Stargate Atlantis
SCRIPT VF
Saison 2 épisode 01 partie 3 /3
«SOUS LE FEU DE L’ENNEMI»
Précédemment dans Stargate Atlantis…
On voit des vaisseaux Wraiths entrer en hyper-espace.
DR BECKETT: Vous avez de l’ADN de Wraith.
SHEPPARD : Alors elle voit réellement ce qui ce passe ?
TEYLA: Je suis à bord d’un vaisseau…
RODNEY: Nous recevons un code d’identification.
SHEPPARD : Qui est-ce ?
RODNEY: C’est le SGC, Major.
COLONEL EVERETT: Tout ce que nous avons à faire c’est tenir jusqu’à l’arrivée du Dédale. Ensuite l’E2PZ alimentera le bouclier de la cité.
CHUCK: je reçois de nombreux signaux, quand on a repéré nos ennemis, ils étaient déjà au-dessus de nous.
On voit les militaires de la cité tirer sur les darts qui volent au dessus d’Atlantis.
COLONEL EVERETT: Le colonel Marshall Sumner était un de mes meilleurs amis. Vous avez admis avoir tiré le coup de feu qui lui a coûté la vie.
TEYLA : Les Wraiths ont débarqué sur Atlantis.
DR WEIR : Les Wraiths lancent une nouvelle attaque.
On voit des vaisseaux Wraiths en train de tirer.
SHEPPARD: Le jumper pourrait s’en approcher en mode furtif et les faire exploser.
COLONEL EVERETT : Vous êtes volontaire pour une mission suicide ?
DR WEIR : Vous devez rester !
SHEPPARD : Je dois faire mon devoir et vous le savez.
Un jumper sort du hangar par le toit.
Everett se bat contre un wraith et perd une de ses armes. Avec l’autre, il se met à tirer sur son ennemi sans grand effet.
DR WEIR : Teyla ! J’entends des coups de feu, qu’est-ce qui ce passe ? Teyla !
Un dart libère une dizaine de Wraiths sur une des terrasses de la cité Atlantis, juste devant Ltd Ford et son équipe.
DR WEIR : Autodestruction activée.
SHEPPARD : L’arme est enclenchée. Tout est prêt. J’avance vers eux.
Maintenant
On se retrouve sur une des terrasses de la cité où l’équipe de Ford est opposé à un groupe de Wraiths.
LTD FORD : Tirez dans le tas !!!
Le carnage fait rage des deux côtés. Alors que les balles affaiblissent les Wraiths, ceux-ci se déchaînent grâce à leur puissante force. Ford se défend très bien et parvient à tuer plusieurs Wraiths, mais l’un d’entre eux le surprend par derrière et commence à l’étrangler au bord du pont. Un de ses soldats, très mal en point sur le sol, prend une grenade qu’il dégoupille. Au même moment, le Wraiths colle sa main sur la poitrine du lieutenant Ford et commence à lui aspirer la vie. Ford sort un couteau de sa poche, mais la grenade explose. Le Wraith et Ford tombe dans l’océan, toujours collés l’un à l’autre.
Sheppard est dans le jumper et arrive près du vaisseau ruche.
DANS LE JUMPER
COLONEL CALDWELL: (A la radio) Major Sheppard, désactivé votre occulteur immédiatement.
SHEPPARD : (A la radio) Quoi ? Dites-moi déjà qui vous êtes.
COLONEL CALDWELL : (A la radio) Code d’authentification Alpha Charlie 1, désactivé l’occulteur tout de suite.
Sheppard s’exécute.
SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS
RODNEY : Détonation dans 5, 4, 3, 2 …
CHUCK: La cible a été neutralisée.
DR WEIR : Il a réussi.
RODNEY : Ouais… Il a réussi.
CHUCK: Dr Weir, un autre vaisseau arrive.
DR WEIR: Un autre vaisseau ruche ?
CHUCK: Négatif, il s’est identifié.
SHEPPARD: (A la radio) Atlantis, ici Sheppard.
DR WEIR : (A la radio) John ?
SHEPPARD : (A la radio) Vous connaissez d’autres Sheppard ?
DR BECKETT: Il est extraordinaire !
RODNEY: (A la radio) Ça alors, on a vu le vaisseau ruche explosé pourtant !
COLONEL CALDWELL : (A la radio) Croyez-moi Docteur Mac Kay, le major Sheppard est sain et sauf.
DR WEIR: Qui est-ce ?
PASSERELLE DU DEDALE
COLONEL CALDWELL : (A la radio) Colonel Steven Caldwell aux commandes du Dédale. Nous venons vous porter assistance.
SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS
RODNEY: Ahhhhhhhhhh c’est un miracle.
DR WEIR : (A la radio) Nous sommes heureux d’entendre ça colonel.
Autodestruction annulée.
DR WEIR : (A la radio) Et je suppose que c’est à vous que nous devons la survie du Major Sheppard ?
PASSERELLE DU DEDALE
COLONEL CALDWELL : (A la radio) Je vous écoute depuis notre sortie de l’hyper-espace, mais on ne pouvait pas le téléporter avant qu’il est désocculté son jumper.
SHEPPARD : (A la radio) Je ne me suis pas fait prier.
COLONEL CALDWELL: (A la radio) Docteur Mac Kay ?
SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS
RODNEY: Euh ! Oui colonel, présent !
COLONEL CALDWELL: (A la radio) Vous serez sûrement quoi faire de ceci.
Deux hommes sont téléporter sur de la cité. L’un d’entre eux porte une caisse contenant l’E2PZ.
UN MILITAIRE: Votre E2PZ, monsieur.
Toute l’équipe SGA est ébahie, et Mac Kay se précipite vers l’objet.
DR BECKETT: Comment ils ont fait ?
RODNEY: Le dédale bénéficie de la technologie des Asgards, et la téléportation y tient une place fondamentale. J’imagine qui…
PASSERELLE DU DEDALE
SHEPPARD : (A la radio) Rodney, qu’est-ce que vous diriez de réactivé le bouclier ?
SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS
RODNEY: Oui, excellente idée !
DR WEIR : (A la radio) Nous avons encore des Wraiths partout dans la cité.
PASSERELLE DU DEDALE
COLONEL CALDWELL: (A la radio) Dès qu’on aura éliminé le deuxième vaisseau ruche, on viendra vous aider. Terminé.
PILOTE DU DEDALE : Des attaquants ennemis, mon colonel. Position 3 2 0.
COLONEL CALDWELL : Canons latéraux avant tenez-vous prêt. Décollage de tous les chasseurs.
Le combat s’engage entre les Wraith et le Dédale.
* * * * * * * * * * * * * * GÉNÉRIQUE STARGATE ATLANTIS * * * * * * * * * * * *
TERASSE D’ATLANTIS
Le colonel Everett tente de tuer un Wraith mais celui-ci commence à aspirer sa force vitale. Heureusement pour lui, il est abattu par un militaire qui se trouve couché au sol.
SUR LE DEDALE
DR NOVAK : (A la radio) Colonel Caldwell ? Ici, Novak, votre ingénieur en chef.
COLONEL CALDWELL : Oui, j’écoute.
NOVAK : Hermiod tient à vous rappeler, que notre bouclier résistera beaucoup moins bien aux feux ennemis, maintenant que l’E2PZ n’est plus relier à notre système alimentation.
COLONEL CALDWELL : J’en suis bien conscient Dr Novak, terminé.
PASSERELLE DU DEDALE
COLONEL CALDWELL : Major, quelle partie du vaisseau ruche vous me conseillez de viser ?
SHEPPARD : Une de leur plate forme d’envole.
COLONEL CALDWELL : Pour favorisez les explosions collatérales
SHEPPARD : C’est à ça que je pensais, mon colonel.
COLONEL CALDWELL : Armez deux missiles de type Mach8. Notre cible est notre la plate forme d’envole principale.
PILOTE DU DEDALE : Les missiles sont armés. Cible verrouillé, mon colonel.
COLONEL CALDWELL : Feu !
SHEPPARD : Ils n’ont même pas effleuré leur vaisseau.
COLONEL CALDWELL : Pilote, dirigez vous vers la cible à puissance maximum.
PILOTE DU DEDALE : Puissance maximum.
COLONEL CALDWELL : Il faut se rapprocher deux.
SHEPPARD : Les Asgards ont bien voulu vous donner l’hyper-navigation et le bouclier, mais pas une seule arme offensive ?
COLONEL CALDWELL : Ils évitent de procurer aux autres races, des armes qui pourraient les menacer.
SHEPPARD : Je croyais que c’était des alliés ?
COLONEL CALDWELL : C’est grâce à eux que nous avons pu vous téléporter. Préparez deux autres missiles Mach8.
SHEPPARD : Gâchez des munitions, vos missiles sont interceptés à plusieurs kilomètres de la cible.
SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS
RODNEY : J’ai déclenché le sous-programme du bouclier. A mon signal vous aurez juste à taper le...
ZALENKA : Oui, oui, dépêchez vous, voyons.
Zalenka prend la place de Rodney à l’ordinateur et Rodney prends la caisse ou se trouve l’E2PZ, et découvre l’escorte qui lui a été attribué.
RODNEY : Hé, hé, attendez, c’est ça mon escorte de protection ?
DR WEIR : Nos troupes sont déployées pour faire face aux assaillants.
RODNEY : Bon, d’accord. Si jamais nous sommes attaqués, vous devrez me protégé au péril de votre vie.
DR WEIR : Rodney !
RODNEY : Enfin je voulais dire l’E2PZ, vous devrez à tout prix protégé l’E2PZ, et moi. Je n’ai pas raison ?
CHUCK : Dr Weir ?
DR WEIR : Oui.
CHUCK : J’ai perdu tout contacte avec plusieurs équipe.
DR WEIR : Les quelles ?
CHUCK : Je n’arrive pas à joindre l’équipe du capitaine Radner, ni celle de Teyla, ni celle du lieutenant Ford.
DR WEIR : Essayez encore.
PASSERELLE DU DEDALE
SHEPPARD : ça fait déjà deux échecs. Vous en avez combien des missiles comme ça ?
COLONEL CALDWELL : Il suffirait d’un passer un seul.
SHEPPARD : C’est possible de leur envoyer une ogive avec le téléporteur qui m’a sorti du Jumper ?
COLONEL CALDWELL : Les Asgards ont pensés à ça, major, une sécurité intégrée au système empêche de l’utiliser pour expédier ce type d’arme.
SHEPPARD : Mais vous avez un Asgards à bord du vaisseau. Pourrait-il déjouer cette sécurité ?
COLONEL CALDWELL : Pourquoi ferait-il ça ?
SHEPPARD : Il aurait une bonne raison, c’est qu’il risque ça peau autant que nous, ici.
COLONEL CALDWELL : (A la radio) Novak, voyez avec Hermiod, comment effectuer un transport de matériel vers un site localisé sur le vaisseau ennemi.
NOVAK : (A la radio) Non, non, non, Colonel je crois qu’ Hermiod, ne va pas aimer ça.
COLONEL CALDWELL : (A la radio) Exécution, docteur Novak. C’est un ordre.
CITÉ D’ATLANTIS
Au sein d'Atlantis, McKay et son équipe progressent dans les couloirs, mais ils tombent sur deux Wraiths.
RODNEY : C’est là qu’il faut entrer.
Les militaires avancent discrètement et se cache derrière des caisses et communique par signes.
RODNEY : C’est veut dire quoi, ce truc là ? Où je dois aller ? Je suis très fort pour me planquer. Peut-être que je pourrais...
Un des deux militaires tire sur un Wraith, ce dernier s’effondre au sol. Les coups de feu qui ont été tiré, ont averti un deuxième Wraith.
UN DES DEUX MILITAIRES : La voie est libre.
Rodney sort de sa cachette.
UN DES DEUX MILITAIRES : Non, vous restez ici !
RODNEY : Quoi ?
Malheureusement, pour McKay un autre Wraith arrivent et paralysent les soldats, McKay se retrouve seul et tente de faire feu avec son pistolet, en voulant tirer, il laisse s'échapper le chargeur... Il n’a plus d’autre choix que de lancer un appel de détresse via sa radio.
RODNEY : Alors ! C’est ça que vous voulez, hein ? Il n’y a plus que moi. Bon très bien. Vous allez voir. Tenez, vous voulez goûter à ça ? Ici, McKay je me suis mis dans le pétrin !
Teyla intervient juste à temps pour le sauver.
TEYLA : Docteur, McKay, ça va aller ?
RODNEY : Teyla ! Tout le monde a cru que...
TEYLA : Ma radio est HS et j’ai été séparé de mon groupe. J’ai eu du mal pour revenir jusqu’ici.
RODNEY : Quelle chance, j’étais persuadé que ma dernière heure...
TEYLA : Votre courage m’a impressionné.
RODNEY : C’est vrai ? C’est un E2PZ.
TEYLA : Oui, je vois.
RONDEY : Il faut que j’aille activer le bouclier.
TEYLA : Vous savez où c’est ?
RODNEY : Bien sûr...heu... Après vous.
SUR LE DEDALE
DR NAVAK : Voilà, j’ai réglé le chronométrage pour le déclenchement sur 5 secondes. Ça vous convient comme délais ?
HERMIOD : 5 secondes, est un délai plus que suffisant.
DR NOVAK : Hermiod, je sais que c’est contrariant pour vous d’utiliser votre technologie ainsi, mais vous savez bien que...
HERMIOD : Je suis prêt.
DR NOVAK : (A la radio) Colonel ? Hermiod est prêt à envoyer une ogive par téléportation. Mais croyez moi, il va le faire sans le moindre enthousiasme.
COLONEL CALDWELL : (A la radio) Oui, j’en prends bonne note, Novak. Sommes-nous à porté de téléportation ?
PILOTE DU DEDALE : Oui, mon colonel.
COLONEL CALDWELL : ( A la radio) Envoyez l’ogive dés que vous êtes prêtes.
NOVAK : Je suis prête... 5 – 4, l’ogive à été envoyée.
Hermiod, qui n’a pas l’air content, murmure des mots en Asgards. Entre temps l’ogive a explosée, détruisant le dernier vaisseau Ruche.
SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS
CHUCK : Cible atteinte, le dernier vaisseau ruche a été neutralisé.
PASSERELLE DU DEDALE
COLONEL CALDWELL : (A la radio) Novak, laissez la téléportation d’une autre ogive pour éliminer les croiseurs, maintenant.
SHEPPARD : Regardez mon colonel.
PILOTE DU DEDALE : Mon colonel, les croiseurs ont prit la fuite dans hyper-espace.
COLONEL CALDWELL : Vu ce qu’ont n’a pas à leur dernier vaisseau ruche, c’est compréhensible.
SHEPPARD : Il reste un grand nombre de Dart.
COLONEL CALDWELL : Allez on va nettoyer tout ça.
PILOTE DU DEDALE : Colonel, les Wraiths se regroupent.
COLONEL CALDWELL : Canons latéraux, attention tenez vous prêt pour un tire de défense.
SHEPPARD : Ce n’est pas nous qu’ils vont attaquer.
PILOTE DU DEDALE : Le major Sheppard à raison, mon colonel. Leur formation, se dirige vers Atlantis.
SHEPPARD : (A la radio) Elisabeth, vous avez un sérieux problème.
SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS
DR WEIR : Cela ne nous a pas échappé, major.
SHEPPARD : (A la radio) On va tenter une interception, je ne sais pas si on arrivera à temps.
CHUCK : Aucune chance, contenu de leur vitesse.
ZALENKA : Il faut craindre le pire. Il représente une menace balistique.
DR WEIR : ça signifie quoi en terme clair ?
ZALENKA : La vitesse d’impact sera certainement supérieure à 10 000 Km à l’heure. Aucune zone de la cité ne pourra résister à ça.
PASSERELLE DU DEDALE
SHEPPARD : (A la radio) Activé le bouclier, on discutera après.
SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS
DR WEIR : Il nous reste combien de temps.
ZALENKA : 45 secondes.
DR WEIR : (A la radio) Rodney, il faut absolument activer le bouclier dans les 40 secondes sinon on n’est mort.
SALLE DU GENERATEUR
RODNEY : (A la radio) Vous plaisantez, j’espère ?
DR WEIR : (A la radio) Non !
SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS
RODNEY : (A la radio) Ah, bon... je crois que c’était un test pour savoir jusqu’ou on peut aller avant que je craque.
DR WEIR : (A la radio) Faites vite Rodney !
SALLE DU GENERATEUR
RODNEY : (A la radio) Je crois que c’est bon. Activez le bouclier.
Il insère le E2PZ et tente de l'activer mais rien ne fonctionne.
SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS
DR WEIR : (A la radio) ça n’a rien donné.
SALLE DU GENERATEUR
RODNEY : (A la radio) Quoi ?
TEYLA : ça n’a rien donné.
RODNEY : Je sais, elle vient de le dire.
DR WEIR : (A la radio) 20 secondes.
RODNEY : (A la radio) Bon, ça y est, je craque ! Voilà, vous êtes contente, maintenant ?
SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS
DR WEIR : (A la radio) Rodney.
Rodney appuie alors sur l’E2PZ, celui-ci descend dans son enclave.
RONDNEY : (A la radio) Attendez ! Essayez encore.
SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS
ZALENKA : ça y est.
Le bouclier se met en place, la cité est enfin protégée, les darts, s’écrase sur le bouclier de la cité. Le major Sheppard essaye de contacter Atlantis.
PASSERELLE DU DEDALE
SHEPPARD : (A la radio) Atlantis, ici Sheppard... Répondez... Atlantis.
SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS
SHEPPARD : (A la radio) Elisabeth, je répète, ici, Sheppard. Quelle est votre situation ?
ZALENKA : Les explosions ont sans doute interrompus les transmissions radios.
DR WEIR : (A la radio) Nous sommes toujours là. C’est tout ce que je peux vous dire pour l’instant.
PASSERELLE DU DEDALE
SHEPPARD : (A la radio) Evitez de me faire peur comme ça...
DR WEIR : (A la radio) Désolé, la flotte des Wraiths est toujours une menace ?
COLONEL CALDWELL : Les derniers croiseurs se sont retirés de la bataille.
SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS
DR WEIR : (A la radio) Merci, colonel. Merci à vous tous.
PASSERELLE DU DEDALE
COLONEL CALDWELL : (A la radio) Heureux d’avoir été utile, on reste en orbite géo synchronisé, pour m’instant. Avez-vous besoins de notre assistance ?
SALLE DE CONTRÔLE D’ATALANTIS
DR WEIR : (A la radio) Un certain nombre de Wraiths sont présent dans la cité.
COLONEL CALDWELL : (A la radio) Je vous envois de l’aide. Fin de communication.
PASSERELLE DU DEDALE
COLONEL CALDWELL : Major, Sheppard. Vous devez être impatient de retourner sur Atlantis.
SHEPPARD : Oui, mon colonel. Merci beaucoup.
COLONEL CALDWELL : Il n’y a pas de quoi. Allez-y.
SALLE DU GEGERATEUR D’ATLANTIS
DR WEIR : (A la radio) Rodney, vous pouvez prendre votre après-midi.
A cette nouvelle, McKay s’allonge au sol.
RODNEY : Ahhh, je n’ai qu’une envie, c’est de m’affaler sur mon lit... Avec le plus grand sandwich que je pourrais trouver.
TEYLA : Si je rencontre des Wraiths, qui se promène sur la base, je leur dis de revenir plus tard, que vous avez un coup de fatigue.
Rodney se relève aussitôt.
RODNEY : D’accord...
Sheppard et une équipe de sécurité sont téléportés en salle d’embarquement
SHEPPARD : Sécurisez l’accès à la porte des étoiles. Heureux d’être de retour.
Elisabeth vient à la rencontre du major Sheppard et se jette dans ses bras, ravie de le voir de nouveau parmi eux.
DR WEIR : Heureuse de vous revoir. J’ai cru que cette fois ci...
SHEPPARD : Oui, oui, j’ai cru la même chose à propos de vous, il y a un instant. On devrait arrêter de se faire peur.
DR WEIR : Oui, ça suffit comme ça.
SHEPPARD : Alors dites-moi un peu où on n’en est ?
DR WEIR : La plupart de nos détecteurs, sont hors services, mais nous savons qu’un certain nombre de Wraiths se trouvent encore dans la cité.
SHEPPARD : Bon, il reste du boulot.
DR WEIR : Avant que vous fassiez quoi que ce soit, le colonel Everett, voudrait vous parler. Vous le trouverez à l’infirmerie.
A L’INFIRMERIE
SHEPPARD : Nous avons neutralisés les vaisseaux ruches, activé les boucliers et nous avons envoyés la plupart des soldats disponible à la recherche des Wraiths qui seraient resté planqués.
COLONEL EVERETT : Excellent travail, major.
SHEPPARD : Merci, mon colonel.
COLONEL EVERETT : Je vais être évacué dans pas longtemps avec un groupe de blessés... avant de m’en aller, je veux finir notre conversation.
SHEPPARD : Oui, mon colonel.
COLONEL EVERETT : Je vous dois des excuses.
SHEPPARD : Non, bien sûr que non, mon colonel.
COLONEL EVERETT : J’ai bien réfléchi, je crois pouvoir vous dire... j’aurais agit comme vous, je comprends ce que vous avez fait, quand vous avez trouvé le Colonel Sumner. Je voulais que vous le sachiez.
SHEPPARD : Ne vous inquiétez pas à ce sujet, mon colonel.
COLONEL EVERETT : Ce que j’essayais de vous dire... c’est que j’aurais voulu que vous fassiez pareil pour moi.
SHEPPARD : Je suis sûr que vous allez vous en sortir, dés que vous arriverez sur la terre.
COLONEL EVERETT : Je n’ai rien d’autre à ajouter. Remettez vous au travail.
SHEPPARD : A vos ordres.
DANS LA CITE
ZAKENKA : Selon nos premières estimations, on n’a perdu 40 personnes, peut-être d’avantage. Tous les signes de vie, n’ont pas été encore attribués à des personnes.
SHEPPARD : Aucun signe de vie venant d’un Wraith ?
ZALENKA : Le dernier était piégé dans une des zones les plus profondes de la cité. Il est mort en essayant de faire exploser une grenade à un endroit stratégique.
DR WEIR : Trois de nos hommes ont été blessés, mais ils ont pu éviter une grave inondation.
SHAPPARD : Et vous avez réussi à localisé le lieutenant Ford, Zalenka ?
ZALENKA : Heu... je regrette, non... on l’a cherché partout dans la cité, sans aucun résultat. Peut-être que les Wraiths l’ont téléportés dans un de leur Dart.
SHEPPARD : Ce n’est même pas une hypothèse, pour l’instant ?
ZALENKA : Major, excusez moi, mais on n’a cherché dans les moindres recoins.
SHEPPARD : Et à l’extérieur de la cité aussi ?
ZALENKA : Je ne comprends pas ?
SHEPPARD : Elargissez vos recherches, il est peut-être dans l’eau.
ZALENKA : Même si cela était le cas... il n’y aucune chance...
SHEPPARD : Je ne vous demande pas d’aller le récupérer à la nage, mais de taper sur quelques boutons. Ce n’est pas compliqué.
ZALENKA : Même si vous avez raison, je doute qu’il soit encore en...
Zalenka augmente alors la portée des détecteurs et signal apparaît sur l'écran.
ZALENKA : C’est insensé...
DR WEIR : (A la radio) Colonel Caldwell ? Un de nos hommes est dans l’océan, derrière le bouclier. Pouvez-vous le téléporter ? D’abord dans votre vaisseau, puis dans notre infirmerie.
Le Dédale se cale sur le signal du lieutenant Ford, le téléporte sur le vaisseau, puis ensuite à l'infirmerie.
LE DEDALE
NOVAK : (A la radio) Atlantis ? Ici le docteur Novak, sur le Dédale. Prévoyez des hommes armés avant qu’on téléporte votre homme.
DR BECKETT : (A la radio) Des soldats sont présent, docteur, vous pouvez y aller.
Le lieutenant Ford est téléporté à l’infirmerie, mais il n’être pas seul, il est attaché au Wraith qui a essayer de prendre sa force vital.
A l’INFIRMERIE D’ATLANTIS
DR BECKETT : Dieu du ciel. Séparons-le de cette horreur.
SHEPPARD : Comment va-t-il ?
DR BECKETT : Je lui ai donné un léger sédatif, pour qu’il puisse dormir. Il devrait être mort.
SHEPPARD : C’est un dur à cuire, ce môme.
DR BECKETT : Ce n’est pas ça que je voulais dire. Il est resté la tête sous l’eau dans un océan glacial pendant plus d’une heure. Je m’en fiche qu’il soit un dur à cuire.
DR WEIR : Qu’est ce que ça signifie ?
DR BECKETT : Nos connaissances sont encore très limitées, mais durant le processus d’alimentation, les Wraiths injectent une enzyme spéciale à leur victime, cette enzyme renforce la résistance du corps humain et permet au cœur de continuer à battre.
SHEPPARD : Pourquoi nous rendrais-t-il plus résistant ?
DR BECKETT : Il veule éviter que leur victime meurt tout de suite, leur façon de nous dévorer est si effroyable, que s’il n’injectait pas cette enzyme, on fermerait le rideau avant qu’il ne soit rassasié.
DR WEIR : Il renforce notre organisme, afin de pouvoir nous tuer sans précipitation.
DR BECKETT : Oui, exact. Sympathique, non ? Dans la plupart des cas l’enzyme est libérée dans le sang très lentement pendant le processus d’alimentation... là j’en suis réduit à supposer que le Wraith est mort avant d’avoir fini et que l’enzyme a envahi tout l’organisme du lieutenant Ford.
DR WEIR : Ce serait la raison pour la quelle il a pu survivre dans l’eau aussi longtemps.
DR BECKETT : Je pense, oui. Le problème c’est que l’enzyme est entrain de se diluer dans son organisme, d’ici peut il en aura plus, c’est certain.
SHEPPARD : Très inquiétant.
DR BECKETT : Soyons clair, ça m’étonnerait qu’on puisse le maintenir en vie. Son corps ne pourrait sans doute plus fonctionner, s’il était privé de cette enzyme.
DR WEIR : Qu’est ce que vous proposez ?
DR BECKETT : Un sevrage progressif devrait permettre de rétablir son équilibre chimique.
SHEPPARD : Alors il va falloir se procurer une réserve de cette enzyme.
DR BECKETT : Ouais... avec votre permission Dr Weir, je vais en récolter à la morgue sur les cadavres de Wraiths... C’est un peu lugubre, je sais, mais...
RODNEY : (A la radio) Elisabeth, Major Sheppard.
DR WEIR : (A la radio) Bon, faites ce qu’il faut... Oui, Rodney.
RODNEY : (A la radio) On n’a une urgence là haut.
DR BECKETT : Je vous tiens au courant.
SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS
SHEPPARD : Vous ne croyez pas que vous devriez dormir un peu, Rodney.
RODNEY : J’ai bien essayé, mais quelqu’un a tenu à me monter que les détecteurs intersidéraux re fonctionnait.
DR WEIR : Oui et donc ?
ZALENKA : On n’a repéré douze autres vaisseaux ruches en progression dans hyper-espace.
RODNEY : Contenu de leur trajectoire et de leur vitesse. Ils seront ici, dans 36 heures.
SALLE DE REUNION D’ATLANTIS
COLONEL CALDWELL : Vous avez dis 12 vaisseaux ruches ?
SHEPPARD : Les croiseurs qui ont prit la fuite, ont fait une demande de renfort, j’imagine.
RODNEY : Nos recherches ont démontrées qu’il y avait au moins 60 vaisseaux ruches dans cette galaxie. Je me demande combien ils vont nous en envoyer ?
SHEPPARD : Heureusement que le bouclier est activé.
RODNEY : C’est une protection temporaire...
SHEPPARD : Ça nous laissera le temps de réfléchir.
RODNEY : Oui, je suis d’accord, mais le premier siège d’Atlantis a duré des années, d’après les archives. Avec un seul E2PZ, pas la peine d’espérer tenir aussi longtemps.
COLONEL CALDWELL : Pouvons-nous ré immergé Atlantis ?
RODNEY : C’est une cité, ce n’est pas un yo-yo. Je ne sais même pas comment ils ont fait la première fois.
COLONEL CALDWELL : Ils seront là dans combien de temps ?
DR WEIR : Dans un peu plus d’une journée.
SHEPPARD : Bon, franchement... je commence à en avoir assez.
DR WEIR : Qu’est ce que vous avez dis ?
SHEPPARD : J’en ai marre d’attende sagement qu’ils viennent nous massacrer, on ferait mieux de les attaquer, ça changerait un peu.
COLONEL CALDWELL : Nous avons un seul vaisseau, major.
SHEPPARD : Oui, mais il est équipé d’un bouclier Asgard, du système de téléportation et de tout un arsenal nucléaire. Ça rétablie l’équilibre.
COLONEL CALDWELL : Contre 12 vaisseaux ruches et leurs escortes.
SHEPPARD : Croyez-moi je suis persuadé qu’il faut leur adresser un message, on ne va pas se contenter de les attendre, comme les Anciens. On doit leur monter que s’ils ne font pas demi-tour, on n’a les moyens et la volonté de leur mettre une bonne raclée.
COLONEL CALDWELL : Comment attaquer un vaisseau dans l’hyper-espace ?
RODNEY : Les vaisseaux Wraiths vont plus vite que la lumière, mais ils ont un système moins efficace que l’hyper-navigation. Non seulement ils sont plus lents, mais ils se déplacent par succession de bonds. Donc si mes calcules sont exacts, ils vont faire une dernière escale ici à 50 années lumière, avant d’effectuer leur dernier bond vers Atlantis.
COLONEL CALDWELL : Dr Weir ?
DR WEIR : Ça ferait du bien de les voir en position de défense pour changer.
SHEPPARD : Alors, on va leur monter qui on est.
Le Dédale sort de l'hyperespace.
PASSERELLE DU DEDALE
PILOTE DU DEDALE : Rien sur les radars mon colonel. Aucun contact.
COLONEL CALDWELL : J’espère que nous sommes au bon endroit ?
SHEPPARD : Ils vont bientôt arriver. J’ai appris à faire confiance à Rodney pour ce genre de calcule.
DR NOVAK : J’ai réglé les ogives pour qu’elles explosent une seconde après leur réintégration.
HERMIOD : Ahhhh...
DR NOVAK : Si j’ai bien entendu, ça vous convient ? Restons zen.
BUREAU DU DR WEIR
TEYLA : Ils sont en colère je le sens. Très en colère. Notre succès risque d’encourager les autres mondes, alors ils veulent nous réduire au silence.
DR WEIR : Vous avez senti ça ?
TEYLA : Je vous assure. Les guerriers Wraiths se trouvaient à une telle proximité.
LTD FORD : Excusez-moi de vous déranger.
DR WEIR : Ford.
LTD FORD : Je suis à nouveau opérationnel, madame.
DR WEIR : Le docteur Beckett est d’accord avec vous ?
LTD FORD : Mais oui, je vais très bien.
PASSERELLE DU DEDALE
SHEPPARD : Si on n’arrive à descendre leur premier vaisseau dés qu’ils sortent de hyper-espace, ça leurs mettra les idées en place.
COLONEL CALDWELL : Peut-être qu’ils vont se rendre.
PILOTE DU DEDALE : Colonel, on n’a un contact.
COLONEL CALDWELL : Préparez vous à faire partir les ogives. Bouclier à puissance maximal.
PILOTE DU DEDALE : Bouclier activé.
Les vaisseaux Wraiths sortent de l’hyper-espace.
COLONEL CALDWELL : (A la radio) Dr Novak, ici Caldwell. Faites partir les ogives quand vous voulez.
HERMIOD : Une ogive est verrouillée sur les coordonnées du premier vaisseau ennemi.
DR NOVAK : ça y est je vois. Expédie la première ogive.
C’est un succès le vaisseau ruches explose.
PILOTE DU DEDALE : Cible atteinte.
DR NOVAK : (A la radio) On n’est prêt.
La deuxième Ogive est envoyer et un autre vaisseau explose.
SHEPPARD : Voilà et de deux.
DR NOVAK : C’est une réussite.
HERMIOD : Je vais transmettre de nouvelles coordonnées.
PILOTE DU DEDALE : Les autres vaisseaux ruches ont modifié leur trajectoire.
COLONEL CALDWELL : Foncez droit de dessus.
PILOTE DU DEDALE : A vos ordres.
SHEPPARD : Ils nous prennent de flanc.
COLONEL CALDWELL : Canons latéraux avant, ripostez. Il faut accélérer les envoies les ogives nucléaire, sinon se combat va être vite terminé.
UN MEMBRE DU DEDALE : Maintenez leur trajectoire sous surveillance.
HERMIOD : L’ennemi a lancé des contres mesures, qui bloque nos capacités de téléportation des ogives.
DR NOVAK : Y-a-t-il des moyens contrer, les contres mesures ?
HERMIOD : Non, aucun.
DR NOVAK : (A la radio) Mon colonel, on n’a un problème, ils ont bloqués les téléportation, vers leur vaisseaux, on ne sait pas comment.
PILOTE DU DEDALE : Les émetteurs des boucliers arrière sont réduits à 40 %.
Le dédale commence à souffrir des attaques ennemies et plusieurs circuits grillent. Un membre de m’équipage est touché, Sheppard s’approche de lui pour l’aider.
PILOTE DU DEDALE : Le canon latéral inférieur 2 a été neutralisés.
COLONEL CALDWELL : Moteurs sub-spatiaux à puissance maximal.
PILOTE DU DEDALE : A vos ordres.
COLONEL CALDWELL : Détourner le bouclier endommagé de la rax de tire.
PILOTE DU DEDALE : Mon colonel un croiseur approche sur une trajectoire parallèle à la notre.
SHEPPARD : Ils vont peut-être tenter aborder, c’est la stratégie qu’ils ont employés pour attaquer Atlantis.
COLONEL CALDWELLE : Quel est l’état du bouclier ?
PILOTE DU DEDALE : Il tient à moins de 20%.
COLONEL CALDWELL : Mettez le cap sur Atlantis et enclenché l’hyper navigation.
PILOTE DU DEDALE : Hyper navigation enclenché.
COLONEL CLADWELL : Je déclare la fin de se combat.
Le dédale quitte la bataille.
SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS
COLONEL CALDWELL : (A la radio) Bref, ça n’a pas marché.
DR WEIR : (A la radio) Oui, mais vous leurs avez donné matière à s’inquiéter.
PASSEELLE DU DEDALE
COLONEL CALDWELL : (A la radio) L’avenir nous le dira, mais je doute fort que cette tactique puisse fonctionner à nouveau et le Dédale à été sérieusement touché.
SHEPPARD : Il fallait quand même tenter le coup, mon colonel. Théoriquement nous rejoindrons Atlantis avant eux.
DR WEIR : (A la radio) J’espère bien, on vous laissera une lumière allumée au dessus de la porte.
SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS
DR WEIR : Alors quelle sont les autres possibilités ?
RODNEY : Voyons, on n’a le choix entre, mort lente, mort rapide, mort douloureuse, mort en groupe, mort solitaire...
DR WEIR : Rodney, vous avez dis vous-même qu’on pouvait compter sur le bouclier pour... pour nous laisser le temps de réagir.
LTD FORD : Que puis-je faire d’utile ?
DR WEIR : Lieutenant je crois que...
D’un pas rapide le docteur Beckett arrive, et lui demande ce qu'il fait là.
DR BECKETT : Lieutenant, qu’est ce que vous fichez ici ?
LTD FORD : Je vais mieux docteur, je vous assure.
DR BECKETT : Arrêter, je vous rappel que vous êtes malade !
LTD FORD : Je me sens très bien. Fichez-moi la paix.
DR BECKETT : Je ne vous ficherais pas la paix. Il y a 20 minutes vous étiez à l’article de la mort. Vous devez rester sous surveillance médical, même si vous, vous croyez en pleine forme.
LTD FORD : Je veux me remettre au boulot.
DR WEIR : ça me rassure de vous voir aussi enthousiaste, mais...
LTD FORD : ça va mieux je vous jure... laissez moi vous le prouver. Confiez-moi, n’importe quelle mission.
DR BECKETT : Hors de question.
Le docteur Beckett, saisit le bras du Lieutenant Ford, mais ce dernier se retourne et d’un geste rapide le prend par la gorge, puis le soulève légèrement du sol et le plaque contre la vitre du bureau du Dr Weir.
LTD FORD : Je vous interdis de me toucher !
TEYLA : Lieutenant. Calmez-vous Aiden. Il essaie de vous aider. Reposez-le. Aiden.
Ford descend lentement le Dr Beckett puis le relâche.
LTD FORD : Excusez moi docteur... je ne sais pas...
DR BECKETT : Il faut vous placer sous surveillance médicale.
DR WEIR : Vous devriez l’écouter, on veut savoir pourquoi vous vous sentez aussi perturbé.
LTD FORD : Oui, je retourne là bas.
DR WEIR : Très bien, bonne décision.
LTD FORD : Oui, madame.
DR WEIR : Donnez-lui un sédatif s’il le faut.
DR BECKETT : Oui...
A l’INFIRMERIE
Ford semble endormi sur le lit pendant que le Docteur Beckett, lui fait passer un scanner. Pendant qu’il discute avec le Dr Weir et Teyla, le sédatif ne faisant plus effet le lieutenant Ford ouvre les yeux.
DR BECKETT : L’enzyme provoque des perturbations chimiques dans son cerveau.
DR WEIR : Vous ne pouviez pas le devinez Carson et c’est mieux que de le voir mort.
DR BECKETT : Nous allons prendre le risque de lui infliger un sevrage plus rapide que prévu. Ce sera douloureux et difficile, mais malheureusement je crois qu’on n’a plus le choix. Il est sous sédatif, mais nous devons faire venir des soldats pour le surveiller.
DR WEIR : J’ai placé un garde devant l’entrée.
CHUCK : (A la radio) Docteur Weir, le Dédale demande la permission de se poser sur la digue Est.
DR WEIR : Permission accordée. Je les rejoins là bas.
Le Dédale se pose sur Atlantis.
DR WEIR : Heureuse de vous revoir sur Atlantis Colonel.
SHEPPARD : Les Wraiths, ne sont pas loin derrière nous.
DR WEIR : Je ne m’attendais pas à ce que vous vous posiez.
COLONEL CALDWELL : En attendant d’être réparé, le dédale aura besoins de la protection de votre bouclier.
CHUCK : Dr Weir, les vaisseaux ruches émerge de l’hyper espace.
DR WEIR : Nous arrivons tout de suite.
A L’INFIRMERIE
Le docteur Beckett s’occupe d’un patient, pendant ce temps un militaire surveille. Soudainement Ford se réveille et métrise le militaire en l’assommant avec une tasse qui lui a lancé en pleine tête, puis s‘empare de son arme et menace le Dr Beckett afin d’obtenir de l’enzyme.
DR BECKETT : Ford.
LTD FORD : Ne bougez pas ou je le tue... où avez-vous mis les réserves d’enzymes ?
DR BECKETT : Il n’en reste plus.
LDT FORD : Je vous ais vu en extraire, alors ne mentez pas ! Elles sont où ?
DR BECKETT : Non, mais je ne mens pas.
N’ayant pas eu la réponse qu’il escomptait, Ford tire à côté du Dr Beckett.
LTD FORD : Dites-moi où c’est ?
DR BECKETT : Allons, vous n’avez pas les idées claires.
LTD FORD : Vous avez tous peur de moi.
DR BECKETT : On n’a de bonne raison d’avoir peur. Vous voyez bien ?
LTD FORD : Sans l’enzyme des Wraiths, je vais mourir.
DR BECKETT : Non, Aiden. Vous n’allez pas mourir...
LTD FORD : Ne dites plus un mot !
Ford braque son arme sur un patient afin d’obtenir l’enzyme.
LTD FORD : Donnez-moi ce que je vous demande.
Beckett, n’a plus le choix que de céder à la menace de Ford, il va chercher la dernière poche d'enzyme dans une armoire réfrigérante.
LTD FORD : C’est tout ce que vous avez ?
DR BECKETT : Oui, je vous le jure.
LTD FORD : Lancez le moi. Je vous ais dis de le lancer ! Ne me suivez pas.
SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS
CHUCK : Ils se sont placés en formation.
RODNEY : Poussez-vous, poussez vous.
Les vaisseaux ruches commencent à tirer sur la cité.
MEMBRE DE L’EXPEDITION : Programmez le système de refroidissent de la salle de contrôle. Mettez la ventilation à sa puissance maximale.
RODNEY : Le bouclier résiste au bombardement, mais il est soumit à une tension incroyable.
DR WEIR : Combien de temps résistera-t-il ?
RODNEY : S’ils arrêtaient tout de suite, il tiendrait presque indéfiniment, mais...
DR WEIR : C’est une question de mois, de semaines ?
RODNEY : Non, de jours. L’E2PZ ne pourra l’alimenter que quelques jours à cette cadence.
McKay et Sheppard sont sur la terrasse et observent le bombardement, qui donne une couleur rouge au ciel d'Atlantis.
RODNEY : C’est presque beau, vous ne trouvez pas ?
SHEPPARD : Presque, oui, si on veut.
SALLE DE REUNION D’ATLANTIS
COLONEL CALDWELL : Le dédale sera à nouveau opérationnel d’ici 24 heures, mais une nouvelle offensive échouerait de la même façon.
DR WEIR : Et puis même si on pouvait détruire les vaisseaux qui se trouvent au dessus de nous. D’autres vaisseaux arriveraient quelques jours plupart, suivie par de nouveaux vaisseaux, juste après. Franchement j’ai l’impression que nous n’avons pas la moindre chance...
RODNEY : Maintenant on s’est ce que les Anciens ont éprouvés.
ZALENKA : Atlantis est le seul accès vers la terre, les Wraiths savent que nous sommes ici, ils ne nous laisserons pas en paix.
SHEPPARD : Tant qu’ils savent que nous sommes ici.
DR WEIR : Oui et alors ?
SHEPPARD : Zalenka, vient de dire « Tant qu’ils savent que nous sommes ici, ils ne nous laisserons pas en paix. »
RODNEY : Oui, on n’a entendu aussi.
SHEPPARD : Et s’ils croyaient qu’on n’était plus là...
TEYLA : Il est tout à fait probable qu’ils décideraient de s’en aller.
SHEPPARD : Exact.
RODNEY : De quoi, vous parlez ?
SHEPPARD : De notre disparition.
COLONEL CALDWELL : Vous voulez détruire la cité ?
SHEPPARD : Non, juste faire croire qu’on l’a détruite.
DR WEIR : Mais comment ?
RODNEY : En l’occultant.
ZALENKA : Excellente idée. Bien sûr, en fait les Jumpers sont équipés d’un système d'occultage qui les rend invisible à l’œil nu et indétectable pour les radars des Wraiths. Ça parait assez simple, il suffit de prendre un générateur d’occultage sur un Jumper, il faudra ...
RODNEY : Je ne dirais pas que ça va être simple, c’est vrai, si on interface le générateur furtif de l’un des Jumpers avec le bouclier, on devrait être capable de rendre la cité invisible.
COLONEL CADLWELL : Tout ça est très astucieux, mais je crois que si la cité disparaissait soudain, nos ennemis auraient des doutes.
RODNEY : Non, non, on va faire semblant de nous, autodétruire. Il suffit que le dédale téléporte une bombe nucléaire au dessus du bouclier et la déclenche, pendant que les détecteurs des Wraiths seront aveuglés, nous occulterons la cité et quand la fumé se dissipera...
DR WEIR : Ils verront seulement l’océan.
COLONEL CALDWELL : Vous avez pensez aux radiations mortelles ?
RODNEY : Je vais calculer combien de temps il faudra attendre avant de basculer sur l’occulteur.
ZALENKA : N’oublions pas que ça se déplace les radiations.
RODNEY : On n’a l’émulateur coplanaire, ça ne m’inquiète pas.
ZALENKA : Bon très bien, et pour la partie inquiétante ?
SHEPPARD : De quoi il parle ?
RODNEY : Si on n’applique ce plan, l’occulteur, va remplacer le bouclier, alors évidement, faut savoir que rien ne nous protégera, une fois l’occulteur activé.
DR WEIR : On sera exposé aux feu ennemis, alors.
RODNEY : Oh... oui.
COLONEL CALDWELL : Donc, s’ils ne se laissent pas prendre à notre ruse.
SHEPPARD : Ils vont détruire la cité d’Atlantis, mais laisser moi vous rappeler que c’est ce que nous avions pensé faire au départ.
DR WEIR : Et pour le dédale ?
COLONEL CLADWEELL : En cas d’échec, notre bouclier sera suffisamment rechargé pour que nous puissions entre les vaisseaux des Wraiths et prendre la fuite.
SHEPPARD : Dans ce cas, faisons embarquer sur votre vaisseau les personnes dont on n’a pas vraiment besoins, oui en cas d’échec.
DR WEIR : Je crois que c’est un plan excellent, il me plait beaucoup. Ce qui m’inquiète, c’est que bien sûr les Wraiths savent que nous pouvons occulter Atlantis.
TEYLA : Ils sont tout prêt d’ici, vous savez. J’arriverais surement à me connecter à eux, docteur. Il faudra que je parvienne à les convaincre que nous avons l’intention de détruire Atlantis pour ne pas la laisser tombé entre leurs mains, juste avant l’explosion ne se produise.
DR WEIR : Quel moyen avons-nous de savoir qu’ils nous ont crus ?
SHEPPARD : S’ils stop les bombardements, ça voudra dire qu’ils ont crus.
TEYLA : Il a raison. Si les Wraiths croient que nous avons l’intention de détruire cette cité, ils n’auront surement pas du tout envie de nous aider à y parvenir.
DR WEIR : Combien de temps cela va vous demander ?
ZALENKA : Une semaine
RODNEY : Environ 2 heures.
DR WEIR : La deuxième estimation me convient. Au boulot.
RODNEY : Vous êtes syndicaliste ?
ZALENKA : Environ deux heures.
Alors que les membres d’Atlantis quitte la salle de réunion, pour s’atteler à leur tache respective, le Dr Beckett arrive en courant vers eux.
DR BECKETT : Il s’est évadé.
TEYLA : Evadé ?
SHEPPARD : Qui ?
DR BECKETT : Ford, il a désarmé un marines et il s’est enfuit avec le dernier sachet d’enzyme de Wraith.
SHEPPARD : (A la radio) Ford, ici, Sheppard, répondez. Ford ? Il faut que vous reveniez dans la salle contrôle, on va tous rentrer chez nous.
Le lieutenant Ford, s'injecte de l'enzyme Wraith.
SHEPPARD : (A la radio) Lieutenant, est ce que vous me recevez ?
LTD FORD : (A la radio) Vous avez juste peur de moi, major. Vous avez peur de ce que je risque de faire. Je ne veux même pas vous écouter.
SHEPPARD : Je pars à sa recherche.
DR WEIR : Non, revenez, on s’occupera de lui après.
Rodney et Zalenka sont en pleins travail. Certain membre de l’expédition d’Atlantis sont accueillis à bord du dédale. Pendant ce temps le major Sheppard cherche le lieutenant Ford. La cité quand à elle est toujours bombardée par les tires des Wraiths. Teyla est allongé sur un lit à l’infirmerie, afin de pouvoir se connecter aux Wraiths dans le but de leur envoyer un message.
DR BECKETT : Je vous ramène tout de suite parmi nous, si je sens que se passe mal.
TEYLA : Oui, j’ai confiance.
DR BECKETT : (A la radio) Teyla et moi nous sommes prêt.
SALLE DE CONTRÔLE
DR WEIR : Très bien, on n’est presque prêt aussi. Rodney.
RODNEY : On n’est prêt, on n’est prêt.
DANS LE JUMPER
ZALENKA : Quand vous voulez.
PASSERELLE DU DEDALE
DR WEIR : (A la radio) Colonel Caldwell ?
COLONEL CALDWELL : (A la radio) Vos équipes sont en sûreté à bord du vaisseau. L’ogive est armée prête à partir à votre signal.
DR WEIR : (A la radio) Parfait. Tenez-vous prêts.
DANS LA CITE
Ford et Sheppard continuent leur petit jeu du chat et de la souris.
SALLE DE CONTRÔLE
DR WEIR : (A la radio) Bien, docteur Beckett ?
A L’INFIRMERIE
DR BECKETT : Teyla ?
TEYLA : Je suis prête.
DR BECKETT : (A la radio) Bien, c’est quand vous voulez.
SALLE DE CONTRÔLE
DR WEIR : (A la radio) Allez-y, transmettez leur nos intentions.
A L’INFIRMERIE
Teyla prend une profonde respiration et ferme les yeux afin de se concentrer.
TEYLA : Je suis à bord d’un vaisseau ruche. Ils me voient, ça y est.
Elle se relève brusquement.
DR BECKETT : Teyla ?
TEYLA : Le message a été délivré.
DR BECKETT : (A la radio) Elisabeth, ça y est.
Le bombardement cesse progressivement.
DR WEIR : Visiblement le message de Teyla est passé. Rodney ?
RODNEY : Je crois que je suis prêt.
DR WEIR : Vous croyez ?
RODNEY : Je suis absolument sûr d’être prêt.
DR WEIR : (A la radio) Dédale, lancez votre arme. Mettez-moi, l’inter-com. Toutes les personnes présente sur la base doivent se protégé du flash nucléaire.
RODNEY : Coupez tout !
SUR LE DEDALE
DR NOVAK : Départ de l’ogive nucléaire.
Juste après le lancement l’ogive explose juste au dessus de la cité dans une lumière aveuglante. Quelques secondes plus tard, Rodney rallume son ordinateur.
DR WEIR : Rodney ?
RODNEY : Si on permute sur l’occultage avant que le rayon est diminué, on sera carbonisé, encore cinq secondes.
PASSERELLE DU DEDALE
COLONEL CALDWELL : Soyez prête à enclencher les moteurs subliminiques, à mon signal.
PILOTE DU DEDALE : Oui, mon colonel. A vos ordres.
SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS
DR WEIR : Je suis certaine que cinq secondes se sont écoulées.
RODNEY : On est occulté, ça y est.
DR WEIR : Vous en êtes certain.
RODNEY : Leurs radars ont l’air d’être affolé.
DANS LA CITE
Sheppard se retrouve face à Ford
LTD FORD : J’ai eus plusieurs fois, l’occasion de vous tirer dessus.
SHEPPARD : Et bien, j’apprécie que vous ayez hésité. Je crois qu’on devrait aller, dans un coin tranquille, pour discuter tous les deux.
LTD FORD : Vous voulez me faire redevenir comme avant.
SHEPPARD : Non, j’aimerais juste vous aider, si je le peux.
LTD FORD : Ça m’étonnerait...
SHEPPARD : Imbécile...
Le major Sheppard tire sur Ford avec une arme paralysante Wraith, mais cela n'a aucun effet, le lieutenant Ford s’engouffre dans l’ascenseur et disparait.
SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS
RODNEY : On dirait qu’ils ne nous ont pas détectés.
DR WEIR : Pourquoi, vous parlez tout bas ?
RODNEY : J’en sais rien, ça me semblait judicieux.
DR WEIR : Ça à réussie, oui ou non ?
HANGAR A JUMPER
Zalenka se fait assommé par le lieutenant Ford.
SALLE DE CONTRÔLE D’ATLANTIS
La porte des étoiles s’active.
DR WEIR : Que ce passe-t-il ?
Ford est dans un Jumper et se prépare à franchir la porte des étoiles. Quant au major Sheppard il arrive en salle de contrôle.
SHEPPARD : Où est Ford ?
RODNEY : C’est surement lui dans le Jumper.
DR WEIR : Les Wraiths peuvent détecter ça ?
RODNEY : On va bientôt le savoir.
DR WEIR : Fermez la porte.
RODNEY : Je ne peux pas, le Jumper a pris le contrôle.
Sheppard est descendu en salle d’embarquement afin d’essayer de raisonner le lieutenant Ford.
SHEPPARD : Stop ! Lieutenant Ford, arrêter tout et descendez, c’est un ordre !
Malgré l’ordre donné par le major Sheppard, le lieutenant Ford passe la porte des étoiles.
SHEPPARD : Est-ce que quelqu’un sait où il est allé.
DR WEIR : C’est sans important, si les Wraith ont détectés l’activité de la porte des étoiles.
RODNEY : On va le savoir bientôt.
COLONEL CALDWELL : (A la radio) Ici, le dédale. D’après notre capteur, la flotte des Wraiths a changée d’orbite.
DR WEIR : C’est vrai ?
RODNEY : C’est vrai, je peux le confirmer, ils partent vers l’hyper-espace. Dr Weir je laisse le système d’occultage par sécurité, mais... je crois que ça a marché.
EN SALLE D’EMBARQUEMENT
Sheppard se tient devant la Porte, pensif, Elisabeth le rejoint.
DR WEIR : Sa destination restera dans le fichier mémoire, ça laisse une chance de...
SHEPPARD : Peu importe sa destination, de toute façon je sais dés qu’il va arriver, il va abandonner le Jumper, s’approcher du cadran et composer une adresse, dont il ne restera aucune trace.
DR WEIR : On le retrouvera.
SHEPPARD : Je ne sais pas, peut-être.
DR WEIR : Hé, au moins on est encore là pour essayer.
SHEPPARD : C’est vrai.
Alors que l’épaisse fumée de l'explosion nucléaire se dissipe peu à peu dans l’air, la cité d’Atlantis ré apparait.
FIN