TRAHISON
Sur Tollana
Daniel : votre Eminence, notre gouvernement nous a chargés de revenir sur Tollana, en vue d’établir des relations diplomatiques avec vous.
Travell : considérez que c’est chose faite .Nous n’oublions pas que votre peuple a sauvé le notre des Goaoulds.
Daniel : dans ce cas merci. Autre point, je suis également charger de négocier un échange.
Travell : que souhaiteriez vous obtenir ?
Daniel : votre technologie.
Travell : je suis désole, vous pouvez tout nous demander excepter de partager avec vous nos connaissances en ce domaine. Nos lois nous l’interdisent.
Daniel : nous le savons, mais dans notre culture, les lois peuvent être changées si il apparait que l’existence ses lois n’est plus justifiée
Travell : nous estimons que l’existence de cette loi reste justifiée.
Daniel : sans doute mais si vous le voulez bien, j’aimerai vous exposer la position de notre
Travell : c’est de l’armement que vous espérez de nous.
Daniel : euh oui.
Jack : on serait tenté par un de vos canons à ions, par exemple.
Travell : un canon. Et puis-je vous demander à quoi vous servirez un tel canon ?
Jack : à nous défendre contre une attaque des Goaoulds.
Travell : pardonnez-moi colonel, mais nous avons tout lieu de craindre que votre gouvernement ne soit tenté d’utiliser notre technologie contre les autres pays constituant votre planète.
Jack : et si je vous donnais ma parole que ça n’arrivera jamais ?
Travell : êtes vous le commandant de votre Nation Colonel.
Jack : euh, non, non
Travell : par conséquent vous ne pouvez nous garantir cela
Jack : ça suffit comme ça. Laissez tomber.
Daniel : Jack
Jack : on se doutait qu’on n’obtiendrait rien de vous. On perd notre temps ici
Daniel : Jack, s’il vous plait
Jack : non, Daniel. Allons-nous-en.
Daniel : vous avez une drôle de façon de négocier !
Jack : on n’aura jamais du les sauver, eux et leur technologie supérieur de bazar .C’est avec ça qu’ils ont désactivés nos armes, non ?
Teal’c : les nôtres et aussi celles des Goaoulds.
Daniel : ne me dites pas que …
Sam : c’est contraire à toutes nos directives.
Jack : et ben ça nous fera un souvenir. En route.
Daniel : est ce que vous croyez que le général
Jack : plus un mot Daniel.
Générique
Au Sgc
Hammond : vous êtes tous là, bon alors commençons. Je vous écoute. Vous n’êtes pas revenus les mains vides donc !
Jack : non, ce que vous voyez est une sorte de désactivateur d’armes, General Hammond.
Hammond : c’est vraiment efficace ?
Jack : sur les nôtres et sur celles des Goaoulds.
Hammond : ça nous sera bien utile. Excellent travail.
Jack : je vous remercie.
Hammond : et qu’avez-vous du promettre aux Tollas en échange ?
Daniel : à vrai dire, nous n’avons rien eu avoir à leur promettre en contre partie.
Hammond : ils vous l’on donner pour nous remercié de les avoir aidé contre les Goaoulds.
Daniel : les tollas ont refusé de nous faire profiter de leur technologie.
Jack : mais nous avons eu le droit a un panier de fruits.
Hammond : euh, si ils ont refusé notre demande, comment avez-vous obtenus cet appareil ? Major ?
Sam: euh
Jack: on s'est servi
Hammond: servit
Jack: ben oui
Hammond : vous l’avez volé ?
Jack : disons plus tôt que je considère ça comme un emprunt. Quand le Major Carter sera parvenue à le reproduire, on leur rapportera.
Hammond : dites-moi que je rêve. Vous et votre équipe avais volé les tollas ? Un peuple allié beaucoup plus évolué que nous ?
Jack : de toute façon, nous n’avons pas à craindre de représailles de leur part ! Ils sont non violents. N’est ce pas Daniel ?
Hammond : on nous a plusieurs fois accusés de voler de l’armement dans les univers que nous visitons. Jusqu’ici, j’avais toujours nié les faits mais je m’étais apparemment avancé. Je suis sidéré. Combien d’autres vols avez-vous commis ?
Jack : aucun. C’est le premier.
Hammond : j’ai l’impression que vous n’êtes pas conscient de la gravité de cette affaire. Ce que vous et votre équipe avez fait, relève tout bonnement de la cour martial.
Jack : je veux préciser une chose. J’ai agi seul. Carter et Daniel ont protesté, et Teal’c, le fait est qu’il n’a rien dit mais j’ai senti qu’il désapprouverait mon geste, vu la façon dont il a haussé son sourcil en me voyant faire.
Hammond : assez colonel. Docteur Jackson, major Carter et vous Teal’c, vous allez rapporter immédiatement cet appareil aux tollas et vous debrouillerez pour faire oublier, par vos excuses, l’indélicatesse du Colonel.
Sam : à vos ordres.
Jack : pourquoi ? Notre objectif numéro un, c’est de trouver de nouvelles technologies pour nous défendre contre les Goaoulds. On a créé cette base pour ça.
Hammond : assez, vous frôlez l’insubordination. Personne ne vous a chargé de voler des alliés.
Jack : pardon, mais avec tout le respect que je vous dois, vos scrupules sont ridicules.
Hammond : Colonel,
Jack : puisque le Pentagone ne veut pas débloquer de fonds pour notre projet, nous n’avons pas le choix.
Hammond : on a d’autres solutions que le vol
Jack : on n’a pas le choix, parce que pour notre protection, on doit s’en donner les moyens.
Hammond : tant que je dirigerai le projet d’exploration de la porte des étoiles, nous nous en tiendrons aux règles de moral et d’éthique que j’ai fixées.
Jack : et quand les Goaoulds auront pulvérisés la planète parce qu’on n’aura pas d’armes pour ce défendre contre eux, ça nous fera une belle jambe d’être mort au nom de vos grands principes.
Hammond : vous dépassez les bornes. Je suis obligé de vous sanctionner .Colonel O’neill, vu votre attitude, je vous relève de votre poste. Vous irez vous présenter à l’infirmerie et vous y resterez jusqu'à ce que je vous envoi chercher.
Jack : peut être pour m’envoyer dans une cellule ?
Hammond : c’est la que vous vous retrouverez si vous ne changez pas de ton. Tachez de vous en souvenir.
Technicien : porte activée de l’extérieur
Hammond : allez à l’infirmerie et demandez au Dr Frazier de vous faire un check up complet. Teal’c, exhortez le. Et, Teal’c, vous n’êtes plus sous les ordres du Colonel O’neill. Je me fais bien comprendre ?
Teal’c : c’est très clair ?
Technicien : des intrus essais d’activer la porte, fermez l’iris.
Hammond : ah c’est complet, allons voir. Ne tirez pas
Daniel : votre Eminence, bienvenue sur Terre. Chancelier Travell, voici le General Hammond, responsable de toutes les unités.
Hammond : c’est un honneur votre Eminence.
Travell : j’aurai souhaité vous rencontrer dans de plus noble circonstances. Nous sommes venus reprendre ce qui nous a été volé. Et vous dire que toutes les relations diplomatiques entre les Tollas et votre peuple sont rompues à partir de cet instant.
Hammond : il va de soit que nous vous rendrons ce qui vous appartiens dans les plus bref délais. Mais avant de rompre, toutes relations avec nous, je crois que nous devrions parler.
Travell : donc vous admettez qu’il y a bien eu vol ?
Daniel : votre Eminence, allez vous faire subir les conséquences du geste d’une personne isolé a toute une planète ?
Travell : d’une personne, Dr Jackson ? Il me semble que vous étiez la ainsi que le Major et Teal’c. Vous étiez quatre et vous considérez qu’un seul d’entre vous ai coupable ?
Jack : alors docteur, satisfaite de votre patient ?
Dr Frazier : je n’ai noté aucune anomalie, tout semble en ordre. Vous avez une bonne tension et un électrocardiogramme tout à fait normal .il me reste à voir le résultat de votre prise de sang et de votre radiographie.
Jack : bien, si vous découvrez un implant alien dans mon crane, prévenez moi .Excusez moi
Teal’c : vous avez reçu l’ordre de rester a l’infirmerie.
Jack : laissez moi passer teal’c, c’est un ordre.
Teal’c : je ne comprends pas votre comportement.
Jack : j’ai dit laissez moi passer.
Dr Frazier : infirmerie. Entendu. Colonel, le General Hammond vous attend dans son bureau.
Sam : ce sera tout merci.
Jack : salut
Sam : mon colonel ?
Jack : quoi ?
Sam : est ce que je peux faire quelque chose ?
Jack : à propos de quoi ?
Sam : en fait, si je peux être franche avec vous, cette attitude ne vous ressemble pas.
Jack : oh vous croyez ? Qu’est ce qui me ressemble ? Cirer les bottes d’un gradé incompétent ? Je crois que c’est plutôt votre affaire. Tiens dont, nos chers alliés .Vous venez reprendre votre engin si supérieurement conçu ? Quand on a des choses a ce point supérieur, on met des antivol dessus.
Hammond : Colonel O’neill, entrez et asseyez vous. Fermez la porte. Bon sang Jack, vous dépassez toutes les limites aujourd’hui.
Jack : j’ai été un peu loin en étant si ouvertement insubordonné , je le reconnais .et pour ça , je vous fais des excuses . Mais je suis certain d’être dans le vrai.
Hammond : je viens de parler avec deux membres du conseil des Tollas qui étaient d’un avis différent.
Jack : ce sont les Tollas qui nous dictent notre politique maintenant ?
Hammond : en tant que les victimes d’un acte répréhensible, ils exigent de voir le coupable répondre de son crime.
Jack : je suis un criminel ?
Hammond : votre geste relève de la cour martial, je vous rappelle et la je ne peux pas vous couvrir.
Jack : bon, et bien que je subisse les conséquences de mes actes.
Hammond : cette histoire peux se régler autrement, il y a encore une alternative.
Jack : laquelle ?
Hammond : retraite anticipée.
Jack : je l’avais demandé et vous êtes revenu moins d’une semaine après.
Hammond : il me faut une réponse toute suite, je ne pourrais pas renouveler cette offre.
Jack : tout ça pour une petite indélicatesse ?
Hammond : après cinq avertissements pour insubordinations envers les officiers supérieurs et un sénateur, deux refus d’obéir aux ordres, le kidnapping d’un enfant alien. Dois-je continuer ?
Jack : c’est la fameuse goutte d’eau. Je vois
Hammond : et une goutte de taille. Alors croyez moi, prenez votre retraite, mieux vaut planter ses choux a l’air libre que faire des ballets dans une prison.
Jack : alors va pour la retraite.
Chez Jack
Daniel : bonjour.
Jack : que voulez vous ?
Daniel : à vrai dire, je ne sais pas trop. Parler, j’imagine.
Jack : je vous écoute.
Daniel : vous en avez d’autres au frais.
Jack : oui.
Daniel : je peux en avoir une ?
Jack : une bière ? Ben oui.
Daniel : cette histoire, ça doit vous démoraliser ?
Jack : je peux vous offrir une bière, mais surtout pas mes confidences.
Daniel : ah ben c’est dommage parce que je n’aime pas trop la bière.
Jack : si ça peux vous rassurer, je vais bien.
Daniel : vraiment, ça drôle. Honnêtement, je vous imaginais pas trop en retraité plantant ses tomates. Il y a une autre raison à votre rancœur ?
Jack : vous tenez absolument à me psychanalyser ?
Daniel : non, si je me souviens bien, pendant le débriefing, vous avez dis à un moment, que le Pentagone avait refusé de débloquer des fonds qu’on avait demandé. Des fonds pour quoi ?
Jack : Hammond et moi, on pensait installer une seconde base sur une planète .Cette base devais nous servir a mieux nous défendre contre les Goaoulds. Je devais la commander.
Daniel : et le Pentagone vous la refusé. Vous vous sentiez plein d’amertume et de rancœur. Parce que vous n’avez pas eu ce poste ?
Jack : lâchez-moi, Daniel. Non, leur refus était une preuve flagrante qu’ils se désintéressaient des objectifs du SGC.
Daniel : objectifs qui est de nous trouver de nouvelles armes, selon vous ?
Jack : pour nous protéger des attaques Goaoulds.
Daniel : mais on a pour mission aussi d’établir de bonnes relations diplomatiques avec les peuples que l’on rencontre.
Jack : pour quoi ne faire si on n’en tire rien qui puisse nous servir à nous défendre.
Daniel : les Tollas ou les Nox peuvent nous apprendre des choses dans d’autres domaines que la technologie ou l’armement.
Jack : ces choses vous intéresse peut être vous, mais c’est sans valeur pour moi. Moi, j’ai besoin de concret, de matériel performant. Si les peuples, comme les Tollas, refusent de nous donner quoique se soit, alors on se sert.
Daniel : et vous estimez que c’est bien ?
Jack : les bons sentiments et les relations diplomatiques ne vont pas nous défendre contre les armes des Goaoulds .Il vaut mieux être un voleur en vie, qu’un honnête homme mort. Je caricature, c’est ça l’idée.
Daniel : si vraiment vous pensez ce que vous dites, c’est que, c’est que j’ai du me tromper sur votre compte.
Jack : je ne crois pas, vous n’êtes pas idiot. J e n’ai rien caché de mon point de vue .Vous me connaissez si mal ? C’est pas étonnant, je crois qu’on est trop éloigné tous les deux pour se comprendre.
Daniel : pourtant, j’ai cru qu’on avait fini par devenir ami malgré nos différences.
Jack : voila une certitude de plus qui part en fumée.
Jack : décidément, c’est le défilé.
Homme : Colonel O’neill.
Jack : je peux savoir à quoi vous jouez, Maybourne ? Qu’est ce que vous voulez ?
Maybourne : d’une certaine manière, vous m’avez invité.
Jack : vous n’avez rien de mieux à faire que de venir me narguer dans ma retraite ?
Maybourne : je peux entrer une minute ?
Jack : non. Et comme je ne suis plus qu’un civil, je peux vous virer à coup de pied dans les fesses.
Maybourne : j’ai une offre à vous faire, une offre qui devrait vous plaire.
Jack : une offre ?
Maybourne : on peut s’assoir ?
Jack : non, je ne veux pas vous retenir, alors crachez le morceau.
Maybourne : pour commencer, sachez que j’ai eu vent de votre altercation avec le General Hammond.
Jack : par le téléphone arabe ou la voie officielle ?
Maybourne : j’aime me tenir au courant de tous les petits potins concernant cette base .j’ai trouvé tout particulièrement intéressant que vous disiez que parfois, on devrait oublier l’approche diplomatique, simplement prendre ce qui nous est utile.
Jack : oui et après ?
Maybourne : si je vous disais que je peux vous donner les moyens d’atteindre votre but ?
Jack : mon but ?
Maybourne : oui. Si je vous disais que je peux vous donner une unité utilisant la Porte de Etoiles, pour rapporter ce que vous voulez, comme vous le voulez, pour le bien de notre nation.
Jack : si vous êtes en mesure de me proposer ça, alors j’en conclu que vous vous livrez à des activités illégales.
Maybourne : ce que vous avez fait hier, n’était pas très légal que je sache !
Jack : partez. Cherchez en un autre.
Maybourne : appelez-moi quand vous sentirez la retraite vous peser.
Au SGC
Teal’c : que nous veux le General Hammond ?
Daniel : nous présenter notre nouvel équipier, je suppose.
Sam : vous savez qui ce sera ?
Daniel : probablement quelqu’un comme Ferretti. Et vous serai nommé chef.
Sam : non, je ne crois pas. Ils voudront un officier plus gradé qu’un Major.
Hammond : repos. Étant donné que le sg1 est l’unité phare de se programme, je me devais de veiller à ce que vous ayez le meilleur chef possible. J’ai donc nommé quelqu’un qui a prouvé a de très nombreuses reprises ses compétences en tant qu’officier supérieur. Le colonel Makepeace prends la tête de sg1 à partir d’aujourd’hui. Je compte sur vous pour lui faire bon accueil.
Daniel : euh, monsieur, euh je ne conteste de pas votre autorité mais en tant que civil, je suis probablement le seul à pouvoir vous dire ça et même si
Hammond : au fait Dr Jackson
Daniel : bon voila, votre choix peut se comprendre seulement le Major Carter aurait mérité de prendre la tête de notre unité.
Hammond : le Major a des états de service exemplaire, et ses compétences lui ont d’ailleurs valus sa récente promotion. Mais il y a une longue distance entre un Colonel et un Major.
Sam : j’en suis tout à fait consciente.
Daniel : pardon, mais je ne suis pas d’accord. La question n’est pas de savoir quel grade elle a, ce qui importe c’est qu’elle
Sam : laissez tomber Daniel, ça ira.
Hammond : disposez.
Makepeace : je me réjouis de rejoindre votre groupe. J’espère que vous apprendrez a vous fiez a moi comme vous vous fiez au Colonel O’neill.
Sam : je ne demande pas mieux mon Colonel.
Daniel : je ne me suis jamais fié à Jack totalement mais je suis ouvert
Makepeace : excellent. On se retrouve dans deux heures pour le briefing.
Chez Jack
Jack : vous en avez mis du temps.
Maybourne : à vrai dire, je ne croyais pas que l’ennui se ferait sentir si vite, autrement je serais resté dans le coin.
Jack : c’est la preuve que vous n’êtes pas aussi fin psychologue que vous vous le figurez.
Maybourne : vous êtes prêt à nous suivre ?
Jack : j’ai une ou deux questions.
Maybourne : je ne peux rien vous dire de plus.
Jack : vous me demandez de me lancer comme ça, à l’aveuglette ?
Maybourne : êtes vous intéressé par mon offre, oui ou non ?
Jack : je suis intéressé.
Maybourne : je m’en doutais. Il faut que vous compreniez une chose essentielle. Ce que je vais vous dévoiler n’est pas seulement une information ultra secret, voyez vous. C’est aussi et surtout une information dangereuse.
Jack : continuez.
Maybourne : comprenez bien que quand vous aurez vu ce que je vais vous montrer, il n’y aura plus de retour en arrière possible. Vous devrez soit devenir un des nôtre, soit disparaitre.
Jack : disparaitre ?
Maybourne : il est encore temps d’oublier notre offre.
Jack : si vous m’épargnez l’emphase et le ton mélodramatique, alors je suis d’accord pour vous suivre.
En avion
Jack : je vous écoute, où est ce que vous m’emmenez ?
Maybourne : nulle part en particulier. J’ai appris par expérience qu’à 30 000 pieds d’altitude, on trouve moins d’oreilles indiscrètes. Vous savez ce que c’est ?
Jack : c’est un transmetteur Goaould. Ça leur sert à communiquer. Comment est ce que vous l’avez eu ?
Maybourne : nous l’avons obtenu sans aucune négociation.
Jack : nous c’est ?
Maybourne : mon organisation.
Jack : le NID ?
Maybourne : une de ses branches.
Jack : ah, une qui a pourri et qui s’est détaché.
Maybourne : je veux que vous commandiez une unité.
Jack : il y a des unités ?
Maybourne : oh oui. Vous voulez voir le chef temporaire de celle que j’ai l’intention de vous confier ?
Jack : ben, si il est la
Maybourne : il nous a fallu un bout de temps pour apprendre à utiliser cet engin sans l’aide d’un Goaould. Mais l’ingéniosité humaine a fini par triompher.
Homme : Colonel Maybourne
Maybourne : Newman. Je désire vous présenter le Colonel O’neill, actuellement à la retraite.
Newman : Colonel O’neill, c’est un immense honneur. J’ai lu presque tous les rapports de mission de sg1 et vos états de service sont des plus impressionnants. Je me réjouis de bientôt servir sous vos ordres.
Jack : bonjour Newman .on ne s’est pas déjà vu ?
Newman : si, on s’est rencontré brièvement, dans un hangar, sur un terrain d’atterrissage, dans l’Utah.
Jack : ah, vous êtes un de ceux qui utilisent l’autre Porte des Etoiles.
Newman : effectivement, et je m’excuse d’avoir du tirer sur vous ce jour la.
Jack : où êtes-vous ?
Maybourne : il est sur une autre planète.
Jack : votre mission, Newman ?
Newman : obtenir par tous les moyens, le matériel et la technologie qui nous permettrons de combattre les Goaoulds en premier lieu et tout autre éventuel agresseur.
Jack : apparemment, vous avez lu mon dossier. A mon tour d’en apprendre plus sur vous.
Maybourne : chaque chose en son temps.
Jack : j’ai besoin de connaitre mes hommes si je commande cette unité.
Maybourne : je vous donnerai le dossier de ces hommes dès que vous aurez accepté d’être officiellement leur commandant. Alors que décidez-vous ? Vous êtes prêt à commander cette unité, à faire ce qui est nécessaire pour donner à notre planète les moyens de se défendre et de se protéger ?
Jack : j’aurai jamais cru qu’un jour on se retrouverait dans le même camp, Maybourne. Mais oui, j’accepte.
Au SGC
Makepeace : le Major Carter a accepté ma nomination sans le moindre problème mais j’ai bien peur que le Dr Jackson et le jaffa la refuse.
Hammond : je vois. Vous pourriez peut être le considérer autrement que comme le jaffa ? Ca devrait mieux allé ensuite .Entrez
Jack : je vous dérange ?
Hammond : bien, c’est une surprise. Vous connaissez le Colonel Makpeace ?
Jack : oui.
Hammond : et cette retraite, ça se passe bien ?
Jack : euh, très bien, j’ai du temps. Chaque jour, c’est repos, repos total et c’est très reposant. Et je m’ennui comme un rat mort.
Hammond : je compatie, croyez le. Je peux vous aider peut être ?
Jack : dans une certaine mesure, je crois que oui.
Makepeace : vous voulez que je vous laisse, jack ?
Jack : non ça ne fait rien.
Hammond : nous n’avons pas finit Colonel Mackpeace.
Jack : ça ne prendra pas longtemps .Je vous demande de m’accorder une toute dernière faveur.
Hammond : je vous écoute.
Jack : je veux me retirer dans un autre monde.
Hammond : c'est-à-dire que je ne suis
Jack : j’avais fait la connaissance d’une femme sur Edora, Laira, vous vous souvenez
Hammond : oui
Jack : je lui avais promis que je reviendrais auprès d’elle. J’aimerai que vous m’aidiez à tenir ma promesse .Vous m’aiderez ?
Hammond : en admettant que je vous dise oui, vous devrez partir sans GDO. Autrement dit, vous ne pourrez plus revenir sur Terre par la porte.
Jack : oui, oui, j’en suis conscient.
Hammond : Colonel.
Base du NID
Newman : Colonel O’neill, c’est un grand honneur.
Jack : Newman
Newman : vous devez penser qu’on fait assez miteux et pourtant, je peux vous assurer qu’on est champion dans se boulot.
Jack : qui consiste à voler tout ce qu’on trouve.
Newman : on acquiert de quoi assurer notre défense face aux Goaoulds.
Jack : et vous pensez être compétents parce que vous n’avais jamais été pris pour l’instant.
Newman : oui et parce que on réussit nos missions.
Jack : ah
Newman : vous voulez jeter un coup d’œil à une de nos dernières acquisitions ?
Jack : oui, volontiers. Jetons un coup d’œil.
Newman : elle est par la. Alors quand dites-vous ?
Femme : c’est un bel objet. C’est un suppresseur de gravité.
Jack : vraiment ?
Femme : lieutenant Claire Tobias.
Jack : Tobias. Jack O’neill.
Newman : je vous laisse discuter. Le lieutenant a des talents étonnant, vous verrez.
Jack : alors comment cet engin fonctionne ?
Tobias : il émet des particules supraconductrices qui sous l’effet des cristaux génère un champ anti gravitationnel a la
Jack : stop. Scientifique ?
Tobias : ingénieur, pourquoi ?
Jack : vous me faites penser à une personne de mon ancienne unité.
Tobias : le Major Carter.
Jack : vous l’a connaissait ?
Tobias : elle m’a pris le poste que je visais au sg1.
Jack : oh. En quoi consiste votre travail ?
Tobias : démonter et comprendre autant que possible, le mécanisme des plus gros objets .Ceux qu’on ne peut pas rapporter sur Terre. Je les dissèque, pièce par pièce, et j’envoie les plans au Colonel Maybourne.
Newman : excusez-moi, le Colonel Maybourne veut vous parler.
Jack : je vous laisse.
Maybourne : jack, alors le transfert c’est bien passé ? Que dites vous de nos installations ?
Jack : c’est assez coquet, je dois avouer.
Maybourne : ca manque un peu de soleil, mais c’est confortable. J’ai une mission pour vous, Colonel. La planète PX3 595
Newman : on va enfin avoir cet appareil.
Maybourne : sg9 a négocié pour s’en procurer un, sans jamais l’obtenir.
Jack : qu’est ce que nous sommes sensés remporter ?
Maybourne : Newman vous expliquera ça sur place. Bonne chance colonel.
Jack : merci.
Maybourne : euh oui, une dernière chose, cette unité n’est pas sg1, si vous tombez sur un trouble fête, la consigne c’est aucun témoin.
Newman : oh, l’entrée principale de la grotte est à près de 50 m direction nord nord-est. Le peuple de cette planète, les Tiernods, utilisent la grotte pour échapper aux prédateurs.
Tobias : si un prédateur tente de vous poursuivre dans la grotte, ils utilisent l’appareil qu’on veut pour se rendre invisible.
Jack : c’est pratique.
PX3 595
Jack : c’est vide.
Tobias : il est la.
Newman : ce truc la, c’est un petit bijou. Amusant, non ?
Jack: ça a l’air Asgard.
Tobias : ca l’ai. Cette planète est sous leur protection.
Base NID
Newman : vous imaginez ce qu’on pourrait faire avec ça, en mission commando, sur Terre ?
Jack : mouais. Mais ça n’ira pas sur Terre, vous ne pourrez pas reproduire ce genre de technologie.
Tobias : c’est pas la peine, quand c’est aussi petit, on peut le rapporter sur Terre.
Jack : comment ?
Newman : on a une personne à nous dans une des unités la bas, à la base. Le Colonel Maybourne nous dit où la patrouille de notre taupe se rend, on y va avant, on dépose l’objet et on revient ici. La taupe arrive derrière, récupère le truc en douce et le rapporte avec elle. Ah tiens, je commençais à penser qu’il nous avait oubliés.
Maybourne : je viens aux nouvelles. Vous avez l’appareil ?
Jack : ouais
Maybourne : parfait. J’ai l’heure et les coordonnées pour le transfert. Au cours de l’opération, aucun contact.
Jack : compris.
Maybourne : je vous envoie les coordonnées ainsi que l’heure. Notez-les.
Newman : Alex, active la porte. Je dois m’en charger ?
Jack : non, j’irai.
Newman : vous irez ?
Jack : oui, pour commander une équipe efficacement, on doit avoir tout fait au moins une fois.
Newman : c’est votre prérogative mon colonel.
Autre planète
Makepeace : dépêchons, inutile de trainer. Carter, Dr Jackson faites vos test. Tachons de voir si il y a un filon de Naquada à proximité.
Base du NID
Newman : y ‘a eu un ennui ?
Jack : les coordonnées de Maybourne été bonnes mais c’était juste pour le temps. J’allais repartir quand l’unité de la taupe a passé la porte. J’ai été coincé.
Newman : qu’est ce qui se passe ?
Jack : pile à l’heure.
Newman : Colonel, nous n’avons pas le droit d’activer la porte sans un ordre express du Colonel Maybourne. Mais qu’est ce que vous faite Colonel ?
Jack : j’ouvre en grand et après je fais le ménage.
Tobias : un vaisseau Asgard est en train de descendre sur la base. Qu’est ce qu’ils font ?
Jack : ils reprennent ce qui leur appartient de droit .Ecoutez moi. Vous avez deux possibilités. Une fois qu’ils auront repris ce qui a été volé, ce sera vous qu’ils prendront. Soit vous partez avec les Asgards, soit vous partez avec moi. A vous de choisir .j’y vais et je vais bloquer la porte pour que vous n’alliez pas ailleurs.
Newman : il nous a eus.
Au SGC
Homme : les mains derrière le dos.
Makepeace : ne dites rien, on ne se connait pas.
Jack : beau travail. Euh, vous me passez une paire de menottes.
Makepeace : tenez. Vous êtes malade, mais qu’est ce que vous faites ?
Jack : je me débarrasse d’une vilaine taupe.
Hammond : silence, s’il vous plait que je puisse faire une annonce. Vous êtes tous en état d’arrestation pour haute trahison envers notre Nation et ses alliés
Makepeace : vous avez tout fichu en l’air O’neill.
Jack : oh au contraire, j’ai fais le ménage et on y voit plus clair.
Hammond : c’était utile.
Makepeace : seulement vous ignorez jusqu’où ça monte, j’en suis sur. Vous avez choisit le mauvais camp.
Jack : le camp des Tollas, des Tokras, des Asgards, des Nox, c’est ça le mauvais quand ?
Makepeace : ils ont refusé de nous donner les moyens d’assurer notre défense si jamais les Goaoulds reviennent.
Jack : c’est pas de leur technologie que l’on a besoin. Non, on a besoin d’eux.
Hammond : allez, emmenez les.
Daniel : juste une seconde, tout ça me parait assez confus. En fait, tout ce qui s’est passé depuis une semaine, à commencer par les négociations sur Tollana, que j’ai d’ailleurs mis deux jours à préparer, ce n’était qu’une mise en scène pour coincer la taupe ?
Hammond : voila d’y l’y a de ça quelques semaines, les Asgard, les Tollas sont venus a deux jours d’intervalles nous apporter la preuve que nous volions sur différente planète, leurs technologies.
Sam : comment nous ? Vous ne voulez pas dire nos unités ?
Hammond : si. Les Asgards, les Tollas et les Nox voulaient rompre toutes relations avec nous. Mais nous avons réussit à les convaincre que les vols devaient être l’œuvre d’un groupe sans la moindre relation avec nos unités.
Travell : nous avons insisté pour que vous appréhendiez vous-même les coupables. Vous avez désormais regagné notre confiance.
Sam : donc, vous avez monté de toutes pièces l’incident sur Tollana, en espérant que la taupe tentera de vous recruter une fois votre vol découvert ?
Daniel : et vous avez joué votre rôle devant nous y compris.
Hammond : nous n’étions pas sur que vous joueriez correctement la comédie une fois dans la confidence. Et les Asgards avaient insisté pour que le colonel O’neill fasse cette enquête seul.
Jack : ils m’aiment bien.
Hammond : maintenant, si vous voulez bien me suivre votre Eminence,
Jack : oui, me revoilà.
Sam : on est content de vous retrouver.
Teal’c : c’est vrai
Jack : merci. Euh, Daniel, quand vous êtes venu pour me parler après la sanction, la maison, ma maison était sur écoute donc je me devais donner le change
Daniel : oh oui bien sur, je comprends ne vous en faite pas
Jack : parce que vous savez, on est amis et on se comprend. C’est du solide entre nous
Daniel : oui, c’est évident.
Jack : et alors, je ne voudrais pas que vous
Daniel : et vous n’avez pas besoin de vous excuser
Jack : si, j’y tiens
Daniel : non croyez moi
Jack : d’autant que j’étais sincèrement touché que vous soyez venu vous assurer que je tenais le choc, aussi spontanément.
Daniel : euh ben c'est-à-dire que j’étais envoyer.
Jack : comment ça ?
Daniel : euh, on à tirer a la courte paille, et j’ai perdu.
FIN