INSTINCT MATERNEL
AU SGC
Technicien : alerte, alerte. Porte activée de l’extérieur.
Soldat : en position, tenez vous prêt à tirer.
Technicien : je capte une transmission GDO, un appel de détresse code deux.
Hammond : ouvrez l’iris, vite.
Soldat : restez en position, mais n’ouvrez pas le feu.
Bra’tac : il est blessé, gravement.
Dr Frazier : hémorragie interne, on n’a pas une seconde à perdre. Il faut l’opéré d’urgence. On l’emmène au bloc, en avant, on fonce.
Teal’c : Tek’ma’te, Bra’tac. Tu as été blessé toi aussi ?
Bra’tac : non, moi je vais bien.
Teal’c : que c’est il passé ?
Bra’tac : Chulak a été attaqué. Par Apophis.
Générique
Jack : Apophis, non mais ce n’est pas vrai.
Teal’c : il a du pouvoir s’enfuir du vaisseau de Sokar avant qu’il explose.
Jack : rien ne le fait crever, c’est comme le chiendent.
Bra’tac : il contrôle l’armée de Sokar, la plus puissante de toute les flottes.
Teal’c : je t’accompagne sur Chulak.
Bra’tac : non, les combats sont terminés. Ils ont tout rasé. Tout ce que je pouvais encore faire, c’est tenter de sauver le jeune Moac. Mon nouvel apprenti.
Sam : pourquoi Apophis a attaqué Chulak, c’est absurde. Enfin, tout les jaffas ne sont pas en rébellion contre les Goaoulds.
Bra’tac : non
Daniel : mais c’est plus facile de tous les supprimer d’un coup plutôt que de faire la chasse aux traitres.
Hammond : Hammond. Je le lui dis. Bra’tac, vous devez vite descendre en salle d’opération.
Dr Frazier : ces blessures étaient trop graves.
Moac : j’ai failli au combat.
Bra’tac : non, c’est moi qui est faillit pas toi. J’aurais du te sauver. Tu es le plus courageux des jaffas que j’ai eu comme élève.
Moac : mais j’ai peur.
Bra’tac : Kla'mel'korak. Ça dépouille doit être brulée.
Teal’c : j’y veillerai personnellement.
Bra’tac : je suis un vieil homme, je donnerai cher pour pouvoir répandre ces cendres sur la tombe d’Apophis. Mais j’ignore si j’aurai encore la force de combattre ce démon.
Teal’c : beaucoup des nôtres ont péris mais ils ne seront pas mort en vain. La nouvelle de se massacre se répandra parmi tous les jaffas.
Bra’tac : oui mais mieux vaut compter sur un plus jeune et plus fort que moi pour la répandre.
Teal’c : tu es le plus fort des jaffas que je n’ai jamais connu.
Bra’tac : j’ai maintenant 135 ans Teal’c, et jusqu’à jamais encore je n’avais vu un Goaould tuer ceux qui portent ses petits. Apophis a massacré des êtres qui le vénéré depuis toujours.
Teal’c : il espérait sans doute prouver aux grands maitres Goaoulds combien il était puissant.
Bra’tac : pour ça, il lui aurait suffit de bombarder Chulak depuis son vaisseau mère. Je dis qu’il poursuivait un autre but. Ces hommes ont tout retourné sur Chulak comme
Teal’c : comme si ils cherchaient une chose précise.
Daniel : le harsièsis.
Teal’c : Apophis a engendré un enfant avec Sharé, l’hôte de sa compagne Ammonet. Il espérait créer un nouvel hôte pour lui.
Bra’tac : mais c’est interdit
Daniel : oui, parce que cet enfant détiendrait tout les savoir Goaoulds. Ammonet s’est débrouillé pour le caché.
Bra’tac : si on le trouve, il ne vivra pas longtemps. Il représente un danger pour tous les Goaoulds.
Daniel : mais Apophis ignore dans quel endroit l’enfant est caché.
Teal’c : voila pourquoi, il fouillait Chulak
Bra’tac : vous savez où est cet enfant ?
Daniel : il est d’en un endroit appeler Kehl ou Kehb.
Teal’c : ce nom t’es familier ?
Bra’tac : on l’évoque dans une légende, mais je n’ai jamais imaginé qu’il existait.
Daniel : il existe.
Bra’tac : depuis toujours, les Goaoulds ont eu peur de Kehb. Ils défendaient à quiconque de parler de cet endroit. Mon père m’a raconté la légende qui s’y rattache. Kehb était un lieu découvert à l’aube des temps par une poignée de jaffas. Un lieu tenu soigneusement secret. Quand on renonçait à porter son Primta, on entamait un voyage vers Kehb. La, le kal’ak trouvais le chemin qui le conduisait hors des ténèbres, vers l’autre vie.
Daniel : kal’ak, ça veut dire, souffle vitale ou âme ?
Teal’c : oui
Bra’tac : quand les maitres Goaoulds découvrirent l’existence de Kehb, ils y envoyèrent un groupe des leurs qui jamais n’en revint. Depuis, il est interdit de parler de Kehb. Mon père aimait me raconter cette histoire. Il me disait que si les Goaoulds sont vraiment des dieux tout puissants, ils ne devraient pas avoir peur de cet endroit.
Daniel : ça fait une cachette parfaite si les Goaoulds ont eu peur à ce point. Mais je ne pense pas que vous ayez les coordonnées de ce lieu.
Bra’tac : non
Daniel : ma seule référence, c’est un obscur conte égyptien disant qu’Osiris s’est réfugier la pour fuir Seth.
Bra’tac : c’est une histoire qui nous est parvenue. Osiris se serait caché sur l’une des planètes du Lac'na'ko.
Daniel : du quoi ?
Teal’c : ce qu’on appelle Lac’na’ko, est un groupe de planètes minières.
Daniel : est ce que vous avez en tête les coordonnées d’une de ces planète ?
Bra’tac : c’est ça. Ce sont les planètes du Lac'na'ko.
Daniel : que voit-on en rouge ?
Sam : notre base inclus des coordonnées qui proviennent de deux sources. En jaune, ce sont celles retrouvées sur le cartouche Goaould retrouvé sur Abydos et en rouge, vous avez les coordonnées qui proviennent des cartes des anciens. Cette combinaison ne vous évoque rien ?
Bra’tac : non
Daniel : si la légende est vraie, les Goaoulds n’auraient pas inclus Kehb dans leur cartouche.
Sam : dans cette zone, il n’y a que cette planète qui n’est pas inscrite sur la carte Goaoulds. Apparemment.
Daniel : on l’a trouvé.
Hammond : comment peut on être sur qu’il s’agit de Kehb ?
Bra’tac : si on en croit nos légendes, Kehb est une terre vierge avec de hautes montagnes et une sorte de temple dans une vallée éloignée de la Porte des Etoiles.
Daniel : les Goaoulds en ont peur, ce qui explique l’absence de mines sur cette planète.
Teal’c : si Ammonet a pensé à cacher cet enfant sur Kehb, Apophis y pensera aussi.
Jack : oui et ce n’est pas une légende même terrifiante qu’il retiendra de s’y rendre. Bon, on aura besoin de renforts sur ce coup la.
Hammond : sg2 vous accompagnera.
Bra’tac : et moi aussi
Daniel : le tout est d’arriver en premier.
Kehb
Jack : contact radio toutes les trente minutes
Major : oui, c’est noté
Jack : je vous confis le fort, Major.
Major : oui, mon Colonel.
Jack : ça donne quoi ?
Teal’c : un groupe de jaffas est passé ici récemment. Ils sont six
Bra’tac : huit
Jack : donc, il nous a devancés.
Teal’c : depuis notre départ tu es bien silencieux, mon maitre.
Bra’tac : je deviens vieux et bientôt je n’aurais plus la force de porter un Primta.
Teal’c : quand l’heure viendra pour moi, je devrais prendre une décision.
Bra’tac : si cet endroit est bien Kehb, l’heure est peut être venue de la prendre.
Jack : c’est quoi ?
Teal’c : six des jaffas se sont arrêté ici.
Bra’tac : deux ont continué et sont revenus avec quelqu’un. Une femme.
Jack : a quoi vous le voyez ?
Teal’c : regardez, se sont des traces de sandales comme en porte les femmes jaffas. Et les empreintes sont moins profondes et plus petites.
Bra’tac : ils ont trouvé les autres, il y a eu lutte puis ils se sont dirigés vers la forêt. Les empreintes sont plus espacées. Ils devaient courir.
Jack : il est doué.
Teal’c : c’est le meilleur.
Bra’tac : la femme devait être la prêtresse à qui on a confié l’enfant.
Daniel : vous sentez ?
Sam : oui.
Daniel : Major
Sam : ce n’était qu’un oiseau. Un corbeau.
Daniel : non, non. Regardez.
Sam : c’est très curieux, les corps sont totalement calcinés et pourtant pas un seul buisson brulé à l’entour. C’est comme si il avait été frappé par la foudre.
Jack : ou plus probablement
Teal’c : je n’ai jamais vu d’armes qui puissent faire de tels dégâts.
Jack : par une arme.
Bra’tac : par ici. Abattue dans le dos pendant qu’elle s’enfuyait.
Daniel : il y a huit corps brulés, en tout.
Jack : et comment vous expliquez ça ?
Bra’tac : la prêtresse était amené vers la porte par deux des jaffas, quand leur petit groupe a rejoins les autre, elle a senti le danger et tenté de s’enfuir. Ils l’ont rejointe et ils l’on tuée. Puis quelqu’un ou quelque chose les a attaqués.
Sam : ce ne sont que des hypothèses.
Bra’tac : ça c’est passé ainsi.
Daniel : oui mais le harsièsis ?
Bra’tac : il était la, elle le portait.
Jack : vraiment ? A quoi vous voyez ça ?
Teal’c : on n’a pas lié ses mains.
Bra’tac : oui et ils ont tiré au ventre, plus bas que la poitrine.
Daniel : et après qu’est devenu l’enfant ?
Bra’tac : désolé, je ne suis pas devin. La prêtresse a été tué voila plus de deux jours. En ne voyant pas ses hommes revenir avec le harsièsis, Apophis a du en envoyer d’autres.
Teal’c : beaucoup plus je suppose.
Jack : Kehb ?
Bra’tac : Kehb.
Sam : aucun comité d’accueil.
Jack : il faudra vous passer de la fanfare cette fois.
Daniel : c’est plutôt une bonne chose.
Jack : Daniel ?
Daniel : quoi ?
Jack : qu’est ce que vous faites ?
Daniel : je ne crois pas que ça ferais bon effet de rentrer la en brandissant nos armes.
Bra’tac : il a raison. On est dans un sanctuaire.
Jack : oui, attendez-là.
Bra’tac : j’ai rêvé de trouver ce lieu depuis deux générations de votre espèce, alors je viens. Je vous accompagne.
Temple
Jack : Hey! Woah! On peut savoir d’où vous venez ?
Moine : il y a un moment que je me trouve ici.
Jack : non, non, quand on est rentré, vous n’étiez pas là.
Moine : là est une notion relative.
Jack : ah vraiment.
Daniel : euh, bonjour, je m’appelle Daniel Jackson, lui c’est Jack O’neill et derrière c’est Bra’tac. Nous sommes trois explorateurs et nous venons de la Tauri.
Moine : vous souhaitez fusionner avec Dessala ?
Daniel : Dessala ? Je connais ce mot attendez c’est bantou ou souahéli peut être.
Moine : Dessala est la source de tout. Elle est partout.
Daniel : la nature. Oui, il parle de la nature.
Jack : oh
Moine : ne mettez pas d’obstacle entre vous et l’endroit ou vous êtes.
Jack : ben me regardez pas.
Bra’tac : je pense qu’il souhaite que nous enlevions nos bottes.
Jack : oh je ne suis pas contre mais on a pas mal crapahuté aujourd’hui alors
Moine : votre voyage commence à peine.
Jack : non, ce que je veux dire c’est que pour les nez sensible il vaut mieux que je ne libère pas mes petits petons.
Moine : quand l’esprit est éclaire l’âme s’élève, et on peut oublier son corps.
Jack : qu’est ce qu’on attend ? Pourquoi vous ne l’interrogez pas à propos de l’enfant ?
Daniel : nous sommes à la recherche d’un enfant, un bébé.
Moine : les étoiles filantes, la lumière d’un éclair, il suffit d’un battement de cil pour passer à côté.
Jack : un éclair, vous dites ?
Moine : est ce qu’un flocon de neige peut exister dans un tourbillon de feu ?
Jack : pardon ?
Daniel : Jack,
Jack : non, attendez, je ne suis pas totalement hermétique aux métaphores mais avec lui, je ne décrypte rien.
Daniel : excusez le, oubliez le, vous voulez bien ?
Moine : le soleil est chaud, le vent souffle, l’herbe reste verte en haut des collines. Rien de mauvais ne s’y cache.
Jack : oh, ça j’en suis pas certain.
Daniel : Jack, c’est de la philosophie zen. Apparemment, la religion que ce moine professe a du être a la base du bouddhisme sur Terre.
Jack : ça c’est impressionnant. Rappelez-moi d’en toucher un mot au Dalïa Lama quand on sera revenu mais pour l’instant, est ce que vous pouvez penser à la mission ?
Daniel : oui c’est vrai, il faut que vous me répondiez. Il y a-t-il un enfant ici ?
Moine : il y a un enfant en chacun de nous.
Jack : oh non, ce n’est pas vrai.
Bra’tac : ce qu’on cherche, c’est un enfant humain. Un petit garçon.
Moine : celui qui cherche l’unité, trouve tout ce qu’il recherche.
Daniel : ça risque de prendre un moment.
Jack : sans rire. Mais qu’est ce qui vous fait croire ça ?
Extérieur
Sam : qu’est ce qui se passe ?
Teal’c : rien de tangible. Mais il y a quelque chose qui me trouble ici. Vous avez appris où est l’enfant ?
Jack : jusqu’ici, non. Y a un moine à l’intérieur, Daniel croit qu’il peut nous aider, alors il fait une petite retraite avec lui.
Sam : une petite retraite ?
Jack : il médite pour trouver la lumière.
Sam : mon Colonel
Jack : je sais, je sais.
Temple
Moine : il y a en vous un être dont l’esprit n’est que ténèbres.
Bra’tac : oui
Moine : vous devez extraire ce démon de vous pour fusionner avec Oma Dessala.
Daniel : Oma, que signifie ce mot ?
Moine : les mots ne peuvent exprimer les choses. Les paroles ne reflètent pas la pensée. Encombrer de mots, l’esprit se brouille. Pour atteindre l’unité, chassez de vous l’obscur.
Bra’tac : je ne peux pas. Si je me débarrasse du symbiote, je mourrai !
Moine : vous ne pouvez chercher la lumière avec cet être en vous.
Bra’tac : pour un jaffa, rechercher l’unité reviens à accepter l’idée de mourir.
Moine : quand l’esprit est libéré, qu’importe notre enveloppe charnelle. Et je sens que vous n’êtes pas prêt à rejoindre Oma Dessala.
Bra’tac : je n’ai pas encore envie de mourir, pas encore. Mais c’est un réconfort de savoir ce voyage devant moi.
Daniel : donc, si je recherche l’unité, je ne mourrai pas.
Moine : non, vous n’avez pas le même démon en vous.
Daniel : c’est juste.
Moine : mais vous avez vos propres démons à combattre avant.
Daniel : ouais, je comprends.
Extérieur
Bra’tac : je ne suis pas encore prêt à renoncer à vivre. Je me sens aussi vaillant qu’un jeune homme de soixante ans. Nous avons encore des faux-dieux à chasser.
Temple
Moine : elle s’avance sur les eaux du lac sans en rider la surface. Elle s’avance dans la forêt sans déranger le moindre brin d’herbe.
Daniel : son nom est ? Je veux dire, qui est-elle ?
Moine : la Mère.
Daniel : Dessala. La nature, Mère nature, nous aussi nous la nommons Mère nature.
Moine : pourquoi recherchez vous cet enfant, ce bébé.
Daniel : c’est le fils de ma femme.
Moine : mais pas votre fils.
Daniel : non. Ma femme est morte et je lui suis promis que je protègerais son petit garçon.
Moine : et vous croyez qu’il sera à l’abri auprès de vous ?
Daniel : oui, j’en prendrai soin.
Moine : ce qui est sous nos yeux est toujours plus difficile à voir. Si on comprenait dans l’instant que l’étincelle est feu, alors personne n’aurai à souffrir du froid.
Daniel : oui. Euh, c’est confus, je ne suis pas sur de comprendre. Je l’allumerai pas
Moine : vous dites que vous chercher cet enfant pour tenir une promesse ?
Daniel : oui.
Moine : y a-t-il une autre raison ?
Daniel : cet enfant sait des choses. Il aidera mon peuple à se défendre contre mon pire ennemi, les Goaoulds.
Moine : vous haïssez les Goaoulds ?
Daniel : oui, les Goaoulds sont responsables de la mort de ma femme. Et de celle de plusieurs millions d’être humains. C’est naturel que je les haïsse.
Moine : votre haine mettra en danger cet enfant.
Daniel : pourquoi dites vous ça ?
Moine : faites-moi confiance. Il faut vous fier à moi.
Daniel : vous ne pouvez pas me convaincre que j’arriverai allumer cette bougie avec mon esprit. Je suis un homme rationnel et je trouve qu’utiliser un briquet c’est bien plus pratique et que… Whaoh.
Moine : vous pouvez l’éteindre ? Avec votre esprit.
Daniel : oh, oui je suis idiot, excusez moi, on reprend tout a zéro. Attendez, c’est pas une chandelle truquée, c’est sur ?
Moine : mettez votre main sur la flamme.
Daniel : comment ?
Moine : mettez votre main sur la flamme.
Daniel : ah, pourquoi vous m’avez dit de faire ça ?
Moine : pourquoi l’avez-vous fait ?
Daniel : parce que vous me l’avez dit.
Moine : parce que vous m’avez cru.
Daniel : exact.
Moine : vous avez en vous la faculté de croire. Croyez en Oma Dessala. Vous ne pouvez pas allumer cette chandelle mais elle le peut si vous croyez en elle.
Extérieur
Jack : bon, ça suffit.
Temple
Daniel : Jack, les symboles sur le mur, c’est un langage, c’est une bible ou plutôt non, c’est un manuel d’instructions pour atteindre un niveau supérieur de conscience. Presque qu’un autre monde. Ce qui explique que les jaffas qui ont découvert cet endroit, est vu la un passage vers une autre vie.
Jack : oh la, doucement petit scarabée.
Daniel : je suis quasiment sur que ce temple a été construit par des aliens voila des millénaires. Ils ont même pu venir sur terre et inspiré les mythes basés sur le concept de Mère nature dans différente culture.
Jack : quoi, le moine est un alien ?
Daniel : non, en fait je pense que ces aliens ont découvert un moyen d’atteindre un plus au niveau d’existence et ils sont partis dans se monde parallèle. Mais ils ont laissé ces inscriptions afin de permettre à ceux qu’ils le veulent de les suivre. Le moine est seulement là comme un gardien du temple.
Jack : une sorte de concierge.
Daniel : plutôt un guide.
Jack : un portier.
Daniel : soyer pas ironique, regardez.
Jack : il faut que je pense que c’est vous qui faites ça ?
Daniel : oui
Jack : ah. Daniel, un mot. Nous ne sommes pas ici pour apprendre des petits tours rigolos.
Daniel : Jack.
Jack : est ce que l’enfant est ici ? Je vous rappelle que plus on s’attarde, plus on risque nos tête.
Daniel : j’en suis conscient
Jack : faute de mieux, je n’hésiterai pas à demander que l’on fouille de fond en combles sa pagode avec ou sans ça coopération.
Daniel : non vous ne ferez pas ça.
Jack : j’aurai pu le faire dès notre arrivée et je vous ai laissé négocier.
Daniel : j’aurai bientôt sa confiance.
Jack : quand vous dites bientôt, ça veut dire quand ?
Daniel : vous ne compreniez rien.
Jack : au si je comprends. Et, ça me rend nerveux, posez ça toute suite. D’accord, ce tour là est plus impressionnant. Comment vous faites ça ?
Daniel : c’est pas lui, c’est moi.
Jack : quoi ?
Daniel : c’est se que je me tue à vous dire, c’est quelque chose d’incroyable.
Jack : il vous a enseigné
Daniel : à utiliser mon esprit. On a tous se potentiel.
Jack : alors votre gourou pourrait aussi faire de moi un phénomène de foire, en cinq sets ?
Moine : chacun de nous possède en lui le don.
Jack : oh, je suis sur que je n’ai aucunes dispositions pour ce genre de choses.
Moine : si, il suffit de vous ouvrir à Oma Dessala. Devenez comme nous, son allié.
Jack : euh si vous le dites.
Extérieur
Jack : au génial. Teal’c, Bra’tac partez en reconnaissance. Major Coburn, ici O’Neill.
Major Coburn : oui, mon Colonel
Jack: on a des jaffas qui s’activent de ce coté. Chez vous, ça bouge aussi?
Major Coburn : pour l’instant non.
Jack : alors ouvrez l’œil. Je veux que vous me mettiez les lances roquettes devant.
Sam : je croyais que l’on devait partir ?
Temple
Jack : moi aussi. Bon, est ce que l’enfant est là ou pas ?
Daniel : Jack
Jack : bon, écoutez, les jaffas sont de retour, on a intérêt à s’activer.
Moine : rien n’est plus vain que
Jack : ah, on se tait.
Sam : lances roquettes en position.
Jack : bien. Daniel veut qu’on reste.
Sam : pourquoi ?
Jack : euh, il va vous montrer.
Sam : quoi ? Vous contrôlez ça ?
Daniel : oui
Sam : c’est impossible.
Jack : ben je suis d’accord.
Daniel : pourquoi ?
Sam : vous avez appris à contrôler le feu ?
Daniel : pas que le feu, toutes les instructions sont là, sur les murs. C’est enfantin, il suffit de croire qu’on peut le faire.
Sam : je ne pense pas que ça repose sur un pouvoir quelconque.
Daniel : pourquoi ?
Sam : si j’avais le matériel et le temps de faire différents tests, je vous prouverais que ce temple est équipé d’appareils sophistiqués qui génèrent les phénomènes que ce que vous pensez qui
Daniel : mais il n’y a pas une part de vous qui ne demande qu’à penser que l’esprit en lui cette force.
Sam : si, c’est séduisant mais
Daniel : vous ne croyez pas que j’ai accès à ce pouvoir ?
Sam : quel pouvoir ?
Daniel : celui de contrôler les choses. De protéger l’enfant. Elle ne voulait pas que je parte sans être sur que j’étais réellement en mesure de le faire.
Sam : vous parlez de qui ?
Teal’c : un vaisseau mère Goaoulds a atterrit. On va avoir toute une armée sur le dos.
Jack : allez, assez discuté.
Daniel : non, attendez, que faites vous de.
Extérieur
Jack : chouette.
Bra’tac : il faut partir toute suite, on les évitera en passant par la forêt.
Jack : où est Daniel ? Daniel, Daniel, on s’en va. Il ne manquait plus que ça. Il a disparu. Il n’est plus dans le temple.
Sam : qu’est ce qu’on fait ?
Jack: Coburn, c’est O’Neill
Major Coburn: oui Mon Colonel?
Jack: rentrez à la base sans nous attendre. Dites à Hammond qu’on est coincés et amenez-moi des renforts.
Major Coburn: on s’en charge.
Jaffa: avancez, le temple est droit devant. Dépêchez le temps presse.
Jack: et sur les renforts, mettez le paquet, s’il vous plait. Bon, s’a y est, ils arrivent. On se met en position. Attendez mon ordre pour envoyer les roquettes. Tant qu’on peu éviter l’affrontement, on ne bouge surtout pas. Et si on arrive à s’en sortir sans trop de casse, rappelez-moi de botter les fesses à Daniel.
Temple
Daniel : merci pour tout. Je le protègerais de mon mieux. Je n’ai aucun pouvoir c’est ça ? C’est vous qui faisiez tout ? J’ai eu tord de croire que je réussissais à faire bouger des choses. C’était vous, vous me montriez vos pouvoirs. C’était votre façon de communiquer avec nous. De me dire que ce bébé serait plus à l’abri près de vous et je n’écoutais rien. J’ai fait une promesse. J’ai promis de le mettre en lieu sûr.
Extérieur
Jaffa : kree lo’as’ak. Lo co'mal As'ep
Moine : je vous demande de partir.
Jaffa : au nom du dieu Apophis, nous venons reprendre un enfant.
Moine : votre place n’est pas ici.
Jaffa : nous voulons le garçon. Ecartez vous.
Daniel : non
Jack : lâchez vos armes ! Vous entendez ?
Jaffa : kree lo’as’ak
Daniel : déposez vos armes.
Jack : il faut qu’on vous le répète ?
Daniel : c’est à vous que je le disais.
Jack : comment ? Quoi ?
Daniel : jetez vos armes, tous.
Jack : Daniel
Daniel : je me suis trompé, ils ne sont pas tous partis. Un des aliens qui ont construit cet endroit est encore ici.
Sam : si on dépose nos armes, ils vont nous tuer.
Jaffa : vous n’êtes qu’un petit groupe et vous mourrez si vous résistez.
Daniel : Jack si vous devez me faire confiance un jour, c’est maintenant ou jamais. C’est l’alien qui possède tous les pouvoirs et je vous jure que ce n’est pas quelqu’un que vous voudriez avoir comme ennemi.
Bra’tac : nous devons l’écouter.
Jaffa : tuez-les.
Daniel : au revoir.
Jack : j’aime beaucoup ce qu’il fait. Waouh.
Daniel : vous allez partir ? D’autres Goaoulds viendront s’ils savent que l’enfant est ici. On aura bien l’occasion de se revoir, j’espère.
Sam : dites c’était l’enfant harsièsis que cette créature emportait avec elle ?
Daniel : oui.
Jack : mais il nous fallait l’enfant de Sharé. Vous l’avez laissé s’en aller. Pas le choix, hein ?
Major Coburn: Colonel O’Neill, ici le Major Coburn, répondez.
Jack: oui, je vous écoute Major.
Major Coburn : les troupes de renfort arrive, mon colonel.
Jack : rien ne presse. Y a plus de danger.
Major Coburn : content de l’entendre. Quelqu’un vient de réactiver la porte. Y’a comme qui dirait une espèce de halo qui se dirige par ici.
Jack : surtout ne tentez rien, je répète, écartez vous de son passage, ne tentez rien. Dites à vos hommes de poser leurs armes et de ne pas intervenir tant qu’elle restera la, compris.
Major Coburn : cinq sur cinq. La lumière a disparu.
Jack : ça va aller ?
Daniel : oui.
Jack : alors on rentre. Daniel
Daniel : oui
Jack : vos chaussures.
FIN