Le maitre du jeu
Sur Terre
Homme : Rapport des missions terminés.
Hammond : Voici la vidéo ramenée par la sonde autonome depuis P7J-989.
Femme : Atmosphère, température et radioactivité sont à un niveau idéal.
Jack : Teal'c, vous avez déjà vu ce genre de machin.
Teal'c : Ca ne me semble pas être d'origine Goa'uld.
Daniel : Ca a l'air très sophistiqué.
Sam : Ce monde est une source possible d'information sur de nouvelle technologie. Voir peut être un allié contre les Goa'ulds.
Hammond : A vous de le vérifier colonel.
Jack : A vos ordre.
Sur la planète
Sam : C'est magnifique.
Jack : Ouais. Mais partout où il y a un jardin, il y a des serpents.
Daniel : Y'a des fleurs aussi. Je dirais même qu'il y a beaucoup trop de fleurs.
Sam : J'aime assez ce qu'ils ont fait de cet endroit.
Jack : Et moi, je ne suis pas sur d'aimer ce que cet endroit à fait d'eux.
Daniel : Ils sont humains.
Teal'c : Ils respirent tous.
Jack : Très bien, est ce que l'un d'entre vous à la moindre idée de l'utilité de ces espèces de machines ?
Sam : Ce sont peut être des appareils médicaux. Ou bien une sorte de cocon de survie. Oh, en tout cas, ça dépasse de très loin toute technologie terrienne.
Générique
Coté Jack et Teal'c
Teal'c : Où sommes nous ?
Jack : Euh, aucune idée. Même si l'endroit me dit quelque chose.
Teal'c : On dirait la planète Terre.
Jack : Ouais. Teal'c, vous vous souvenez de ce qui s'est passé ?
Teal'c : Nous explorions P7J-989. Nous avons pénétré sous un dôme de verre dans lequel nous avons subit une attaque.
Jack : Kawalsky ? John ?
John : C'est mon colonel. Et vous pouvez baisser votre arme, capitaine.
Kawalsky : Pourquoi vous avez l'air aussi troublé ?
Jack : Ba peut être parce que je le suis vraiment. Normalement vous devriez être mort tous les deux.
John : Excellent l'humour, Jack. On a toutes les infos nécessaire. Ils gardent Boris ici durant la journée et ils le planquent sous terre la nuit. Ca a été confirmé par le satellite il n'y a aucun sniper. Il y a que deux gardes armés, il n'y a pas de souci. C'est par encore ce coup si qu'on mourra Jack.
Jack : Et pourtant si. Vous allez mourir tout à l'heure. J'ai effectué cette mission en 1982. C'était en Allemagne de l'Est. Nous devions normalement kidnapper un agent russe qui se trouvait dans cette maison, mais ca a très mal tourné.
John : Alors vous êtes prêt capitaine ?
Jack : Non. Non. Tout ça ne peu pas être vrai. C'est du bidon.
John : Et moi je vous dit qu'il n'y a rien de plus vrai. Votre numéro met toute l'unité en danger capitaine alors on y va tout de suite.
Jack : Non. Parce que je suis entrain soit de rêver, soit halluciner.
John : Ca vous semble assez vrai ça, Jack ?
Jack : Et lui, qu'est ce qu'il fait là alors ? Vous trouvez qu'il ressemble à un membre de cette unité ?
John : Thomas fait partie de cette équipe depuis plus longtemps que vous. Maintenant remettez vous les idées en place, on va faire cette mission que ça vous plaise ou non.
Jack : Qu'est ce que ça veut dire ? Qu'est ce qui se passe ici ?
Teal'c : Je suis aussi perplexe que vous.
Jack : Teal'c, vous croyez que … est ce qu'il y a une chance que ces machines qui nous ont maitrisés soit des espèces de … je sais pas moi, de machine à remonter le temps ?
Teal'c : C'est possible. Les Goa'ulds ont depuis toujours voulu manipuler le voyage dans le temps. Peu être une autre race y est elle parvenu ?
Jack : Donc il est possible que ceci soit vrai ?
Teal'c : Vous disiez que cette mission ne s'était pas du tout passé comme prévu.
Jack : Oui.
Teal'c : Peut être que quelqu'un vous donne l'opportunité de réécrire l'histoire.
Jack : D'accord. Au boulot.
John : C'est pas trop tôt.
Jack : Une seconde. Ne commettons pas la même erreur deux fois.
John : De quoi est ce que vous parlez ?
Jack : Sur le toit, il y a un sniper.
John : D'accord. Jolie coup d'œil. En route. Allez, on y va.
Jack : Tenez bon John.
John : Super la reconnaissance satellite. Hein Jack. Prenez soin de Barbara pour moi.
Jack : On se repli. Où est Kawalsky ?
Teal'c : Il était derrière nous, il nous suivait.
John : Vous pouvez baisser votre arme capitaine.
Coté Daniel et Sam
Daniel : Carter, qu'est ce qui s'est passé ?
Sam : Je sais pas.
Daniel : Cette endroit m'est familier. Une petite minute. Une petite minute. C'est le musée d'archéologie de New York. Je suis venu très souvent ici. Vraiment très souvent.
Professeur Jackson : Soyez gentil, faites très attention à cette pièce.
Homme : Entendu professeur Jackson.
Daniel : Non.
Sam : Daniel ?
Professeur Jackson : Amenez le par là, par là.
Femme : Je suis navré, cette zone n'est pas ouverte au public.
Professeur Jackson : Allez y doucement je vous en prie.
Mère de Daniel : Attention, ça balance un peu trop.
Professeur Jackson : Vous pouvez essayer de stabiliser le balancement avant de poser la pierre. Il faudrait arrêter se balancement.
Sam : Daniel, qu'est ce qui se passe ?
Daniel : Non, c'est pas possible.
Professeur Jackson : Doucement, doucement.
Sam : Qui sont ces personnes ?
Professeur Jackson : Allez y délicatement.
Daniel : Ce sont mes parents.
Professeur Jackson : Un peu plus en arrière. Doucement.
Mère de Daniel : Attention. Décalez la sur votre gauche.
Professeur Jackson : Un peu à gauche. Bien, bien, maintenant amenez la par là et commencez à descendre. C'est bon, on y va. Descendez.
Mère de Daniel : Ca balance.
Professeur Jackson : T'inquiète pas. Ca va très bien se placer. Doucement.
Daniel : Non, non.
Mère de Daniel : Un peu plus de niveau. Jack.
Professeur Jackson : Ca va Jack. Vous pouvez descendre.
Daniel : Écartez vous. Ne restez pas en dessous.
Du coté de Jack et Teal'c
Jack : Tout ça est trop vrai. Le moindre détail, tous les protagonistes sont là. Mais pourquoi est ce que je devrai revivre ça ?
Teal'c : Si jamais quelqu'un utilise une technologie aussi avancé pour vous faire revivre le passé je crois que.
Jack : Justement, je vous l'avais dit. C'est du passé, c'est fini, terminé, je ne peux plus le changer.
Teal'c : Ce n'est pas en restant là à ne rien faire que notre situation évoluera.
Jack : Je … Oh, allons-y.
Jack : Mon colonel, on devrait regarder dans la haie.
John : Négatif, on s'en tient au plan capitaine. Allez, on y va. Jack, qu'est ce que vous faites ? C'était pas dans le plan.
Jack : John. Tenez bon John. John.
John : Super la reconnaissance satellite. Hein Jack. Prenez soin de Barbara pour moi.
Jack : On se repli.
John : Vous pouvez baisser votre arme capitaine.
Jack : Qu'est ce que c'est que ce cirque.
John : Assez perdu de temps. La mission doit être bouclé ce soir.
Jack : Non. Qui êtes vous, et qui sont ces gens qui vous accompagnent ?
John : Y'a personne à part nous Jack. Vous êtes entrain de perdre la boule ma parole.
Homme : Vous devez arrêter de discuter et accomplir votre mission. Mais d'abord, permettez moi de me présenter. J'ai l'insigne honneur d'être le maitre.
Jack : Le maitre de quoi ?
Homme : Le maitre de tout ce qui vous entoure, de tout ce qui est, ou de tout ce qui peut être.
Teal'c : Pourquoi voulez vous que nous effectuons cette mission.
Homme : Parce qu'il s'agit là, du souhait le plus profond de votre ami.
Jack : Arrêtez de vous foutre de moi. Ceci est l'opération la plus foireuse à laquelle j'ai pu participer. Qu'est qui vous fait croire que je veux voir mes amis ce faire éternellement tuer devant moi.
Homme : Vous avez toujours souhaité revivre ces instants. Dans le but d'en changer le déroulement.
John : On y va avec ou sans vous Jack.
Jack : Allez y.
John : D'accord. Comme vous voudrez.
Homme : Vous devez les accompagner. Nous vous accordons une chance inespéré de concrétiser ce que vous rêvez de faire depuis tant d'année.
Jack : Je ne peux pas changer le dénouement si vous changez tout le temps les règles.
Homme : Ne souhaitez vous pas sauver les existences de vos amis et de vos camarades ?
Jack : S'ils étaient vrai oui.
Homme : Mais il y a tellement de variante fantastique a essayer. Peut être cette fois ci, pourriez vous tenter une autre approche.
Jack : On va s'asseoir Teal'c. On ne jouent plus, c'est terminé.
Homme : Hum bien bien. Comme vous voudrez.
Teal'c : J'espère que nous prenons le bonne décision, en agissant ainsi.
Jack : Moi aussi.
Du coté Daniel et Sam
Sam : Daniel, je suis désolé que vous aillez du revivre ces instants. J'ai bien pensé à tous ça. On a été capturé par ces choses, ces machine d'accord. Au début quand nous sommes arrivé ici, j'ai cru qu'il s'agissait de machine à remonter le temps. Mais …
Daniel : Oh Sam pour l'amour de dieu. Ne me dite pas que tous ça est vrai.
Sam : Non, je ne crois pas que ça le soit. Des tas de détails vont à l'encontre des théories logique sur le voyage dans le temps. Pour commencer, vous devriez par exemple être redevenu un enfant ou au moins vous voir en enfant. Ce sont des suppositions bien entendu mais je crois que nous devons nous trouver dans une sorte de re-création de votre esprit mis en place par ces machines.
Professeur Jackson : Soyez gentil de faire très attention à cette pièce.
Homme : Oui professeur Jackson.
Professeur Jackson : Amenez le par là. Par là.
Femme : Je suis navré, cette zone n 'est pas ouverte au public.
Sam : Daniel, je ne crois même pas que nous soyons physiquement là.
Professeur Jackson : Allez-y doucement.
Mère de Daniel : Attention, ca balance un peu trop. Allez-y délicatement.
Professeur Jackson : Doucement. Décalez là sur la gauche.
Daniel : Excusez moi.
Mère de Daniel : Oui.
Daniel : Écoutez moi. Vous devez immédiatement sortir.
Professeur Jackson : Danny, s'il te plait retourne dehors.
Daniel : Danny ? Non, non, non écoutez, vous devez immédiatement sortir, parce parce que je me suis fait mal. Je me suis fait très mal, je crois même que je me suis peut être cassé la jambe, je vous demande de venir vous occuper de moi.
Mère de Daniel : Tu n'as pas du te faire très mal puisque tu arrives encore à marcher mon chérie, nous venons dans une minute, laisse nous finir.
Professeur Jackson : Ca va, allez-y Jack.
Daniel : Non.
Professeur Jackson : Vous pouvez commencer à descendre.
Daniel : Non,
Homme : Vite, venez m'aider. Dépêchez vous. Docteur Jackson vous m'entendez ? Répondez. Ils sont inconscients. Aidez moi à soulever la pierre. Levez, levez. C'est trop lourd, allez me chercher des câbles. Dépêchez vous.
Sam : Daniel, dites moi tout de suite si je me trompe, mais je parie que lorsque c'est arrivé, il n'y avait pas tous ces gens autour de vous. Je crois que nous nous trouvons au centre d'une simulation extrêmement sophistiqué, comme une sorte de réalité virtuelle. C'est la seule chose à mon avis qui puisse expliquer ça.
Daniel : A super, donc cette machine a choisi l'un des moments le plus tragique de ma vie pour me le faire revivre.
Sam : Ou bien il s'agit peut être de votre souvenir le plus fort.
Daniel : Il m'a appelé Danny, comme si j'étais toujours un enfant.
Sam : Oui, et c'est très certainement parce que vous étiez encore un enfant quand ça s'est passé. On vous a attribué le rôle de Daniel Jackson enfant dans … dans cette … cette simulation.
Daniel : Je me suis très souvent repassé cette scène, dans le but de savoir si j'aurais pu faire quelque chose afin de l'éviter.
Sam : Voilà. Voilà, c'est à ça que ça doit nous mener. On vous donne une chance.
Le maitre : N'est ce pas magnifique ? On vous offre une chance.
Daniel : Je vous demande pardon ?
Sam : Une chance ?
Le maitre : Une chance de revivre ce moment de votre vie. D'essayer la pléthore variante possible de cette évènement et enfin de voir si vous auriez pu l'empêcher.
Daniel : Mais qui êtes vous ?
Le maitre : Mais je suis le maitre voyons.
Daniel : Euh le maitre de quoi ?
Le maitre : Le maitre de ce qui est, fut et sera dans cet endroit.
Sam : Justement où est on exactement ?
Le maitre : Il me semble que vous le nommez le musé archéologique de New York.
Sam : Non, non, non. Où sommes nous en réalité ?
Le maitre: La réalité se trouve dans les yeux de celui qui regarde non. Vous avez toujours souhaité pouvoir revenir en arrière et agir différemment. Je vous en offre l'opportunité. Alors allez y, remettez les choses en ordre et qu'on en parle plus.
Daniel : Et comment je peux faire ?
Le maitre : Si je vous le disais ce ne serait plus amusant voyons.
Daniel : Amusant ? Non, mais attendez,vous pensez que c'est amusant ça pour moi. Voir cette accident se reproduire encore et encore ?
Le maitre: Il ne saurait y avoir le moindre plaisir s'il n'y avait pas tout d'abord un peu de douleur.
Professeur Jackson : Soyez gentil de faire très attention à cette pièce.
Homme : Oui professeur Jackson.
Professeur Jackson : Allez-y. Amenez la par là. Par là. Amenez la par là et commencez à descendre. Oui allez-y.
Mère de Daniel : Danny ? Qu'est ce que tu veux ?
Daniel : Suivez moi.
Professeur Jackson : Arrête, Daniel Jackson arrête immédiatement tu m'entends. Jack emmenez le dehors s'il vous plait.
Daniel : Non, non non non.
Professeur Jackson : On peut y allez.
Mère de Daniel : Un peu plus de niveau.
Daniel : Non.
Professeur Jackson : Doucement. Ca va, vous pouvez descendre
Daniel : Non, seigneur, non. J'en ai marre, arrêtez moi ça immédiatement.
Le maitre : Pourquoi, vous n'avez pas exploré toutes les options possibles.
Daniel : Oui, mais apparemment mes options sont infini et mes chances de résultats sont nulle. Alors ça suffit maintenant. Je ne veux plus jouer avec vous.
Le maitre : Oh, mais si vous jouerez. Vous jouerez.
Professeur Jackson : Soyez gentil de faire très attention à cette pièce.
Homme : Oui professeur Jackson.
Professeur Jackson : Amenez la par là. Allez-y doucement.
Sam : Daniel, vous voulez que …
Daniel : Non.
Professeur Jackson : Commencez à descendre. C'est bon on y va. Descendez.
Mère de Daniel : Ca balance.
Professeur Jackson : T'inquiète pas, ca va très bien se passer. Doucement.
Le maitre : Vous devez faire preuve d'initiative.
Daniel : Non.
Le maitre : Vous n'allez pas laisser vos parents mourir de cette manière ignoble ?
Daniel : Je vous ai dit que je ne voulais plus jouer.
Homme : Vite, venez m'aider. Dépêchez vous. Docteur Jackson, vous m'entendez ?
Le maitre : Vous êtes une race vraiment très obstinée.
Homme : Aidez moi à soulever la pierre. Levez, levez. C'est trop lourd, allez me chercher des câbles. Dépêchez vous.
Jack : Vous ! Ca va vous deux ?
Daniel : Pour en être tout à fait franc j'en suis pas très sur.
Teal'c : Quel est cet endroit ?
Daniel : Le musée archéologique de New York.
Sam : Enfin nous croyons que c'est plutôt une simulation du musé. J'en suis arrivé à la conclusion qu'on étaient dans un monde virtuel crée à partir de nos esprits ou du moins celui de Daniel.
Le maitre : Vous êtes une race bornée, sans imagination et totalement dépourvu d'esprit ludique. Pourquoi donc refusez vous de vous amuser des opportunités que je vous ai offerte.
Jack : Nous amuser ? Vous pensez que l'on peut s'amuser à regarder ses amis se faire assassiner.
Daniel : Et voir ses parents mourir c'est amusant ?
Le maitre : Je ne comprend pas, je vous offre gentiment la possibilité d'excuser un rêve, revenir sur un évènement du passé pourquoi ne pas saisir cette chance.
Jack : Pourquoi ne pas nous laisser simplement nous en aller ?
Le maitre : Mais pour aller où ? Dites moi ou vous voulez aller. Je peux vous emmener partout où vous possédez un souvenir et partout ou vous pouvez imaginer.
Jack : D'accord. On veut être libre d'aller là où on veux.
Sam : Donc j'avais raison. Nous sommes bien dans un monde simulé.
Le maitre : C'est un monde complètement tiré de vos esprits. Conçu, coordonné et administré par moi même, votre maitre.
Sam : Mais comment ? Comment ça marche ?
Jack : Je me fiche de comment ça marche. Je veux juste m'en aller.
Le maitre : Cela m'est impossible. Les appareils auxquels vous êtes branchés servent à vous nourrir et à stimuler vos sens. Ceux qui sont implanté directement sur vos cerveaux font passer expérience, imagination en dehors ou en dedans de vos tête.
Sam : On est donc pris au piège ? Nos cerveaux sont tous branchés à des ordinateurs pour alimenter une borne d'image.
Le maitre : C'est cela. Et vos esprits sont extrêmement précieux pour mes résidents parce que vous enrichissez et donnez plus de valeur aux nôtres.
Daniel : Attendez une minute. Depuis combien de temps vos résidents sont prisonnier de ce monde virtuel.
Le maitre : Environ un millier de vos années.
Jack : Je vous garanti qu'il est hors de question qu'on passe ici un millier d'année de qui que ce soit.
Daniel : Donc, jusqu'à ce que nous arrivions, vous n'aviez que vos propres esprits et vos propres expériences pour fournir en scenario vos existences virtuel ?
Le maitre : Vous commencez enfin à comprendre.
Daniel : En résumé on est une sorte de logiciel, de software.
Le maitre : Hum.
Daniel : Oui, c'est ça. Imaginez que vous soyez enfermé dans une pièce pendant 1000 ans et que vous ne voyez que 5 films en vidéo. Combien de fois vous pourriez les voir avant d'en avoir plus qu'assez. Imaginez que d'un coup vous en trouviez … quatre de plus.
Sam : Vous utilisez donc nos esprits, notre mémoire, notre imagination, nos rêves comme une sorte de programme télé.
Le maitre : En vérité, je n'ai plus obtenir d'information que de deux de vos esprits, uniquement. L'esprit de cet individu semble se protéger de tout intrusion extérieur. C'est aussi le cas du votre, madame.
Sam : Pardon ?
Teal'c : Peut être à cause du changement que Jolinar de Malk-shur a provoqué dans votre esprit.
Le maitre : Mais n'ayez crainte. Les informations peuvent également circuler vers vos esprits. Vous pouvez aussi profiter de nos aventures et ces deux esprits là on emmagasiné largement assez d'expériences et font preuve d'assez d'imagination pour fournir des années de divertissement pour mes résidents.
Jack : Oh, vous m'en voyez ravi. Mais avec tout le respect que je vous dois, messieurs, mesdames, je me fiche royalement des résidents. Tout ce que je veux, c'est sortir d'ici.
Le maitre : Je suis vraiment navré, mais je ne peux répondre favorablement à votre requête. Et je pense que vous saurez apprécier les différentes aventures que vous vivrez ici.
Daniel : Pourquoi est ce que vous restez enfermé ici ? Vous pourriez sortir dehors, et connaître vos propres expériences ? Vivre de nouvelles expériences ?
Le maitre : Nous ne pouvons pas quitter nos appareils. Le monde extérieur est inhabitable. Il a été empoisonné et profané.
Teal'c : Vous vous méprenez. Votre planète est fertile et très agréable.
Le maitre : C'est vous qui vous méprenez mon cher ami. Notre planète a été détruite par une catastrophe chimique il y a exactement 1022 ans. Nous avons été victime de notre technologie qui s'est développé trop vite, nous ne la maitrisions plus. Seul quelques uns d'entre nous survécurent. Nos corps ayant été placé en capsule de survie.
Sam : Bonnes nouvelles. Votre planète semble s'être régénérez toute seul depuis.
Le maitre : Ceci n'est pas vrai. Je surveille la situation extérieur depuis mes moniteurs.
Sam : Alors vos moniteurs sont surement en panne. Cette planète est magnifique.
Jack : Évidement vous, vous le savez déjà j'en suis sur. La question est, pourquoi ne voulez pas que eux le sachent ?
Le maitre : Les résidents ne peuvent en aucun cas quitter l'environnement. Le monde extérieur est inhabitable.
Jack : De quel droit vous commandez ?
Le maitre : Pardon, je … je comprend pas.
Daniel : Pourquoi est ce vous qui décidez de tout ici. ?
Le maitre : L'environnement est ma création. C'est moi qui l'ai inventé, j'en suis le maitre.
Jack : Donc si vos résidents s'en allaient, vous perdriez toute autorité. Hum. Cet homme ne vous raconte que des mensonges. Il vous retient prisonniers dans … A d'accord. Je vois. Vous les envoyez là où ils ne peuvent entendre la vérité. Bien joué.
Le maitre : Je ne vous permettrez pas d'empoisonner leurs esprits.
Daniel : Euh, si vous nous gardez prisonniers ici, vous ne pouvez pas nous empêcher de leur raconter ce que bon nous semble. En particulier si nous devons leurs servir de divertissement.
Le maitre : Bon très bien. Vous n'étiez de toute façon plus les bienvenus chez nous.
Daniel : Wahou.
Jack : Wahou.
Sam : Ouf, et bien vous ne trouvez pas que ça a été un peu trop facile.
Jack : Oui, c'est vrai. On renter à la maison.
Virtuellement sur Terre
Janet : Ils ont tous des petites traces de piqures sur les tempes, la moelle épinière, et en plusieurs endroit de la zone abdominale.
Jack : Et ça veut dire quoi ?
Janet : Et bien, il semble que les machines que vous décrivez vous ai maintenu en vie. En vous fournissant de l'oxygène, en vous nourrissant et d'après mes toutes première constatation en contrôlant totalement vote système nerveux.
Hammond : Mais y aura t-il des séquelles.
Janet : Non, pas à première vue. Les pupilles se dilatent normalement, les réflexes sont tous à fait correct. Pour moi, tout va très bien.
Daniel : Nous devons retourner sur cette planète, et libérez ces personnes.
Jack : J'ai pas le sentiments que ça soit vraiment nos ognons Daniel.
Hammond : Je suis d'accord. Qui sommes nous pour juger comment une personne d'une autre planète décide de vivre.
Daniel : Mais ces personnes sont dans ces machines sous un prétexte bidon. Le maitre du jeu leur ment sur la réalité du monde extérieur.
Janet : Attendez, si je peux me permettre d'intervenir. Tout les faits montrent à l'évidence que ces machines maintiennent en vie les gens dont vous parlez. Les débranchez reviendraient à enlever à un patient ce dont il a besoin pour survivre.
Hammond : Il me semble que nous avons besoin de plus d'informations pour prendre une décision définitive.
Teal'c : La seul façon d'obtenir plus d'information, c'est de retourner à nouveau dans le monde artificielle de P7J-989.
Hammond : Et c'est exactement ce que je souhaite vouloir faire.
Jack : Euh, mon général, sans vouloir bien évidement vous paraître trop familier vous rigolez ?
Hammond : Il n'est pas nécessaire de vous dire à quel point cette planète peut se révéler précieuse pour nous. Cette technologie est très largement supérieur à la notre, et c'est ce genre d'étude qui justifie le financement de notre programme.
Sam : Mon général, le fait de retourner sur cette planète peu s'avérer très dangereux.
Hammond : Je ne vois en quoi. C'est un environnement artificiel. Risquez vous de mourir là-bas ?
Sam : Nous n'en savons rien.
Jack : Ce qui m'enchanterai encore moins, ce serait de me retrouver prisonnier mon général.
Hammond : Vous vous en êtes déjà sortis une fois.
Teal'c : Il n'existe aucune garantie que nous puissions nous en sortir une seconde fois.
Hammond : Entendu. Voilà ce qu'on fera. Si vous n'êtes pas revenu dans une semaine nous enverrons SG-2 vous tirez de ce mauvais pas. Et puis, ça n'a pas l'air si terrible que ça cette planète. Il me semble même que ce soit une expérience enrichissante et fascinante à vivre.
Jack : Comme par exemple voir des vieux amis …
Daniel : Ou ses parents.
Jack : Ou de la famille mourir à répétition sous vos yeux.
Hammond : Ou aussi voir le major Kawalsky en bonne santé. Et qui sait colonel peut être pourriez vous y voir votre fils. Docteur Jackson, vous pourrez peut être visiter toutes ces civilisations perdues qui vous font rêver. Ou pour aller n'importe où, ou votre mémoire ou votre imagination souhaite se rendre.
Jack : D'accord. Ca suffit. Je voudrai voir un petit truc.
Hammond : Mais qu'est ce que vous faites colonel ?
Jack : Ba j'essaie de voir si vous portez pas un masque ?
Hammond : Pardon ?
Jack : Il est évident que vous n'êtes pas le général Hammond.
Hammond : Asseyez vous colonel.
Jack : Comptez pas la dessus. Pauvre clown. Fini de rire, on vous a reconnu.
Hammond : Mais de quoi est ce que vous parlez ?
Sam : On est toujours sur P3J-989.
Jack : Oui, je suis prêt à parier. Ceci n'est qu'un nouveau jeu mis sur pied par notre petit ami le farceur maitre du jeu.
Hammond : Vous perdez totalement la tète colonel.
Janet : Il s'agit peut être d'une réaction nerveuse du aux machines, il faudrait passer de nouveaux test à l'infirmerie.
Jack : Non, vous devriez nous laissez sortir de ces fichues machines, voilà ce qu'il faudrait faire. Quoi.
Hammond : Colonel, votre insubordination abuse de ma patience. Je vous donne une dernière chance d'exécuter mes ordres et de rejoindre les résidents du monde artificiel.
Sam : Les résidents ? C'est comme ça que les appelles le maitre du jeu.
Hammond : Allez vous y retourner oui ou non colonel ?
Jack : Mais je m'y trouve déjà.
Hammond : Placez SG-1 aux arrêts messieurs. Enfermez à l'écart qu'ils ne puissent parler à personne.
Teal'c : O'Neill, vous semblez convaincu que nous ne sommes pas sur Terre.
Jack : Parce que c'est le cas. Est ce que l'un d'entre vous à reconnu le vrai général Hammond dans ces propos ?
Teal'c : Il me semblait que nous ne pouvions vivre que des évènement passées dans cet environnement ?
Sam : Non, le maitre du jeu a bien spécifié qu'on peut vivre tout ce dont on se souvenait ou que l'on peut imaginer.
Jack : On est toujours sur la planète P7J-989. C'est un environnement fabriqué.
Kawalsky : Est ce que c'est vraiment si moche ? C'est vrai franchement, je ne vous ai même pas un petit peu manqué les gars ? Pourquoi est ce que vous résistez ? Imaginez un peu tout ce qu'on pourrait faire. Docteur Jackson vous devez admettre qu'on rigolaient bien tous les deux. Mon colonel, qui d'autre que moi peut vous mettre la pâté au basket sans que vous y trouviez à redire ? Capitaine Carter, imaginez ce que ça pourrait être de ne jamais vieillir, parce qu'ici on ne vieilli jamais.
Jack : Qui êtes vous ?
Kawalsky : Qui je suis ? Mon colonel, ne me dites pas que vous ne vous souvenez pas de moi ? Ca me vexe. Ah, ça me fait une peine …
Jack : Non, non, non, non. Je sais très bien qui vous prétendez être, mais qui êtes vous en réalité ? Le maitre du jeu ?
Kawalsky : Non, pas moi.
Jack : Quoi alors ? Une espèce de projection ou … parce que vous n'êtes pas vrai. Et si vous n'êtes pas vrai, vous ne m'en voudrez pas.
Jack : Coucou.
Femme : Nous aimerions vous parler.
Femme 2 : S'il vous plait. Finissez ce que vous aviez commencé à nous dire. A propos de ce qui se trouve à l'extérieur.
Teal'c : C'est un monde très agréable dehors.
Femme : Le poison a disparu ?
Femme 2 : La mort n'a pas tout emporté ?
Daniel : Non, au contraire, la planète ne semble pas pollué.
Femme : Comment est ce possible ? Le maitre nous a dit que c'était dangereux.
Jack : Et bien, il vous a menti.
Femme : Pourquoi devrions nous croire ces créatures alors que le maitre s'occupe si bien de nous depuis si longtemps.
Jack : Écoutez moi. Vous venez avec nous, et vous verrez. Bon. Excusez moi.
Daniel : Où est ce qu'on va ?
Jack : Ba on va prendre la porte et leur montrer de quoi leur planète à l'aire. Dans nos souvenir. Avant que la réalité virtuelle nous aient … lâchez moi.
Hammond : Utilisation non autorisé de la porte. Ordre de fermeture. SG-1, vous abusez de ma patience.
Jack : Daniel, suivez moi.
Daniel : Vous croyez que cette fois c'est pour de bon ?
Jack : Hé !
Le maitre : Par pitié, ne me faites pas de mal. Je ne voulais vous faire aucun tort. Comprenez moi, mon peuple commençai à s'étouffer dans l'immobilisme, je voulais uniquement faire le bien.
Sam : Depuis combien de temps vous pouvez sortir dans ce jardin ?
Le maitre : Charmant n'est il pas ?
Jack : Depuis combien de temps ?
Le maitre : Oh, beaucoup, beaucoup d'années.
Daniel : Mais pourquoi mentir à votre peuple ? Pourquoi ne pas leur avoir offert la possibilité de venir ici avec vous ?
Le maitre : Parce que c'est notre race qui a endommagé cette planète de façon dramatique. Et il vont recommencer si jamais je les laisse faire.
Sam : Vous plaisantez ?
Teal'c : Peut être que votre peuple ne commettra pas la même erreur deux fois.
Jack : Hum. Oui, en plus vous êtes un peu spécialiste des secondes chance non.
Le maitre : Je n'ai jamais empêchez quiconque de partir. Les portes tel que celle que vous avez emprunté, il y en a partout ici.
Daniel : Vous voulez dire qu'on pouvait partir quand on voulait. Il nous suffisait d'emprunter une de ces portes ?
Le maitre : Tout le monde peut s'en aller d'ici, toute le portes sont constamment ouverte.
Jack : Encore faut il que les gens sachent qu'elles existent pour les emprunter.
Le maitre : Chose que maintenant vous leur avez montrez.
Sam : Ils ont le droit de savoir qu'ils ont quelque part où aller.
Le maitre : Ce que vous leur avez aussi fait comprendre. Vous avez tout fichu par terre, vous avez souillé leurs esprits. Et le mal est fait.
Femme : Nous vous remercions une nouvelle fois. Vous nous avez offert un nouveau monde de beauté et de futures expériences.
Jack : Vous avez encore pas mal de travail devant vous. Mais nous vous enverrons de quoi commencer à reconstruire.
Le maitre : Ils sont entrain de tout dévaster. J'en ai même vu qui cueillait des fleurs.
Jack : C'est la réalité, cette fois c'est pour de vrai.
Le maitre : Oh, ne cueillez pas les fleurs. Vous êtes entrain de dévaster le jardin. Je l'avais bien dit, ils vont tout dévaster, d'abord le jardin, ensuite ce sera toute la planète.
Daniel et Jack : C'est la réalité.
Le maitre : Vous allez ruiner tout mes efforts.
Jack : Bon, au revoir tout le monde
FIN