LA PLUIE DE FEU
SUR EDORAS
Jack : Alors Liera, quand est-ce-que ça commence ?
Liera : Bientôt, un peu de patience.
Jack : Oh je suis patient, je suis extrêmement patient…c’est pour quand ?
Liera : il est toujours comme ça ?
Teal’c : Très fréquemment.
Jack : Merci Teal’c.
Daniel : Nous n’avons rien vu correspondant à ce que vous appelez une pluie de feu au cours de ces nuits, comment êtes-vous sûr qu’il y en aura ce soir ?
Liera : Ca commence cette nuit tous les ans.
Sam : Oh, la même nuit chaque année ? Ca n’a aucun sens. Je veux dire a moins que la planète traverse un champ de débris comme une ceinture d’astéroïdes dans le cas où…
Jack : Oh, je vous en prie, ne nous gâchez pas le coté amusant .
Sam : Excusez-moi.
Liera : Lorsque j’étais enfant, mon père me disait que la pluie de feu c’était les larmes de nos ancêtres languissant de se retrouver.
Daniel : Une étoile filante ! C’est, c’est comme ça qu’on appelle une pluie de feu à l’endroit d’où nous venons. Il est même de coutume en là voyant de faire un vœu.
Teal’c : Sur Chulak on appelle ça Tal Pak Ryn.
Daniel : Ce qui signifie…étoile filante.
Liera : Qu’en dites-vous Jack ? Ca valait bien un effort ?
Jack : Oui. Oui je suis un passionné de feux d’artifices….Whaou…Carter ? C’est tomber assez près ?
Sam : Assez mon colonel.
Daniel : Quelle taille ?
Sam : Enorme.
Daniel : Je m’en doutais.
Sam : J’avoue m’être posée des questions pendant quelques instants.
Liera : Je ne comprends pas ?
Sam : Je veux dire que c’est tomber vraiment près, si cette météorite avait frappée le sol au lieu de rebondir sur l’atmosphère…
Jack : Et c’est un évènement annuel ?
Liera : Oui, mais de plus en plus spectaculaire tous les ans. D’ici demain soir la totalité du ciel…Qui a-t-il ?
Sam : Je procéderai à des observations au cour de cette nuit.
Daniel : Et moi je consulterai les relevés géologiques demain matin.
Jack : Et moi je vais faire un vœu.
Sam : vous voyez cette tache brillante là, elle représente votre monde, Edoras, il tourne en orbite autour de votre soleil en large cercle comme ça, et puis il traverse une ceinture d’astéroïdes ici, à son point le plus large. Seulement quand vous passez a travers de millions de petits cailloux et de particules certains peuvent frappés l’atmosphère d’Edoras.
Liera : Une pluie de feu.
Sam : exactement, le problème est, qu’une ceinture d’astéroïdes n’est pas uniforme, donc certaines orbites, certaines années doivent traversées un champ de débris qui est plus dense. Vous n’avez pas le souvenir de pluie de feu frappant le sol ?
Liera : Je n’en ai jamais vu de ma vie, et mon père non plus. Mais on raconte que nos ancêtres disaient que le second jour de la pluie de feu, on entendait le tonnerre au loin, et que l’horizon brulait comme si le soleil n’allait plus se lever.
Sam : Et cela remonte à longtemps ?
Liera : A de très très nombreuses années.
Jack : Bonjour tout le monde ! Qui accompagne aujourd’hui Daniel dans sa petite promenade géologique ?
Liera : Garan ???... Garan, va vous conduire aux grottes. Il va de temps en temps là-bas avec une jeune fille mais je ne sais pas pourquoi.
Garan : Maman !
Liera : Bonne journée, portez-vous bien.
Sam : Mon colonel, j’aimerais retourner sur Terre, et mettre en mémoire les résultats de mes observations de hier soir dans l’ordinateur central.
Jack : Allez-y.
Sam : Bonne journée Liera.
Liera : Bonne journée. J’imagine que vous voulez discuter du traité ?...entre nos deux mondes ?
Jack : Oui, oui sa peut se faire.
Daniel : Je pense que le degré d’usure entre les strates de Naquadah est d’environ 150 ans, à peu de choses près, donc …
Garan : C’est quoi Naquadah ?
Teal’c : Une substance minérale.
Daniel : regarde, plus ces strates descendent, et plus nous sommes en train de remonter dans le passé. Ces strates sont différentes, il s’agit de poussière de Naquadah expulsé au cours de certains évènements.
Garan : Cool !... Euh c’est Jack qui dit ça !
Daniel : Oui en effet, mais je ne crois pas que « cool » soit tellement approprié. Vois-tu, quelque chose de semblable s’est produit dans mon monde il y a des millions d’années et à faillit éliminer toute vie.
… : c’est ce qui va se passer ici ?
Daniel : Et bien on sait seulement que sa s’est passé, et c’est quelque chose qui se reproduit tous les 150 ans environs.
Teal’c : Et il semble que se soit justement le nombre d’années depuis le dernier impacte. Je ne ois aucune raisons de cacher la vérité à ses gens Daniel Jackson.
Garan : Et on peut faire quelque chose pour empêcher ?
Daniel : Non.
SUR TERRE
Sam : D’après les observations que j’ai pu effectuée hier soir, l’objet céleste que nous avons vu tomber n’était que le premier d’une centaine d’astéroïdes qui croisent la route d’Edoras, P5C-768. La nuit le ciel en est remplie.
Hammond : On ne peut pas évacuer une planète entière voyons.
Sam : Pour autant que nous le sachions, il s’agit des descendants d’une peuplade amené sur Edoras par les Goa’ulds, il y a des milliers d’années. Il ne peut que se produire des petits impactes localement, si c’est le cas nous les renverrons chez eux dans quelques jours. Si non, nous aurons sauvés de nombreuses vies mon général.
SUR EDORAS
Liera : Peïnan ! Voici Jack.
Peïnan : Il paraît que vous êtes arrivés par l’anneau de pierre ? Pour moi c’est un peu difficile à croire.
Jack : Je me mets à votre place. Sa marche ?
Peïnan : Nous avons ici, tout ce qui nous est nécessaire, nos champs, ses quelques bâtisses, nos enfants, nous n’avons pas besoin d’autres choses.
Jack : nous ne voulons spoiler en quoi que se soit.
Liera : Beaucoup parmi nous sont très curieux de savoir ce que nous avons, et qui peu tellement vous intéresser.
Jack : Vous vous souvenez à quel point Carter était très excité quand nous sommes arrivés ?
Liera : Quelque chose dans notre sol ?
Jack : Un minerais qui s’appel Naquadah. Nous n’en avons pas sur Terre, sa nous rendrai grand service.
Liera : pourquoi ?
Jack : C’est très puissant.
Liera : Et en échange de ce naquadah que vous prendriez dans notre sol ?
Jack : Il y a de nombreuses choses que nous pouvons vous offrir, la médecine, la technologie, l’éducation, et on deviendrait ami.
Liera : Nous sommes déjà amis.
Jack : De plus proche amis.
Liera : Ma mère ma toujours dit de me méfier des hommes qui voulait devenir de plus proches amis.
Jack : Et bien si vous voulez je négocierai ce traité avec votre mère comme ça il n’y aura pas de conflit…
Liera : Je n’ai jamais vu de pluie de feu pendant la journée.
Jack : l’un d’entre vous a vu sa ?
Sam : Ici Carter mon colonel, moi oui. Je crains que ce ne soit que le début.
Daniel : Regardez-ça, c’est un ustensile de cuisine, ce qui veut dire qu’a une époque des gens on passé ici un certains temps.
Teal’c : Peut*être que cette grotte à permis à quelques uns des habitants d’Edoras, de survivre au dernier bombardement de météorites.
Garan : Les ancêtres.
… : Teal’c, Daniel, au village aussi vite que possible !
Teal’c : Bien reçu O’Neill.
Jack : Mes amis je crains que la pluie de feu ne commence dans peu de temps à frapper le sol, et donc par précaution nous souhaitons vous emmenez sur notre planète, tant que le danger n’est pas écarter.
Peïnan : Il n’y à aucun danger.
Sam : Il suffirait qu’une seule grosse météorite tombe à des kilomètres d’ici, pour que l’explosion qui s’en suivrait anéantisse votre village.
Peïnan : Année après années, la pluie de feu tombe puis s’en va sans causer de préjudices. Vous ne comprenez pas ce qu’ils veulent ? Ils veulent qu’on s’en aille pour s’approprier nos terres.
Daniel : Ce n’est pas vrai.
Peïnan : Si vous partez avec eux, vous ne reverrez plus jamais vos terres.
Jack : Oh ce n’est pas possible, faut toujours qu’il y ai un râleur quelque part, vous voulez restez ? Restez !
Liera : J’ai rencontré plusieurs de ces étrangers, et ben que leur monde paraisse éloigné, il est en réalité tout près. Je vais partir avec eux en toute confiance. Ceux qui veulent venir, rendez-vous à l’anneau de pierre. Quant à ceux qui refusent, que les ancêtres les protègent.
Daniel : N’emportez que le stricte nécessaire, il y à largement à boire et à manger la où nous allons.
Jack : Bon allons-y c’est partit on se dépêche.
Liera : Garan ? N’oublie surtout pas la chaine que ton père t’avait donnée. Garan ? Oh non !... Vous n’avez pas vu Garan ?
Jack : Daniel ? Teal’c ? Garan n’est pas revenu avec vous ?
Teal’c : Normalement il devrait être la.
Daniel : Les grottes. Nous parlions des générations précédentes qui avaient survécues en se réfugiant là-bas.
Jack : Bon alors vous trois, aidez tous ces gens à partir d’ici, nous on retrouve les jeunes et on vous rejoints.
Sam : Mon colonel ?
Jack : Allez !
SUR TERRE
Walter : Mon général, c’est SG-1 !
Hammond : les voilà qui arrivent. Dr Frasier, préparez vous à accueillirent les réfugiés.
Janet : A vos ordres !
SUR EDORAS
Daniel : N’ayez pas peur, les autres vont attendrons de l’autre coté.
Sam : Mon général, c’est Carter, on a commencé l’évacuation, où-est-ce que vous êtes ? Mon colonel sa frappe maintenant de tout coté, je vous en prie répondez ! Rien.
Teal’c : Ceux la sont les derniers, les autres ont préférés rester.
Sam : Ils sont combien ?
Teal’c : Un peu près le tiers du village.
Daniel : Quoi ?
Sam : (A Daniel) Il vaut mieux que vous partiez avec les Edorans pour qu’ils soient rassurés, on vous rejoindra. Mon colonel je vous en prie répondez.
DANS LES GROTTES D’EDORAS
Liera : Garan ! Nelta !
Garan : Maman ! C’est ici que nos ancêtres ont survécus, on a apporté de quoi manger et boire…
Jack : Garan ! Il vaut mieux venir avec nous.
Liera : Ahhh.
DEVANT LA PORTE, EDORAS
Sam : Ca commence a devenir trop dangereux.
Teal’c : J’attendrais jusqu’au retour d’O’Neill.
Sam : Il nous appellera dès qu’il sera arrivé ici.
SUR TERRE
Walter : Leur porte est de moins en moins stable.
Sam : Le colonel O’Neill est resté pour aidé des villageois, nous avons attendu jusqu’au dernier moment mon général.
Hammond : Je le sais bien on à même faillit vous perdre.
Teal’c : Mon général, je souhaite repartir tout de suite avec une équipe de recherche.
Sam : Vous ne pouvez pas, la dernière frappe à touchée le sommet de la porte, vous seriez dans un déluge de feu.
Teal’c : Je serais près a prendre le risque.
Hammond : JE ne vous laisserai pas faire.
Sam : On peut attendre 24 heures et renvoyer un Malp.
Hammond : Le major Carter à raison, si cela s’est calmé d’ici demain vous y retournerai ensemble.
SUR EDORAS
Jack : Carte ? Teal’c ? C’est encore dangereux dehors, il ne faut pas bouger d’ici. Une bonne nouvelle, il pleut. Ca devrait éteindre quelques incendies.
Liera : Vous avez pu voir le village ?
Jack : Non. Garan, on devait évacuer.
Garan : Daniel a dit qu’on ne pouvait rien y faire.
Nelta : Nous avons eu peur.
Jack : Moi aussi.
SUR TERRE
Walter : Chevron 6, enclenché. Chevron 7… enclenché. Passage de secours établit.
Sam : Merci mon dieu.
Walter : Parez pour expédition de la sonde.
Hammond : Alors envoyez.
Walter : La sonde devrait rejoindre Edoras dans, 4, 3, 2, 1… On devrait maintenant recevoir la télémétrie. Aucun signal.
… : Environnement pas de télémétrie.
… : Communication pas de télémétrie.
Sam : Alors c’est que la sonde a éé détruite dès qu’elle est passée de l’autre coté, il n’y à pas d’autre explication.
Hammond : Fermez tout.
Walter : A vos ordres.
Hammond : Tant que vous ne m’aurez pas apporté de solutions à ce problème, la mission de sauvetage est annulée. Informez vos visiteurs qu’ils resteront avec nous jusqu'à ce que nous ayons une analyse satisfaisante de la situation.
Janet : A vos ordres.
SUR EDORAS
Liera : Peïnan ?
Peïnan : Liera !
Liera : Oh, ne craignez rien.
Peïnan : Il en est tombé sur la maison de Talhmar. Il y avait trois familles à l’intérieur. Nous sommes les seuls survivants.
Liera : Pourquoi êtes-vous restez ?
Peïnan : Aux troisièmes jours nous n’en pouvions plus, nous sommes partis vers l’anneau de pierre, là où il se trouvait.
Jack : Se trouvait ?
(Là ou se trouvait la porte)
Liera : Disparu ? je ne reverrai plus jamais les autres. Ils ne vont jamais revenir.
Jack : Non.
Liera : Et vous ?
(Dans la maison)
Liera : Grâce ce soir aux dieux ancêtres, nous sommes en vie, nous avons un toit pour nous protéger. Grâce à toi, nos dieux ancêtres pour cette nourriture qui nous permet de survivre.
Peïnan : Voila tout ce qu’il reste de notre peuple, a cause de vous.
Nelta : Ma mère et mon père…
Peïnan : Vous les avez emmenés à travers cette chose, et on ne les reverra plus.
Jack : Cette chose leur a probablement sauvé la vie, et si vous m’aviez écouté quand je vous disais de fuir, vous ne seriez pas dans cette situation.
Liera : Nous sommes ici chez moi, et vous y êtes le bienvenue. Il faut vous nourrir.
Jack : Merci.
SUR TERRE
Walter : Pas le moindre signal radio mon général.
Teal’c : Si la porte des étoiles à en effet bruler, comment le passage de secours à t-il été établie ?
Sam : La météorite à frappé quand le passage était encore actif.
Daniel : ce qui veut dire ?
Sam : Ce qui veut dire qu’il est possible que le Naquadah en fusion se soit solidifié au dessus de la ligne d’horizon.
Daniel : Comme un iris ?
Sam : Oui.
Hammond : Sergent fermez tout.
Walter : A vos ordres.
Hammond : Il s’agissait de notre ultime tentative, il n’y en aura pas d’autre, en conséquence à partir de cet instant je le déclare officiellement disparu en mission.
Teal’c : On peu peut être atteindre la porte autrement.
Daniel : Oui, les Tok’ra peuvent envoyer un vaisseau.
Sam : Ou bien les Tollans !
Daniel : Permettez nous au moins ceux de nos alliés capables de faire des voyages interstellaires, voir si ils veulent bien nous aidés.
Hammond : Très bien essayez.
SUR EDORAS
Liera : J’ai pensez que vous aimeriez avoir une chemise propre, mon mari ne l’a jamais portée, je l’avais faite peut de temps avant sa mort.
Jack : Il est possible que la porte soit seulement endommagée.
Liera : On va devoir tout reconstruire avant les moissons et nous aurons besoin de vous.
SUR TERRE
Hammond : Le passage que vous avez créez pour le Malp, il est évident que dans de telles conditions, il ne permettra jamais de vous rendre de l’autre coté de la porte. On ne peut vaincre un tel obstacle.
Sam : Je ne suis pas de cette avis et je ne suis pas la seule a le pensée. Sokar la fait.
Hammond : Sokar ?
Sam : Oui. Lorsque il à essayer de souffler l’iris en le bombardent avec un rayon à particule. Ces particules subatomiques qui étaient trop petite pour se réintégrée, on produit de l’énergie en s’altérant.
Hammond : ce qui fait que l’iris s’est mis à chauffer.
Sam : Exacte, donc si on faisait la même chose on pourrait atteindre la barrière de Naquadah solidifiée au dessus de l’horizon. Et créer une poche de gaz hyper chauffée.
Hammond : Et ensuite ?
Sam : Et bien il nous suffira de rouvrir la porte des étoiles. Le vortex instable, qu’elle génère normalement, pourrai de cette façon se rependre dans cette poche et créer un passage encore plus large. Une personne pourrait alors traversée et ensuite y creuser son chemin.
Hammond : On peut imaginer aisément que Teal’c aimerait se porter volontaire. Mais…
Sam : nous n’avons pas de générateur de rayon à particules. Il va falloir en construire un.
Hammond : Alors mettez vous au travail.
SUR EDORAS
Garan : Vous avez manquez le repas du soir, je vous ai apporté à manger.
Jack : Je n’avais pas faim.
Garan : Surement que si, vous avez travaillé toute la journée.
Jack : Il me reste encore deux ou trois heures avant la nuit.
Garan : Je suis désolé.
Jack : Pourquoi ?
Garan : Vous ne pouvez pas repartir, et c’est de ma faute.
Jack : Non pas du tout.
SUR TERRE (Laboratoire de Sam)
Janet : Vous allez encore travailler toute la nuit.
Sam : Oui, il y a tant à faire, Merci.
Janet : Ecoutez Samantha, je ne doute pas que vous arriviez à un résultat, mais vous devez accepter le fait que cela va prendre du temps.
Sam : Oui à première vue cela va prendre des mois.
Janet : Daniel pense que les Tollas pourraient avoir un vaisseau dans les environs d’Edoras au début de l’année prochaine.
Sam : Il ne pourra pas attendre aussi longtemps.
Janet : Il vous manque ?
Sam : Oui.
Janet : Et c’est sérieux à ce point ?
Sam : Non, non bien sur que non.
Janet : Très bien. Bonsoir.
Sam : Bonsoir.
SUR EDORAS
Liera : Beaucoup d’entre nous craignent une nouvelle pluie de feu. Pas vous ?
Jack : Non, si Daniel a raison, et il a toujours raison, il faudra attendre 150 ans avant que cela se reproduise. C’est bien loin de nous. Je me demandais simplement dans quelle direction se trouvait ma maison.
Liera : Par ici.
Jack : Non, non je veux dire…
Liera : Je sais. Venez. J’aimerais profiter de votre compagnie.
Jack : Je ne crois pas être de bonne compagnie en ce moment.
Liera : Ca reviendra. C’est sa un deuil. J’ai portée celui de mon mari pendant cent jours. Je ne quittais pas ma maison. Je ne parlais à personne.
Jack : Et ensuite ?
Liera : J’ai quittée ma maison, et j’ai parlée à tout le monde. Venez, marchons.
3 mois plus tard…
Liera : Vous avez laissé ceci à la maison.
Jack : Ah, oui oui.
Liera : Peïnan vous invite à partager son souper.
Jack : Pourquoi il ne m’aime pas.
Liera : Il vous est très reconnaissant de l’avoir aidé à reconstruire sa maison.
Jack : Oh, je n’ai fait que planter quelques clous, enfin, à dire vrai j’ai d’abord fabriqué les clous puis je les ai plantés.
Liera : Vous vous êtes donné beaucoup de mal. Merci.
Jack : Qu’est ce que je peux faire d’autre ?
Liera : Il y à bien quelque chose.
Jack : Oui. Quoi ?
Liera : Non, c’est encore trop tôt.
Jack : Non, non jouez pas à ça avec moi. Quoi ?
Liera : Vous devinerez le moment venu.
Jack : il faut me mettre sur la voie. Un indice ?
Liera (après l’avoir embrassé): Sa vous aide un peu ?
Jack : Un peu.
SUR TERRE
Sam : Mise en marche du rayon de particules, maintenant. Le rayon à particules fonctionne à 112% de son efficacité prévue.
Hammond : Combien de temps le rayon doit-il être maintenu ?
Sam : Le plus longtemps possible, l’important est de le remettre en marche aussi vite qu’on le peut dès l’instant qu’il s’est arrêté.
SUR EDORAS
Peïnan : Alors qu’en dites-vous ?
Jack : Absolument immonde. Mais encore un peu. Merci… Qu’est ce qui s’est passé ?
Liera : Les ancêtres l’on guidé vers celle qu’il souhaite pour promise.
Jack : Ils ont trichés surement….Quoi ?
SUR TERRE
Walter : L’engin de secours devrait arriver à la porte de Edoras dans 3, 2, 1… Réception télémétrie, non attendez, attend on l’a perdu…aucun signal.
Hammond : Que s’est-il passé ?
Walter : Transmission interrompue à la source.
Sam : Remontez la bande….Là vous voyez ?
Teal’c : La porte est horizontale comme vous le pensiez Major.
Sam : Et l’engin de secours à rebondit vers l’horizon. Et le vortex va devoir creuser pour atteindre la surface. Teal’c il faudra vous positionnez par rapport à l’horizon dès que vous vous trouverez de l’autre coté, et emportez tout ce dont vus aurez besoin.
Teal’c : C’est compris.
Hammond : Je l’espère sincèrement, parce que si vous ne parvenez pas à creuser jusqu'à la surface, pas question de faire le chemin inverse.
SUR EDORAS
Jack : Garan ?
Liera : Nous sommes seuls.
Jack : Hein, hein. De toute évidence je suis sur que je vais avoir un énorme mal de crane demain, alors autant essayer de me reposer.
Liera : Vous vous souvenez quand je vous ai dit que vous pourriez faire quelque chose pour moi ? Je veux que vous me donniez un enfant.
Jack : Un enfant ?
Liera : J’ai voulu être patiente, j’ai voulu attendre que vous ayez oublié la vie que vous avez laissez là bas. Que vous ayez compris que vous êtes enfin des notre. Ce soir je le vois dans vos yeux.
Jack : Liera. Il faut que vous sachiez qu’une part de moi ne pourra jamais oublier ce que j’ai laissé là-bas.
Liera : Oh mais ce n’est pas cette part la que je veux.
Jack : Ah la barbe !
Peïnan : c’est une femme admirable.
Jack : Oui, oui c’est vrai.
Peïnan : Il vous en à fallu du temps pour le voir. J’avais peur que vous ne deveniez aveugle.
Jack : Non, non, non, si je deviens aveugle, c’est uniquement à cause de ce qu’on à bu hier soir.
Peïnan : Toïka, il faut s’y faire.
Jack : Oui, oui, oh oui.
SUR LE LIEU DE LA PORTE, EN CONTACTE AVEC LA TERRE
Teal’c : Général Hammond ? Je me suis assuré de l’autre coté.
Hammond : Bien reçu Teal’c.
Teal’c : Je commence immédiatement.
EDORAS (village)
Jack : Vous allez quelque part avec ces affaires ?
Liera : J’ai pensé que vous n’aviez plus besoin de ces vêtements.
Jack : Non, non, attendez, il y à des choses utile la dedans, la veste c’est…
Liera : Tout cela vous rappelle votre pays.
Jack : Jetez-les.
Liera : Vous êtes sur ?
Jack : Oui.
SUR LE LIEU DE LA PORTE, EN CONTACTE AVEC LA TERRE
Daniel : Ou est-ce-que vous en êtes Teal’c ?
Teal’c : C’est extrêmement difficile Jackson.
Sam : La porte se fermera automatiquement dans 60 secondes. Après quoi nous ne pourrons plus ouvrir la porte de ce coté. Le vortex pulvérisera tout ce qui se trouvera dans le tunnel.
Hammind : Il vous restera un maximum de 4 heures d’oxygène lorsque l’on aura été coupé. Si d’ici la vous n’avez pas atteint la surface …
Teal’c : Alors la vous pourrez me souhaitez Rel’To’Raki.
Daniel : Bonne chance Teal’c.
EDORAS (étang).
Sam (radio) : 15 secondes avant la fermeture…10 secondes avant la fermeture…5 secondes…
EDORAS (village).
Jack : Le curling ? C’est formidable, là d’où venait mon grand-père, dans le nord du Minnesota, on envoie un sorte d’énorme cailloux rond sur une piste de glace, est on balais devant. Quoi ?
Liera : Quand je suis allez jeter vos affaires toutes à l’heure, il ma sembler entendre un son venant de ça. Peut-être une voix.
SUR LE LIEU DE LA PORTE
Jack : Ici le colonel Jack O’Neill répondez.
Teal’c : O’Neill ?
Jack : Teal’c bon sang, où êtes vous ?
Teal’c : Je m’efforce d’atteindre la surface. Mais il me reste très peu d’oxygène.
Jack : Je viens d’avoir un signal radio… Je suis juste au dessus de vous… Teal’c, vous êtes encore plus têtu que la pire tête de mule !!
EDORAS (village)
Sam : Et donc lorsque le troisième engin de secours nous à envoyé quelques secondes de télémétrie on a su que la porte était horizontale… Il va bien ?
Daniel : Tout à fait… Je crois surtout qu’il n’espérait plus revenir un jour sur Terre.
Liera : vous devez être très heureux de rentré chez vous.
Jack : Non, pas vraiment. Venez avec moi.
Liera : Ma vie est ici.
Jack : Mais je reviendrai. Bientôt. Il y a toujours se traiter dont nous devons discuter.
Liera ; Bien sur. Nos deux mondes vont devenir amis. De plus proche amis. Bonne journée et portez vous bien.
FIN