UN NOUVEAU MONDE
Autre planète
Homme : en voila un autre.
Femme : peut être que nos ancêtres s’en servaient pour faire des calculs astronomiques.
Homme : on doit être très proche du site.
Au SGC
Technicien : chevron 4 enclenché.
Hammond : au rapport.
Sam : mon General, nous avons établi notre premier contact dans le cadre de l’opération nouveau monde sur P2X 416.
Hammond : préparer la sonde.
Technicien : bien mon General.
P2X 416
Femme : il ne faut pas rester la, Nyan. Non tu vas te noyer.
Nyan : ça ne ressemble pas à de l’eau.
Au SGC
Daniel : que se passe-t-il ?
Sam : l’ordinateur a établi un contact positif sur P2X 416.
Daniel : curieux
Sam : il semblerait que les indigènes ont dégagé la porte depuis notre dernier contact.
Jack : c’est précisément ce que j’ai du mal à comprendre. Comment l’ordinateur peut il le savoir ?
Sam : il n’en sait rien. C’est grâce au programme que j’ai mis au point qui relance périodiquement un contact avec les Portes des Etoiles qui n’ont pas répondues la première fois. C’est notre premier contact.
Jack : oh
Sam : nous allons recevoir les premières images de la sonde. Ca y est.
Femme : Nyan, qu’est ce que c’est ?
Nyan : je l’ignore.
Daniel : est ce que, vous pourriez les suivre ? Bonjour Nyan. N’ayez pas peur, je m’appelle Daniel Jackson.
Nyan : êtes vous une forme de vie mécanique ?
Daniel : non, pas du tout. Cet appareil me permet de communiquer avec vous.
Nyan : d’où venez-vous ?
Daniel : d’une autre planète.
Femme : c’est un piège, il faut prévenir les autres.
Nyan : non attend.
Femme : mais pourquoi
Daniel : je sollicite l’autorisation de visiter P2X 416
Jack : pas de précipitation.
Daniel : Nous avons affaire à des êtres intelligents. Apparemment d’après leurs vêtements et leurs outils, ils semblent technologiquement assez proches de nous.
Jack : est ce que dans la transmission, on aperçoit une table des coordonnées ?
Sam : il n’y en a pas.
Hammond : vous devriez vous munir d’un réacteur à Naquada pour réactiver la porte de façon manuel.
Jack : oui
P2X 416
Nyan : Méline, je pense que nous avons trouvé la porte.
Méline : la porte n’existe pas, c’est une légende des Optricans.
Nyan : comment expliques tu ça ?
Méline : cela pourrait se révéler très dangereux. Tu te rends compte des conséquences ?
Nyan : ça voudrait dire que nous avions tord, et que les Optricans avaient raison.
Daniel : Nyan, nous pouvons vous rendre visite ? Pas d’objections ?
Méline : non
Nyan : oui
Daniel : très bien, nous seront la dans un instant. Essayez de rester proche de l’engin par lequel je communique avec vous, et essayer de rester loin du flux que vous avez du voir tout a l’heure. Ca peut être dangereux.
Nyan : nous avons hâte de pouvoir vous accueillir. Méline, reviens. Si tu les avertis maintenant, ils seraient capables de tuer nos visiteurs. Méline.
GENERIQUE
P2X 416
Daniel : bonjour Nyan.
Nyan : vous êtes humain ?
Daniel : oui, je suis Daniel Jackson, la personne qui vous parlé tout a l’heure et voici le Major Carter, le Colonel Jack O’neill et Teal’c. Nous venons d’une planète qui s’appelle la Terre.
Nyan : mais
Daniel : est ce que ça va ?
Nyan : la légende était donc vraie.
Daniel : pardon, de quelle légende s’agit il ?
Nyan : et bien, les Optricans croient que les êtres humains ont été amenés sur cette planète par des aliens qui ont voyagé par une porte. Mais durant le cataclysme, la porte a été enseveli et les humains se sont retrouvé bloquer ici.
Daniel : de quel cataclysme parlez-vous ?
Nyan : une époque de tremblements de terre violents, et d’éruptions volcaniques qui ont affectées une partie de ce continent. Il y a à peu près vingt siècles de ça.
Sam : mais si la porte a été enterré tout ce temps la, comment saviez vous où elle était ?
Nyan : c'est-à-dire que je ne la chercher pas particulièrement, j’espérai seulement de trouver une installation qui datais d’avant le cataclysme. J’espérai pouvoir apporter une preuve scientifique à la théorie des Bedrosiens.
Jack : c’est quoi cette théorie ?
Nyan : elle prétend que la vie humaine est apparue sur Bédrosia, sans venir d’ailleurs.
Jack : ah
Sam : donc cet endroit s’appelle Bédrosia
Nyan : oui, il s’agit d’un continent.
Daniel : dans ce cas, où se trouve les Optricans ?
Nyan : Sur un continent ennemi.
Jack : jusqu’à quel point sont il ennemis ?
Nyan : nous croyons que la vie a débuté sur ce continent et les Optricans pensent que leur porte se trouve sur notre continent. Depuis nos deux peuples sont en guerre.
Jack : je vois. Carter, assurez vous que les réacteurs sont en état de marche au cas où. Encore une question, a quelle distance de la ligne de front nous trouvons nous ?
Nyan : Nous en sommes très éloignés, il n’y a aucun danger.
Teal’c : O’neill.
Nyan : oh non, non, nous devons nous mettre à couvert.
Jack : je croyais que vos ennemis étaient loin ?
Nyan : ce ne sont pas des Optricans, ce sont mes compatriotes, les Bédrosiens.
Jack : ils sont accueillants ?
Nyan : ce n’est pas le terme qui me viendrait à l’esprit pour définir ceux qui arrivent.
Jack : ah
Nyan : courons vite nous mettre à l’ abri.
Jack : bien, Carter, on rentre à la maison.
Sam : il me faut au moins cinq minutes pour faire les branchements.
Nyan : vite, suivez-moi
Jack : laissez tomber, on se cache. Vous me croyez si je vous dis que nous sommes venus en paix ? Y’a-t-il un officier responsable parmi vous ? Waouh, délicat le dialogue.
Sam : où est passé Nyan ?
Jack : je suppose qu’il a filé sans demander son reste.
Homme : Méline. Vous disiez qu’il s’agissait d’aliens.
Méline : c’est exact, ils sont arrivés en franchissant la porte.
Homme : non, c’est impossible. C’est un piège, une machination.
Méline : c’est possible, l’un de ces êtres s’appelle Daniel. Il s’est adressé à Nyan par l’intermédiaire de cette machine qui est sorti de l’anneau.
Homme : le module vous amènera jusqu’au camp. Nous vous interrogerons plus tard à ce sujet. Soit c’est Nyan qui a tiré sur mon vaisseau, soit c’est un Optrican qui est en fuite. Quoi qu’il en soit, je veux qu’on les retrouve.
Homme2 : à vos ordres.
Jack : oh je regrette, j’ai horreur des …
Homme : lequel d’entre vous est Daniel
Jack : je commande cette équipe. Je me présente, Colonel Jack O’neill.
Homme : je ne suis pas familier des grades chez les Optricans.
Sam : nous ne sommes pas des Optricans mais des explorateurs venus d’une autre planète.
Daniel : nous sommes passés par la Porte des Etoiles.
Homme ; ce genre d’intox ne marche pas avec nous. Nous faire croire l’existence d’une porte intergalactique afin de discréditer nos propres croyances. Vous n’y arriverez pas.
Jack : oui, je conçois que cela soit difficile à admettre mais la solution serait que je vous montre comment la Porte des Etoiles fonctionne et si vous n’êtes toujours pas convaincu, nous remballons nos affaires. Hein, qu’est ce que vous en pensez ?
Homme : mettez en place un poste de quarantaine.
Jack : eh
Teal’c : attention, plus un geste.
Forêt
Nyan : c’est Nyan. Partons d’ici et vite.
Teal’c : où sont mes compagnons.
Nyan : prisonniers.
Teal’c : je ne partirais pas sans eux
Nyan : on ne peut pas les rejoindre. Rigar a établi un poste de quarantaine. Et s’il retrouve le corps du soldat que … Vous êtes aveugle ?
Camp Bédrosien
Homme ; ils ont commencé des fouilles ici.
Rigar : qu’ils finissent rapidement, je veux savoir ce qu’li y a la dedans.
Femme : j’ai les résultats des analyses de sang. Il y a 98% de similitude, ce sont incontestablement des humains. Mais on ne retrouve aucune trace d’eux dans les archives de Bédrosia.
Rigar : la preuve que se sont des Optricans. Vous en doutez ? Le fond de votre pensée ?
Femme : Et s’ils disaient la vérité, et si la porte exister et que les Optricans avaient raison.
Rigar : non, c’est un leurre
Femme : comment pouvez vous en être sur ?
Rigar : j’en suis sur, c’est tout. Parce que nous n’avons pas pu passer toute notre vie à adorer une divinité qui n’existe pas. Et beaucoup de nos compatriotes n’ont pas sacrifié leur vie dans un vain combat. Jamais je n’admettrais ça. J’ai étudié chaque mot du livre de Nephertum, du premier au dernier verset, il contient la vérité.
Femme : et si ce n’étais pas le cas ?
Rigar : impossible, c’est la vérité. Nous sommes tous originaires d’ici. Cet engin n’est destiné qu’à accréditer le mythe des Optricans concernant la porte.
Femme : dans quel but ?
Rigar : pour semer le doute dans l’esprit de notre peuple et d’insinuer la discorde parmi nous. Je n’admettrais pas que l’on ose attaquer de manière aussi artificieuse nos croyances ancestrales.
Femme : quels sont vos intentions ?
Rigar : il faut que les évènements qui se sont passés ici doivent rester secret.
Femme : il est donc indispensable de retrouvé Nyan et le quatrième Optrican.
Rigar : oui, il nous faudra réussir à tirer le maximum de renseignements des trois prisonniers. Ensuite, nous les feront disparaitre.
Femme : à vos ordres.
Grotte
Nyan : voila, ici il y a un abri. Cet endroit nous sert d’entrepôt. En dehors de vos yeux, pas d’autres blessures ?
Teal’c : si mais ça ira.
Nyan : voila asseyez vous la .la .c’est de l’eau. C’est surprenant de voir a quel point une découverte peu tout changer .Pendant des années, j’ai recherché les preuves de notre création par Nephertum sur ce continent.
Teal’c : Nephertum ? La fleur de lotus bleue de Râ.
Nyan : effectivement, il est représenté dans nos livres sacrés par une fleur de lotus bleue, mais qui est Râ ? Et comment connaissez-vous Nephertum ?
Teal’c : Nephertum était un grand maître de l’ordre de Râ contre lequel j’ai combattu.
Nyan : je ne comprends pas. Nephertum est et demeure notre créateur. C’est lui qui a créé cette planète et ce pays.
Teal’c : erreur, Nephertum était un alien qui a amené votre peuple ici en tant qu’esclave par la Porte des Etoiles il y a des milliers d’années.
Nyan : c’est se que prétendent les Optricans.
Teal’c : et bien ils ont raison.
Nyan : au Nephertum, notre dieu, c’est un blasphème. Mais si c’est vrai, cela vas tout bouleverser. Je dois en informer mes collègues de l’académie des sciences.
Teal’c : vous pensez qu’ils vont vous croire.
Nyan : ce sont des scientifiques comme moi. Ils reconnaîtront leur erreur si je leur présente des preuves,
Teal’c : la porte des Etoiles est sous l’autorité votre armée
Nyan : ça ne change rien, vous vous êtes ma preuve vivante
Teal’c : je ne tiens pas à jouer se rôle et je refuse que mes compagnons soit retenu prisonniers plus longtemps. Vous devez m’aider à les délivrer.
Nyan : Montrez-moi ça
Teal’c : ne me touchez pas
Nyan : votre blessure semble grave.
Teal’c : ça ira, je vous assure.
Nyan : je crois pouvoir vous soigner, je reviens toute suite avec le matériel nécessaire.
Teal’c : Nyan. Nyan.
Jack : oh mais ça va !! Ca secoue.
Daniel : il faut dire qu’aujourd’hui, tout va de mieux en mieux.
Jack : ouais. Si on causait tous les deux ?
Rigar : oui, parlons de votre ami qui se cache dans la forêt.
Jack : je n’ai pas d’ami, dans la forêt ou ailleurs.
Daniel : nous ne sommes pas des espions. Nous sommes des explorateurs pacifiques. Nous sommes venus par l’issue que vous appelez la porte.
Sam : c’est ça, la Porte des Etoiles, c’est par la que nous sommes passés.
Rigar : tous les quatre ?
Sam : non, tous les trois.
Rigar : il est inconcevable que l’on puisse aller d’une planète à l’autre en passant par un anneau de pierre.
Sam : la porte n’est pas bâtie dans un matériau ordinaire. Si on lui applique une énergie suffisante, un vortex se forme dans l’anneau qui nous permet d’atteindre d’autres mondes.
Rigar : un vortex ?
Jack : une sorte de couloir d’accès. Gigantesque.
Daniel : quand on dit vortex, c’est une façon de parler, rien à voir avec son acception courante. C’est un tourbillon qui traverse l’espace.
Rigar : et comment donnez vous cette apparence aqueuse dont j’ai entendu parler ?
Daniel : vous êtes dans le vrai en parlant d’apparence. Ca n’a rien à voir avec de l’eau.
Rigar : qu’est ce que c’est ?
Jack : un mirage.
Sam : c’est une illusion d’optique formé par des particules quantique que constitue le vortex.
Daniel : des extraterrestres, les Goaoulds, utilisaient la Porte des Etoiles pour transporter des humains depuis notre planète, la Terre, vers d’autres planètes. C’est comme ca que votre peuple, c’est retrouvé sur Bédrosia. Ohhhh.
Rigar : mon peuple est né sur Bédrosia, comme le votre. Nous avons tous été créé par Nephertum.
Daniel : Nephertum ? Le fils de Sekhmet, la fleur de lotus bleue ? Vous pensez donc que c’est lui qui vous a créé ?
Rigar : exact
Daniel : Et bien, c’était sans doute un Goaoulds !
Rigar : un quoi ?
Daniel : un extraterrestre. Il a vraisemblablement fait passer votre peuple par la porte. Ohhhh
Rigar : c’est une hérésie Optricanne. Ramenez-les sous la tente de détention.
Grotte
Nyan : qu’est ce que vous faites ? Vous êtes un alien.
Teal’c : n’approchez pas.
Nyan : mais Daniel disiez que vous étiez humains.
Teal’c : je ne veux plus rien entendre.
Nyan : d’où venez-vous ?
Teal’c : encore une fois, je ne veux pas en parler. Je ne pensais pas que vous reviendriez.
Nyan : c’est l’évènement le plus important qui se soit jamais produit sur ma planète. Quoi que je ne sache pas encore si c’est un bien ou un mal. J’ai apporté un appareil pour soigner vos yeux. C’est un appareil médical et qui en autre propriété, possède celle de régénérer les nerfs optique. Vous constaterez une amélioration de votre vue sous 24 heures. Bien sur, il a été conçu pour des êtres humains, alors j’ignore s’il sera efficace sur vous.
Teal’c : je n’en ai pas besoin. Ma vue reviendra d’elle-même.
Nyan : parce que vous êtes un alien ?
Teal’c : les autres sont des humains. Moi, je suis un jaffa. J’abrite en moi un symbiote qui hâte ma guérison.
Nyan : excusez-moi mais votre état n’a pas l’air de s’améliorer.
Teal’c : mon symbiote a été gravement atteint par la déflagration de ma propre lance. Il faut d’abord qu’il guérisse lui-même.
Nyan : est ce que se sera long ?
Teal’c : ça peut durer des jours.
Nyan : et, est ce que ce symbiote peut mourir ?
Teal’c : c’est possible.
Nyan : et si cela se produisait ?
Teal’c : alors moi aussi je mourrai
Camp Bédrosien
Jack : y’a un problème ?
Homme : avance.
Rigar : parlez. Vous allez parler.
Daniel : quoi ?
Rigar : il y a un quatrième homme. C’est lui qui l’a tué.
Daniel : il n’y a que nous trois, j’ignore qui a tué cet homme.
Rigar : et ça, qu’est ce que c’est ?
Grotte
Teal’c : quel sort votre peuple réserve t’il à mes amis ?
Nyan : malheureusement, ils sont la preuve que les croyances de mon peuple sont fausses, et que les croyances de nos ennemis sont vrai. Ce sont des choses qu’un militaire digère difficilement.
Teal’c : ce qui veut dire qu’ils vont les tuer. Détruire la Porte des Etoiles et prétendre que rien ne c’est jamais produit.
Nyan : probablement.
Teal’c ; il faut agir sans tarder.
Nyan : en faisant quoi ?
Teal’c : en délivrant mes amis.
Nyan : mais vous êtes aveugle.
Teal’c : je me débrouillerai. Nyan
Nyan : vous en êtes sur ? Je ne veux pas me lancer dans une attaque suicide. Cet appareil n’a effets que dans les trente heures qui suivent la blessure. Voulez vous que je vous aide ou non ?
Teal’c : vous avez l’intention d’abuser de moi pour promouvoir vos théories scientifique, je me trompe ?
Nyan : vous êtes la preuve de l’inanité de mes théories.
Teal’c : peut être seriez vous plus à l’aise si je disparaissais.
Nyan : Teal’c, je suis un scientifique. Si je découvre des preuves que mes théories sont fausses, ça m’intéresse autant que si elles se révélées exactes. Le progrès scientifique, quel que soit sa direction, est toujours un progrès.
Teal’c : j’ai l’impression d’entendre Daniel Jackson. Faites de votre mieux.
Nyan : la douleur provient de la régénération du nerf. Encore un peu de courage. Tout à l’heure, j’avais une vue plongeante sur le camp de Rigar. Vos amis y sont toujours. Et les hommes de Rigar ont déterré un appareil qui semble avoir un rapport ave c la porte.
Teal’c : c’est le DHD. Il semblerait que la chance nous sourit à nouveau. Derrière vous, oui, j’aperçois une lumière.
Nyan : oui, excellent. L’appareil fonctionne sur votre métabolisme.
Teal’c : Je n’aperçois qu’une faible lueur.
Nyan : ce n’est que le début du traitement. Il faut encore essayer. Le succès n’est pas garanti mais ça apportera une amélioration.
Teal’c : alors, allez y
Nyan : il faut attendre entre chaque traitement. Sinon, on fera plus de mal que de bien.
Camp Bédrosien
Sam : Daniel, est ce que ça va ?
Jack : et Rigar, nous venons en paix, est que vous savez se que ça veut dire ? Apparemment pas.
Rigar : je vous laisse une dernière chance.
Daniel : je ne sais pas comment cet homme a été tué. Nous ne sommes pas des espions Optricans.
Rigar : y’a-t-il un quatrième homme qui cours toujours ?
Daniel : je ne sais pas comment cet homme a été tué. Nous ne sommes pas des espions. Vous avez devant vous toute notre équipe au complet. Arrêtez ce truc.
Rigar : À quoi ressemble-t-il ?
Daniel : arrêtez, vous allez le tuer.
Rigar : non, c’est vous qui allez le tuer.
Homme : mon commandant.
Au SGC
Technicien : chevron sept enclenché et verrouillé, mon General. Prêt à transmettre, mon General.
Hammond : sg1, ici le General Hammond, répondez. Je répète, sg1, ici le General Hammond, répondez.
Camp Bédrosien
Femme : la porte existe.
Rigar : ce n’est qu’une illusion. C’est un piège.
Homme : mon Commandant.
Hammond : sg1, si vous me recevez, répondez. Sg1, répondez.
Rigar : déclinez identité
Au SGC
Hammond : je suis le General Hammond, à qui suis-je en train de m’adresser ?
Rigar : à ceux qui détiennent vos hommes.
Hammond : j’exige de parler au Colonel O’neill immédiatement.
Rigar : c’est à moi que vous allez parler.
Grotte
Nyan : nous y sommes presque.
Teal’c : notre but est de délivrer O’neill et les autres. Ensuite nous couvrirons celui qui actionnera la Porte des Etoiles.
Nyan : mais comment faire pour détourner leur vigilance ? Le camp n’est accessible qu’en empruntant un module.
Teal’c : ce n’est pas un obstacle. Je commence à recouvrer la vue. Grâce à vous Nyan. Prenez ça, vous en aurai besoin.
Nyan : je n’ai jamais utilisé d’armes au par avant.
Teal’c : vous apprendrez vite à vous en servir. Il faut y aller.
Camp Bédrosien
Rigar : expliquez-moi comment cet engin fonctionne. C’est une espèce d’illusion d’optique ?
Au SGC
Hammond : je peux vous assurer que ce que vous voyez et bien réel. Maintenant s’il vous plait, puis je parler au Colonel O’neill ? Essayez de diriger la sonde.
Camp Bédrosien
Rigar : d’où émettez-vous ? Êtes-vous sur Optrica ou proche des frontières Bédrosienne.
Hammond : dès que mes hommes seront de retour, je serais échanger de discuter et d’échanger des informations avec vous. Essayer de voir si vous pouvez réussir à cadrer O’neill.
Rigar : envoyez-moi les plans de cet appareil. Faites moi connaître les coordonnées précise de votre position et quand vous aurez avoué les détails de votre machination, j’envisagerai alors d’épargner la vie de vos agents.
Hammond : vous allez libérer sans conditions mes hommes, vous m’entendez ? Est-ce que je me suis bien fais comprendre ?
Rigar : je peux vous assurer que si vous tentez quoique se soit, je tuerais vos agents sans hésiter.
Au SGC
Technicien : nous avons perdu le contact avec la sonde.
Hammond : fermer la porte.
Camp Bédrosien
Rigar : appelez un module de transport. Je vais les transférer à Bédrosie, la capitale. Emmenez-les dès qu’il sera arrivé.
Forêt
Nyan : vous êtes sur que j’en serai capable ?
Teal’c : vous vous débrouillerez très bien. J’en suis certain.
Nyan : quand on sera là bas, ne tuez personne.
Camp Bédrosien
Femme : le module de transport va arriver d’un instant à l’autre.
Rigar : je vais accompagner moi-même les prisonniers. Vous resterez ici, pour surveiller l’anneau. Soyez vigilante.
Nyan : au secours, au secours. Il est la, dans la forêt.
Rigar : qui est la ?
Nyan : l’alien, il a tué les soldats et il a essayé de me tuer avec ses armes. Grâce au ciel, j’ai réussi à m’enfuir.
Rigar : prenez le module, trouvez le. Placez-le en arrestation. Qu’attentent-ils pour décoller ?
Femme : je vais voir. Qu’attendez-vous pour décoller ? Exécution.
Sam : Nyan ?
Nyan : appuyez sur le bouton de coté pour tirer à longue distance.
Daniel : où est Teal’c ?
Nyan : il nous couvre.
Jack : Daniel, activez la porte, nous allons vous couvrir.
Au SGC
Technicien : voyageur non identifié.
Hammond : fermez l’iris.
Technicien : Je ne reçois pas de signal de reconnaissance. C’est sg1.
Hammond : rouvrez l’iris.
Camp Bédrosien
Teal’c : en avant.
Jack : Carter, allez y. Nyan, vous pouvez me couvrir ?
Nyan : je vais essayer.
Jack : Teal’c, non. Ça n’a pas l’air d’aller très fort, on dirait. Bon, il faut y aller. Prêt, allons y. Teal’c.
Teal’c : il part avec nous.
Au SGC
Teal’c : General Hammond, c’est un ami.
Hammond : coupez l’alarme.
Jack : il est blessé, vite.
Dr Frazier : où êtes-vous blessé ?
Infirmier : vérifions la dilatation des pupilles.
Dr Frazier : tout ce que je peux vous dire Teal’c, c’est que junior est un petit gars bien résistant.
Nyan : qui est junior ?
Teal’c : c’est ainsi que le Colonel a baptisé mon symbiote.
Sam : comment vous sentez vous ?
Teal’c : beaucoup mieux Major Carter, merci.
Jack : une bonne nouvelle, l’armée vous a accordé le statut de réfugier. Ce qui veut dire que vous pouvez rester sur Terre, avec nous, si vous le souhaitez.
Nyan : que vais-je faire ici ?
Daniel : et bien, j’ai pensais qu’on aurait un petit travail à vous confier, enfin si ça vous intéresse. J’ai une quantité d’objets rapportés de missions précédentes qu’il faudrait examinés. J’aurais vraiment besoin d’un assistant pour ça. Ce serait aussi le meilleur moyen pour nous d’apprendre l’histoire de vos ancêtres.
Dr Frazier : Mais pour l’instant, il vous faut surtout du repos.
Jack : donc nous allons vous laisser vous reposer.
Nyan : merci Teal’c.
Teal’c : vous nous avez sauvés à moi et à mes camarades. C’est à moi de vous remercier.
Nyan : je n’ai qu’un regret, c’est de n’avoir pas pu vous présenter à mes collègues. Ils auraient été stupéfaits.
Teal’c : peut être qu’un jour, la situation évoluera sur votre planète et vous en aurez l’occasion.
FIN