harmlessly on the surface of the ship.)

SHEPPARD: We need to get in close.

CALDWELL: Helm, alter heading to intercept. Go to max thrust.

HELM OFFICER: Max thrust.

CALDWELL: We just need to get closer.

SHEPPARD: The Asgard gave you hyperdrives and shields. How come no offensive weapons?

CALDWELL: They don't like providing other races with anything that could potentially be used against `em.

SHEPPARD: I thought they were allies?

CALDWELL: Without the beaming technology, you wouldn't be here, Major. (He returns to his seat and addresses his Weapons Officer.)

Arm two more Mark Eights.

SHEPPARD: You're wasting ordnance, Colonel. Those missiles are being intercepted miles from the hive ship.

ATLANTIS. CONTROL ROOM. Doctor Radek Zelenka rushes down the stairs and runs over to Rodney, who is working on a control panel.

McKAY: I brought up the shield's subroutine. When I give the word, all you have to do is punch it ...

ZELENKA: Yes, I know what to do. Go.

(Rodney grabs the ZPM in its box and heads out. He stops at the sight of Elizabeth and two marines.)

McKAY: Whoa, whoa-whoa-whoa-whoa. What is this? This is my security escort?!

WEIR: Well, we *are* spread a little bit thin right now.

McKAY: OK. (To the marines) You need to know that if we come under fire, you're gonna have to put your lives on the line to protect me.

WEIR: Rodney!

McKAY: OK, I mean the ZedPM. You need to protect the ZedPM at all costs ... and me. (He looks back at Elizabeth as the three of them head off.) Am I wrong?

(As Elizabeth watches them go, the Canadian technician comes over to her.)

TECHNICIAN: Doctor Weir?

WEIR: Yes?

TECHNICIAN: I've lost contact with some of our people.

WEIR: Who?

TECHNICIAN: I can't get ahold of the teams led by Captain Radner, Teyla, or Lieutenant Ford.

WEIR: Well, keep trying.

DAEDALUS. BRIDGE. The second set of warheads also fail to destroy the hive ship.

SHEPPARD: Well, now we're 0 for 2. How many of these things have you got?

CALDWELL: Only one needs to get through.

SHEPPARD: Is there any way we can deliver a warhead the same way you plucked me out of the Jumper?

CALDWELL: The Asgard have already considered that, Major. There are failsafes built into the system to prevent their use as a weapons delivery system.

SHEPPARD: You've got one of these Asgard on board? Can he override the failsafe?

CALDWELL: Why would he do that?

SHEPPARD: Well, his butt's on the line just as much as ours.

(Caldwell thinks about it for a moment, then activates the comms.)

CALDWELL: Novak, I need you and Hermiod to figure out how to get a site-to-site transport lock on a set of co-ordinates inside the hive ship.

(In Engineering, Novak murmurs nervously into her mike.)

NOVAK: No-no-no-no-no-no. Sir, Hermiod isn't gonna like that.

CALDWELL: Get it done, Doctor, that's an order.

(Novak looks round at Hermiod for a moment, then turns away again, wondering how she's ever going to talk him into it.)

ATLANTIS. CORRIDORS. McKay and his marine escort are carefully making their way along. One of the marines holds up his hand to stop the others as he sees two Wraith guards tinkering with a wall panel in a room ahead.

McKAY: That's the way we have to go!

(The marine holds up his hand to quieten Rodney, then gestures to his colleague and the two of them make their way cautiously forward, one of them directing Rodney where to go. The three of them crouch down out of view of the Wraith, and the first marine makes complicated hand signals to his colleague.)

McKAY: What was that? I didn't get all that. What do I do?

Look, I'm getting good at the rolling things, maybe I can, uh ...

(The first marine again holds his hand up to silence Rodney, then gestures to his colleague, who moves carefully forward. One of the Wraith guards senses movement and comes towards them. It sniffs the air, then moves away again, into the line of the fire of the first marine, who guns it down. He ducks out of the way as the second guard comes out of the room. As it walks forward, the second marine shoots it down. The marines stand up and look around.)

MARINE 1: Clear. (Rodney stands up and starts to move forward but the marine stops him.) No, you stay here ...

(At that moment he is hit by a Wraith stunner blast and collapses.

The second marine aims his rifle but is also hit by a blast. Rodney turns to see that a third Wraith guard has come up behind them.

Rodney has an attack of machismo and stands to face the guard, which is aiming its gun at him.)

McKAY: So! This is how it's gonna be, huh?! Just me?!

(Another Wraith guard comes up to join the second one, also aiming its gun at Rodney.)

McKAY: OK! That's just fine! (He draws his pistol and points it at them, grinning in bravado.) You want some of this, huh?! Huh?!

(As he goes to fire his pistol, he presses the wrong part of the gun and the cartridge ejects and drops to the floor. Rodney stares in horror, then dives for cover as he yells into his mike.)

McKAY: This is McKay – I'm in trouble down here!

(From behind the guards, someone opens fire and guns both of them down. Rodney raises his head up from cover as Teyla hurries in.)

TEYLA: Doctor McKay? Are you alright?

McKAY: Teyla! We thought you were ...

TEYLA: My radio was broken when I was separated from my group. I have been trying to make my way back.

McKAY: Well, thank God! You were the only ... I thought I was gonna ...

TEYLA: I thought you were very brave.

McKAY: Really?! (Teyla looks at the box that Rodney has just picked up again.) Oh. I have a ZedPM.

TEYLA: Yes.

McKAY: This may get the shields up.

TEYLA: Lead the way.

McKAY: Yeah, sure. ... Uh, after you.

(They run off.)

DAEDALUS. ENGINEERING. Novak adjusts a timer so that it reads 5 seconds. She walks nervously over to Hermiod.

NOVAK: I've, uh, set the timer for five seconds. Is that enough time for you?

HERMIOD: Five seconds should be more than ample. (He narrows his eyes at her, obviously unhappy with the plan.)

NOVAK: OK, look. I know you don't approve of using technology this way, but you have to understand ...

HERMIOD (sternly): I am ready.

(Novak activates her radio.)

NOVAK: Colonel? Hermiod is ready and standing by for warhead transport. But I can tell you, he is *not* happy about this!

(On the Bridge)

CALDWELL: I'll take that under advisement. (To his Weapons Officer)

Are we within transport range?

WEAPONS OFFICER: Yes, sir.

CALDWELL: Transport warhead when ready.

NOVAK: Ready. (She hits a button to start the countdown and reads off the screen.) Five ... (The screen beeps. She rolls her eyes and throws an annoyed look at Hermiod.) The weapon is away.

(Hermiod mutters angrily to himself in Asgard. We don't get subtitles, but I don't think we really need them to know what he's saying!)

(From an outside perspective, an explosion goes off inside the hive ship, and the ship blows apart.)

ATLANTIS. CONTROL ROOM. The technician sees the explosion on his screen.

TECHNICIAN: We have a kill. The last hive ship has been neutralised.

(Elizabeth smiles in relief, and turns to look at Radek, who is also smiling.)

DAEDALUS. BRIDGE.

CALDWELL: Novak, I need you to prep another warhead for transport.

We need to take out those cruisers.

SHEPPARD: Sir, wait. (Standing at the front of the bridge, John looks through the windscreen as the cruisers turn and disappear into hyperspace.)

WEAPONS OFFICER: Colonel, cruisers have broken off and entered hyperspace.

CALDWELL: Seeing what we just did to their remaining hive ships, I don't blame `em.

SHEPPARD: There's still a lot of Darts out there.

CALDWELL: Alright, let's clean this up.

WEAPONS OFFICER: Sir. The remaining fighters are regrouping.

CALDWELL: Alright, take position, stand by for defensive fire.

SHEPPARD: We're not the target.

WEAPONS OFFICER: Major Sheppard is right, sir. The formation is headed toward Atlantis.

SHEPPARD (into comms): Elizabeth, you've got a problem.

(In the Atlantis Control Room, the screen is showing the approaching ships.)

WEIR: Yeah, we see that, Major.

SHEPPARD: We're moving to intercept but I don't think we can get there in time.

TECHNICIAN: Not a chance. They're coming in too fast.

ZELENKA: Oh my God. Their approach is ballistic.

WEIR: What exactly does that mean?

ZELENKA: Their impact velocities will be in excess of ten thousand kilometres an hour. No part of the city can withstand that.

SHEPPARD: You'd better get the damned shield up!

WEIR (to Radek): How much time do we have?

ZELENKA: Forty-five seconds.

WEIR (over comms): Rodney, we need a shield up in forty seconds or we're dead!

(She runs to the balcony door and looks out over the ocean.

Elsewhere on the base, Rodney is preparing to insert the ZPM into its slot.)

McKAY: What, are you kidding me?!

WEIR: No!

McKAY: Cos I can't help but thinking we're reaching the point at which I completely snap.

WEIR: Rodney!

(As Rodney gently manoeuvres the ZPM into position, it lights up.)

McKAY: That should do it! (He runs to a control panel.) Fire it up.

(In the Control Room, Radek shakes his head. On the screen, the Wraith fleets gets closer.)

WEIR: That didn't do it.

McKAY: What?

TEYLA: It is not working.

McKAY: I know what she said! (He runs back over to the ZPM.)

WEIR: Twenty seconds!

McKAY: OK, snap! That's it! You all happy now?!

WEIR: Rodney!

(Rodney leans on the ZPM and this time it starts to lower down into the slot.)

McKAY (watching it as it goes): OK, OK, OKaaaaay. (The ZPM reaches the bottom of the slot.) Try it now!

(Radek actives the controls and smiles in relief.)

ZELENKA: Yes!

(Elizabeth gazes out over the ocean as the shield deploys around the city. The Wraith ships plunge downward and smash into the shield.)

DAEDALUS. BRIDGE.

SHEPPARD: Atlantis, this is Sheppard, come in. (There's no reply.)

Atlantis! (Again, no reply.)

ATLANTIS. CONTROL ROOM. Radek has joined Elizabeth at the balcony door. After a moment, a static-filled radio message can be heard.

SHEPPARD (over comms): Elizabeth ... I repeat ... This is Sheppard.

What is your status?

ZELENKA: The explosions must have disrupted radio signals.

WEIR (into comms): We're still here. That's our status.

(John sighs in relief.)

SHEPPARD: Don't scare me like that!

WEIR: Sorry. What about the Wraith fleet?

CALDWELL: The remaining cruisers have withdrawn from the battle.

WEIR: Thank you, Colonel. Thank all of you.

CALDWELL: Glad to be of help. We're gonna stay in geosynchronous orbit for the time being. Can we be of any further assistance?

WEIR: We could use some help with the Wraith in the city.

CALDWELL: We'll send in some people to help with that. Daedalus out. (To John) Major Sheppard – I'm sure you're anxious to get back to Atlantis.

SHEPPARD: Yes sir. Thank you. (He leaves the Bridge.)

ATLANTIS. ZPM ROOM.

WEIR (over comms): Rodney – you can take the rest of the day off.

(Rodney slumps with exhaustion, gets down onto the floor and lies on his back with his eyes closed and his hands folded on his chest.)

McKAY: Oh. I am gonna curl up in bed with the largest sandwich I can find.

TEYLA: Shall I just explain to the rest of the Wraith left on the base that you are unavailable to fight?

(Rodney sighs and opens his eyes.)

McKAY: Right. (He holds out his hand and Teyla takes it and helps him to his feet.) Right. (He points the way and the two of them run off.)

CONTROL ROOM. A guard is walking down the steps, then ducks for cover and aims his rifle as a white light appears in the room. He relaxes, however, when John and three marines beam in.

SHEPPARD: Secure Stargate Operations. (The marines move off as Elizabeth comes down the steps to meet him.) Well, I'm home!

(Elizabeth walks over to him, gazes at him for a moment, then wraps her arms around him and hugs him. John looks startled, and rather nervously hugs her back. After a moment Elizabeth breaks the hug.)

WEIR: Yes, you are. I truly thought ...

SHEPPARD: Yeah, yeah, I thought the same thing about you a minute ago. We gotta stop that!

(Elizabeth nods.)

WEIR: I'd like that!

SHEPPARD: So, uh, where are we?

WEIR: Well, most of our sensors are still down, but we do know there are at least a handful of Wraith still in the city SHEPPARD: Still got some work to do.

WEIR: Before you do anything, Colonel Everett insists on speaking with you. He's in the infirmary.

INFIRMARY. John is standing by Everett's bedside reporting to him.

SHEPPARD: We've neutralised the hive ships, activated the shields, and, uh, we've mustered as many people as we can, making sure there's no Wraith hiding in the shadows.

(We see Everett for the first time. He is old. His right hand, lying on his chest, is shaking and he looks very weak.)

EVERETT: Good work, Major.

SHEPPARD: Thank you, sir.

EVERETT: They're shipping me out with the next batch of wounded.

I wanna finish our conversation.

(John looks uncomfortable.)

SHEPPARD: Yes, sir.

EVERETT: I ... owe you an apology.

SHEPPARD: No, sir, you don't.

EVERETT: I think I have a pretty good idea. I would have done the same thing as you did when you found Colonel Sumner. It's what I wanted to tell you.

SHEPPARD: Well, none of that matters right now, sir.

EVERETT: I'm trying to say ... I wish you had been there for *me*.

(He fights back tears.)

SHEPPARD: You're gonna be fine, sir, once you get back to Earth ...

EVERETT: I've said what I had to say. Get back to work.

(John looks at him for a moment, then takes one step back and salutes him smartly and respectfully.)

SHEPPARD: Yes, sir. (He walks away.)

GATEROOM. John and Radek come in, talking as they go.

ZELENKA: Preliminary count is forty casualties, maybe more. I'm still trying to line up lifesigns readings with actual people.

SHEPPARD: There are no Wraith lifesigns?

(Elizabeth joins them.)

ZELENKA: The last one was trapped in one of the deeper parts of the city. He died trying to damage city with one of their grenades.

WEIR: Three of our men were injured. On the bright side, there was no flooding.

SHEPPARD: Have we been able to locate Lieutenant Ford yet?

ZELENKA: I'm sorry, no. We've searched everywhere in the city. It's possible he may have beamed up into one of the Wraith Darts.

SHEPPARD: Let's not make that assumption here.

ZELENKA: Major, I'm sorry – we've searched everywhere inside the city.

SHEPPARD: Well, how about outside the city?

ZELENKA: I don't understand.

SHEPPARD: Well, expand the sensors. Maybe he's in the water.

ZELENKA: Even if that was the case, there's no chance that ...

SHEPPARD: I'm not asking you to swim out there, I'm asking you to press a few damned buttons.

ZELENKA (pressing a few damned buttons): Even if you're right, I don't see how ... (the screen immediately shows one human lifesign in the ocean.) Oh my God.

(John looks round at Elizabeth, who moves to activate the comms to Daedalus.)

WEIR: Colonel Caldwell? One of our men is in the ocean outside our shield, most probably injured. Can you beam him to your ship and then down to our infirmary?

DAEDALUS. Hermiod activates the transporter beam. We don't see what arrives, but Novak stares in shock and activates her radio.

NOVAK: Atlantis? This is Doctor Novak on the Daedalus. You're gonna need some SFs in your infirmary before we beam your man down.

(In the infirmary, Carson responds.)

BECKETT: We already do, Doctor. Beam away.

(The transporter beam activates. At the sight of what has arrived, the two marines in the room immediately aim their weapons. The camera pulls back and we see Aiden lying unconscious on the floor face to face with the Wraith guard that attacked him. It is dead – but its hand is still plunged into his chest.)

BECKETT: Good Lord! Let's get this thing off of him.

LATER. Aiden is in bed, still unconscious.

SHEPPARD: How is he?

BECKETT: I gave him a mild sedative to help him rest – but he should be dead.

SHEPPARD: Well, he's a tough kid.

BECKETT: Not my point, Major. He was lying face down in the freezing water for over an hour. I don't care how tough he is.

WEIR: So what are you saying?

BECKETT: We still have no idea how it works, but during the Wraith feeding process, the victim is injected with a special enzyme. It strengthens the human body temporarily and ensures that the heart continues to beat.

SHEPPARD: Why would they wanna make you stronger?

BECKETT: So the victim doesn't die immediately. The feeding process is so traumatic, without the special enzyme, we shut down far sooner than they like.

WEIR: They make you stronger so they can take more time to kill you.

BECKETT: Lovely, isn't it?(!) In most cases the enzyme is released slowly into the bloodstream throughout the feeding process. I can only ascertain that the Wraith died quite suddenly and that Lieutenant Ford's system became flooded with it.

WEIR: And that's why he was able to survive in the water for so long.

BECKETT: Exactly. The problem is, now the enzyme is breaking down in his system. Eventually there'll be none left.

SHEPPARD: Well, that's not good.

BECKETT: No. In fact, I'm quite certain it'll kill him.

It's possible his body's become dependent on the enzyme to function.

WEIR: What's the treatment?

BECKETT: We wean him off it, sneak his body chemistry back to normal incrementally.

SHEPPARD: Then we're gonna have to get more of this enzyme.

BECKETT: Aye. With your permission, Doctor, I'd like to harvest it from the Wraith bodies in the morgue. I know it's a wee bit creepy, but ...

McKAY (over radio): Elizabeth. Major Sheppard.

WEIR (to Carson): Do whatever you have to do. (She activates her radio.) What is it?

McKAY: You're gonna want to get up here.

(John and Elizabeth leave.)

CONTROL ROOM. Rodney and Radek are busy working on laptops as John and Elizabeth come in.

SHEPPARD: Aren't you supposed to be getting some sleep, Rodney?

McKAY: I was trying to do just that, but *someone* thought I should know the deep space sensors were back up and running.

WEIR: Yes? And?

(Rodney and Radek look at each other.)

ZELENKA: We've picked up twelve more hive ships travelling in hyperspace.

McKAY: Their course and speed will bring them here in thirty-six hours.

CONFERENCE ROOM. Colonel Caldwell has beamed down to join the meeting.

CALDWELL: Twelve hive ships?!

SHEPPARD: The cruisers that got away probably called for reinforcements.

McKAY: Our research shows there are at least sixty hive ships in this galaxy. I mean, who knows how many more could be on the way?

SHEPPARD: At least the shield's up and running.

McKAY: That only buys us time.

SHEPPARD: I *like* time!

McKAY: Look, the first siege of Atlantis lasted for years. I mean, with only one functioning ZedPM, we can't expect to hold on that long.

CALDWELL: Can we submerge the city again?

(Rodney sighs.)

McKAY: It's a city, not a yo-yo. Look, I don't even know how they did it the first time.

CALDWELL: How long until they arrive?

WEIR: A little over a day.

SHEPPARD: You know what? I'm sick of this.

WEIR: I'm sorry?!

SHEPPARD: I mean, sitting around waiting for them to show up. I say we take the fight to them.

CALDWELL: We've got one ship, Major.

SHEPPARD: We've got one ship with an Asgard shield, an armoury full of nukes, *and* beaming technology. That evens the odds a hell of a lot.

CALDWELL: Twelve ships and their escorts.

SHEPPARD: I'm telling you, we've gotta send these guys a message.

We're not like the Ancients – we're not gonna sit around and wait.

We don't back off – we have the capacity and the will to go kick *their* asses for a change.

CALDWELL: How do I fight a ship in hyperspace?

McKAY: The Wraith faster-than-light travel is not as efficient as the Asgard hyperdrive aboard the Daedalus. (He activates a screen to show the predicted route of the Wraith fleet.) Not only are they slower – they need to travel in a series of jumps. So, if my calculations are correct (he smiles as if to say `and of course they are'), they'll make one last stop here (he indicates a point on the screen), fifty light years away, before they make the final jump to Atlantis.

CALDWELL: Doctor Weir?

(Elizabeth considers for a moment, then looks at John.)

WEIR: It *will* feel good to have them on the defensive for a change.

SHEPPARD: Alright then. Let's do this.

SPACE. FIFTY LIGHT YEARS AWAY. Daedalus comes out of hyperspace.

WEAPONS OFFICER: Scanners are clear, sir. No contacts.

CALDWELL: I hope we're on the right spot.

SHEPPARD: They'll be here. I've learned to trust Rodney about these things.

(In Engineering)

NOVAK: I've set the warheads to go off one second after reintegration. (Hermiod grunts disapprovingly.) So, I assume you're fine with that? (Hermiod, his back to her, takes no notice as he continues working.) OK!

ATLANTIS. ELIZABETH'S OFFICE. Teyla is sitting with Elizabeth.

TEYLA: They are angry. I can feel it. Word of our success might spread to other worlds. They want us silenced.

WEIR: You can sense that?

TEYLA: The Wraith warriors were in such close proximity.

(The door opens and Aiden walks in.)

FORD: Scuse me.

WEIR: Ford!

FORD: I'd like to report for duty, ma'am.

WEIR: Doctor Beckett released you?

(We get a close look at Aiden's face. His entire left pupil is black and there seems to be some scarring underneath the eye. He looks terrible, and quite scary.)

FORD: Why wouldn't he? I'm fine.

DAEDALUS. BRIDGE.

SHEPPARD: If we can hit the first one or two as soon as they exit hyperspace, I think that'll send a message.

CALDWELL: Who knows – maybe they'll surrender(!)

WEAPONS OFFICER: Sir, we have a contact.

CALDWELL: Stand by for weapons deployment. Shields at max power.

WEAPONS OFFICER: Shields up.

(The twelve hive ships come out of hyperspace, forming the shape of an arrow in the sky.)

CALDWELL (into comms): Novak, this is Caldwell. Begin deployment at your discretion.

(In Engineering)

HERMIOD: I have a weapons lock on the co-ordinates of the first enemy vessel.

NOVAK: Got it. (Into comms) First weapon away, Colonel.

(The rear ship nearest to Daedalus explodes.)

WEAPONS OFFICER: That's a kill!

NOVAK (over comms): Stand by.

(One of the ships in the other arm of the arrow explodes.)

SHEPPARD: Alright, that's two.

NOVAK: It's working.

HERMIOD: Stand by for co-ordinates.

WEAPONS OFFICER: The other hive ships are altering course to intercept.

CALDWELL: Take us right at `em.

HELM OFFICER: Yes, sir.

(Daedalus and the fleet begin exchanging fire.)

SHEPPARD: They're flanking us.

CALDWELL: Forward rail guns, return fire. Novak, we need to speed up the deployment of those nukes or this fight is gonna be over soon.

HERMIOD: The enemy has engaged counter-measures that are preventing our ability to transport.

NOVAK: Is there a way to counter the counter-measures?

HERMIOD: None.

NOVAK (into comms): Colonel, we have a problem. They've found a way to jam us from beaming onto their ships. We don't know how.

WEAPONS OFFICER: Rear shield emitters are down to forty percent!

(A console explodes in the rear of the Bridge, sending a crewmember flying. John runs to help her up while others rush to put out the fire.)

WEAPONS OFFICER: Central rail gun two is out of action!

CALDWELL: Main engines to max. Foster.

HELM OFFICER: Sir.

CALDWELL: Try feeding the damaged shield from the main port.

(The barrage from the Wraith fleet continues. Two cruisers approach from behind; one takes position over the top of Daedalus.)

WEAPONS OFFICER: Sir! One of the cruisers is approaching on a parallel course.

SHEPPARD: They may intend to board us – that was their strategy when they attacked Atlantis.

CALDWELL: Shield status?

WEAPONS OFFICER: Under twenty percent.

CALDWELL: Set course for Atlantis. Engage hyperdrive.

HELM OFFICER: Hyperdrive – yes sir!

CALDWELL: This fight is over.

(Daedalus heads away from the fleet and disappears into hyperspace.)

ATLANTIS. CONTROL ROOM. Elizabeth, Rodney and Teyla are listening as Caldwell reports in over comms.

CALDWELL: The bottom line is, it didn't work.

WEIR: Well, at least you gave them something to think about.

CALDWELL: We'll see. I doubt very much that that tactic will work again, and the Daedalus has sustained damage.

SHEPPARD: It was still the right thing to do. (Into comms) We should make it home before they do.

WEIR: I hope so. We'll keep the porch light on for you. (She cuts comms.) OK, what are our options?

McKAY: Well, let me see – we've got slow death, quick death, painful death, cold, lonely death.

(Elizabeth starts to walk towards her office. Rodney and Teyla follow her and Aiden falls in with them.)

WEIR: OK, you said yourself that the shield (she looks round a bit nervously at Aiden) should buy us some time at least.

FORD: Where do you want me?

WEIR: Lieutenant, I ...

(Carson hurries in.)

BECKETT: Lieutenant – what do you think you're doing here?

FORD: I'm fine, Doc, really. It's cool.

BECKETT: The hell you are. You should be back in bed.

FORD: I feel great. Just drop it. (He turns his back on him.)

BECKETT: I will not just drop it. Not twenty minutes ago you were at death's door. Now I don't care how spry you're feeling – you need to be under medical supervision.

(Aiden glances round at him angrily, then turns back to Elizabeth.)

FORD: I'm good to go.

WEIR: I appreciate your enthusiasm, Lieutenant, but I ...

FORD: I-I'm serious – just let me prove it. Just give me something to do.

BECKETT (taking hold of his arm): I don't think so.

(Aiden rounds on him, grabs him by the throat with one hand and hoists him into the air, slamming him against the wall.)

FORD: Don't push me around!

TEYLA: Lieutenant! (Ford glares ferociously up at Carson.) Put him down, Aiden – he's trying to help you. (Aiden continues to glare at Carson, his face almost a snarl. Teyla steps closer to him.) Aiden.

(Aiden slowly lowers Carson to the ground and releases his grip on his throat. Carson gasps for air. Aiden stares in horror at what he has just done.)

FORD: I'm sorry, Doc. I don't know why I ...

BECKETT: You need to be under medical supervision.

WEIR: He's right, Lieutenant. We just wanna know why you're suddenly feeling this way.

(Aiden still looks shocked at his actions.)

FORD: OK. I'll go back.

WEIR: Good. It's what you should do.

FORD: Yes, ma'am.

(Teyla nods to him and leads him away. Elizabeth walks closer to Carson.)

WEIR: Sedate him if you have to.

(Carson nods.)

BECKETT: Aye. (He follows Teyla and Aiden.)

INFIRMARY. Aiden is lying on the bed with his eyes closed, wearing a bizarre-looking pair of sunglasses as a light screen rolls back and forth alongside his bed. Carson walks away from the bed to speak to Elizabeth and Teyla.

BECKETT: It's starting to affect his brain chemistry.

WEIR: There's no way you could have known that, Carson, and it's better this than death.

(Despite the fact that they're standing quite a way away, Aiden can hear every word they say.)

BECKETT: We need to be more aggressive – wean him off it quicker than I expected to. (Aiden's eyes open.) It'll be painful and arduous, but I think it may be the only option. I've sedated him, but he should definitely be under secure supervision.

WEIR: I've already stationed a guard at the door.

TECHNICIAN (over comms): Doctor Weir – the Daedalus is requesting permission to land on the east pier.

WEIR: Permission granted. We'll meet them there.

(She and Teyla leave. As Carson turns back towards Aiden, he closes his eyes again.)

EAST PIER. Daedalus lands. Shortly after, Caldwell, John and some of the Daedalus crew walk into the city, to be met by Elizabeth.

WEIR: Welcome back to Atlantis, Colonel.

SHEPPARD: The Wraith are right behind us.

WEIR: I wasn't expecting you to land.

CALDWELL: Until repairs are complete, the Daedalus is gonna need Atlantis' shields as much as you do.

TECHNICIAN (over comms): Doctor Weir – the hive ships are emerging from hyperspace.

WEIR: We're on our way.

INFIRMARY. Carson and a nurse help an injured man. The guard posted at the door makes his way through the infirmary. When his back is turned to Aiden, Aiden leaps up. The guard turns but Aiden grabs something off the table beside him and hurls it hard at the guard, hitting him in the face and knocking him unconscious. Aiden runs over to him and grabs his pistol.

BECKETT: Ford!

FORD: Don't move or I'll shoot! (He walks toward Carson, aiming his gun at him.) Where's the rest of the enzyme?

BECKETT: There is no more.

FORD: I saw you extract it – don't lie to me. Where is it?

BECKETT: No, I'm not lying.

(Aiden fires at Beckett, only just missing him.)

FORD: Where is it?

BECKETT: You're not thinking straight, son.

FORD: You're all afraid of me.

BECKETT: Look at what you're doing. We have good reason to be.

FORD: I'm gonna die if I don't get it.

BECKETT: Aiden, you're not gonna die.

FORD: Shut up! (Without taking his eyes off Carson, he slowly and deliberately turns his gun on the injured man.) I'm not gonna ask again.

(Reluctantly, Carson turns and walks over to a cabinet and takes out a bag of fluid.)

FORD: Is that all of it?

BECKETT: I promise you.

FORD: Toss it over. (Carson sighs, hesitating.) Toss it! (Carson tosses it over and Aiden catches it with his free hand.) Don't follow me. (He turns and runs out of the infirmary.)

CONTROL ROOM. Alarms sound as Elizabeth, Rodney, John and Caldwell hurry in.

TECHNICIAN: They're getting into some sort of formation.

(Rodney hurries over to a console.)

McKAY (to the person sitting there): Move, move! (The person vacates the station.)

(In space, all the ships start firing down toward the city. The shots fly down and impact against the shield. Everyone looks up nervously. After a few seconds, Rodney checks his readouts.)

McKAY: The shield's holding under the bombardment but it's under incredible strain.

WEIR: How long will it hold?

McKAY: Well, if they stop firing it'll last almost indefinitely but ...

WEIR: Are we talking months, weeks?

McKAY: Days. At this rate the ZedPM will be depleted within days.

LATER. Rodney and John are out on the balcony, looking up at the bombardment against the shield.

McKAY: It's almost pretty, isn't it?

SHEPPARD: Almost – but not quite.

(We see what they're looking at. The impacts are glowing red on the shield – it looks almost like a firework display. John and Rodney watch for a moment longer, then turn and walk into the Conference Room where the others are already gathered.)

CALDWELL: The Daedalus will be back in fighting form within the next twenty-four hours but I think the next engagement's gonna have the same result.

WEIR: Even if we were able to destroy these ships this instant, more would be here in a few days, and even more a few days after that.

From where I'm standing, I just don't see how we can win this.

McKAY: Well now we know how the Ancients must have felt.

ZELENKA: Atlantis is the only way to Earth. As long as they know we're here, they're just going to keep coming.

SHEPPARD (thoughtfully): As long as they know that we're here.

WEIR: What do you mean?

SHEPPARD: Zelenka just said as long as they know that we're here, they'll keep coming.

McKAY: Yes, he said that.

SHEPPARD: Well, what if they thought we were gone?

TEYLA: Then there'd be no reason for them to stay.

SHEPPARD: Exactly!

McKAY: Exactly what?

SHEPPARD: We disappear.

CALDWELL: Destroy the city, you mean?

SHEPPARD: No, we just make it look like we did.

WEIR: How?

(Rodney clicks his fingers.)

McKAY: We cloak it.

ZELENKA: Yes. Yes! The Puddlejumpers are equipped with cloaking technology which renders them invisible to the naked eye, and to Wraith scans. If we just simply remove one of the cloak generators from the Puddlejumper ...

McKAY: I wouldn't say simply, but yes – by interfacing a Jumper's stealth cloak generator with the city's shield, we should be able to render the city invisible.

CALDWELL: That's all well and good, but I think if the city were to suddenly disappear, they might be able to put one and one together.

McKAY: Which is why we fake a self-destruct. Have the Daedalus beam a nuke right above the city's shield, and then detonate it.

While their sensors are blinded, we cloak the city; when the smoke clears ...

WEIR: ... nothing but ocean.

CALDWELL: What about hard radiation?

McKAY: I should be able to calculate with reasonable accuracy how long to wait until we switch over to the cloak.

ZELENKA: But what about the displacement issue?

McKAY: It's coparambulation – that's the easy part!

ZELENKA (rolling his eyes): OK. What about the hard part?

SHEPPARD: Hard part?

McKAY: Um, the cloak for all intents and purposes will replace the shield, which means that we'll be completely unprotected once the cloak's activated.

WEIR: We'll be completely exposed?

McKAY: Well ... yes.

CALDWELL: So if they're not fooled by the ruse ...

SHEPPARD: ... then they destroy the city – which, I remind you, is exactly what we were gonna do anyway.

WEIR: What about the Daedalus?

CALDWELL: Well, if it doesn't work, our shields should be sufficiently recharged to break through their lines and escape. We know we can outrun `em.

SHEPPARD: Alright. Let's get as many non-essential personnel on your ship as we can – just in case.

WEIR: I love this idea. I really do – *but* the Wraith are aware that we have cloaking technology.

TEYLA: They are close – close enough for me to connect to them.

If I can convince them that we intend to destroy Atlantis rather than allow it to be taken, just before the explosion occurs ...

WEIR: How will we know whether or not they believe you?

SHEPPARD: Well, if they stop the bombardment, we'll know.

TEYLA: He's right. If the Wraith believe that we intend to destroy the city, the last thing they'll wanna do is to help us do it.

(Elizabeth nods and turns to the scientists.)

WEIR: How much time do you need?

McKAY: Oh, well ...

ZELENKA: ... a week ...

McKAY: ... a couple of hours.

WEIR: I'll take the second estimate. Go.

CONTROL ROOM. Carson races up the steps to meet the team coming out of the Conference Room.

BECKETT: He escaped.

TEYLA: What?

SHEPPARD: Who?

BECKETT: Lieutenant Ford. He was able to disarm one of the marines, and got away with all the Wraith enzyme I had left.

SHEPPARD (into comms): Ford, this is Sheppard, come in. ... Ford? I need you to come back to the Control Room, buddy, we're all goin' home.

(Elsewhere, Aiden has geared himself up and is packing stuff into a rucksack.)

SHEPPARD (over comms): Lieutenant, do you copy?

(Aiden activates his radio.)

FORD: You're just afraid of me, Major. You're afraid of what I can do now. I'm not listening to you. (He deactivates his radio.)

SHEPPARD: I'm going after him. (He runs off.)

WEIR (calling after him): Now's not the right time!

A montage of scenes follows: Rodney and Radek work on a Puddlejumper's cloak generator; Atlantis personnel board Daedalus; Aiden cautiously makes his way through the city, unaware that nearby John is tracking him with a lifesigns detector. And all the time, the bombardment of the shield continues.

INFIRMARY. Teyla is lying on a bed as Carson sits down beside her.

BECKETT: Now, I'm jolting you out of this the second I feel there's a problem.

TEYLA: I understand.

BECKETT (into comms): We're all set down here.

WEIR (in the Control Room): Good, we're almost ready up here.

Rodney?

McKAY: Ready. Radek?

ZELENKA (in the Puddlejumper): Ready to go. (He activates some controls.)

WEIR: Colonel Caldwell?

CALDWELL (on the Daedalus Bridge): Your people are securely aboard; the warhead has been armed and is ready for deployment on your mark.

WEIR: Very good. Stand by.

ATLANTIS CORRIDOR. Aiden moves cautiously down a corridor. He pauses as if sensing something, then turns and trots off in another direction. Behind a column where Aiden paused, John comes out of hiding and follows him, carrying a Wraith stunner.

CONTROL ROOM.

WEIR (into comms): Doctor Beckett?

(In the Infirmary)

BECKETT: Teyla?

(Teyla takes a deep breath, then nods.)

TEYLA: I am ready.

BECKETT (into comms): We're good to go.

WEIR: Alright. Send our message.

(Teyla takes another deep breath, then exhales and closes her eyes and concentrates. After a few seconds, she sees a misty image of the interior of a Wraith ship.)

TEYLA: I am on one of the ships. ... They see me. (She gasps, opens her eyes and sits up on the bed, staring straight ahead. Carson stands, looking at her nervously.)

BECKETT: Teyla?

(Teyla smiles.)

TEYLA: The message has been delivered.

BECKETT (into comms): Elizabeth – it's done.

(Above the city, the bombardment ceases.)

CONTROL ROOM.

WEIR: Seems like they heard Teyla loud and clear. Rodney?

McKAY: Yeah, I think I'm ready.

WEIR: You *think*?!

McKAY: I am definitely ready.

WEIR (into comms): Daedalus, launch the weapon. (To the technician)

Give me city-wide. (The technician activates the controls.)

Attention all personnel: prepare for detonation flash.

McKAY (to the other technicians in the Control Room): Shut `em down!

(He closes down his own laptop and other technicians do the same. He reaches down and puts on another pair of weird sunglasses, similar to the ones that Aiden was wearing earlier, while everyone else buries their heads in their arms.)

DAEDALUS. Hermiod nods to Novak. She activates her comms.

NOVAK: The weapon is away.

(Above the city, a massive explosion takes place.)

(In the Control Room, Rodney looks around the room at everyone else still protecting their eyes. As the flash subsides, he takes off his glasses and opens his laptop. Elizabeth lifts her head out of her arms.)

WEIR: Rodney?

McKAY: If we switch to cloak before the blast radius diminishes, we'll all be incinerated. Five seconds.

DAEDALUS BRIDGE.

CALDWELL: Stand by to engage sublight engines on my mark.

HELM OFFICER: Standing by, sir.

(Above the city, a huge mushroom cloud is rising.)

ATLANTIS CONTROL ROOM.

WEIR: OK, that was definitely five seconds!

McKAY: We're cloaked. (He moves to another laptop and opens it.)

WEIR: How can you tell?

McKAY (whispering): They're scanning for us!

CORRIDOR. John, with his Wraith stunner braced on his shoulder, walks into an open area to see Aiden standing there pointing his gun at him.

FORD: I could have shot you a couple of times by now.

(John lowers his stunner.)

SHEPPARD: Well, I'm glad you didn't. (Aiden also lowers his gun.)

Look, why don't you and I just go someplace where we can talk?

(He walks slowly towards Aiden, who backs away.)

FORD: You're trying to change me back.

SHEPPARD: No – I'm just tryin' to help you.

(Aiden looks at him for a moment, then shakes his head.)

FORD: No you're not. (He turns and walks away.)

SHEPPARD: Oh, crap. (He raises his stunner and fires it into Aiden's back as he walks into a transporter room. Aiden flinches but doesn't fall. He turns, glares at John and then activates the transporter.

The doors close. John runs forward and the doors open again – but Aiden is gone.)

CONTROL ROOM.

McKAY (whispering): I don't think they've detected us.

WEIR (whispering): Why are you whispering?

McKAY (whispering): I dunno – it just seems like the right thing to do.

WEIR (louder): Is it working or not?

PUDDLEJUMPER. Radek walks out of the Jumper, concentrating on a hand- held device he's holding, and doesn't see Aiden until he punches him in the face, knocking him to the ground. Aiden picks up his rucksack from the ground and runs into a Jumper.

CONTROL ROOM. The Stargate starts to dial.

WEIR: What the hell?!

(A Puddlejumper, with Aiden at the helm, lowers down into the Gateroom. John runs into the Control Room and goes over to Rodney.)

SHEPPARD: Where's Ford?

McKAY: I assume that's him in the Jumper.

(As the Jumper comes level with the Gate, John runs down to stand where he can see into the cockpit.)

WEIR (to Rodney): Can they detect that?

McKAY: I don't know.

WEIR: Shut it down!

McKAY: I can't – the Jumper's in control.

SHEPPARD: Ford – stand down! This is a direct order!

(Aiden glares at him for a few seconds, then activates the controls and the Jumper flies into the Gate, which shuts down behind him.

John turns and looks up into the Control Room.)

SHEPPARD: Where the hell is he goin'?


WEIR: It won't matter if the Wraith can detect the Gate activity through the cloak.

McKAY: There's only one way to know. (He gazes skywards and waits.)

CALDWELL (over comms): This is Daedalus. Our sensors indicate the Wraith fleet is breaking orbit.

(Rodney checks his laptop.)

McKAY: I can confirm that. They're headed for hyperspace. Look, I'm gonna keep the cloak up for a while just to be sure, but, uh, I think they bought it.

(Elizabeth nods to him, and heads down into the Gateroom to join John.)

WEIR: The Gate address'll be in the log. There's still a chance ...

SHEPPARD: It doesn't matter where he goes. The second he gets to wherever he's going, he's gonna ditch the Jumper, turn around, and dial another address – one we can't trace.

WEIR: We'll find him.

SHEPPARD: Maybe.

WEIR: Hey. At least we're still around to try.

SHEPPARD: Yeah. (He walks away. Elizabeth turns and heads back up into the Control Room.)

(Above the city, as the mushroom cloud dissipates, the city comes out of its cloak.)

Transcript by Callie Sullivan

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choup37, 18.04.2024 à 08:49

5 participants prennent part actuellement à la chasse aux gobelins sur doctor who, y aura-t-il un sixième?

chrismaz66, 18.04.2024 à 11:04

Choup tu as 3 joueurs de plus que moi!! Kaamelott est en animation, 3 jeux, venez tenter le coup, c'est gratis! Bonne journée ^^

choup37, 19.04.2024 à 19:45

Maintenant j'en ai plus que deux, je joue aussi sur kaa

Viens chatter !